3: Le 21 s'en mêle
Point de vue: Hank Voight
Je suis dans mon bureau, en train de discuter avec l'équipe de New York, qui avaient besoin d'une autre vue sur leur affaire, quand la porte s'ouvre sur Al.
-Hank, on a un problème. M'annonce Olinsky
-Quel problème ? Demandai-je
-Le Chicago Med est attaqué. Tout le monde est près pour y aller.
Je termine la conversation avec l'unité spéciale avant de rejoindre mon unité, rassemblée près d'un plan du Med.
-Quelle zone est attaquée ? Demandai-je
-Les urgences. Me répond Halstead
-Nous devons faire sortir les autres médecins pour éviter qu'il n'y aie d'autres victimes. Le toit est sûrement surveillé, on peut passer par l'entrée de service. Propose Erin
-On doit placer des snipers sur les toits les plus proches avec une vue sur les urgences. Quelques patrouilleurs pour aider les docteurs à se mettre en sécurité et le reste pour sécuriser les ambulances. Dit Antonio.
-Bonne idée. Halstead, Al, vous vous placez sur les toits, Ruzzek, Atwater, vous donnez un coup de main pour aider les patrouilleurs et après vous nous rejoignez devant. Ordonnais-je. Erin, devant avec moi.
Ils hochent tous la tête avant de descendre dans l'armurerie.
-Al ! Préviens Mouse en passant qu'il nous faut un visuel sur les urgences ! Criais-je, avant de retourner dans mon bureau
Avant d'intervenir, il nous fallait un renfort médical et comme l'avait invoqué Antonio, la présence d'ambulance est plus que nécessaire.
-Allô ? Me dit la voix du chef Boden, de la caserne 51
-Wallace, c'est Hank. Tu dois être au courant de l'attaque du Med. Dis-je
-Oui. Toute nos unités sont à ta disposition. Me confirme le chef de bataillon
-Justement, il nous faudrait l'ambulance et le camion échelle.
Le chef me semble réfléchir avant de me parler.
-Très bien. Mais l'échelle aura ordre de quitter les lieux si ont demande leur présence sur un incendie.
-D'accord. Merci Wallace.
-Sauve ceux qui sont au Med, c'est tout ce que je te demande en contrepartie.
C'est ce que j'avais l'intention de faire. Autant car notre position de policier nous le demandait que car nous devions une fière chandelle au médecins du Med. Sans eux, mon unité ressemblerait à Hiroshima après l'explosion.
Ces derniers remontent accompagné de Craig Gurwitch, dit Mouse, notre spécialiste en informatique et un ancien soldat de premier ordre.
-J'ai un visuel sur les urgences. Ils sont dans les chambres, rideaux fermé, et les assaillants sont en train de tenter de forcer l'entrée du nouveaux bloc. Nous explique Mouse.
-D'accord. On vide le reste de l'hôpital et on prend contact avec les imbéciles qui tentent de s'en prendre aux héros de Chicago. Dis-je, avant de sortir des bureaux, suivit par l'équipe.
Peut importe qui avait essayer de s'en prendre au Med, qu'il soit militaire, terroriste ou un simple gars, il a fait la pire connerie de sa vie.
Car les héros de Chicago sont une grande famille dans laquelle on se sert les coudes.
On arrive devant le Chicago Med et les autres vont se mettre en place. Halstead et Al vont se mettre sur les toits, Antonio va rejoindre l'ambulance 61 et l'échelle 81 quand ils arriveront, Atwater et Ruzzek rejoignent les patrouilleur sous les ordres de Trudy Platt alors qu'Erin me rejoint avec un parlophone.
Parlophone que je récupère avant d'attendre le signal de Atwater me signalant que l'hôpital est vide.
-Hôpital vide. Me signale Atwater en arrivant, accompagné de Ruzzek et d'un médecin.
-Ils ont fait feu à une reprise. M'annonce le médecin.
-Excusez moi mais vous êtes ? Demandai-je, ne reconnaissant pas le médecin'
-Jeff Clark.
Je me tourne vers Ruzzek, qui hoche la tête pour me prévenir qu'il a vérifier son identité.
J'allume le parlophone avant de parler.
-Je suis le sergent Voight, de la police de Chicago. Nous allons appeler sur le téléphone des urgences. Répondez ou nous seront obligé d'intervenir.
Je colle le téléphone à mon oreille avant d'attendre qu'ils décrochent.
-Allo, sergent. Me dit une voix, qui roule les "r"
-C'est bien moi. Dis-je. Je vais être directe. Qui est blessé ?
-Je sais pas comment il s'appel mais il est en vie.
-Bien. Quelles sont vos demandes ?
-Je veux un hélicoptère sur le toit, 3 millions de dollars et que l'espace aérien soit libre. Bien sûr, un médecin viendra avec nous jusqu'à ce que l'on soit posé au Mexique.
Il raccroche. Ces gars là, c'est pas des amateurs. Ils savaient ce qu'ils voulaient et comment l'avoir.
-Voight ? Ils demandent quoi ? Me demande Halstead, par oreillette
Je lui répète ce que le gras m'avait dit.
On allait devoir jouer serré car si ils comprenaient qu'on pouvait intervenir n'importe quand, ils pourraient s'en prendre aux autres.
-Al, Halstead, vous avez un angle de tir ?
-Non. Me répond Al
-Négatif. Répond Halstead
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