Partie 1 : Les origines d'un cœur meurtri
Je m'appelle Sacha Hute et je suis styliste. Je ne vais pas mentir à ceux qui, un jour, lirons çà, mais j'ai eu une vie assez banale. A une ou deux exceptions près : Mon début de vie a été un sac à malheur plein a craqué. Autant tout vous racontez depuis le commencement : depuis toute petite je n'ai eu que des amis manipulateur ; Je vous explique : je suis pleine d'idée depuis très jeune et je les exprime plutôt facilement, à un défaut près : c'est par les autres que je les exprime. Pour être franche je suis très timide et je dépendais souvent des autres. Bref, mes « amies »se servaient de mes idées pour eux et non pour m'aidais. Mais ce n'est pas tous : comme je l'ai dit plus tôt, je suis styliste et depuis toute petite je fais moi-même mes habits, et sa arrangé beaucoup mes parent qui étaient assez pauvre (on avait à peine de quoi vivre et pas beaucoup de vêtement). Je faisais des habits pour moi et mes parents, sauf que je n'osais pas souvent portais ce que je faisais, de peur que l'on se moque de moi alors je les « prêtés » à mes « amies » qui les portés et faisaient comme si c'était eux qui les avait fait et quand je voulais dire que c'était moi qui les avait conçue, ils me menaçaient, me rabaissaient, me critiquaient et une fois le manège fini et que je retourné à l'école, ils m'en redemandaient et, bien sûr, je n'avais pas le droit de refusé. Et ce n'est pas tout : en plus de mes faux amies, j'ai perdu ma mère très jeune et j'en ai voulu à mon père jusqu'à partir pour Paris. De nouveaux vous devez vouloir des explications, non ? Pourquoi j'ai été en colère contre mon père alors qu'il n'avait rien fait ? Et bien si, pour moi, mon père était l'unique responsable de la mort de ma mère. Je vous explique : mon père, Ben, est menuisier – dans son entreprise il est le grand patron et il déteste recevoir des ordres –, et ma mère, Fannie, était une sorte de secrétaire pour lui : Elle s'occupait des factures, des salaires, des devis et des livraisons. Mais à côté elle avait un travail de caissière dans un supermarché. Un jour, en rentrant d'un chantier, ils ont eu un accident de voiture. C'était mon père qui conduisait. Il s'en ai sorti sans trop de mal, mais pas ma mère. Les médecins nous ont dit qu'elle était morte sur le coup et que ce n'était la faute de personne, mais j'avais besoin d'un coupable a qui faire payer l'accident et mon père avait le profil parfait. Et le pire, c'est que la mort de ma mère a été le déclic qui a tout changeait dans ma vie : j'ai arrêté de me laisser manipulé, j'ai porté toute mes création et continué à en faire, j'ai stoppé toute mes fausses relations, j'ai même arrêté d'aller à l'école. A la place, je cousais des robe et dessinais des tenues complexes que j'avais envie de mettre à jour (même si, je dois bien l'avoué, je dessine très mal et mes tenues sont souvent approximative) et je passais plus de temps à me disputer avec mon père. Puis, après mes dix ans, j'ai eu la dispute de trop avec mon père : il voulait que je reprenne l'école avant d'entrer au collège et que j'abandonne l'idée d'être styliste. Et bien sûr j'ai refusé et, peu de temps après, j'ai quitté la maison, puis la ville et enfin le département, en direction du nord, de Paris. Le voyage n'a pas était facile mais j'ai su tenir le coup. J'ai fait le voyage jusqu'à Paris à pied ou en « stop ». Quand je le pouvais, je dormais dans un lit, dans un petit hôtel, mais quand c'était pas possible, je dormais dans ma tante ou chez des gens sympas, qui m'accueillait. Ou sinon, je faisais des petits boulots pour après me logeais et manger. Du moins, je faisais çà au début, mais un jour une personne chez qui je logeais m'a vue en train de coudre et, de fil en aiguille, elle m'a présenté à un apprenti styliste qui m'a proposé un partenariat, que j'ai refusé très gentiment et il m'a, alors, proposé de rejoindre un contact qu'il avait à Paris, et qui pourrais m'aidais dans ma carrière. J'étais sûre que c'était Paris et seulement Paris qui m'apporterait le plus d'aide, mais j'ai quand même accepté sa proposition. A l'époque je venais d'avoir 11 ans et j'espérais fêter mes 12 ans à Paris et avoir pour cadeau mon propre atelier et ma propre ligne de vêtement. Avant de partir il souhaitait que je fasse au moins un défilé avec lui. J'ai accepté. J'étais tellement contente d'être reconnue, pour mon style et pour mon talent, par des gens qui ne profitait pas de moi. Un mois après le défilé je suis reparti pour Paris, un coup, en marchant, un coup, en voiture quand on voulait bien me prendre. Quand je n'avais pas assez d'argent pour manger ou dormir à l'hôtel, je vendais mes créations les plus vielles et qui ne m'allait plus – et ça partait mieux que des petits pains. Quelque semaine – à faire ça – plus tard, je suis arrivé à Paris, mais il m'a fallu encore quelque jour pour trouver le contact du styliste : il s'agissait d'un grand homme, aux yeux bleus avec des cheveux blonds coiffés en arrière et les tempes blanches. Il portait une veste crème avec un gilet argent, une chemise blanche et une cravate rayée rouge et blanche. Au début, je fus accueilli par un homme qui tenait, sans doute, plus du gorille que de l'être humain (cette pensé failli me faire éclater de rire tellement elle était véridique) et par une femme à la peau claire, aux yeux bleus, aux cheveux noirs coiffés en chignon avec une mèche rouge sur le côté gauche. Elle ne semblait pas être humaine, non plus : Quand elle parlait on aurait dit qu'elle répété un message près enregistré et c'était plutôt bizarre, comme si c'était une machine qui vous parlez. Elle était tellement neutre, aussi. Comme si elle n'avait aucune émotion. Elle ne m'a dit que très peu de chose :
N :*ton plat* Bonjour, Mademoiselle. Vous avez rendez-vous ?
S : Non. Mais je viens voir un homme qui m'a était recommander par un collègue...
N :*ton plat* Alors vous devez être Mlle Hute ? On va vous ouvrir, mais avant, prévenir M. Agreste que sont rendez-vous du mois dernier est arrivé.
S : Heu... Merci !
Quelque minute après, elle m'a fait entrer et a dit :
N :*ton plat* M. Agreste n'aime pas les personnes non-ponctuelles, donc taché de l'intéresser et de l'épater!
S : Je ferais ce que je pourrais et avec ce que j'ai.
N : *ton plat* M. Agreste est sur un travail important et il ne doit donc pas être dérangé. Mais vu que vous êtes là, autant que vous nous soyez utile : vous allez nous aider a occupé le fils de M. Agreste, Adrien Agreste.
S : Au dernière nouvelle, je suis venu ici pour devenir styliste à part entière, pas pour jouer les Baby-Sitters avec un gosse turbulent que vous ne semblez pas arrivé à gérer pour le refourgué à une ado que vous ne connaissez !
N :*sur la défensive* Adrien a 11 ans ! Et il vient de perdre sa mère, alors soyez compatissante ! Et il n'est en aucun cas turbulent !*plus doux* Adrien ? Je viens accompagner d'une jeune fille qui serait ravie de vous rencontrer.
S :(Ca, sa reste à voir !)
?? : Entrez Natalie.
Elle a ouvert la porte et nous somme entré dans une chambre dix fois plus grande que mon ancienne. Au mur se trouvé des prise pour faire de l'escalade, un panier de basket et en regardant autour de moi je vis une dizaine de poster d'escrime et une mezzanine avec en haut une étagère remplie de ce qui ressemblé, de loin, à des jeux vidéo. Je laissais balader mon regard dans la pièce et remarqua, aussi, une télé écran plasma, un canapé, un lit aussi grand qu'un demi-terrain de tennis, un baby-foot, des bornes d'arcade, une rampe de skate et même un bureau avec dessus trois grand écrans de PC, avec, en fond d'écran, un jeune blondinet et une charmante jeune femme de la même couleur de cheveux. Je conclue que le blondinet devait être Adrien et la femme sa mère. Elle ressemblait à la mienne (ou, du moins, au souvenir qu'il me rester d'elle). On m'avait demandé de m'occuper d'un garçon de 11 ans, mais je ne voyais personne dans la chambre et Natalie ne sembla pas prête à m'aidais à chercher, car elle partit immédiatement en me laissant seul dans la pièce, apparemment déserte. Ou, du moins, c'était ce que je croyais.
?? : Alors c'est toi la nouvelle « amie » que mon père à engager pour me tenir compagnie ?
La voix m'a surprise, surtout que je ne voyais pas d'où elle venait, jusqu'à ce que je lève les yeux vers la mezzanine : Je vis, penchais sur la rambarde, le jeune garçon blond de la photo. Il avait des yeux verts et une peau claire, très légèrement teintée de rose sur les joues, le nez et le bout de des oreilles. Il portait un t-shirt noir avec cinq rayures colorées au niveau de la poitrine (jaune, vert olive, vert vif, bleu canard et violet), une chemise blanche dont les manches sont roulées jusqu'au-dessus des coudes, un jean bleu et une paire de baskets oranges avec des lacets blancs. Il souriait, mais pas d'un sourire heureux ; c'était plutôt un sourire triste. Le garçon, Adrien, descendit de son perchoir par une rampe qui se trouvait sur le bord. Il me tourna autour un instant puit on échangea quelque « mot » :
A : Alors ? Mon père te paye combien ?
S :*sur la défensive* Aux dernières nouvelles je ne suis pas encore payé.
A : Pourtant tu es venue me changeais les idées...?
A ses mots, j'étais un nouveaux jouet que son père venait de lui offrir. Je déteste ce genre de choses ! Les gens ne sont pas des objets ! Alors je me suis énervé :
S :*crie* Ecoute, je ne sais pas ce que t'a promis ton père, mais, moi, je suis styliste pas Baby-Sitter, donc si ton père m'a fait venir pour que je m'occupe de son fils, qui semble pourris gâté, alors autant que je m'en aille.
A ces mots je me suis dirigé vers la fenêtre – le laissant avec de grand yeux surpris – d'un pas tellement frustré et presser que je me suis pris les pieds dans le tapis près de la télé et je me suis écrasé lourdement au sol. Adrien s'est accroupie près de moi et m'a tendu la main :
A : Je suis désolée que tu aies pu croire çà, mais je ne suis pas ce genre de personne. Je n'ai juste aucuns amis et je n'ai jamais le droit de sortir, donc Natalie et mon garde du corps me cherche des occupations ou demande à des enfants inconnus de passer du temps avec moi. Mais ça ne change pas grand-chose et je crois que ça me renferme plus dans la solitude.
Il m'a aidé à me relever et a lâché ma main dans la hâte, comme s'il se souvenait juste que je devais être en colère contre lui. Je devais ? Je me suis alors souvenu de ce que Natalie m'avait dit en venant : il a perdu sa mère ! Comme moi, il y a presque 4 ans. J'ai alors ressentie toute la peine et la tristesse du blondinet. J'ai ressentie les malheurs qu'il avait dû vivre et j'ai eu un coup de peine pour se garçon. J'ai donc voulu m'excusé pour les horreurs que je lui avais dite, quand on a toqué a la porte :
N :*ton plat* Adrien, votre amie doit s'entretenir avec votre père. Mademoiselle, veuillez me suivre !
Je n'ai pas eu le temps de m'excusais et j'ai vue, à son haire peiné, qu'il était sincère quand il disait qu'il avait besoin d'amis. Mais je ne pouvais pas être son amie ! Pas alors que j'étais surtout là pour travailler avec son père. Une fois en bas, Natalie m'a guidé vers une grande porte à double battant près de l'entré. Derrière se trouvé l'homme que je devais rencontrer bien des jours plus tôt. Il était debout sur quelques marches d'escalier qui devait faire office de promontoire et m'a toisé d'un air supérieur qui réussit à me faire prendre Adrien en pitié. Je n'aurais souhaité à personne d'avoir un père comme çà. Sa voix elle-même semblait m'être supérieure, quand il a parlé :
?? :*voix dure et autoritaire* Je suis Gabriel Agreste. Vous devez être Sacha Hute ?
S :*petite voix timide* Oui Monsieur...
GA : Je n'aime pas les retardataires ! Alors j'espère que vous me séduirez, Mademoiselle.
S :*voix un peu plus affirmé* Je tiens d'abord à m'excusé pour mon retard, je...
GA : Les excuses n'aide pas à coudre des robes et ne font pas marchées les mannequins ! Alors soyez convaincante !
S : (Ca commence bien) Je veux devenir styliste à part entière et on m'a dit que vous étiez la personne qui pouvait m'aidé et...
GA : Vous avez quel âge, Mademoiselle ?
Je savais ce que voulait dire sa question, mais je ne pouvais pas cacher la chose – même si je savais qu'il devait se doutait de ma réponse.
S : J'aurais 12 ans dans moins de deux mois, M. Agreste.
GA : C'est un peu jeune pour ce lançais dans le stylisme, non ?!
A ce moment-là, j'ai vue rouge et j'ai répliqué :
S : J'ai commencé le stylisme à 9 ans – j'ai même commençais à coudre plus jeune encore – et aujourd'hui je veux évoluer et on m'a dit que c'était le bon endroit pour ça. Mais si je ne suis pas assez bien pour vous, dite le moi ! Je veux bien aller voir ailleurs si quelqu'un d'autre sait apprécier mon talent.
Sur ces mots je l'ai fixais avec défi et on est resté comme çà un moment, jusqu'à ce qu'il me demande :
GA : Où sont vos parents, Mademoiselle ?
J'ai de suite compris quel était le piège qu'il me tendait ! Je ne voulais pas répondre car je savais qu'il allait me chasser immédiatement ou appeler la police pour qu'elle trouve le moyen de me ramener chez mon père ! Mais il fallait que je lui dise quelque chose, sinon il n'y aurait jamais de confiance entre nous (si tant est qu'il devait y en avoir) ! J'ai cherché de l'aide dans la pièce ; un moyen, une idée, pour lui mentir, mais je n'ai rien trouvé qui puisse m'aider, jusqu'à ce que mon regard tombe sur un grand portrait de famille, avec dessus Adrien, Gabriel et la charmante jeune femme blonde qu'il y avait sur le fond d'écran des PC d'Adrien. C'était sa mère ! Elle aussi était décédée ! J'ai fixé le portrait – la mère d'Adrien, plus particulièrement – un long moment, jusqu'à ce que Gabriel jette un œil dans sa direction et reprenne :
GA :*regret* Cela vous intéresse ?!*léger sourire* C'est un portrait de ma famille : vous connaissez déjà mon fils, Adrien, et à son côté, c'est ma défunte femme, Emilie Agreste !*ferme les yeux et baisse la tête, endeuillé* Cela va bientôt faire un mois...
Il a ouvert les yeux comme si il venait de se rendre compte d'une faute qu'il avait commise (ce qui devait sans doute être le cas !) et s'est tourné vers moi :
GA : Est-ce possible... ?!
J'ai eu peur, mais j'ai quand même soutenu son regard avec défi ! Je ne voulais pas qu'il croit que j'allais être un fardeau, mais sa découverte ne sembla pas l'encourager à m'engager ! Ce fut même tous le contraire : il est allé à son bureau, il a pressé un bouton et a appelé au haut-parleur :
GA : Natalie veuillez raccompagner Mlle Hute à la sortie et lui dire de ne plus reposé les pieds chez moi. *Se tournant vers moi en plissant les yeux* Même si elle le sait déjà !
A ces mots, j'ai senti mon monde s'effondré autour de moi. Natalie entra alors et je la suivi sans résistance, avec un regard mauvais envers Gabriel. Dans le hall je me suis rendu compte de ma plus grosse boulette de la journée : ma valise ! Je ne savais pas où je l'avais mise et il ne fallait pas que je l'oublie ici : Gabriel n'hésiterait pas à mettre mes création sur le marché et dire que sa venait de lui.
S : Attendais, Natalie ! J'étais venue avec une valise ! Vous savez où elle est ?
N :*ton plat et totalement indifférent* Il serait fâcheux que vous l'oublié...
S : Oui !
?? : Natalie ? Où allez-vous ?
N :*surprise* Adrien ?!
Je me suis retourné et j'ai vu le blondinet qui se tenait en haut des escaliers avec ma valise. Je me suis alors souvenu de l'avoir monté dans sa chambre et de l'avoir oublié. Quelle tête en l'air, j'étais !
S :*soulagé* Tu as retrouvé ma valise ?!
A :*petit sourire triste* Se serais bête que tu l'oublie ici, non ?
S : Oui, merci.
J'ai récupéré ma valise et j'ai recommencé à suivre Nathalie et le Gorille vers la sortie, quand il m'a retenue :
A : Attend !
Je me suis retourné. Il avait l'air tellement triste quand il a demandé, d'un ton suppliant :
A : Tu ne m'as toujours pas dit comment tu t'appelais.
GA : Natalie ! Ne laissez pas cette jeune fille plus longtemps avec mon fils !
N :*ton plat, mais compatissant* Venait, Mademoiselle !
Adrien semblait déçu. Je me suis alors dégager de l'étreinte que le Gorille avait sur mon bras et me suis précipité vers l'adolescent pour le prendre dans mes bras. On est resté comme çà pendant un moment, alors que les pas du gorille se rapprochaient dans mon dos. Je lui ai alors murmuré a l'oreille :
S : Maintenant, tu as une amie !
Le gorille m'a alors attrapé par le bras et m'a raccompagné vers la sortie. En sortant j'ai lançé à Adrien :
S : Je m'appelle Sacha Hute et crois-moi on se reverra ! Je te le promets !
Suite la prochaine fois...
(Dite moi si cela vous a plu en commentaire ! Plus de trois commentaires positif de personne différente et je commencerais à écrire la suite !
Bisous mes Chatons !
Et rester fidèle à vos rêve !)
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