BaickleyCity,

POV:Maeve

-Qui a tuer la fille, répète -t-il encore une fois.

J'ai vu de la surprise dans son regard quand je me suis retourner mais il a vite reconcentrer son attention sur Jordan, sympa pour moi, me voit-il comme une sorte de... comment dire...un etre insignifiant, non pas que je le considère mais... vous m'avez comprise.

-Jordan, reprend-il calmement, qui a dégueulasser mon putain de verre de whisky?

Attendez quoi!!!!

Il est sérieux là.

-Donc une personne est morte et toi la seul chose qui t'importe c'est ton verre, dis-je surprise de son attitude.

-Qu'est-ce que sa peut te foutre, retourne te faire baiser au lieu de me casser les couilles ici, s'agaça-t-il.

-Fais gaffe à qui tu causes, je suis pas ta camarade et j'ai pas oublier toute les merde qui me sont tomber dessus quand tu t'es tiré, en y repensant une larme solitaire m'échappe que je m'empresse d'essuyer, la fille qui pète pas plus haut que son cul c'est mo...

-Maeve, c'est bon, rentre chez toi je vais gérer, on discutera de tout sa plus tard t'a des choses à me raconter, prononça Jordan.

-Y'a rien à dire, Marlaine est déborder, je vais descendre pour l'aider et SEULEMENT après je rentrerais chez moi, je suis sur les nerfs mais je m'excuserais plus tard, et j'irai bruler le cadavre de la poufiasse que j'ai laisser avec Jefferson, terminais-je avant de partir.

-Oublie pas de te débarrasser de sa copine, ajoute Jordan en souriant comme un idiot.

-1 ou 5 en partant de la gauche, en haut ou en bas Grayson, demandais-je en souriant de toute mes dents.

-8 comme avant mais laisse moi regarder s'il te plait Nini, me supplia-t-il.   

L'autre figurant à coter la, froisse son visage d'incompréhension, quand on était petit avec Jordan on attrapait des oiseaux et des rats pour des expérience... on va dire scientifique, c'était notre activité favorite, on a fait le 8 une seule fois sur un homme mais on a pas pu terminer car la soeur de Jordan nous a attraper, ce jour-là il avait vomit en disant que c'était dégueulasse et que j'avais des problème psychologique.

-C'est quoi 8, sa signifie quo...

-La science, le coupais-je.

-Mensonge, sa folie, cette nana est tarée quand elle s'y met, dis Jordan.

-Je suis pas folle, me défendais-je, et si tu viens retiens toi fais pas comme la dernière fois, rejoignez Jefferson en haut je vais la chercher et prend un glaçon avec de la sauce et des couverts terminais-je avec un clin d'oeil et un tirage de langue.

Je commence à partir, pour chercher la fille qui va bientot mourir pour ma science, c'est alors que je l'aperçut parler à un agent de police à l'extérieur, en tant normale j'en aurais rien à foutre mais là je suis pas sur ma zone, je sais pas qui est corrompue et qui ne l'est pas, je peux pas attirer l'attention sur moi. Je vois le policier, se tourner dans ma direction, j'observe les alentours et m'approche tout en palpant mon avant-bras, une fois à leur auteur, je braque mon regard dans celui de la fille en souriant.

-Madame, veuillez reculer et levez les mains en l'air, sans gestes brusques, commença le policier en sortant son arme et des menottes.

-Pourquoi vous m'arrêtez, demandais-je au culot.

-Homicide volontaire et menaces de mort, oh et vous voulez que je rajoute outrage à agent peut-etre, il commence à sérieusement m'agacer celui-là.

-Mais passez lui les menottes au lieu de perdre votre temps avec elle, ajouta la fille que je suis venue chercher.

-T'as retrouvé ta langue toi, on fait des progrès tiens, je tend mes mains au flic, fait vite.

Il s'approche lentement, attrape mes poignées et commence à me passer les menottes, je regarde autour de moi, plus personne ne fait attention à nous, il n'y a pas d'enfants et surtout pas d'autres flics parfait, j'attrape la lame de mon avant-bras et...l'homme tombe à terre... attendez quoi mais...

-On a pas toute la journée, souffla Jordan.

-Ouais, deux secondes j'arrive, j'attrape le bras de la fille et récupère la clé des menottes.

Une fois en haut, je retrouve Jefferson qui s'enfile une bouteille de gin, sur le canapé d'angle ce trouve Zackarya qui est plongé sur son portable. Je pousse tout ce qu'il y a sur le billard et j'installe la fille qui elle est apeurée, tout les garçons me regarde faire sans vraiment comprendre sauf Jordan, une fois qu'elle s'est bien allongée sur le dos, je me retourne vers eux.

-Toi, je pointe Jefferson du doigt, donne moi ta ceinture et ta cravate et toi donne moi ta chemise, je demande a Grayson, je patiente et vois que Jeff galère à défaire sa ceinture: il doit sacrément etre torcher, j'allais attraper son pantalon mais...

-Tu fais quoi là, lança une voix grave dans mon dos, mais comment il se déplace vite comme sa même?

-Sa ceinture.

-Tiens, dit-il en enlevant la sienne en vrai je vais pas chercher à comprendre.

-Merci, terminais-je.

Maintenant que j'ai à peu près ce qu'il me faut, je vais pouvoir commencer.

-C'est partie, essaye numéro 2 sur une poufiasse dans la trentaine, surement une cougar d'ailleurs, le sujet n'a pas d'enfants, ni de mari, pas la présence d'un petit copain non plus donc on peut commencer, conclus-je, donc on a dit 8 mais en partant de la droite ou de la gauche.

-Droite, rota l'ivrogne.

Tout d'abord on pose le matos, je sors les couteaux disposés sur mes avant bras, mes chevilles, ma poitrine et mes cuisses, vous pouvez dire que j'abuse mais chacun à son utilités, 8 couteaux au total. Le principe de cet intervention est simple à la base, on incise la peaux sur 10 cm au niveau du thymus, c'est un organe situé dans la partie supérieure gauche de l'abdomen, vers l'estomac, il emmagasine des cellules sanguines et filtre le sang tout en détruisant les vieilles cellules sanguines.

La fille hurle de douleur.

Jefferson rigole tout en applaudissant.

Zackarya regarde sans rien dire.

Et Jordan reste de marbre.

Je  lui retire donc son thymus, ensuite j'incise sa peau sur 6 cm pour récupérer son foi.

Elle hurle de nouveau tout en suppliant et le trop pleins d'émotions lui fait perdre connaissance.

Autour de moi plus un bruit ne ce fait entendre.

C'est comme sa que je me suis réveillée, sacrée rêve.