– Caroline Pavloff,
Les pleurs des femmes

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Dans la blancheur de l'aurore, sonne l'heure,
La fleur s'éveille, majestueuse, et étend ses pétales,
Le soleil embaume ses pleurs,
Que le matin avait déposé, sur ses épaules, en châle,

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Sonne l'amour, sonne l'heure,
La rose peste le jour qui court, une minute,
Une heure, l'infinie ne la verra pas dans sa hutte,
Pourtant, son amour, elle voulait le garder sans peur,

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A la blancheur du soir,
La fleur s'emplit de noirceur, cœur plein de désespoir,
Elle perd ses pétales, elle ne pleure plus le matin,
L'amour a changé de chemin,

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Ô pourquoi donc,
Faut-il que nos fleurs se meurent,
À la fin du jour.

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Eng :

To Lizst, eternal composer,

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In the whiteness of the dawn, ring the hour,

The flower wake up, majestic, and extends its petals,

The Sun embalm its tears,

That the morning had dropped, on its shoulder, in shawl,

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Ring the love, ring the hour,

The rose curse the running day, one minute,

One hour, the infinity won't see it in its hut,

Yet, its love, it wanted to keep it without fear,

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At the whitness of the night,

The flower fills up of darkness, heart full of despair,

It lost its petals, it doesn't cry anymore, in the morning,

Love have changed its way,

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Oh, why then,

Our flowers have to die,

At the end of the day.