Dans la vie, il arrive que l'on fasse des rencontres aussi bonnes que mauvaise, et qui nous marquent pour toujours. Tel était mon cas. Je ne remercierai jamais assez le bon dieux d'avoir placé cette personne sur ma route.

Elle s'appelait Elisa. C'était d'ailleurs grâce à cette dernière que j'avais pu prétendre à aspirer a un nouveau départ.

Elisa était pour moi comme un ange tomber du ciel. C'était une jeune femme d'à peu près mon âge très grande de taille environ 1m86. Ses cheveux de blonds, et ses yeux gris cendré, lui donnais une allure de poupées Barbie.

Nous nous étions rencontrées dans un restaurant italien , non loin de mon ancien chez moi. J'y travaillais en tant que serveuse et ma fille m'accompagnait partout où j'allais. Ce qui ne plaisait guère à mon employeur.

Flashback

C'était un mardi soir, je m'étais rendu très tôt au travail comme à mon habitude. Le restaurant dans lequel je travaillais recevait très souvent des personnalités qui réservaient pour des dîner d'affaire , ou même des rendez vous. L'occasion pour mon patron de venter les mérites de sa boîte.

Il disait toujours que tant que ses clients s'en allaient satisfait, il était certain de recevoir de la publicité gratuite en faveur de son restaurant, ce qui à la longue améliorerait ses rendements. Cet homme n'était attirer que par l'argent. Un pure monstre d'égoïsme.

Il se plaignait tout le temps, et de moi surtout, n'arrêtait pas de me rabaisser devant mes collègues de travail. Je savais pertinemment bien que si je travaillais encore pour lui, c'était uniquement parceque je faisais du bon boulot. Mais ça n'allait plus duré.

Quant-on à un enfant sous les bras, il est très difficile de se trouver un emploi. Et lorsqu'on y parvient, c'est encore plus dur de le garder. J'en avais fais l'expérience croyez moi. Ce jour là je m'étais disputer avec mon patron parcequ'il m'avait dit je cite '' les pleurs de ta bâtarde dérangent mes clients tu me l'as calme tout de suite ou je l'envoie valsé en même temps que les ordures dans la poubelle''

Je n'avais pas supporter qu'il parle ainsi de ma petite fille alors, je l'avais remis à sa place. Ce qui m'avais value d'être renvoyer. Je venais sans doute de commettre la plus grosse erreur de ma vie.

J'avais supplier cet homme les deux genoux à terre, implorant son pardon mais non. Sa décision était prise.

J'étais parti du restaurant les larmes aux yeux avec ma fille, maudissant la planète entière pour ce qui nous arrivait.

Plus loin je m'étais faite interpellée par une jeune fille. Elle m'avait dit avoir assistée impuissante à toute la scène, ce qui l'avait révoltée au plus haut.

Elle ne comprenait pas que dans ce monde puisse encore exister des individus tel que lui.

Et dire que Je n'avais même pas remarquer sa présence. Son nom était Elisa. Je la trouvais très sympa comme fille et m'étais tout de suite prise d'affection pour elle.

Je lui avais conté nos vies sans hésitation. Ne me demander pas pourquoi mais au premier regard que nous avions échangé, je savais que je pouvais lui faire confiance. Je n'avais d'ailleurs pas eu tort.

J'avais appris qu'elle venait d'un milieu aisé tout comme moi, mais avait choisi de s'en sortir par ses propres moyens.

C'est elle qui m'avait d'ailleurs​ proposée de l'accompagner à Londres et d'y vivre à ses côtés.

Pour un début je m'étais bien évidemment installer avec ma nouvelle amie Elisa jusqu'a ce que je sois en mesure de me payer une chambre. Nous étions voisine. D'ailleurs je me demandais pourquoi une fille comme elle vivait dans un endroit pareille. Elle avait pourtant la possibilité de se trouver mieux comme logement. Mais non. A croire que le danger l'excitait.

.....

Depuis que je vivais à Londres, ma vie ne se résumait qu'à la recherche d'un emploi. Je continuais à faire de petits job par ci par là pour subvenir à nos besoin mais ce n'était pas suffisant. Je ne voulais plus dépendre de mon amie même si je savais pertinemment bien que cela ne lui posait aucun problème.

Je sortais chaque matin, achetait des journaux à tous les coins de rues pour surveiller les bandes annonces. J'étais à l'affut de la moindre information. Pourtant cela n'avait servit à rien pour le moment...

Vendredi matin, comme a mon habitude, je déposais ma fille chez Elisa, et sortais chercher du travail. Cette journée s'annoncait différentes des autres. Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais sortie confiante de chez moi. En pensant que cette fois ci serait la bonne. Comme on dit souvent, il faut être positif dans la vie.

J'avais dès lors reçu un appel téléphonique plutôt étrange.

Conversation téléphonique

- Allô !

- Allô ! Vous êtes bien mademoiselle Auriole mc Gyver?

- Ou..oui c'est bien moi pourrais-je savoir qui vous êtes ?

- Je m'appelle crystal et je travail pour le compte de l'entreprise Park&Co

-... Park&Co

- En effet ! Je vous appelle pour vous informer que votre rendez-vous est prévu pour lundi, neuf heures du matin m'avait- elle dit.

- Mon rendez vous ? Excusez moi mais je pense que qu'il y'a erreur sur la personne. Je n'ai jamais postuler au sein de cette entreprise

- Permettez moi d'en douter. Répondit elle de son ton hautain.
J'ai actuellement votre dossier entre les mains. Mon patron tiens à vous voir lundi dans son bureau. Ne soyez pas en retard. Le boss est quelqu'un de très exigeant.

Non mais c'était qui cette folle encore ? Qu'est ce qu'il y'avait de difficile a comprendre dans" je n'ai pas postuler dans votre entreprise" ??

- Puisque je vous dis que je n'ai pas...

- Ce n'est pas mon problème tout ça?. J'avais un message à vous passer c'est fait. Maintenant je vous laisse. Je n'ai pas que sa a faire

Attendez que je la trouve sur mon chemin celle la. Elle verra de quel bois je me chauffe. Et puis que voulais dire toute cette mascarade?

Comment ce faisait t'il qu'un dossier à moi puisses comme par magie se retrouver dans une entreprise de ce calibre? Jamais au grand jamais il ne me serait venu à l'esprit de postuler dans une entreprise pareille. Quoi qu'il en soit je ne perdais rien a m'y rendre. C'était décider lundi j'irais voir de quoi il en retournait quitte a être mise à la porte comme une folle.