💚"Shin' t'es trop mignon~"🐤
Ohayo Mina san ! Bienvenu dans ce nouveaux recueil sur Kuroko no Basket !
Des ships yaoi de ce fabuleux animé ou bien de beaux garçons basketteurs et des OS X Reader !
Les règles sont simples, ce sont celle d'un X Reader basic, soit vous incarnez le personnage principale, le point de vu sera "moi". Je précise aussi que je me base sur moi, l'auteur, pour le caractère et les manies, un petit peu, et ne cherche pas à faire objectivement, après, à voir si vous aimez ou pas.
Sinon, pour ceux que ça intéresse, je commence avec notre beau shooteur aux yeux d'émeraude, alors bonne lecture !
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-Ohayo Mina san, je suis la nouvelle élève transférée dans cette établissement. Je viens d'arriver au Japon, je suis française, alors j'ai un peu de mal avec certaines choses et je voulais vous demandez si cela vous dérangerez si je vous appelez par vos prénoms ? En France, c'est quasiment l'inverse d'ici, c'est très gênant d'appeler les autres par leurs noms de famille... ano... Mais si ça vous dérange vraiment, je peux faire l'effort bien sûr !! Enchantée de faire votre connaissance tout le monde, dis-je joyeusement en m'inclinant. Ah et euh prenez soin de moi !
Des murmures et des sourires dans ma direction que mon regard balaye ma nouvelle classe, et ne croise le chemin de deux orbes vertes, cachées par des lunettes.
-Parfait mademoiselle, dit la Sensei de son bureau, vous pouvez aller à votre place... hum... à côté de monsieur Takao. Faites signe jeune homme.
Un mignon garçon se lève avec un grand sourire amical et dit :
-C'est moi, Takao, enchanté, milady.
Il s'écarte pour que je m'assoie et je lui fais une courbette à la française. Il ricane.
-Mais de même très cher.
Un petit fou rire nous prend, avant que la prof nous fasse les gros yeux, nous obligeant à nous calmer.
Midi sonne, et je me lève afin d'aller manger, mais mon voisin ne bouge pas de sa place et me lance :
-Hey, tu veux manger avec mon pote et moi ? On bouge pas de la classe, parce que lui a la flemme et moi je lui colle aux baskets (fière de ma blague 😂).
-Ça, je te le fais pas dire, nanodayo.
-Et bien si ça ne vous dérange pas...
-Non bien sûr, sinon je te demanderai pas. Tu as l'air d'être une fille sympa.
Le noireau se retourne et tombe nez à nez avec le garçon aux yeux verts. Qui a aussi les cheveux verts. Et une peluche en forme de poussin de 30cm de haut sur son bureau. Qu'est ce que c'est que ce drôle de garçon ?
-Dis... euh Takao... -kun ? Tu veux bien que je t'appelle par ton prénom ? Ou ça te gêne ?
-Tu peux m'appeler bébé si tu veux, dit il avec un clin d'oeil.
-Arrêtes tes bêtises Bakao, tu vas la mettre mal à l'aise.
-Oui Shin-chan, dit le noireau tout penaud.
-Shin-chan ? Laisse moi deviner, -chan c'est un suffixe affectueux donc ton prénom c'est Shin ? marmonnais-je presque pour moi seule.
-Pour être plus précis, c'est Shintaro, mon prénom. Shintaro Midorima, dit le jeune vert en remontant ses lunettes. J'ai remarqué que tu avais les doigts de la main gauche bandés, il y a-t-il une raison particulière ? Enfin, c'est pas comme si que ça m'intéressait, nanodayo.
En voyant ses deux grandes mains, je me rends compte que la sienne, la gauche, aussi a les doigts bandés.
-Et bien, pour tout dire, oui, il y a une raison.
Ses yeux se sont mit à briller, et je souris, attendris, avant de briser cet éclat de joie sadiquement.
-Je me ronge les ongles. Tellement que mes doigts me font souffrir alors je dois les bander, fortement pour ne plus avoir mal. Et les faire repousser aussi.
Takao explose de rire, tandis que son collègue me regarde, déçu et baisse la tête vers son repas. Je ne me vexe pas et lui demande :
-Et toi alors ?
-Shin-chan et moi fesont partis de l'équipe de basket du lycée, et il est le meilleur shooteur de la Génération Miracle, une ancienne équipe de collégiens, composée de 6 génies du baskets, comme on en voit tous les 10ans, explique fièrement mon voisin, et comme il est gaucher, il prend extrêmement soin de sa main de shoot.
-Wouah... Je suis admirative, j'aime beaucoup le basket, grâce à un animé (alias Kuroko no Basket nanodayo 🙃), mais grâce à ma petite taille, je ne risque pas de jouer, en plus je ne cours pas vite et suis incapable de sauter. Mais vous êtes grands pour en faire ? Je veux dire, je vois pas bien comme on est assis mais vous pouvez vous levez une seconde que je vois ? Please ?
Les deux garçons obéissent et se lèvent. Takao a une taille à peu près normal mais Midorima est super grand ! Je me lève aussi et me met entre les deux. Takao pose sa main sur ma tête et éclate de rire, avant que je ne le suive dans son fou rire. Shintaro soupire et se rassoie, et nous fesont de même, terminant nos repas.
-D-Dis moi euh... Midorima, ça te dérange si je t'appelle par ton prénom ?
-Euh... bah oui. 'Fin...
Ses joues deviennent roses, c'est mignon.
-D'accord, alors je ferai un effort. Pour toi, Midorima-kun.
Il devient tout rouge. Ce qu'il est mignon...
-Tu es gênante, nanodayo, dit il en mangeant une bouchée de riz.
-C'est mon défaut~, dis-je en chantonnant.
-C'est une chanson ?
-Oui, un son français, un peu nul mais qui reste dans la tête. Hé Midorima-kun ?
-Hmm ?
-Je peux savoir pourquoi tu as une peluche sur ton bureau ? Parce que c'est franchement étonnant.
Il s'empourpre et son pote éclate de rire, avant de me dire :
-En fait, Shin-chan écouté l'astrologie tout les matins, il y a une émission qui lui dit d'acheter un certain objet à avoir avec lui toute la journée, pour avoir la chance de son côté. C'est par rapport à son signe et tout ça. T'es quoi d'ailleurs toi ?
-Je suis scorpion. Et toi ?
-Moi aussi !
-Mais nan ? Génial ! Et toi Midorima-kun ?
-Cancer, nanodayo.
-Ah, comme mon petit frère, dis je en souriant. Il est chiant ce gosse, je prie pour que tu sois pas comme lui.
Je lui fais un clin d'oeil et il se met à bouder dans son coin.
-J'ai su que les scorpions et les cancers sont les couples parfaits, c'est vrai Shin-chan ? demande le noireau en souriant perversement.
-Et bien, oui, c'est le cas.
-Pourtant, mon frère et moi, c'est bagarre générale tout le temps. On est toujours entrain de s'engueuler, même de se taper dessus parfois.
-Pas cool, mais je comprend, j'ai une petite soeur, dis Kazunari en souriant, poussant ses yeux en grains de riz. Sinon, tu comptes rejoindre un club ? Parce que nous, on aimerait bien une manageuse, t'es partante ?
-Je peux ? C'est trop bien !
-Super, viens avec moi après les cours, on ira voir le coach.
-Yes, thanks boy ! Oh, ça ne te dérange pas Midorima-kun ?
-C'est pas comme si j'en avais quelque chose à faire, nanodayo.
-T'es pas un peu un Tsundere sur les bords toi ? dis je en souriant.
-Mais n'importe quoi, soupire le vert en rangeant sa boîte à déjeuner.
Je bois mon yaourt à boire et le prof vient pour les cours de l'après midi. Ça aussi, ça change de la France !
L'après midi finie, je me lève afin d'attendre les garçons à la porte, qu'un élève de ma classe vient me voir, un brun aux yeux bleus. Euh Hiro quelque chose, il me semble avoir entendu. Plutôt mignon, si on enlève Midorima-kun et Kazunari. Il se place devant moi, avec un sourire et me dit :
-Salut, moi c'est Hiro Franxx (la réf les gars) mais appelle moi Hiro, je voulais savoir si ça t'intéresse d'être pompom girl pour notre équipe de foot ?
Avant que j'ai pu répliquer quoique se soit, Géant Vert avait posé sa main gauche sur une des épaules du jeune homme, le fesant crier de surprise.
-Elle est déjà à nous, nanodayo.
Son aura est presque animal, il ferait peur à n'importe qui mais moi je trouve ça trop sexy... Ses yeux intimidants, sa haute taille, son visage dominateur... My godness... Mon regard se fixe sur ses beaux yeux émeraude aux lueurs sauvages, et il fait de même, avant que Hiro ne se manifeste.
-Euh, c'est vrai ce qu'il dit ?
-Et bien, oui, désolée. Mais peut être un jour, j'irai voir un de vos matchs ?
-C'est vrai ?
Ses yeux bleus pétillent et l'émeraude devient sombre. J'ai peut être dis une bêtise...
-Milady ? Shin-chan ? Iko ("on y va" il me semble).
-Bye Hiro, dis en saluant de la main.
Puis je me détourne, les deux garçons derrière moi.
-Au fait, sourit le noireau, c'est vrai qu'il n'y a pas d'uniforme en France ?
-Oui, j'avais hâte de venir au lycée au Japon rien que pour en porter un, je les trouve trop mignon !
-C'est vrai que tu es très mignonne dedans, acquiesce Kazunari. Hein Shin-chan ?
Il lui tape les côtes du coude et le vert remonte ses lunettes, je suppose que c'est un tic, et marmonne un petit oui, en rougissant légèrement.
-Tu es trop mignon Midorima-kun, on te l'a déjà dit ?
-On lui a surtout dit qu'il avait mauvais caractère, c'est un peu vrai, mais bon il est comme ça, à prendre ou à laisser.
-Son côté Tsundere et sa passion pour l'horoscope ? Je trouve ça mignon moi, d'autant que ça m'arrive de lire et de croire en mon horoscope. On dit comme quoi nous sommes méchants mais aussi passionnés, violents et d'autres adjectifs plus ou moins péjoratif. Enfin, pour moi c'est le cas, mais ça n'a pas l'air d'être le cas pour toi Kazunari ?
-Je suis pas vraiment méchant non, ni violent ou quoique se soit.
-J'avais une copine scorpion, c'était une douceur. T'es un peu comme elle. C'est rigolo.
-Tch.
Nos regards convergent vers le vert, qui tire un peu la gueule, les pommettes roses. Vraiment adorable.
On arrive finalement au gymnase pour leurs entraînements de basket, moi allant voir leur coach afin de demander si je pouvais être manager. Il a sourit et à vivement acquiescer et je me suis précipité dans les bras de Kazu, en éclatant de rire. Il m'a tapoté le dos, recevant un regard noir de notre ami shooter. Je m'assoie donc sur le banc après m'être changer et vois Midorima s'avancer vers moi, sa peluche dans ses bras.
-Tu peux me la garder ? me demande-t-il.
-Bien sûr ! Tu lui as donné un nom ?
-Non.
-Alors je l'appellerai Mr Pilou-Pilou, dis je en récupérant le poussin jaune.
Le vert fait un léger sourire et toute l'équipe me saute dessus, me demandant qui je suis. Après m'être présentée, ils ont tous souris :
-Quelle est mignonne !
-Une vraie petite princesse !
-Viens jouer avec nous, milady, dit Takao.
-Tch, je vais te mettre ta pâtée Kazu ! répliquais-je avec un sourire carnassier.
Je me lève, pose la peluche sur le banc et prend un ballon.
-On va en 5, crit-il en souriant.
-Okay !
Je commence donc à dribbler, passe le noireau et me pose devant le panier qui a 3m du sol. Donc beaucoup trop haut pour moi. Je me retourne vers les autres et dis :
-Euh on peut pas le baisser là ? C'est trop haut...
Ils éclatent de rire, Midorima sourit légèrement et Takao en pleure tellement il rit. Je prend le ballon, me concentre et place mes mains là où on m'a apprit au collège et tire... avant de manquer le panier.
-K'so !
Takao choppe la balle et traverse le terrain. Mais il fait le quart de mon nombre de pas ! J'en fais 8 il en a fait que 2 ! Je cours un peu et tente de le gêner mais ptdr il saute je suis au niveau de ses genoux. Je sers donc à rien. Soudain, un éclair vert, le ballon disparaît et Midorima, sur la ligne des 3 points, shoot et fait un panier parfait, à mon avis. Il jure, trouvant son tir moche, et Takao sourit devant mon air ébahi. Je cours au devant du shooter, les yeux pleins d'étoiles et lui dis :
-Apprends moi à tirer comme toi ! S'il te plaît !
-Non.
-Bah pourquoi ?
-Parce que t'es trop petite, t'es nulle et ça demande des années d'entraînement.
Je me détourne de lui, et boude. Puis je pars voir Takao, et lui tend le ballon.
-Coach, on pourra leurs faire faire un petit match après l'entraînement ?
-C'est une bonne idée. Tu as des idées de chefs d'équipe ?
-Kazu, t'es cap de lui mettre sa raclé ?
-Haha quand tu veux.
-Alors les chefs d'équipe seront Midorima-kun et Kazunari, ça vous va ?
Le coach sourit, et lève le pouce en l'air.
Je repars au banc et souris au noireau, et lorsque le vert à le dos tournée, mon regard devient tendre et se pose sur lui. Mon carnet de dessin sous mon calpin pour mes notes de manageuse, je griffonne ce bel homme quand il a les yeux tournés, souriant à moi même.
Après 2h d'entraînement, le coach annonce le match en 50 points, ça me semble beaucoup, mais il m'assure que ce n'est rien pour eux. Un 3 contre 3 qui se solde par la défaite de mon vert. Il vient me voir, je lui tend sa peluche, admirant les gouttes sueur glisser sur son visage et dans son t shirt. C'est beau...
-Désolé, je voulais pas te vexer tout à l'heure... Enfin, si tu veux bien me pardonner.
-Tu veux te faire pardonner ?
-Oui, 'fin...
-Fais moi un bisou sur la joue, dis je en tapotant ma joue droite de mon index.
Il se penche et me pose un tendre baiser sur ma joue, avant de cacher les siennes et de s'enfuir en courant. Je souris et Kazu vient me taper dans le dos en riant, accompagné par les autres membres de l'équipe de Shutoku. Puis ils partent tous se changer et se doucher. Surtout se doucher. Lorsque tout le monde est dehors, je me faufile dans le vestiaire afin de changer ma tenue et croise alors l'apparition divine d'un homme aux cheveux couleurs feuillage, une serviette autour de la taille. Un cri de surprise m'échappe, attirant son attention, et nous nous regardons 30 secondes avant que je ne referme la porte, gênée. 10 minutes plus tard, il sort, rouge et s'enfuit presque. Je l'arrête, et lui dis :
-Excuses moi pour tout à l'heure. Bonne soirée, et à demain.
Je lui envoie un bisou volant et pars me changer au vestiaire à mon tour, avant de rentrer chez moi.
2mois plus tard, la compétition de la l'Inter Lycée va commencer, et nous allons affronter le lycée Seirin en finale des éliminatoires, là où l'ancien coéquipier de Midorima joue à présent. Je suis super proche des membres de notre équipe, meilleure amie avec Kazu et enfin le pire de tout... nan je plaisante, je suis amoureuse de Midorima, le mec le plus Tsundere du bahut. Je me suis même battue avec un mec qui se moquait de lui, disant qu'il était trop bizarre. J'ai pas réfléchis et je l'ai frappé au visage dunnbon coup de poing, et j'ai failli me faire tellement éclater si mon preux chevalier vert n'était pas venu à mon secours. Maintenant, tout le monde sait qu'il ne faut pas mal parler de Midorima, Kazu ou un autre membre de l'équipe. Surtout de Midorima. D'ailleurs, il m'avait passé un savon, et quand je lui ai dis que c'était pour sauver son honneur, il a haussé les épaules, et détourné le regard, mais j'ai eu le temps de voir un air triste sur son visage. Il ne le dit pas clairement, sa condition de Tsundere le lui interdit, mais il souffre beaucoup de ses moqueries. Moi je trouve ça mignon comme passion, et puis si les autres aiment pas, bah ils s'en occupent pas. Ça c'est un problème de notre génération, toujours à regarder ce que fait son voisin, pour le critiquer ensuite. C'est lamentable. J'ai presque envie de dire narcissiquement, heureusement qu'il y a des gens comme moi qui existe, des gens altruistes, qui défendent la veuve et l'orphelin, c'est une expression, Midorima n'est ni veuve, ni orphelin. Ni veuf. Enfin bref.
A l'entraînement de ce soir, un petit topo s'impose, et le coach, aidé de moi, explique aux joueurs leurs points forts et leurs points faibles, à travailler.
-Midorima-kun, tu ne fais pas assez confiance à ton équipe, cela risque de te jouer des tours.
-J'ajouterai, dis-je sérieusement, que malgré que tu ne possèdes pas la vision de Kazunari, comme tu es grand en taille, tu peux voir qui est démarqué et est proche de toi, afin de t'aider. Penses y.
-Oui coach, bien mademoiselle, réplique le jeune homme en remontant ses lunettes.
C'est un délire avec les membres de l'équipe, j'ai le droit à milady, mademoiselle ou princesse comme surnom. Ils sont adorables. L'entraînement débute, et chacun travaille les points abordés plus tôt. Kazu et Midorima font un très bon binôme, leur jeu est beau à voir, une telle confiance c'est juste géniale. A la fin, avant que tout le monde ne saute à la douche, le coach les appelle.
-Dites moi tout, vous comptez la gagner cette finale ?! Dites moi que vous allez massacrer Seirin ?!
-Oui coach.
-J'AI RIEN ENTENDU !!
-OUI COACH !!
-Parfait, ça c'est une attitude de champions. Restez dans cette perspectives les garçons et à demain.
Ellipse jusqu'au match contre Seirin. Dans les vestiaires, je tente de motiver nos troupes.
-Si vous remportez ce match, vous aurez le droit à un voeu de ma part, chacun. Ça vous dit ?
Explosion de joie.
-Moi je veux un bento ! dit Miyaji Senpai.
Otsubo me demande une après midi shopping avec lui, Kimura-san une glace et Kazu un massage, et le reste tous des chose plutôt simple comme de l'aide aux devoirs ou une après midi salle d'arcade. Ce qui leurs a valu à tous un regard noir de Midorima.
-Et toi Midorima-kun ?
-Je te le dis en privé, nanodayo.
-Bien, coach, nous sortons 5 minutes, on peut ?
-Dépêchez vous.
-Merci Monsieur !
J'attrape la main de mon Midorima, et l'entraîne dans le hall vide. Il se met face à moi, mal à l'aise et se dandine un pied sur l'autre.
-Alors, que veux tu Midorima-kun ?
-Je... Je peux te demander n'importe quoi ?
-Tant que c'est pas une place de concert pour aller voir Beyoncé, oui, n'importe quoi. Vu le prix...
-Alors... Je veux... un baiser.
-Un baiser... sur la joue ?
-Non ! Un... un vrai baiser...
Il est tout rouge, vraiment trop mignon.
- Si tu ne veux pas, c'est pas grave hein, c'est pas comme si je t'aimais ou un truc du genre.
Je lui souris, il est vraiment incroyable, il dit tout le contraire de ce qu'il pense, vraiment.
-C'est d'accord. Tu as intérêt à gagner ce match, si tu le veux ton baiser.
Le match vient de sonné la fin du 4eme quartant... on a perdu... 82 à 81... Nos joueurs sont au bord des larmes. J'ai le coeur en morceau, et je retiens difficilement les miennes. Ils saluent Seirin, puis partent dignement vers le vestiaire. Il faut remonter le moral des joueurs, parce que là, ils sont tous en train de pleurer, et c'est très dur pour moi comme spectacle. Assis sur les bancs, un silence de mort règne. Soudain, une idée me vient.
-Kazu, enlève ton maillot. Tout de suite.
Le ton sec dans le silence glacial des joueurs, fait qu'il m'obéit sans broncher. Je me rapproche de lui, essuie les larmes de son visage et plante un bisou sur son front, avant de lui dire d'une voix encore plus dure :
-Couche toi sur le ventre.
Je sors une fiole d'huile de massage de mon sac, pars laver mes mains puis les enduits du produit, avant de placer mes paumes dans le dos de mon ami, retraçant les muscles et dénouant les noeuds petit à petit. Il se détend doucement, et la tension s'apaise enfin. Puis je dis a nouveau :
-Je ferai ce que vous avez demandé, malgré notre défaite.
-Ce n'est pas juste, tu avais dis que c'était uniquement si on gagnait, dit Miyaji.
-Certe Senpai, seulement, vous vous êtes défoncés aujourd'hui, ça a était l'un des plus beaux matchs que je n'avais jamais vu. Vous méritez un récompense, et le coach et moi sommes d'accord là-dessus.
Les épaules de Kazu tressaillent, que je continue son petit massage tranquillement.
-Otsubo, je suis disponible samedi après midi, pour le shopping. Miyaji Senpai, je te donne ton bento après demain midi, cela te va ? Et Kimura-san, demain soir après les cours une glace sur le chemin ?
Ils se mettent tous à pleurer de joie. Ils sont mignons, même Kazu ricane doucement. Je stoppe mon massage, le fesant grogner de mécontentement, et je lui tire la langue, avant d'aller me laver les mains, et de sortir avec le coach.
-On vous attend dehors les garçons, dépêchez vous, dit l'entraîneur.
-Oui coach !
Nous sortons alors et attendons dans le hall. Seirin passe, et nous allons discuter avec leur coach, une jolie terminale, avant que nos équipes arrivent. Les regards noirs m'ont fait ricaner silencieusement, avant que nous allions au restaurant se requinquer. Après ça, nous rentrons à pied, Midorima et moi à l'arrière, Kazu étant en train de se faire frapper par notre Senpai blond pour une blague cochonne du noireau.
-Midorima-kun ?
-Hmm ?
-Tu sais, un vrai baiser est un symbole d'amour, et il ne se donne qu'en cas de réciprocité ?
-Évidemment que je sais ça, tu me prend pour qui ?
-Bien, alors pourquoi m'as tu demandé un baiser ?
-...
-Midorima-kun ?
-N'est ce pas évident ?
-J'aimerai l'entendre...
-Je suis... Je... Je t'aime... murmure-t-il d'une petite voix. Dès la minute, enfin, la seconde où nos regards se sont croisés, j'avais... peur de te le dire... déjà que je suis le mec bizarre de Shutoku et toi tu es si... belle... lumineuse... un vrai petit arc en ciel, pleine de vie et d'amour... J'ai mis un moment à le comprendre, et je t'ai demandé ce baiser... Mais tu n'es pas obligée, nanodayo !
Je le regarde alors, son visage rougis par le froid et le gêne. Nos pas ont cessés, nos yeux semblant se fondre l'un dans l'autre et je lui souris.
-Baisse toi.
Il abaisse sa tête, que je dépose ma main chaude sur sa joue fraîche. Il sursaute et rougit plus encore, que je me décide à approcher mes lèvres des siennes. Il ouvre les yeux en grand, avant de les fermer doucement, et se crispe sous mes doigts, qu'un tendre baiser se forme entre nous. Du coin de l'oeil, je vois l'équipe filmer et rire de cette scène d'amour d'un Tsundere et d'une petite blonde dans la rue. Je l'embrasse un peu plus, le laissant lécher ma lèvre inférieure afin d'avoir un vrai baiser d'adulte, et je sors timidement ma langue. Elle enlace la sienne, qu'une de ses mains se posent derrière mon crâne, l'autre sur ma hanche. Sur un trottoir, devant notre équipe, apparaît sous la lumière des étoiles, notre premier baiser. Je casse notre échange, un fil de bave nous liant encore et embrasse son front avec tendresse. Il me serre ensuite dans ses bras, cachant ses larmes de stress retombé. Puis il se calme lentement, j'essui les dernières traces et embrasse son nez.
-Je t'aime Shintaro. J'ai eu le coup de foudre pour toi, le jour de mon arrivée...
Je souris et le serre dans mes bras à nouveaux, avant de glisser ma main dans la sienne et de marcher vers notre équipe qui nous applaudit comme si qu'on était des stars.
Ellipse jusqu'à la fin de la Winter Cup, plus tard dans l'année.
La finale vient de se terminer, tout le monde est sous le choc. Nos ennemis de Seirin ont vaincu Rakuzen !
L'équipe ne parle que de ça, pendant que Shintaro et moi marchons tranquillement main dans la main. Il a eu du mal avec les marques d'affection en public, mais au fol du temps, il les acceptent de plus en plus, en grognant évidemment. Je préviens mon amour que ce soir, je suis seule chez moi, et il ne comprend pas le sous entendu. Ou alors il ne montre rien. Je soupire discrètement et rentre chez mon petit ami, afin qu'il prenne des affaires et prévienne ses parents. Je less salue, sa mère m'aime beaucoup et son père m'a demandé lors de notre première rencontre, ce que je comptais faire de ma vie, à savoir soigneur animalier. Il a hoché la tête gravement, avant de me sourire en pleurant de joie. Trop marrants. Enfin, sa mère lui fait des clins d'oeil plein de sous entendus qu'il ne capte même pas. Puis nous allons chez moi. Il dépose ses affaires dans ma chambre, puisqu'il dort avec moi et je sens que ça l'angoisse grandement. Saviez vous qu'il dort en pyjama complet, avec un bonnet de nuit ? On dirait une peluche, il est trop chou quand il dort. On a déjà dormis ensembles chez lui, avec ses parents de présents. Heureusement que c'est le week-end. Je pars donc en cuisine préparer un bon repas à mon homme, lorsque je l'entend dans mon dos. Il glisse ses bras autour de mon bassin, posant son front sur mon épaule. Ce comportement ne lui ressemble pas vraiment, mais il est très câlin en privé, c'est abusé. Ne m'en déplaise. Il colle son torse contre moi, et j'embrasse sa tempe avant de m'éloigner.
-Mets nous la table sur la table basse du salon, et mets nous un film, tu seras un amour s'il te plaît.
-Tch.
Mais il obéit. Je fais du riz blanc, de omelette et du steak en petits bouts, le tout avec une sauce au beurre et des oignons frits. Miam. Puis j'apporte le repas, l'eau et prépare le dessert, un salade de fruits frais. Attablés, il fait sa petite prière, que je fais aussi, en souhaitant le traditionnel "itadakimasu" japonais, avant d'attaquer. Il a l'air d'être sur le point de jouir, c'est que ça doit être bon alors. Il dévore son bol et nous restons sur le canapé à mater un film fantastique. Puis, vers minuit, nous montons au lit. Je me met en pyjama, une robe de nuit sans bretelles et me glisse dans les bras de mon amour.
-Dis Shin ?
-Hmm ?
-Tu aurais envie de... passer à l'étape suivante, toi et moi ?
-A quel propos ?
-D-de... faire l'amour...
Un silence et je le sens rougir.
-Shin ?
-Bah j'osais pas te dire que j'avais *tousse* très *tousse* envie de... de le faire avec toi, parce que c'est ta première fois et-
-Je... je l'ai déjà eu.
-Avec qui ?
Son ton était un peu menaçant. J'ai failli dire Kazu pour rire mais il aurait pas aimer.
-Tu le connais pas, il habite en France. Quand on ira voir mes parents, je te le présenterai~
-Surement pas !
-Alors, tu veux toujours qu'on le fasse ?
-Moui...
-Maintenant ?
-Tu as des préservatifs ?
-Et bien oui...
-Ouf parce que moi j'en ai pas, et je veux pas d'enfants maintenant.
-Moi non plus, je vais chercher ça.
-Je veux... merci.
-Parfait, je m'occupe de toi, dis je coquinement et avec gène...
Je suis sûre qu'il est tout rouge. Trop mignon. Je sors alors la protection, la pose à côté de moi, prend ses mains et les pose sur mon corps, venant baiser ses lèvres fines. Il caresse mon corps et je commence à le déshabiller, enlevant le haut puis le bas. Il est en caleçon, et il rougit toujours. Heureusement que je ne suis pas un garçon, je crois que je l'aurai violé. J'embrasse son cou, mordille son lobe et baise son torse finement sculpté, léchant son V à la limite de son sous vêtement. Il souffle bruyamment et je comprend qu'il se retient de gémir.
-Laisses moi t'entendre, ça me permet de savoir si tu aimes ou non ce que je te fais. Il n'y a que toi et moi, alors détends toi...
J'enlève ma robe, et ses mains se posent avidement sur ma poitrine, qu'il palpe doucement. Je me mets à califourchon sur son bassin, frottant doucement mes fesses sur son sexe qui durcit à ce contact. Il se redresse subitement, léchant mes tétons doucement en enlevant ses lunettes, me fesant pousser de petits cris de plaisir. Il mordille les pointes et je commence à haleter. Glissant mes doigts dans ses cheveux de soie verte, quelques mèches tirées quand une vague de plaisir me submerge, il lève alors son joli visage fin vers moi, ses beaux yeux noircis de désir et panique légèrement quand à la suite. Je me déloge de ses bras, descend vers le fruit défendu qu'il tente de me cacher, et baisse son dernier rempart, avant que je ne déchire l'emballage de la protection, et ne l'enfile sur son sexe.
Je m'assoie alors entre ses jambes, et commence à stimuler mon bouton d'amour comme on dit, au travers de ma petite culotte, avant de l'enlever. Il ouvre grand les yeux, ce qui me fait légèrement rire tant je trouve ça mignon. Mais bien vite, le plaisir déforme mon visage en soupir, petits cris et gémissements. Il glisse sa main droite sur son sexe et le masturbe lentement, profitant de ce moment calme et intime. Une fois que je me sens bien humide, je remonte sur ses genoux, attrape son bâton de chair et le regarde un instant, demandant silencieusement son accord. Il aggripe mes hanches et je me glisse sur cette colonne de chaleur, nous fesant pousser un cri chacun. Je monte et descend, au rythme de ses grognements, mes bruits deviennent plus fort à chaque fois qui pousse plus loin en moi. Nos mains éparpillées sur nos corps, nos lèvres qui ne se quittent que quelques secondes pour des baisers langoureux, nos regardes accrochés et brumeux, font de nous un joli tableau dans l'obscurité de la chambre, éclairé par la lune au dehors. Le son de nos bassins qui claquent forment un rythme rapide et doux en même temps. Et environ 20 minutes plus tard, je le sens se tendre brusquement, et lâché un long gémissement sensuel, avant que ses muscles se relâchent. Je me retire et lui enlève la capote pleine, avant de la mettre à la poubelle rapidement. Puis je remonte dans ses bras, posant mon oreille sur son torse, écoutant les battements apaisants de son coeur.
-Je t'aime, merci pour tout...
-Moi aussi je t'aime.... Je serais toujours près de toi, peu importe les difficultés. Et je serai ta partenaire de basket pour toujours !
-Bonne nuit, nanodayo.
-Shin' tu es trop mignon ❤
Alors, avez vous aimé ? Dites moi, si c'est à améliorer ou pas.🎈🎉
#Narvalot🏀🎀
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