Chapitre 10

Pdv Erine

Nolan était parti s'isoler, renfermer sur lui à faire la tête et moi j'étais coincé avec Alexandre complètement impassible au regard fermer et assez ténébreux. 
Il avait un comportement étrange à se cacher sous sa capuche et dès qu'un rayon de soleil arrivé sur son sweat, il bougeait pour se placer à l'ombre.

- Tu es allergique au soleil ?

- Comment ça ? Me demandait-il sur la défensive.

- Ce que je veux dire, c'est que ta peau ne supporte pas le soleil ? J'ai une amie dès qu'elle est au soleil sa peau rougit et elle a des plaques rouges.

- ah... Oui ... C'est ça je suis allergique au soleil.

- J'ai de la crème solaire si tu veux.

Je m'approchai de lui et posai ma main sur son bras. Il eut un geste de recul et tourna le visage à l'opposé du mien. Je crus voir sur le coup des yeux rouge, mais ça ne devait être que mon imagination. Je vis alors la dame arrivé pour nous ouvrir le gîte.

On descendit grâce à de petites marches très glissantes à cause de la neige qui s'était tassé et qui avait gelé. Quand elle ouvrit la porte, on vit une pièce agencé et décorer avec goût. C'était encore plus beau que sur les photos, les meubles étaient en bois, de jolie cadre photos de la montagne, chiens de traîneau habillait les murs eux aussi en bois du chalet. Un carrelage bringé était dans tout l'étage, qui se composait de salon-salle à manger et une cuisine ouverte sur la salle à manger. Au niveau inférieur du chalet, se trouvaient 3 chambres toutes accompagnées de leurs propres salles salle de bain et un petit salon au centre était présent. Enfin, nous montâmes au premier étage où se trouvait une autre chambre. Alors qu'on visitait la maison, je trouvais Alexandre vraiment étrange.

Pdv Alexandre

Alors que la visite se poursuivait, je ne pouvais qu'entendre le rythme cardiaque d'Erine. Ça me rendait complètement fou. D'habitude, je pouvais rester plusieurs jours sans manger, mais la même pas une journée et j'étais en total manque de sang. Entre l'autre Nolan qui ne fait que me provoquer et qui met donc mes nerfs à l'épreuve et ce foutu soleil qui me chauffe la peau.

Je décidai de sortir et me mettre à l'ombre sous un arbre et m'allonger dans la neige afin de récupérer ma température corporelle normale. Enfin seul, je sortis ma petite pochette de sang afin de passer mon envie. Cette sensation de froid sur ma peau bien trop chaude me fit un bien fou, le petit vent frais qui venait balayer mes cheveux noirs, et cet air pure qui parcourait mes poumons me provoquait des sensations encore inconnue. Alors que je m'endormais une odeur désagréable, vint m'apporter un mauvais pressentiment... Je me demande encore dans qu'elle aventure, je me suis embarqué et surtout comment je vais faire au milieu de tout ces bouts viandes qui vont graviter tout autour de moi. Et surtout, je ne sais pas si je vais avoir la fois de ne pas toucher à Erine.

L'odeur continuait à se rapprocher de plus en plus. Quand je levai les yeux, je vis un homme au loin prendre Erine dans les bras. L'odeur que je sentais semblait émaner de cette personne bien étrange, mais qu'Erine semblait connaître. Je décidai de me lever et de rejoindre Erine et cet homme afin d'éclaircir toutes ces questions.

- Ah Alexandre ! Je suis heureuse de te présenter mon cousin, Lucas, je suis très proche de lui, mais depuis qu'il a ces vingt et un an, je ne l'avais pas vue. Elle se tourna vers Lucas Je suis vraiment surprise de te voir ici !

- Enchanté de vous connaître... Il me regarda avec un sourire maléfique. Comme Erine l'a déjà dit je suis son cousin. J'ai appris qu'elle venait dans cette région et je suis ici pour affaire. Je viendrais donc souvent vous rendre visite.

- Enchanté monsieur. Faite ce que bon vous semble, je ne suis pas le maître des lieux ici...

Il sentait vraiment à plein nez la lavande, mais une faible odeur se distinguait. Mais impossible de la qualifier et pourtant, je suis sûr de la connaître. Ce cousin ne m'inspire rien de bon et le regard qu'il m'a lancé était absolument provoquant et j'avais la nette impression qu'il me défiait. Après cette rencontre des plus désagréable, je pris mes valises afin de m'installer. Je choisis la chambre du haut, car c'était la plus éloignée de tout le monde puisque c'était l'unique pièce avec sa salle de bain qui composait cet étage. Bien parfait un lit double rien que pour moi. Il y avait deux petites armoires et la fenêtre de la chambre donnait sur la vallée et les immenses montagnes. Deux tables de nuit en bois de chênes coudoyait le lit. Je commençais à ranger mes affaires dans l'armoire et mes produits dans la salle de bains. Quelques minutes plus tard, j'entendis un vacarme en bas, c'était le reste des autres qui venait d'arriver. Je ne pris pas là peine d'aller les saluer et continuai mes petites affaires.

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