Chapitre 25
La route avait été longue et pleine de questions sur ce qui allait m’attendre en rentrant, et me voila enfin à la maison, et j'allais me confronter à mes parents. Quand j'entrai dans la maison, j'avançais jusque dans le salon ou j'avais entendu les voix de mes parents, leur têtes en disais long sur ce qu'il allait m'arriver.
- Fils. Me disais mon père avec un regard noir
- Nous avons un énorme problème à cause de l'erreur que tu as commise.
- Je sais, je suis navré, jai été inconscient et je me suis laisser guider par mes pulsions de vampire. Cela ne ce reproduira plus, et je n'irai plus voir Erine.
Ces paroles étaient vraiment dures pour moi, l'idée de la voir tous les jours et ne pas pouvoir lui parler faire comme si elle n'existait pas ! Le temps que j'avais passé avec elle m'avait montré une autre vision des choses, une nouvelle façon de penser, apprécier tout simplement la vie.
- Ça pour ne plus la voir tu ne la verras plus. Je vais moccupé personnellement de cette fille et faire ce que tu as été incapable de faire.
- Non ! Lui hurlais-je. Ne fais rien à Erine, elle n'y est pour rien c'est moi qui suis allé vers elle et qui est fais l'erreur de lui montrer ma vraie nature.
- Tant qu'elle sera en vie, elle sera une menace pour toi et cette famille. De plus nous avons un autre problème prénommer Lucila
- Elle nous a entendu parler de ton erreur, enchaîna ma mère.
- Ce n'est pas négociable et on va en rester là, maintenant si tu veux bien monter dans ta chambre !
C'est bien pire que ce que ne je pensais, avec mon insouciance je venais de mettre en danger Erine. Si seulement je n'étais parti à ce foutu voyage. Mais je ne peux pas regretter ce que j'ai fait avec elle, j'en avais tellement envie. Je sais que c'est égoïste mais ces sensations que je ressentais, son souffle sur ma peau, nos corps qui ne faisaient qu'un. Je n'avais jamais ressenti une telle passion, mais elle est humaine il faut que j'en sois conscient. Aucun avenir ne peut être envisagé, c'est impossible et puis cette garce de Lucila ! je vais lui régler son compte à celle-ci. J'entrai dans ma chambre, fermai les volets et je mis mon casque, je mis Jong hyeok jeon - Concrete Love musique que j'appréciais énormément et qui me permettaient de me calmer. Au fur et à mesure de la musique, je m'assoupissais.
***
Alexandre était parti dans sa chambre, Victor son père était assis dans le sofa.
-Je vais y aller, ça ne sert a rien de faire trainer les choses.
-Tu va briser ton fils si tu fais ça, tu en est conscient ?
- C'est ça ou c'est ton fils que tu perdera.
Irène ne sut quoi répondre, son fils était bien trop important. Mais n'allait-elle pas le perdre d'une autre façon ? S'il apprenait qu'Erine était morte ça l'anéantirait, elle le savait. Elle entendit la porte claquer. Son mari était parti.
Il c'était rendu à l'appartement de la jeune femme qui avait causé tous ces problèmes à son fils et sa famille. Il regardait la fine silhouette, qui venait probablement de sortir de la salle de bain, vue dans la tenue ou elle se présentait. Ces longues cascades rouge et bouclé sculptaient ses formes timides. Mon Dieu que cette créature était belle ! Son fils avait bon goût. Il se tardait de pouvoir goûter goulûment ce sang dont il avait tant entendu parler ; d'ici il ne pouvait sentir l'odeur délicate de la jeune femme. Il profita du moment où elle était sortie de sa chambre pour se rendre à sa fenêtre, quelques heures auparavant, dans la matinée, il c'était fait passer pour le facteur et avait réussi à se faire inviter chez elle. Il n'avait donc plus aucun problème pour pouvoir entrer. Par chance la fenêtre n'était pas fermée ce qui lui facilitait la tâche. Il pénétra alors dans la chambre, et là, une odeur subtile et sucrée vin lui envahir les narines. Tous ces sens de vampires ce mit en éveil. Son fils et sa femme ne lui avaient pas menti ! Ce sang était une perle rare et avait de quoi rendre fou le plus sage des vampires. Il prit le soin de refermer la fenêtre et inspecta la chambre. Aucune porte de ne sortit au cas où sa victime aurait envie de s'enfuir, il y aurait peut-être la salle de bain. Chance la clef était sur la porte, il la ferma et garda la clef sur lui. Il s'adossa sur le mur à coté de la porte de la chambre et attendu que la jeune femme remonte.
Plusieurs bonnes minutes après il entendit du mouvement et sans aucune hésitation il repéra l'odeur sucrée de la créature qui n'allait pas finir la nuit. Elle passa le pas de la porte. Un claquement derrière elle, lui fis faire volte-face, et il ne lui fallut pas longtemps pour savoir quel genre de personne se tenait face à elle. La lueur rouge sang dans les yeux sinistre de cet intrus l'amenais qu'à une seule conclusion et une seule question. Cet homme était un vampire et que faisait-il chez elle ?
- Bonjour Erine.
Le sourire machiavélique qu'avait cet homme lui donna des frissons dans tout le corps. Il s'approcha d'elle lentement et la fit reculer jusqu'à qu'elle ce cogne contre la porte qui menait à la salle de bain. Comme il l'avait prévu, cette dernière tenta d'ouvrir la porte mais sans succès et comme pour la narguer il agita la clef sous ses yeux.
- Que... Que me voulez-vous ? balbutia-t-elle.
- Oh mais ces ta vie que je veux mon enfant.
Elle ne croyait pas ce qu'elle venait d'entendre ! venait-il réellement de dire qu'il voulait la tuer ? En même temps qu'elle est cette question stupide. Réveilles-toi ma pauvre fille tous les vampires ne sont pas comme Alexandre et encore lui en tenait une sacrée couche aussi. Mais au moins il ne l'avait pas tué. Mais elle avait l'impression d'avoir déjà vu cet homme quelque part, mais où ? Mais oui, bien sûr le facteur ! Mais pas seulement, elle l'avait vue autre part... Ou ressemblait-il simplement à quelqu'un qu'elle connaissait ? Une montée d'adrénaline lui donna le courage d'ouvrir sa bouche.
- Je sais ce que vous êtes.
- Je sais bien, et c’est bien là tout le problème.
Comment ça il sait bien ? Me connaîtrait-il ? Ou est-ce simplement un psychopathe qui me suis depuis des jours ? Si seulement Nolan était là ce soi.r Je suis toute seule, comment je vais faire pour me défendre face à ce vampire. Il avait une carrure tellement imposante, il paraissait aussi tellement sinistre. Ces cheveux noirs ébène, sa peau parfaitement blanche, sa barbe superbement bien taillée. Sa chemise noire satinée qui était cintré, laissé apparaître ces pectoraux absolument bien sculptés ainsi que ses bras forts. Oh mon Dieu s'il n'y avait pas Alexandre et si cet homme n'avait pas l'intention de me tuer je me serais bien laissé emmener dans son lit !
- Comment me connaissez-vous ?
- Ça tu n'as pas besoin de le savoir ! Maintenant trêve de bavarderie il temps que je fasse ce que jai promis
- Non, non attendez on...
Il prit le menton d'Erine entre son pouce et son index et l'embrassa, ce qui la fit se taire. Elle se raidit à ce contact. Elle se vit revivre ce qui s'était passé avec les trois garçons de son ancien lycée, ceux qu'ils avaient abusés d'elle, de son corps. Elle voulut se débattre mais l'homme la plaqua contre le mur l'empêchant ainsi de bouger. Elle était à sa merci. Son baiser devenait de plus en plus intense et Erine perdait tous ses moyens. Elle ne savait plus quoi faire pour ce tiré de là, elle était sûr qu'il allait abuser d'elle avant de la tuer. C'est un monstre sans gêne pensa-t-elle ! Elle laissa les larmes qu'elle retenait glisser le long de sa joue. Pour finir ce baiser intense il lui mordilla la lèvre, puis pris la tête de la jeune femme entre ses grandes mains froides. Il essuya la larme qui coulait du bout de son pouce avec délicatesse. Il se pencha vers son oreille.
- Maintenant goutons à cette liqueur dont-il ma tant parlé.
Don-t-il lui a parlé ? mais qui ça ? Elle n'eut le temps de réfléchir plus longtemps qu'elle sentit les canines de ce monstre transpercé sa peau et son sang s'écouler. La douleur était atroce elle voulut hurler mais ce dernier lui couvrit la bouche.
Quand il sentit ce liquide rouge dans sa bouche, ce fut comme si on venait de lui donner un coup de massue sur la tête. Il se délectait de ce goût si pur et si rare. En cinq siècles de vie il avait gouter très peu de sang aussi bon, ça avait un effet de drogue sur tout son corps. Il n'en pouvait plus, il en voulait toujours plus, tout son corps ce mettait à trembler. Il était tellement absorbé par ce goût si subtil qu'il n'avait même par remarquer que sa victime avait perdu connaissance depuis une bonne minute.
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