Chapitre 15 (première partie)

CHASE
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Je hisse Thalia du plan de table, celle-ci enroule directement les jambes autour de ma taille, sans même y réfléchir, je l'emmène dans ma chambre. Enfin... je vais enfin avoir ce que je veux! Une semaine? Si c'est ce que tu veux vraiment, je m'en contenterais pourtant, il ne faudra pas beaucoup compter sur moi pour te ménager. Je vais te rendre dingue de moi. Après cette semaine, tu m'auras tellement dans la peau que tu ne pourras plus jamais te passer de moi. Je m'assois confortablement sur mon lit double tout en gardant Thalia dans mes bras. Je l'embrasse encore et encore chaque nouveau baiser est plus insistant que le précédent. Fait chier, si je ne la prends pas tout de suite, je vais devenir fou. Je romps notre baisser pour essayer de lire sur son visage si elle est d'accord pour passer la deuxième. Son sourire me rassure.

- Laisse-moi te faire du bien, lui dis-je avant de lui retirer son pull.

- Oh, tu es capable de faire ça, toi?

- Thalia... tu sais que tu es plus excitante quand tu fermes ta bouche.

- Va te faire fou...
Je décide de la réduire au silence par un baiser. Je quitte ses lèvres pour me diriger vers sa poitrine. Je lui embrasse chaque sein avant de faire sauter l'agrafe de son soutien-gorge. Sa poitrine est encore plus belle de près. Je l'agrippe de chaque main. Si moelleux.. Si doux... juste parfaite, ils remplissent mes mains comme il le faut, ni trop petit ni trop gros, juste ce qu'il me faut. Pourquoi ai-je laissé partir tout ceci, encore? Je me penche pour m'occuper de son sein droit. Un, deux, bisous par-ci par-là, en voyant que Thalia réagissait positivement à mes caresses, je décide d'approfondir les baisers, on va aller aux choses sérieuses maintenant. Je passe un coup de langue sur son téton et au même moment Thalia pousse un gémissement tout en reversant la tête vers l'arrière. Seigneur, je ne me passerai jamais de son râle de plaisir, je pourrai jouir rien qu'en l'entendant. Elle est juste magnifique en cet instant précis. Mes coups de langue laissent place à des petites morsures et suçotements. Sous-moi Thalia s'agite, elle me tient fermentant par les cheveux.

- Putain Chase... tu ne m'as pas habitué à ce genre de traitement.
Mais oui, vas-y, dit que je ne te faisais pas prendre ton pied il y a 5 ans. Je laisse son sein et relève la tête pour la dévisager.

- Non, non, ne t'arrête pas et n'oublie pas l'autre me dit-elle très sérieusement. Je ne peux m'empêcher de rire, en voyant sa mine soucieuse.

- Ne t'inquiète pas, je vais lui prodiguer les mêmes attentions, je ne voudrais quand même pas qu'il y ait une rivalité.

- Oui, voilà, il faut les aimer de la même façon.
Quand je m'incline à nouveau pour continuer mes caresses, Thalia me saisit le visage des deux mains.
- Attends, enlève ton t-shirt, ce n'est pas juste que je ne puisse pas non plus te toucher.

- Tes désirs sont des ordres princesse.

Le t-shirt retirait, Thalia passe ses mains sur mes épaules puis descend vers mes bras tout ça avec une fine caresse qui me procure des frissons. Elle me regarde droit dans les yeux avant de murmurer, « tu m'as manqué », je décide de l'embrasser avant de lui répondre qu'elle aussi m'a manqué.
Je reprends mon activité auprès de ses seins quand soudain une idée folle me traverse l'esprit, je décide de lui faire un suçon à la naissance de son sein gauche. Comme ça, si Thalia a la merveilleuse idée de mettre un décolleté tout le monde saura qu'elle est déjà prise, mais la connaissant elle sera bien trop embarrassée par le suçon pour le monter et tout cela m'est bénéfique, aucun autre homme n'aura le plaisir de lorgner cette superbe poitrine. « Tu ne serais pas jaloux par hasard? Intervient ma conscience. » J'écarte cette idée grotesque de ma tête et reviens à la réalité. Une fois que je me suis bien occupé de sa poitrine, je la renverse sur le lit, elle est à présent sur le dos. Je me lève au pied du lit et lui dit:
- Tu es encore bien trop habillé à mon goût.

Thalia se positionne sur ses coudes et me tend sa jambe. Je m'empare de sa cheville et la tire brusquement vers moi. Le rire spontané de Thalia résonne dans la pièce.

- Bon à partir de maintenant, interdiction de rire devant les autres hommes.
Ma remarque l'a fait encore plus rire.

- Jaloux monsieur West.

- Pour le coup, oui et très même.

- Tu racontes vraiment n'importe quoi quand ton cerveau descend ici me dit-elle, en venant, de sa jambe libre presser la tente qui se dessine sous mon pantalon.

Ce geste me fait grimacer, je suis tellement tendu que je pourrais juter d'un moment à l'autre. Je suis trop excité faut que je fasse descendre la pression. Je ne sais vraiment pas pourquoi je réagis comme un puceau! Vraiment pathétique... D'ailleurs en baisant l'autre cruche de Davina, je n'ai pas du tout réagi ainsi, j'ai même dû penser à Thalia afin de pouvoir finir, à quel point elle ne me faisait aucun effet.

- Tu es vraiment tendu, Chase. Dis-moi, je t'excite à ce point ou bien tu penses à une autre?

- La seule qui occupe mon esprit, c'est toi et personne d'autre. Bon maintenant déboutonne-moi ce fichu pantalon pour que je puisse te le retirer.

Thalia ne se fait pas attendre et obéie. Je tire dessus, une fois débarrasser de celui-ci, je le jette plus loin de la Chambre. Thalia se met rapidement sur ses genoux et viens se placer en face de moi.
- C'est à mon tour maintenant.

Sans me laisser le temps de répliquer quoi que ce soit, elle met la main sur le lacet me mon jogging, défet le nœud avant de faire glisser celui-ci. Je l'aide à me l'enlever et me voilà en face d'elle avec une trique de malade dans un Boxer Calvin Klein noir. Elle passe la main sur mon érection douloureuse puis commence un mouvement de va-et-vient. Je n'oublie complètement de respirer à quelque point ce qu'elle est entrain de me fait est excellent! Je dépose ma main sur la sienne pour l'arrêter.

- Quoi je m'y prends mal ?

- Non, au contraire, tu t'y prends bien même trop bien...

- Je ne comprends pas.

- Si tu continues à me caresser comme ça, j'aurai fini avant qu'on ne puisse vraiment commencer, laisse-moi justes 2 minutes.

Merde, j'ai vraiment l'air ridicule! Un vrai adolescent!

Quand je réussies enfin à reprendre mes esprits. Je m'allonge sur elle en prenant bien soins de pas trop m'affaler, histoire de ne pas l'écraser. Je lui retire sa minuscule culotte et place ma main à l'enter de son sexe. Elle est mouillée. J'introduis un doigt. Et... tellement serrer? si je ne la connaissais pas déjà, je n'aurais pas eu de mal à croire qu'elle est vierge vu comme elle est étroite. Je me demande si je pourrais enter sans lui faire de mal. J'introduis un deuxième doigt et la repose me vient directement. Si je ne veux pas lui faire trop de mal, il faut qu'elle mouille plus. Je l'embrasse dans le cou, sur la mâchoire, sur la bouche, à l'aide me ma main libre, je lui pétris, pince et caresse les siens. Je lui mordis le cou, les lèvres tout en la doigtant et en insistant avec des caresses plus appuyées à l'aide de mon pouce sur le boutant de chair juste au-dessus de l'enter de son vagin. Toutes ces attentions la font gémir, trembler, pousser des petits sons entre cris et soupirent confondues. Lorsque j'introduis un troisième doigt, Thalia me sert fort contre elle, une main dans mon cou l'autre sur mon omoplate, elle me tiens fermement. Je comprends immédiatement ce qui se passe quand je sens son vagin se contracter sous mes doigts. Elle place ses lèvres sur mon épaule et me mord doucement pour ne pas crier. Une fois son orgasme fini, je la regarde avec un grand sourire aux lèvres.

- Juste, la ferme.

- C'est comme ça que l'on parle au mec qui vient de te donner l'orgasme de ta vie.

- De ma vie? Chase, désoler de briser tes rêves mais j'ai connu mieux.

- Mon cul! Avoue qu'à part moi personne ne te doigte aussi bien.

- Putain Chase... ferme là.

- Avoue!

- Non, je n'avouerai jamais ça... c'est embarrassant.

- Embarrassant? Dit la fille qui vient de me mordre pour ne pas crier tellement, je lui ai fait du bien avec mes doigts.

- C'est bon la marque partira.

- Si tu n'avoues pas que je suis le meilleur d'ici 30 secondes, je n'aurai pas d'autre choix que de te torturer.

- Me torturer? Tu veux dire... non Chase si tu fais ça, je te tue.

- Avoue et je promets de ne pas te chatouiller.

- Tu es déloyale, utiliser les faiblesses d'autrui c'est vraiment petit.

- 30... 29... 28... 27... 26... 25...

- Arrête, je ne l'avouerais jamais!

- 15... 16... 13... 12... 11... 10... 9...

- Tu es trop chiant, arrête!

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