Vérité
Nous étions enfin arrivé !
Alors soit c'est moi qui a un problème, soit c'est le chemin vers Snowdin qui c'est agrandi, ou c'est le faite que cet imbécile de poubelle souriante n'arrête pas de sortir mille et une blague sur les plantes.
J'avais cru qu'on y arriverait JAMAIS !
Bon après je me plains, mais moi je suis dans un pot !
Donc je n'ai pas besoin de marcher.
Bon après, je préfère largement savoir que le chemin est plus long que de rencontrer des problèmes.
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Nous marchions dans Snowdin, en direction de la maison.
Bizarrement...
Juste le fait de penser à ça me met un peu la boule au ventre, même si je n'en ai pas...!
Sur le chemin, je fus mine de ne pas vraiment écouter les conversations de l'humain avec Flowey et Sans.
Mais au contraire, j'écoutais tout.
Si j'ai bien compris, finalement, c'est Sans qui me raconteras la "fameuse vérité"...
Et c'est ça...
C'est le fait de savoir que c'est mon frère qui va me le dire...
Nous arrivons enfin devant notre grande maison.
D'un certain côté, je préfère savoir cette chose dans ma maison, je m'y sentirais plus à l'aise...
On entra et Frisk s'installa dans le canapé avec Flowey dans les mains.
Quant à moi et Sans, on monta dans ma chambre.
Sans ferma la porte derrière lui.
À ce moment-là, un frisson me parcoura...
Un mauvais souvenir remonta dans mes pensées...
Non...je ne dois pas pensé a ça...!
La voix de Sans me fit alors sortir de mes pensées.
Il étais assis dans le lit et tapoter de sa main une place à ses côtés, tout en arborant un petit sourire rassurant.
Je le rejoignis alors et vint m'asseoir à côté de lui.
Une fois installé, on se regarda.
Par moment, Sans ouvrait un peu la bouche mais aucun son ne sortait, signe qu'il hésitait...ou qu'il ne trouvait pas ses mots.
Après une bonne minute de silence, Sans lâcha un soupir.
Sans : Bon alors... Papyrus... Depuis cette conversation étrange, du moins pour toi, tu dois sûrement te poser des questions...
Je me contentais juste de hocher de la tête.
Alors, il commença son explication, qui, risque d'être longue à mon avis.
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Confortablement assis dans le canapé, tenant Flowey, je jouais avec lui.
Flowey : Frisk ! Arrête ! Tu crois vraiment que c'est le moment de jouer !? À croire que tu te fiche de ce qui se passe !
Un petit rire m'échappa.
Frisk : Tu sais Flowey...Cela ne se voit peut pas sur mon visage mais...j'ai peur de cette timeline, peur des évènements à suivre... J'ai aussi peur du moment présent...
Flowey : Huh ?
Frisk : Oui, j'ai peur de la réaction de Papyrus...
Flowey : Oui je comprends. Mais... Quelque chose me dit, qu'il nous pardonnera, ne t'inquiète pas !
Frisk : Ok...!
Et par la suite, je repris mon petit jeu.
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Après une dizaine de minutes à parler, Sans eu enfin fini avec son explication.
Un blanc c'était installer dans la chambre.
Bizarrement, à chaque mot que mon frère faisait sortir de sa bouche me rappellerent tout mes souvenirs, toute ces timelines passer...
Reset, timeline, sauvegarde, game over, route neutre, pacifiste et génocide.
Je me suis rappelé de tout !
Jusqu'a qu'un souvenir me vint en tête...
Lors d'une route génocide, lors du moment où je devais mourir, Sans est intervenu, il s'était interposé entre moi et Frisk, et il c'est pris le coup à ma place, il était mort du fait qu'il voulait me protéger.
Par la suite, j'ai affronter l'humain dans le hall du jugement.
Un soupir m'échappa.
Sans : Tu sais Paps, on comprendra si tu nous rejettent pour ce qu'on a fait...
Papyrus : HEIN ? QUOI MAIS NO-
Sans : Mais si tu devrais t'emprendre à quelqu'un, ça devrais être moi... Vu que je suis celui qui t'a caché toute ces choses depuis le début...
Papyrus : MAIS NON... VOYONS SANS MALGRÉ ÇA EUH... JE NE VOUS EN VEUX PAS, TOI AUSSI... C'EST JUSTE QUE D'UN CÔTÉ, ÇA ME BLESSE UN PEU DE SAVOIR QUE DEPUIS TOUT CE TEMPS, TU T'ES JOUÉ DE MA NAÏVETÉ POUR POUVOIR ME CACHER TOUT ÇA.
À ce moment-là, il baissa la tête, il avait honte.
Je posa alors ma main sur son épaule, ce qui eu l'effet de le faire sursauter, mais au moins il releva la tête pour me regarder.
Papyrus : SANS, TU N'A PAS BESOIN D'AVOIR HONTE OU DE TE SENTIR COUPABLE DE ÇA. ET PUIS TU SAIS, C'EST COMPRÉHENSIBLE, FORCÉMENT, IL NE FAUT PAS CROIRE QUE DIRE CE GENRE DE CHOSES EST FACILE. ALORS TU N'A PAS À ETRE DANS CETTE ÉTAT...
Sans : Oui mais...
Papyrus : IL N'Y A PAS DE MAIS SANS ! C'EST PLUTÔT À MOI DE M'EXCUSER, CAR CONTRAIREMENT À MOI, TU CHERCHAIS A ME PROTÉGER, ALORS QUE MOI JE N'AI JAMAIS ÉTÉ CAPABLE DE VOIR LA DOULEUR QUE TU RESSENTAIS LORS DE TOUT CES RESET...TU ÉTAIT LA DANS LA DIFFICULTÉ ET MOI, TON PROPRE FRÈRE, N'A MEME PAS PU T'AIDER UNE FOIS...
Pile à ce moment-là, je sentis quelque chose de briser au fond de moi...
Quelque chose se libéré (délivrer ! Je ne-.......pardon) en moi.
Je sentis cette chose s'infiltrer dans mon esprit.
Bizarrement... J'avais l'impression de connaître cette présence, comme si c'était moi mais en différent...
Alors que j'étais encore une fois absorber par mes pensées, Sans me fit sortir de mes pensées.
Mais cette fois ce ne fut pas sa voix que j'entendis mais de léger sanglots.
Sans pleurait.
Je l'entendais très bien, il marmonnait de faible désolé.
Je le pris alors dans mes bras.
Papyrus : SHHH...C'EST BON...
Ma voix tremblait, j'avais les larmes au yeux.
Mais je refuse, je refuse de me laisser aller !
Après quelques petites minutes, Sans c'était calmé et c'était endormi.
Comme sa chambre est toujours en désordre, j'ai préféré le laisser dormir dans mon lit.
Après un petit moment de réflexion, je décida de sortir de la chambre et de rejoindre l'hu- Frisk et Flowey dans le salon.
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Un soupir m'échappa.
Je commençais vraiment à m'impatienter...
Ces deux idiots de squelette qui prennent leurs temps, Frisk qui commence à me taper sur le système...!
Au moment où j'ouvris la bouche pour crier sur Frisk.
Un bruit de porte se fit entendre.
Moi et Frisk regardions alors en haut.
Papyrus était sorti de la chambre et descendait les escaliers, mais il était seul.
Frisk : Hey Papyrus ! Où est Sans ?
Papyrus : IL DORT.
Flowey : Comme toujours...
Frisk : Hehe voyons Flowey !
Flowey : Mais c'est vrai !
Frisk : Enfin bref ! Maintenant, je suppose que tu connais toute la vérité, n'est-ce pas ?
Papyrus : OUI, ET JE LE DIS EN AVANCE, JE NE VOUS EN VEUX PAS, DONC CE N'EST PAS LA PEINE DE VOUS EXCUSER ! NYEHEHE !
J'entendis alors un soupir de soulagement venant de Frisk.
Frisk : Je suis contente alors !
Maintenant, ça le faisait un poids en moins pour mon esprit...
Flowey : Bon bah je suppose que ce n'est pas la peine de s'attarder sur le sujet ?
Frisk : Oui !
Papyrus : BIEN ! MOI ! LE GRAND PAPYRUS PROPOSE D'ALLER MANGER UN PEU !
Frisk : Je suis d'accord ! Et toi Flowey ?
Flowey : Si tout le monde veut manger bah autant venir aussi !
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Hey population ! J'ai enfin fini le chapitre ! Je suis contente bordel ! Enfin bref, je n'ai pas grand chose à dire donc, bye ! ^^
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