Chapitre 1

Changement de vent, publié le 18 juin 2014

ENFIIINNN LE PREMIER CHAPITRE MES COCO! haha! bonne lecture ;)

Chapitre1

"Comment vas-tu?" me demanda-t-elle.

"Bien, je croix." ai-je répondu.

Je regardais à travers la vitre, je pouvais voir les gens presser traverser la rue, ils semblaient si petits vu de l'étage numéro six. J'ai posé mes paumes sur la vitre et mon front aussi. Fermant les yeux.

"Et tes mains?" continua-t-elle.

"Elle vont mieux. Je croix" ai-je répondis encore une fois.

"As-tu utilisé mes conseilles?"

"Non, je ne croix pas" ai-je simplement dit.

"Sais-tu pourquoi tu viens ici?"

J'avais l'impression que j'étais de retour dans la salle d'interrogatoire du poste de police, me fessant poser des questions aux quels je n'avais aucune envie de répondre. Je me suis retourné violament vers elle.

"Et vous, savez-vous pourquoi vous êtes là?" ai-je lancé avec une voix que je n'ai même pas reconnue étant la mienne.

"Je suis là pour t'aider" a-t-elle répondu comme si c'était la chose la plus évidente au monde.

"Je n'en ai pas l'impression..." ai-je dis à mi-voix.

"Tu n'as pas pris ta médication dis-moi?" me demanda t'elle sans me regarder, elle notait quelque chose sur son pad.

"Non, j'étais supposé?" ai-je demandé innocemment.

"Tu sais très bien que oui." m'as-t-elle dit en me regardant par le haut de ces lunettes.

Elle joua un moment avec son crayon avec ces doigts, puis, le déposa et me regarda longtemps, le regard fixe sur moi, comme si j'étais un livre ouvert et qu'elle pouvait lire en moi. Ce fut moi qui détourna les yeux pour me retourna vers la vitre.

"Et tes parents?"

"Ils se chicanent beaucoup. Et je n'aime pas ça, je croix" ai-je répondu, étant la plus honnête que je pouvais l'être.

"Tu croix?" me demanda-t-elle avec une grande interrogation dans la voix.

"Je ne suis pas sûr que j'aime mieux le silence."

***

Enfermer dans ma chambre, je ne fessais rien. Je ne savais pas quoi faire, mais je ne cherchais pas non-plus. Au bout d'un moment, j'ai commencé à entendre ma mère crier des choses atroces à mon père, et mon père lui répondre des choses semblables. La routine. Je me sentais comme Katniss Evedeen dans The Hunger Games, prise au piège, je ne sais comment expliquer les faits, mais, c'est comme ça que je me sens. Je me suis diriger vers ma fenêtre que j'ai ouverte et je me suis passé à travers le cadres pour aller m'assoir sur le toit. J'avais vu un personnage dans un film faire cela quand j'étais jeune, et je m'étais demandé ce que cela donnait comme impression, de simplement faire sa rebelle et aller sur le toit. Quand j'au trouver le courage et que j'ai ressayé, je me suis presque sentie sur le toit du monde, surtout avec mes écouteur enfoncer dans mes oreilles avec la voix de divers artistes qui résonnaient. Dans les films, les personnages regarde le ciel, et regarde les étoiles, et bien, j'ai essayé de faire comme dans les films, mais c'était quasi-impossible. Les lumières de la ville m'empêchaient de voir les étoiles du ciel, la seule chose que je voyais clairement était la lune. J'aime bien la lune, elle semble plus grosses que les étoiles, mais, finalement elle est si petite comparer à la grandeur réel des étoiles. La lune est un parfait exemple de ce qu'était ma sœur. En fais, tout le monde est comme la lune, on a tous une face caché, qu'on ne montre pas, et même qui reste parfois sombre et lugubre pour nous même. Mais, je compare ma sœur à la lune, mais pas pour cette raison, bien-sûr qu'elle avait ces secrets, tout le monde en as, même les plus belles filles. Je compare ma sœur à la lune parce qu'à mes yeux (Et surement aux yeux de plusieurs autres personnes) ma sœur était celle qui brillait, et que l'on voyait toujours, et non comme une étoile que l'on voit s'éteindre, ma sœur était la lune, le centre, mon centre.

Au bout d'un moment, je suis rentré dans ma chambre et j'ai jeté un coup d'œil à l'heure. Je me suis dépêchée à me jeter dans mes couvertures et de faire comme si je dormais, quelques minutes plus tard, la porte de ma chambre s'ouvrait, puis se referma au bout de quelques secondes. Ma mère qui venait me voir, vérifier si je n'étais pas partit. Elle avait une peur bleu de un jour se rendre compte que je ne suis plus là. Ce qui est déjà arrivé, d'où vient sa peur. Je l'ai déjà fait, sortir en douce de la maison le soir, avec ma sœur, on allait marcher, on allait dans les parcs et on s'assoyait et parlait. Parfois on allait dans des fêtes, mais, je n'aimais pas ça. Alors, je restais dans un coin, parfois, je partais, envoyant un message à ma sœur lui disant. Et habituellement, le lendemain, sur le chemin pour aller a l'école, elle ne parlait que de la fête, de qui avais embrassé qui, qui avais pris de la dope... C'est quelque chose qui vas me manquer je croix, même au dans ces moment-là, ou ma sœur parlait sans arrêt de chose sans intérêt j'avais le gout d'enfoncer mes écouteurs dans mes oreilles pour faire taire les paroles de ma sœurs. Bien sûr, ma sœur n'était pas la sorte de fille à être superficielle, bon d'accord, parfois, mais pas toujours, quand nous étions que nous elle me parlait franchement de ce qu'elle pensait, non pas du nouveau mascara qu'elle c'était acheter, mais d'un livre, d'une chanson, de ces sentiments. Vous savez, ces trucs de filles?

"Je ne crois pas aux comptes de fée" m'avait-elle dit une fois.

"Pourquoi?" lui avais-je demandé.

" Toi tu y croix? À l'homme parfait qui vas piler sur son orgueil, te dire que tu es belle et te promettre la lune et les étoiles?" m'avait-elle répondu avec une touche de nostalgie dans la voix, je ne sais pas pourquoi par contre.

"Vue comme cela, non" avais-je répondu au bout de quelques minutes de silence et de réflexion. Mais je croix qu'elle ne m'avait entendue, parce que ce soir-là, elle n'a rien dit d'autre, peut-être qu'elle dormait déjà. C'est ce genre de conversation qui va me manquer. Qui me manque déjà.

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Multimédia: encienne photo du personnage principale qui n'as toujours pas de nom

J'espère que vous aimez. Parce que pour être franche avec vous, j'adore ce chapitre.

Autre info: Un chapitre sera publié par semaine, habituellement, le vendredi heurs québécoise, juste pour bien commencer la fin de semaine ;)

Élodie

-xoxo-

*©2014 tout droit réservé a l'auteur, ce qui veut dire: ElodieBLT, si vous voulez traduire ou utiliser une partie de cette histoire, vous devez demander à l'auteur son accord.*

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