Chapitre 8
Changement de vent, publié le1er Aout à 1h pile!
Dans le dernier chapitre: "Parce que tu déteste ces cours et au moment où tu peux partir, tu part." ai-je dis en le suivant hors de la classe.
Chapitre 8
"Vous allez y gouter ou non?" nous a dit Cory en nous regardant.
"Peut être." ai-je dis.
"C’est dégelasse comme texture." a dit Luke en regardant sa cuillère pleine de cheez whiz.
"Ce n’est pas si pire que s'en a l'air." nous a dit Cory. À me souvenir de la tête qu'il a fait quelques minutes plus tôt en mangeant sa cuillère, je ne pense pas que je vais le croire.
"On pourrait se boucher le nez" ai-je dis.
"Bonne idée. Allez-y, un, deux, trois." a dit Cory ennuyer, et à la fin de son compte à rebours, j'ai enfoncé la cuillère dans ma bouche, et j'ai refermé mes lèvres autour et tirer la cuillère hors de ma bouche. Je me suis lever et j'ai couru vers l'évier de la cuisine de l'appartement que ma mère et moi partagions maintenant et j'ai craché la substance jaune dans l'évier. Je me suis dépêcher et j'ai pris un vers d'eau et je me suis rincer la bouche le mieux que je le pouvais. Quand je suis retourné m'assoir par terre dans le salon non-meublé, Luke n'avait toujours pas mangé sa cuillère.
"Tu la mange ou je te la rentre dans le nez?" ai-je demandé en croisant mes jambes.
"Je ne sais pas encore, me donnes-tu 2 cent ans pour y répondre?" m'a-t-il dit en riant.
"Et comment tu vas me répondre?" ai-je demandé.
"Je viendrais souffler dans tes cendres dans ton urne." m'a-t-il-dit en riant.
"Parce que tu seras encore en vie dans 2 cent ans?" ai-je demandé en riant du ridicule.
"Je suis un vampire? Tu ne savais pas?" a-t-il dit en montrant ces dents.
"Bon, révélation, mon demi-frère est un vampire." a dit Cory.
Nous étions là depuis environ 20 minutes, après avoir acheté un pot de cheez whiz nous étions rentrées dans l'appartement, nous n'avions pas beaucoup de meuble à part les lits et une table, alors, nous étions assis par terre. Et c'est au moment où je prenais la cuillère de Luke et que je lui la mettais sur le nez que ma mère est rentré après sa journée de travail.
"Déjà? Tu ne travailles pas tard ce soir?" ai-je demandé
"Tu es déçus?" m'a demandé ma mère en enlevant ces talons haut dans l'entré.
"Non, c'est bon, on a déjà fais l'amour" ai-je dis en me levant.
"Super, c'était bien?" m'a dit ma mère en riant et en allant à la cuisine, "vous avez utilisez des condoms j'espère?"
"Oui maman, on a passé à travers le paquet complet de chez coscto" ai-je dis.
Depuis que ma mère et mon père avait divorcé, ma mère était effectivement moins heureuse, mais aussi, la relation mère-fille que nous avions a changé, elle est devenue plus "amie" si vous pouvez comprendre ce que je veux dire. Je n'avais pas revu mon père depuis le déménagement et je ne voulais pas vraiment le voir, la rage en moi bouillonnait a seulement penser à lui, et à ce qu'il a fait à ma mère.
"D'accord, j'aurais seulement à en racheter. Une pizza, ça vous dis pour ce soir les jeunes?" Nous a demandé ma mère en sortant son téléphone cellulaire de son sac.
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"Que dis-tu de rouge pour ta chambre?" M'a demandé ma mère.
"Ça rend agressif le rouge" ai-je dis. Nous étions assises sur le toit de l'immeuble appartement.
"J'avoue" a dit ma mère, et après une courte réflexion, elle m'as proposé une autre couleur. "Rose?"
"Non, c'est la couleur de ma chambre à la maison. L'ancienne." Ai-je spécifié.
"Vert?" M'a telle dit.
"Non, c'est trop... Couleur de salon." Ai-je dis en pensant a la couleur du nouveau salon dans l'appartement
"Blanc?" M'a telle dit en soupirant.
"Ouais, blanc" ai-je dis avant que le silence s'installe. Mais au bout de dix minutes, ma mère parla.
"Je comprends maintenant pourquoi tu montais sur le toit en passant par ta fenêtre même si tu savais que je ne voulais pas que tu le fasse." M'a-t-elle dit.
"Tu le savais?" Ai-je demandé en tournant la tête pour la regarder.
"Je suis peut être vieille, mais je sais ce que c'est d'être ado." m'a telle dit en souriant
"Ah oui?" Ai-je dis en la taquinant.
"On veut faire ce qu'on veut, et quand on nous défend de faire quelque chose, on veut encore plus le faire. On veut seulement être libre" m'a dit ma mère. "Et c'est toujours ce que l'on veut être quand on est adulte."
"C'est vrai?" ai-je demandé
"Quoi?" m'a-t-elle demandé en retournant la tête pour re-regarder le ciel foncé du soir avancé.
"Que même Adulte... on n'est pas complètement libre?" ai-je reformulé ma question
"Non, jamais. On a toujours quelque chose... La famille, Les facture, le boulot..." m'a-t-elle dit en soupirant "je regrette parfois" a-t-elle dit en laissant son idée en suspense.
"Tu regrettes quoi?" ai-je simplement demandé, comme une enfant de 3 ans qui demande sans cesse pourquoi.
"Tant de choses, si tu savais." m'a-t-elle dis.
"Est-ce que tu... me regrette?" ai-je demandé faiblement.
"Non, non pas toi ma chérie, ni ta sœur. Toute les deux avez été de vrai cadeaux des anges dans cet enfer qu'était ma vie" a-t-elle dit en prenant ma main sans la sienne.
"Alors, tu regrettes quoi?" ai-je demandé
"Que tu aies grandis, que tu doivent passer par l'histoire de ta sœur, puis le divorce de ton père et moi, et croix moi. la vie est cruelle, et te fera souffrir, et je regrette de ne pas pouvoir te faire éviter tout cela ma belle. C’est un de mes plus grand regret." m'a-t-elle dit la voix tremblante.
"Est-ce que papa fais partit de tes regret" ai-je demandé
"Aussi farfelu que cela puisse sembler, non. Bien que notre divorce me blesse, j'ai passé de bon moment, et puis, tu es quand même le fruit de l'amour que nous avons porté l'un pour l'autre." m'a-t-elle dit en tournant la tête vers moi, de façon que je vois une larme de tristesse, couler le long de sa joue, et s'écraser dans ces cheveux brun pâles qui étaient entremêler sur le côté de sa tête.
"Et, quel autre regret as-tu?" ai-je demandé
"De ne pas avoir compris plus vite ce que j'aimais. Et avoir compris trop tard que si l'on veut un taxi, il faut l'appeler. Les choses n'arrive pas quand on ne fais rien"
"J'y croix" ai-je dis.
"Tu sembles bien, enfin, mieux,"
"Je ne sais même pas si c'est une impression" ai-je dis en étant honnête tout comme je l'aurais été avec ma sœur.
"Que veux-tu dire?" m'a-t-elle demandée
"Je ne sais pas" ai-je dis en retirant ma mains de celle de ma mère pour toucher mes jointures ou je pouvais sentir les minces traces de mes petites cicatrices.
"Explique-moi." m'a-t-elle dit, je sentais son regard sur moi, pesant sur moi comme une tonne de questions que l'on a peur de demander.
"Je ne sais jamais si je suis heureuse ou non" ai-je dis en restant assez flou dans la réalité
"Oh, Chérie, c'est... c'est normal..." à commencer ma mère pour me réconforter, mais je n'avais pas le gout d'entendre tous les ragots que tout le monde raconte le "C'est normal, je te comprends" quand est-ce que les gens vont enfin comprendre que non, ils ne comprennent pas comment je me sens. Prenons par exemple, le psy que j'avais, elle m'a fait perdre du temps à lui raconter les détails les plus profonds de ma vie pour quoi? Pour absolument rien. J'en ai marre que les gens se mettes les deux mains dans ma vie comme si c'était de la pâte a biscuit que l'on peut regarder sous tous les côtés.
"Non, tu ne sais pas, et ce n'est pas normal, je ne suis pas normal, tu es la première à me l'avoir dit." ai-je dis en me levant. "Souviens-toi en" ai-je raconté en marchand vers la porte que j'ai ouvert et pris le soin de fermer derrière moi, laissant les appels de mon nom de la part de ma mère. J’ai marché dans le bloc appartement, arpentant les couloirs en silence, seulement le bruit levé de mes souliers sur le sol de bois résonnait. J'ai vu une mère rentrer avec sa fille endormie dans ces bras. Un homme quitter l'appartement qui était surement celui de son ex maintenant car il avait toutes ces valises et je pouvais entendre de léger sanglot. Un couple de personne âgés se tenant les mains et qui rentrait dans leur appartement en souriant, l'amour entre ceux deux-là était presque palpable. Après avoir fait le tour de tous les étages, je suis retourné à l'appartement de ma mère, et je suis entré, sans regarder ma mère qui était surement dans la salon a me regarder. J'ai enlevé mes chaussures, et sans la regarder encore, j'ai été dans ma chambre, et j'ai été à ma fenêtre. J'ai regardé le ciel, et même celui-ci ne semblait pas être décidé s’il était beau ou couvert cette nuit, avec frustration, j'ai fermé mes rideaux, et j'ai enlevé mes vêtements pour aller dormir. Mais, je ne me suis que retourner dans mon lit. À penser au fait que ma vie était remplie de "Drama", je veux dire, on pourrait en écrire une série de 7 saison d'une émission quétaine remplis de bulshite et la diffuser, je suis presque sur que ça ferait un tabac, surtout parce que je suis presque sure que le drame est loin d'être terminé dans mon cas.
J'ai fini par aller me mettre un chandail de voyage et je me suis assise dans mon lit avec mon devoir de math, ce qui m'a occupé jusqu'à temps que ma fatigue l'emporte et que je tombe dans les bras de Morphée. Avec des rêves que je ne me souviens presque jamais, peut-être sont-il plus compliqué que ma vie en ce moment, ou peut être que c'est parce qu'ils sont trop beau pour être vrai et que mon cerveau essais de me garder loin de d'autres souffrances. Est-ce que cela fais du sens? Non, tout comme ma vie en ce moment. Je ne me suis pas le genre de personne à pleurer sur mon sort, preuve, je ne pleure pas. Mais, je peux vous assurer que personne ne veut échanger de vie avec moi, c'est bien trop compliqué.
*©2014 tout droit réservé a l'auteur, ce qui veut dire: ElodieBLT, si vous voulez traduire ou utiliser une partie de cette histoire, vous devez demander à l'auteure son accord.*
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