11 de nuit
-/!\ scène quelques peu explicite, âme sensible vous êtes prévenues /!\-
(Je vais mettre des * pour encadrer le passage😉 il est court et relativement soft)
Évidemment, je ne le laisse pas faire. Je ne pose pas de question non plus. Une de mes mains vient dans ses cheveux à l'arrière de la tête, l'autre enlace la taille. Je rêve de se moment depuis que je l'ai vu. J'entrouvre mes lèvres, Peter fait de même sans hésitation. Ma langue rejoins la sienne, nous approfondissons ce baisse. J'y met tout mon amour, toute ma passion. Il n'imagine pas combien je l'aime, combien je le veux. Je l'entraîne dans le salon. Peter se laisse entièrement dominer, les bras autour de mon coup, sur la pointe des pieds.
Je met fin à notre pelle sans le lâcher pour autant. Nous sommes tout deux haletants, cherchant à reprendre notre respiration. Mon bel homme fini par prendre la parole mais je ne comprends rien outre la joie inexplicable sur son visage qui c'est encore amplifier. Il réforme:
- tes baisers sont parfaits
Je sourit, ça lui à vraiment plu alors?
- c'était juste le premier
Je colle à nouveau nos lèvres, nos corps un peu plus aussi, ensemble et lui roule une nouvelle pelle. Je l'embrasse longuement sans me retenir. C'est tellement bon, merveilleux. J'ai l'impression de rêvé et pourtant ses lèvres qui embrasse les miennes sont bien les siennes. Si douce et sucré, j'en profite pleinement.
- et si... on allait se coucher, me prose Peter d'une voix sensuelle.
Je descend mes mains sous ses fesses en guise de réponse et le soulève. Mon ange enroule ses jambes autour de moi comprenant mes intentions. Je le transporte à ma chambre, pas trop dur étant au rez-de-chaussée. Je me laisse tomber sur le lit avec lui au dessus. Monsieur fait la moue:
- ne me dit pas que...
Il devient rouge, c'est adorable.
- quoi? Je lui sourit
Je comprends pas sa phrase, je crois qu'il a peur de devoir dominer. Peter reformule en déboutonnant ma chemise:
- on passe à la suite?
Je le regarde habillement finir de retirer ma chemise un grand sourire fixé sur mon visage. Je sais que c'est un peu tôt mais ça fait longtemps que j'ai plus baissé et lui, mon bel anglais me donne trop envie. Ses hormones sont clairement chaudes.
- tout dépend... j'ai pas envie de me taper de saleté comme le sida...
Il devient rouge, ma phrase était un peu trop direct. Il m'affirme qu'il n'a rien et qu'il a même fait des tests pour en être sûr.
- super, reste plus qu'à retirer cette masse de vêtements
*
Je l'embrasse à nouveau et le plaque au lit, je le déshabille rapidement alors qu'il continue de le faire pour moi. Le petit malin en profite vachement pour me caresser partout. Il semble hésité quelques instants à retirer mon boxer où se trouve une belle bosse. Mon ange se mord la lèvre inférieure, tellement sexy, ni une ni deux il est totalement nu et sur ce me retire mon dernier tissus.
Je ne veux pas aller trop loin ce soir non plus. Mais nous sommes dans une situation délicate où tout les deux nous bandons fortement, depuis combien de temps n'a-t-il rien fait. Je vois qu'il a envie. Après une série de caresses et de baisers, une petite préparation et je ne prend. Ça a l'air de lui plaire, il gémi haut et fort. Je grogne de plaisir. Nous prenons tout deux notre pied.
*
Je crois n'avoir jamais été aussi heureux, il est là dans mes bras, sous les couvertures qui réchauffe nos corps nu entrelacés. Un sourire niais est plaqué sur son visage. Les papillons de mon ventre se sont calmés depuis longtemps mais j'ai l'impression de voler, j'arrive pas a croire se qu'il vient de se passer.
- tu n'a toujours pas d'idée au sujet de la photo ?
Il me regarde et fait non de la tête, il est trop mignon. Je passe une main dans ses doux cheveux.
- quand je t'ai vu la première fois, il fessait nuit. On aurait pu de prendre pour un démon mais j'ai vu un ange.
Sa tête vient se nicher dans mon cou. Je le sert contre moi, son odeur envoûte mes narines. Mon anglais est toujours aussi mauvais mais il semble avoir compris le message.
Sans m'en rendre compte, je me suis endormi sous les caresses de mon homme. Enfin, est-ce qu'on est ensemble?
Je me réveille par l'absence soudaine d'une personne dans mes bras. J'ouvre les yeux constatant que Peter n'est plus là et que le réveil indique 3h du matin. Je me lève et enfile rapidement un boxer et un jogging gris. Je sort de la chambre et entend du bruit dans le hall.
J'y vais. Peter tient la porte alors qu'une silhouette entre dans le hall. L'inconnu a de longs cheveux roux, des yeux verts, une demi tonne de maquillage sur le visage, des talons aiguilles, une robe ultra sexy très courte et décolleté plongeant. Elle doit être de la taille de Peter mais le surpasse avec ses immenses talons. N'importe qui la trouverai superbe avec son énorme poitrine et ses grosses fesses. Moi je la trouve dégoûtante.
Pire elle se jette sur moi en criant :
- mon amour !
Je tente de la repousser mais la je vois le regard de l'homme qui m'attire. Sa tristesse et sa déception se lisent sur son beau visage. Il me dit quelque chose mais je ne comprends que la fin.
- Je vais dormir dans ma chambre, amuse toi bien.
Je voulais le rattraper, ses mots viennent de briser mon cœur, pourquoi faut-il qu'elle m'en empêche. Mélissa se remet à parler(en français évidemment)
- ton ami ne m'a pas l'air très sympa, comment peut-tu rester ici?!?
- qu'est-ce que tu fais ici toi?
Mon ton est énervé, il est clair que je ne lui montrerai pas que je suis triste.
- et bien mon fiancé allait trop me manquer alors...
- Mélissa! On est plus ensemble tu comprends ?!?
- tu vas m'épouser mon chéri
- quoi?!?
J'essaye de ta repousser mais ses bras autour de mon cou m'en empêche. C'est quoi cette histoire?!
- écoute, tes parents ont décidé que quand tu rentrerais chez eux en août, tu te marieras avec moi! C'est ce pas formidable ?
Ce sourire gravé sur son visage me dégoûte. Comment pourrais-je épouser cette chose qui me répugne. Hors de question! La seule personne que je pourrais épouser c'est Peter, mais je ne comprends pas ce qu'il a... à moins que...
- tu as dit quoi à Peter?!?
- la vérité! Qu'on va se marier ensemble et que tu m'aimes moi.
- va te coucher, j'ordonne sèchement
- seulement avec toi, ta chambre est où ?
Comme un idiot, je regarde la porte dans le fond de la pièce. Elle comprend et tente de m'y emmener. J'arrive enfin à ce qu'elle me lache.
- Je te rejoint plus tard, tu as fait un long trajet alors dort.
Elle prend une de ses trois valises et s'engouffre dans ma chambre. Bon point. Débarrasser du monstre pour une petite du moins. Je le laisse tomber sur le divan.
Comment je vais m'en débarrasser? D'elle et de mes parents.
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