chère voisine;
Coucher sur l'herbe, je regarde attentivement le ciel étoilée inspirant fortement.
Je ferme les yeux quelques instants en me rappelant tout ce qui venait de se dérouler dans ma vie. C'était si.. Inattendu.
J'ouvre les yeux en admirant la lune qui me faisait penser à ses magnifiques yeux.
Je savais qu'un simple regard allait me faire tomber fou amoureux d'elle. Jamais je m'y aurais attendu. En plus, que j'avais quand même l'œil sur une autre fille à ce moment, il s'est volatilisé comme si c'était jamais produit.
Elle était désormais tout pour moi.
Plus qu'une simple voisine. Par moment, on vient s'installer a la même place pour observer le ciel étoiler. Elle n'était que ma voisine, et pourtant, chaque moment à l'observer depuis sa chambre, me donnais encore plus le goût de l'approcher.
De la connaître, le jour même de son emménagement d'à côté.
Fille unique, elle et simplement son père y vive.
Chaque moment à la regarder m'a montré la gêne qu'elle éprouvait devant les personnes qu'elle ne connaissait pas.
Surtout ce moment où je me suis présenté à elle alors que jetait assis sur Tobi. L'arbre qui nous unissait. Elle était tellement gênée qu'elle parlait dans une langue qui m'était étrangère, c'était même adorable.
Et chaque jour, je venais devant sa fenêtre pour lui demander comment était sa journée. Pouvoir enfin parler à une fille qui me plaisait réellement.
Jusqu'à ce que cette relation développe en une magnifique amitié. Même si je voulais dépasser ses étapes.
Je ne nous voyais pas en simple ami. Ça m'était impossible. Il avait quelque chose de trop fort entre nous pour que notre lien en restait là.
Et ce matin, j'ai fait enfin le pas. Je lui ai écrit une lettre.
Une lettre d'amour qui s'adressait à ma chère voisine.
Je lui ai mis devant sa fenêtre pour qu'elle puisse le lire à son retour de l'école vu que nous n'allons pas au même lycée.
Je sais qu'elle a pris la lettre, car elle n'est plus là.
Ou du moins ce que j'espère.
J'attends qu'elle me vienne, qu'elle vienne me dire qu'elle m'aime aussi, qu'elle voudrait bien de moi et qu'on puisse enfin commencer une nouvelle étape dans notre relation.
Je l'espère de tout cœur, car comment je pourrais enfin la regarder dans les yeux alors que maintenant, elle sait que je lui vous un amour inconditionnel ?
Juste l'imaginer avec un autre que moi me déchire le cœur à travers ma poitrine. Je sentais mes os briser et ma tête exploser.
J'ai l'impression de lui avoir vendu mon âme.
Et seulement, en un seul regard.
Je soupire encore et commence à paniquer.
Pourquoi elle n'est pas encore là ?
Je commence à me sentir lourd et à me demander si j'aurais fait quelque chose de travers ?
Est-ce que ma lettre n'était pas comme elle l'aurait souhaité ?
J'en sais trop rien.
C'est la première fois que je suis vraiment tombé amoureux d'une fille et que je veux vraiment franchir le pas avec elle.
Soudain, j'entends le bruit de pas qui s'écrase sur l'herbe. Je n'ose pas la regarder, maintenant, j'ai peur.
J'ai l'impression que mon cœur va exploser dans ma cage thoracique et elle s'installe à côté de moi, s'allonger sur le sol.
Je n'ose même plus respirer, mais j'entend très bien le sien, il a l'air si calme, si paisible.
On dirait presque qu'elle est en paix.
- le ciel de ce soir est magnifique, n'est-ce pas ?
Sa voix, n'est jamais aussi douce qu'à ce moment précis. Chaque mot qui sort de sa bouche, est presque un poème de Shakespeare.
- oui.
Je ne sais vraiment pas quoi lui dire. Qu'est-ce que je pourrais lui dire en ce moment ?
- j'ai lu ta lettre.
Bon cœur saute et ma tête résonne fortement, je me tourne pour la regarder essayant d'avoir l'air le plus naturel que possible près d'elle. Ses yeux m'observent et je peux voir les reflets de la lune à travers ses orbes magnifique. Je n'ose pas parler, j'attends simplement si elle compte me dire sur le sujet.
- et pour être honnête avec toi, je ne sais pas quoi te dire.
Je sens mes forces m'abandonner, j'ai l'impression que c'est un cauchemar. Elle ne peut pas me dire qu'elle ne m'aime pas ?
- je ne peux pas te dire en face ce que j'ai ressenti alors- en sortant une lettre de sa poche et me le tendre. J'ai aussi écrit pour toi.
Je prends ce bout de papier qui était coincé entre ses doigts frôlant en prenant le papier.
Je lui souris et elle me le rend timidement.
Je l'ouvre en restant coucher commençant les premières lignes.
J'ai souri quand j'ai l'un à mon cher voisin ;
Elle me disait à quel point qu'elle était touché, que mon cœur lui appartenait. Et que c'était une première que quelqu'un la voyait telle qu'est est.
Et ensuite, son récit commence à me dire petit à petit comment les choses ce son retourner vers elle. Qu'elle était gênée de notre proximité, qu'elle était mal à l'aise devant nos parents et surtout comment son père pouvais bien être curieux.
Et elle m'a dit ce que je rêvais d'entendre, ou de plutôt le lire.
je t'aime aussi.
Je le relis, une, deux ? Ou peut-être six ?
Mais à chaque fois, en le relisant, il se reproduisait la même chose.
Mon cœur bondissant à chaque fois que je repassais ce texte.
Je t'aime.
Je referme doucement ce papier en le plaçant délicatement dans l'herbe à côté de moi. J'ai voulu la prendre dans mes bras et l'embrasser passionnément, mais je vais y aller mollo.
Déjà qu'elle évite mon regard, mais j'arrive plus à décrocher mon regard de cette fille. Sa tête tourne tranquillement en ma direction les pommettes légèrement rouges et son regard étincelant.
Je regarde qu'elle frissonne légèrement et je m'assoie pour enlever ma veste et lui donner.
Je me recouche et nos regards ne se décrochaient pas une seule fois.
Je lui fais signe timidement de se coller à moi ce qu'elle fait après quelque hésitation. Sa chaleur contre ma peau me donne un choc électrique. Je me mords la lèvre alors que tout ce que je veux s'est basculé par-dessus elle.
Il n'avait rien qu'elle et moi, et cette soirée extraordinaire.
- est-ce que tu crois, que les étoiles qui sont dans le ciel est une âme qui veille sur nous ?
Je soupire doucement en la serrant plus contre mon torse.
- peut-être, j'imagine constamment que mon père et l'ermite pas net si trouve, j'ai presque la sensation qu'ils nous observent de la haut, comme un ange gardien.
- et Neji, tu crois qu'il en fait partie ?
Je soupire en embrassant son front d'une douce caresse.
- oui, j'en suis sûr.
Je la regarde attentivement avant de passer une mèche rebelle qui cachait ses magnifiques orbes lavande.
- je t'aime.
C'était si doux, si bas qu'on aurait dit presque qu'un murmure silencieux, et pourtant, je ne l'avais jamais entendu aussi bien. L'entendre le dire à voix haute, me procure un bonheur explosif, et j'ai encore et encore et encore envie de l'entendre.
- je n'ai pas bien entendu ?
Elle savait que je l'avais bel et bien entendu, car mon nez était collé au sien et ses lèvres à quelques centimètres des miennes.
- je t'aime Naruto.
Je ne maque aucun moment où ses yeux tombe sur les miens. Et sans pour autant lui faire attendre, je lui réponds, passionnément.
- je t'aime Hinata, plus que tout.
Mes lèvres se collent à elle instinctivement d'une douceur. Ses lèvres son si douce, si sucré et notre baiser s'intensifie aussi longtemps qu'elle le pouvait. On reprendre notre respiration avant que je ne les recolle aussi fièvrement.
Je bascule par-dessus elle collant mon corps contre le sien. Je sens ses mains descendre timidement sous mon t-shirt pour caresser sous ses doigts ma peau brûlante.
L'adrénaline, la passion, tout y était, mais malheureusement, pas le bon endroit. Je stop dans ma course en lui donnant un baiser plus léger et reculer pour l'observer. Je vois ses joues rougies par le plaisir et sa poitrine remonter et redescendre rapidement.
Mon front collé au sien, j'essaie de lui transmettre tout l'amour que j'éprouve pour cette jeune femme formidable.
- on se voit demain ?
- tu me prépares quelque chose ? En me souriant timidement.
- sois-en prêtes.
Je lui souris et la raccompagné même si elle ne vit qu'à quelque mètres de chez moi, mais quand même, on est la nuit et je voulais me conduire comme un vrai gentleman.
Je me couche enfin dans mon lit en repensant à cette magnifique soirée. Elle était encore plus belle que je me l'avais imaginé.
Un idiot infini tombe éperdument amoureux de sa magnifique intelligente voisine. Qui l'aurait crue ?
Déjà que ma mère m'harcelais pour savoir quand j'allais me déclarer. Elle l'observe comme si c'était un joyau. Moi, je la vois comme la plus rare des diamants. Aussi précieux que le diamant bleu, d'une beauté à couper le souffle et d'une rareté qu'on pourrait jamais en trouver.
Elle était tout se donc moi je ne suis pas, et pourtant, on se complète.
C'est à ce moment que je ferme les yeux imaginant ma magnifique Hime, porter ce collier au diamant.
De la pureté par-dessus l'autre.
Elle est beaucoup trop bien pour moi, et je suis chanceux d'avoir une fille comme elle a mon bras.
Je serais jamais autant reconnaissant ce que la vie me donne.
Et elle a commencé depuis cette nuit.
●
●
Je ne me souviens même pas de ce que j'ai fait ce matin, ou de ce que j'ai fait deux heures plutôt, pourtant, je suis allongé sur mon lit, avec ma douce à mes côtés qui dort paisiblement.
Elle se colle à mon torse et je peux m'empêcher de rougir en sentant son corps nu contre le mien.
Jamais j'aurais imaginé que les choses auraient tourné de cette façon, ou plutôt jamais j'aurais pensé sauter le pas avec elle aussi vite et pourtant, ça l'est.
Je me suis jamais sentie aussi puissant, autant aimer. Le parfait idiot que je suis, le monde me vois comme un gamin de rien très sérieux à sécher les cours ou à faire des bêtises pendant ses heures de cours.
Ma main caresse doucement la peau de sa hanche sans la réveiller. Mes souvenirs de ce qui c'est passer a pourtant été bien mémoriser.
Mes paupières se ferment et joyeuse encore le moment où on est monté sur l'arbre Tobi. Quand elle a fahi tomber tellement qu'elle riait à une de mes blagues plates. Je l'ai rattrapé à temps.
Mais elle était présentement collée mon torse et nos nez se frôlait, je me souviens du regard qu'elle m'avait lancé. Il était plein de luxure, de désir et ses yeux tombais à chaque fois sur mes lèvres avec appétit.
J'avais l'impression d'être une proie. Mais la proie est devenue le chasseur. Ma main se glissait sur sa joue avant de la ramenée à moi pour l'embrasser pleinement.
Je me souviens du moment où nos souffles étaient coupés par ce baiser. Il était plein de passion. Et sans même m'en rendre compte, je les transporter à ma chambre.
Nos corps faisaient plus qu'un et le désir étaient immenses. Mes caresses étaient de plus en plus sensuelles et plus baladeuses. Je pouvais sentir pour la première fois son corps sur ma paume de main jusqu'à mes doigts. Et la chair qui lui sert de cou, ma tête s'écrase dessus pour que mes lèvres savourent ce contact.
Elle laissant des soupir de plaisir ce qui active mon instinct.
Il commence à descendre doucement son vêtement sous ses caresses. Après qu'elle soit maintenant non couverte, elle voulut faire pareil, mais il pousse doucement pour qu'elle soit maintenant près du lit et la coucher.
Il enlevait ses vêtements devant elle sans lâcher le regard de ses yeux.
Elle était comme hypnotisée par ses mouvements.
Et le voir dans la tenue d'adam, c'était comme un rêve devenu réaliste.
Il se rapproche d'elle en étant maintenant par-dessus, et savourer son corps maintenant sans vêtement, son corps était magnifique.
Il n'arrivait plus à penser, la seule chose qui venait en tête était qu'elle est du plaisir.
Il en sourit en repensant à ce moment, il en rêvait, de la prochaine fois.
Elle remue dans son sommeil, il l'empoigne pour bien la coller à lui le sourire aux lèvres.
Il était peut-être idiot, un gros bêta, mais il était conscient de tout ce qui se produisait avec sa chérie et des sentiment qu'il éprouvait pour elle.
Pour le moment tout ce qu'il voulait, c'était sa chère voisine, et elle est deviendra plus que ça, un jour il pourrait l'appeler sa femme.
Fin
Petit one-short concours de PelageNocturne.
J'espère qu'il vous plaira :)
Merci aux jurys ;)
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