Changement de Vent publié le 27 Juin

Dans le dernier chapitre: Le plus dur dans tout cela, je croix que c'est de ne plus la voir tous les jours, bien que je puisse encore la voir, c'est dur de se rendre compte que j'oublie par moment le son de sa voix, ou la manière dont elle parle, ou qu'elle chante (elle chantait horriblement mal, mais j'aimais quand elle chantait, ça me prouvais un peut qu'elle n'était pas parfaite comme je le pensais la plus part du temps.)

Chapitre 3

"Aria. Dépêche toi, tu vas être en retard" m'a crier ma mère à travers la maison.

Cela devait faire trois fois qu'elle m'appelait, je suis rentré dans ma chambre, j'ai fermé ma fenêtre, pris mon sac, et je suis descendu en bas, passant devant ma mère et allant directement à la voiture. Je n'avais aucune envie d'Aller à l'école, comme toute adolescente, mais bon, j'aime bien me dire pour me réconforter que c'est ma dernière année. Et aussi, pour aujourd'hui, que c'était vendredi. Dans la voiture, ma mère me parlait et comme toute personne de mon âge, je l'ai écouté à moitié de ce qu'elle disait, je suis descendu de la voiture rendu à l'école, et pour être polie, je lui ai dit bonne journée. Je suis entré dans l'école, j'ai déposé mes choses, et je me suis diriger vers mon premier cours. Je me suis assise à ma place, et j'ai passé le cours à ne pas écouter et penser à d'autres choses. À quoi cela me sert d'écouter si je vais refaire les cours ensuite dans mes cours de mise à niveau? Bien sûr, ma mère n'est pas d'accord avec moi à ce sujet, mais bon. J'ai la tête dure comme ma sœur le disait, et le dirait.

" Alors, quel serait la règle à utiliser Mademoiselle Benson? " me demanda le professeur de math en avant de la classe, tendant la craie devant elle, je me suis donc lever, et j'ai été au tableau noir. Et j'ai commencé à écrire, n'étant pas certaine, j'ai seulement pris une chance, et j'ai écrit la dernière chose que j'ai écrit dans mes notes de cours : f(x)=a⋅tan(b(x−h))+k. Par la suite, je suis allé m'assoir, et je n'ai rien dit. Il semblait que ma réponse soit vrai, mais le professeur n'a rien dit, elle a seulement continué de dire ce qu'elle disait. À la fin du cours, encore une fois, la professeure voulait me parler, je suis donc allé à son bureau après le cours, pendant que tout le monde parlait et sortait de la classe pour aller à leur prochain cours.

" Je comprends que tu vis quelque chose de dur en ce moment, mais cela ne te donne pas le droit de ne pas écouter en classe. " m'a-t-elle dit.

" Je réussie à comprendre la plus part des choses sans écouter. Vous avez pu le voir par vous-même. " Ai-je répondu, sans vouloir être insolente

" Je sais que tu es une bonne élève, mais si tu veux finir ton année avec la plus part de tes compagnons de classe, tu devrais écouter. "

" D'accord. "Ai-je dis poliment.

Elle hocha de la tête et me permit de partir de la classe, j'ai commencé à marcher vers mon casier, et j'ai vu le même garçon qui était venue me parler au début de la semaine, qui venait vers moi, ou dans ma direction (ce n'est pas la même chose, veillez notez la différence, il peut aller dans la direction inverse que moi-donc, vers moi- mais ne pas venir me voir moi.) mais il sembla bel et bien être venue me voir moi.

"Tu sais, si tu continues comme ça, le professeur vas te détester" m'a-t-il dit en marchant à côté de moi.

"Tu étais dans la classe?" Ai-je demandé, il ne devait pas savoir ce qui c'était passer autrement.

"Hum, ouais. Il paraitrait qu'il faut que je prenne des cours ici en plus que des courts de rattrapage. Alors oui." M'a-t-il répondu avec un soupire. J'aimais bien la manière dont il parlait comme si tout n'était rien.

"Bienvenue dans le groupe, on est deux." Ai-je dis.

"En fais trois. Mon frère aussi." M'a-t-il dit en s'accotant sur les casiers à côté du mien pendant que j'ouvrais celui-ci.

"Tu as un frère jumeau?" Ai-je demandé, surprise.

"Bah, demi-frère. Peu importe." A-t-il répondu en haussant des épaules.

" Alors, t'es le garçon qui est en parfait accord avec ton frère." Ai-je demandé.

"Demi-frère, et non." M'a-t-il simplement répondu.

La cloche sonna et sans rien dire ni l'un ni l'autre nous sommes partit dans des directions différente, je ne sais pas en quoi il allait (et sincèrement je n'en avais rien à foutre) mais moi j'allais en littérature. Le cours commença, le professeur demanda à la classe plusieurs questions, auxquels je ne répondais pas. Je restais silencieuse dans mon coin. Au bout d'un moment je me suis rendu compte que le professeur écrivait quelque chose au tableau et que la classe était silencieuse. Il y avait écrit:

1. Nom COMPLET.

2. 100 à 250 mots MAXIMUM

3. Écris à l'encre bleue

Le professeur fini d'écrire, et il est allé s'assoir à son bureau.

"Le prochain travail que vous allez avoir à faire est une histoire courte. Qui fera comme le livre que nous venons de lire. Jade, peut-tu nous dire ce que le livre a fait." A dit le professeur.

"Hum, heu..." répondis la jeune fille qui j'en déduis s'appeler Jade.

"Tu sais la réponse, Tu as pris des notes tout le long de la conversation avec la classe" a dit le professeur gentiment.

"Réfléchir...?" a dit la jeune fille incertaine.

"Continue." l'a encouragé le professeur.

"Le livre nous a poussé à penser, à deviner ce qui c'était passer, parce que ce n'est pas écris mots par mots. Et aussi à nous poser des questions sur nous même." a dit la jeune fille calmement et drôlement plus sure d'elle.

"Exactement. Vous allez donc devoir créer une histoire courte, qui laisse le lecteur penser à ce qui est arriver, sans le dire, et aussi, à se remettre en question. Les autres explications sont écrites au tableau. Et c'est un travail seul." a dit le professeur.

Tout le monde sembla se mettre au travail, sortant leurs crayons à mine et leurs feuilles, j'ai regardé la classe travailler, quand je sentis le regard du professeur sur moi je me suis mise au travail.

Rachel était assise dans la balançoire en arrière de chez elle en compagnie de son ami d'enfance, bien qu'il pleuve, les deux amis pensaient justement que c'était le meilleur temps pour s'assoir et parler. C'est donc Rachel qui commença la conversation qui n'avait été que silence depuis le début.

Rachel: si je mourais demain, que ferais-tu?

Maxime qui connaissait Rachel depuis longtemps, même trop longtemps, réfléchi quelques secondes, peut-être même deux minutes avant de répondre.

Maxime: j'irais à tes funérailles, je pleurerais mon chagrin et peut être que je m'assumerais enfin.

Rachel: pourquoi?

Maxime: parce que c'est ce que tu aurais voulu, et c'est ce que je veux.

Rachel: je t'aime.

Maxime: je te déteste.

Et voilà, dix minutes, j'avais fini. J'ai levé la tête et j'ai regardé autour de moi, les autres écrivaient tous, en fais toute la classe écrivait. J'ai donc corrigé mon texte, et j'ai même eu le temps de faire ma version propre pour remettre (que j'avais écrit avec mon stylo préféré) Quand la cloche sonna, le professeur nous annonça qu'il nous donnerait la prochaine période pour terminer er remettre le travail. Ça me fait une période complète pour absolument ne rien faire. Je suis sortie de mon cours et j'ai porté mes choses à mon casier et j'ai été dehors. Il fessait beau et chaud, même trop chaud mais je ne me plaindrais pas, les canadiens eux ont un hiver et même un mètre de neige parfois. Je n'ai jamais vue de la neige et la seule pèle que j'ai jamais utilisé était pour construire des châteaux de sable avec ma sœur. Je me suis assise sur la rembarre. De l'école, et j'ai ouvert mon cahier, tout en mangeait ma pomme. Les élèves entraient et sortaient, certains allaient s'assoir dehors sur la pelouse qui n'était plus mouiller de la pluie de hier. Je me suis attarder a remplir de crayons un cercle que je venais de dessiner dans mon cahier.

"Est-ce que c'est toi la fille qui a l'air super dépressive et victime?" A dit une voix derrière moi. Je me suis tourner et j'ai vu un garçons, pas aussi grands que les autres de mon âge, mais il était assez bien bâtît, il avait les cheveux brun (qui lui allait bien à lui) et court (je croix que j'ai une obsession avec les cheveux, en passant, les miens son blond, typique d'une californienne, non?)

"Hum, ouais? J'imagine que c'est moi." Ai-je dis incertaine.

"Oh, je suis le frère de Luke." A-t-il dit en enfonçant ces mains dans ces poches. Je l'ai regardé intrigué. "Tu sais le garçon étrange aux cheveux long et laid?" M'a t'il dit pour clarifier la situation.

"Oh, lui, ah." Ils étaient demi-frère, je vous l'assure, ils n'avaient pas la même mère ou père peu importe, c'est le Frère de Luke qui a eu la beauté. Le frère de Luke s'avança est venu s'assoir à côté de moi, laissant tomber ces jambes dans le vide quand moi je les croisais en "indiens".

"Alors? Tu fais quoi ici?" M'a t'il demander.

"Hum, rien" ai-je simplement répondu. "Et toi?" Ai-je continué la conversation.

"Luke m'a dit que tu étais correcte pour une fille. Croit moi, c'est un compliment." A-t-il dit en riant. Je n'ai rien répondu, et au bout d'un moment de silence, il a simplement dit:

" Pour une fille? " ai-je demandé?

" Ne vas pas chercher pourquoi, mais c'est ce qu'il a dit. Les filles aussi peuvent être cool. " M'a-t-il dit

" Pas toujours, la plus part du temps, les filles sont chiante et incompréhensive. Elles ne se comprennent pas elles même la plus part du temps aussi. " Ai-je dis sans penser.

" Tu es bien la première que j'entends déclarer ça. " m'a-t-il dit. Je n'ai pas répondu.

"Je comprends pourquoi Luke te trouve cool, tu n'es pas compliquer surtout pour une fille, et tu es silencieuse ça fais changement ses filles qui parlent comme des pies." A-t-il dit, la cloche sonna et il débarqua de la rembarre, je me suis retourné et j'ai un qu'il me tendait la main. Hésitant, su je devais prendre sa main ou non, j'ai finalement descendu seule du muret, il semblait un peu surpris.

"À la prochaine Frère de Luke" ai-je dia en me retournant pour rentrer dans l'école.

"Cody" m'a-t-il répondu.

"À la prochaine Cody" ai-je redis, et je suis rentré, pour me rendre à mon casier pour aller en classe de Science, joie débordante. (Veillez noter le sarcasme)

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Après l'école, je suis sortie dehors, et la voiture de ma mère était déjà là, et m'attendais, je suis rentré dans la voiture, et elle démarra. Pas de bla bla habituel. Ce qui est étrange. Quand la voiture tourna le coin de la rue, je me suis décidé à parler.

« Heu, ça vas? » ai-je demandé.

« Je ne sais pas, tu aimes que les gens te mentes? » m'a-t-elle demandé. Je pense que je devrais me sentir viser. Mais, de quoi?

« Non... Personne n'aime cela. Je crois » ai-je répondu incertaines si j'avais bien répondu à la question. Je pense qu'elle voulait répondre, mais elle n'a rien dit. Quelques instants plus tard, elle reprit avec une voix plus douce. « L'école m'a appelé, il voulait que je motive ton absence pour lundi. »

« Je suis désolé, j'aurais dû te dire la vérité, je sais. » ai-je dis.

« Tu aurais dû » m'a-t-elle répondu ou plutôt répéter, et ce fus silence jusqu'à la maison. Quand nous sommes rentrées dans la maison, je lui ai demandé ce que je me demandais depuis tantôt.

« As-tu motivé mon absence? » ai-je demandé, priant pour que la réponse soit oui, je n'aucune envie de faire 4 heures de retenue demain. (Samedi)

Elle m'a regardé pendant un moment avant de répondre. « Oui, je l'ai fait. Dis-moi le la prochaine fois, je comprends que c'est dur ma chouette. » Je l'ai remercié et je suis monté dans ma chambre. Je n'avais jamais compris pourquoi elle m'appelait ma chouette, j'ai déjà vue une chouette, en vrai, et aussi en photo, et on doit s'entendre, c'est laid une chouette, alors, pourquoi m'appeler comme cela? C'est comme un peut les couples, pourquoi l'un appelle parfois « puce » je veux dire, avez-vous déjà vu une puce? C'est vraiment une des choses les plus laides au monde avec un Blob Fish. J'ai été dans ma chambre, j'ai traversé la première partie rapidement, jetant mon sac sur mon lit, et j'ai ouvert ma fenêtre et je me suis glisser dehors. Le drapeau du voisin bougeait lentement, et des fois retombait mollement quand le vent s'arrêtait, et il se re-soulevait quelques secondes plus tard. J'ai tourné la tête, et j'ai longuement regardé les vagues de la mer s'écraser contre le sable fin de la plage. Je suis rentré dans ma chambre, et je me suis diriger vers la porte patio de la maison, pour sortir dans le jardin (ce n'était pas vraiment un jardin en tant que telle, mais bon, la cours arrière de la maison).

« Où vas-tu? » me demanda ma mère qui coupait des légumes sur une planche de bois dans la cuisine.

« À la plage. » ai-je répondu simplement avant de fermer la porter et de passer à travers la cours et ouvrir la barrière. À mon premier pas, je sentis mon pied s'enfoncer dans le sable doux et chaud, j'ai continué de marcher, jusqu'au niveau ou les vagues arrivait. La marée haute doit avoir été ce matin, parce que le niveau de l'eau remontait toujours un peu plus haut. J'ai levé la tête, et j'ai regardé la mer a perte de vue, j'entendais le vent siller dans mes oreilles. Le vent était toujours plus fort proche de la mer. J'ai levé mes bras des deux coté de mon corps, je sentais le vent faire bouger mon chandail. Au bout d'un moment, je me suis assise par terre, et avec le temps, le niveau de la mer montait encore et encore, alors, je me suis ramasser assise dans l'eau et je me suis faite emporter, par surprise, j'ai avalé de l'Eau salé, et je me suis mise à tousser. Ma gorge me fessait mal, et je me suis mise à sourire, me souvenant soudainement que la douleur n'était pas seulement mentale, mais aussi physique parfois. J'ai entendu ma mère m'appeler, alors, je me suis lever et j'ai secoué mes cheveux un peut, enlevant un peu d'eau de ceux-ci.J'ai marché à travers la plage pour rentrer dans ma cours et finalement rentrer dans ma maison. Mon père était déjà à table, et attendais.

« Je vais seulement me changer, je reviens » ai-je rapidement dis avant de commencer à aller vers l'escalier et monter à ma chambre.

« Aria! Tu viens de rentrer plein de sable d'eau dans la maison! » M'a dit ma mère, mais elle ne semblait pas fâcher comme elle l'aurait été avant.

« Je vais tout ramasser après! » ai-je crié pour qu'elle m'entende puisque j'avais fermé ma porte de chambre, j'ai enfilé d'autres vêtements et je suis redescendue. Surprise totale, le soupé ne s'est pas terminer en chicane avec des cris. Ma mère rangeait la vaisselle avec mon père, pendant que je ramassais le dégât que j'avais fait tantôt en rentrant. . Je suis allé écouter la télévision, mais, rien ne me tentait vraiment, même pas America next top model, avant, j'aurais écouté l'épisode avec joie, fessant des commentaires à tout bout de champ, mais pas cette fois-ci. Au bout d'un instant, j'ai simplement décidé d'aller dormir. Dans ma chambre, j'ai fermé les rideaux, les lumières, et je me suis coucher. Je pouvais voir au plafond et j'ai vu les centaines de petites étoiles fluorescentes que j'avais collées avec ma sœur quand nous étions jeunes. C'est donc comme cela que je me suis endormie, avec ce poids sur la poitrine en pensant à ma sœur qui était pourtant si loin, et si proche en même temps.

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Petite info: il y aura des changement entre les: "..." Et les «...» ils veulent dire la même chose dans des dialogues, c'est seulement que sa change parce que j'écris sur mon ipod et sur mon ordinateur.

Et encore une fois, je fais de mon possible pour les fautes, pas besoin de me rapeller que j'en fais beaucoup. merci.

Merci de lire :)

Élodie

-xoxo-

*©2014 tout droit réservé a l'auteur, ce qui veut dire: ElodieBLT, si vous voulez traduire ou utiliser une partie de cette histoire, vous devez demander à l'auteur son accord.*