Chapitre 0

   Qui est elle ?
Une simple humaine qui essayait de vivre une vie tranquille.

| Dans sa maison |

"-alors comme je te le disais, tu es le seul nom qui figure sur son testament. Vu qu'elle n'avait pas d'enfant ou d'autre personne à qui donner le reste de ces biens, c'est tombé sur toi."

Elle écouta silencieusement son interlocuteur, regardant le ciel nuageux de l'automne. Madame Miranda était sa voisine et une proche amie de sa mère quand elle était petite, elle avait toujours été comme une tante pour elle et bien que elle l'ai peu connu, la savoir décédé lui faisais beaucoup de peine, encore plus en apprenant qu'elle était si seule.

Sa ville natale était loin de sa maison actuelle, ce qui faisait que elle n'avait pas pu lui rendre vraiment visite depuis ses dernières années. Elle venait lui dire "bonjour" lorsque elle rendait visite à ses petits cousins qui habitait dans son ancienne demeure, soit peu souvent.

"Alors. Tu décides quoi ? Tu accepte de prendre ces affaires ou on laisse le gouvernement les prendre. C'est que des vieux trucs, des couvertures, des livres quelques peluches, tout ce qui restait dans sa maison en soit... j'ai pas tellement regarder en vrai.. mais tu peux toujour-"

"Je vais y aller."

"Quoi ?"

"Je vais venir par moi même pour voir se que je vais gardé puis je remettrais la maison au reste de la famille, ils habite à côté après tout."

"Comme tu veux."

Et il raccrocha. C'était un "ami" de la famille qui avait décidé d'aider par "charité". Enfin, c'est se qu'il dirait car c'était surtout parce qu'il avait une dette envers ses parents. Maintenant c'était réglé. Elle avait un voyage à faire, de plus elle pourrais en profiter pour aller voir ses cousins.

| Une fois arrivée |

À peine, eux t'elle le temps d'ouvrir la porte de la maison de don oncle qu'elle se fis renversé par deux petites créatures surexcités.

"BONJOUR COUSINE !!!!!!"

"Bonjour les crevettes..!-"

"Pourquoi t'es pas venu plus tôt ?"

"Est-ce qu'on a fait quelque chose de mal ?"

"T'es pas fâché contre nous ?"

"Tu vas rester combien de temps ?"

"Tu viendras à notre anniversaire, pas vrai ?"

Elle essaya de parler mais leur interrogatoires l'empêcha de pouvoir donner un quelconque opinion. Elle resta donc assise silencieusement jusqu'à qu'une voix venant de l'intérieur face taire les bavardages.

"Les enfants ! Voyont ! Laisser votre cousine un peu respirer ! Elle vient juste d'arriver.."

Suite à ses sages paroles, les deux petits enfants se reculèrent, regardant honteusement leur pied.

"Désolé cousine.."

"Désolée cousine.."

"Aller, maintenant aller ranger votre chambre..!"

"Oui maman !"

"Oui maman !"

Finalement, elle put enfin se relever et après avoir dépoussiérer son pantalon, elle regardas ta sauveuse, Tante Louise. Elle la pris dans ses bras puis vérifia son visage, elle ne fis que lui sourire gentiment.

"Alors qu'est ce qui t'amène ici, mon enfant ? Leur anniversaire n'es que dans deux mois et demi et je sais que tu es très occupée généralement alors que nous vaut cette agréable visite ?"

"J'aurais honnêtement préféré que se ne soit qu'une visite de courtoisie mais nan.. c'est à propos de Madame Miranda..."

"Oh.. je sais qu'elle est décédé il y a peu mais qu'elle est le rapport avec ta venu..?"

"Elle avait décidé de me légué sa maison et tout ses biens, et je ne pouvais pas laisser le gouvernement tout prendre alors.. je suis venue voir se que je pourrais emporter et pour la maison, je pensais pouvoir... vous en donnez la responsabilité..?"

"Mais bien sur que tu peux chérie ! Mais arrêtons de parler de chose déprimante, tu dois avoir faim avec ce long voyage, non ? Nous nous apprêtion juste à aller goûter !"

Le reste de l'après-midi se passa s'en plus de problème, elle s'occuperait de la maison demain et ensuite elle repartirai directement, alors elle décida de consacrer son après-midi à ses petits cousins qui avaient beaucoup de choses à lui montrer chacun de son côté, mais elle ne pouvait pas se partager en deux.

Le lendemain matin, elle se réveilla et pris son petit-déjeuner tranquillement jusqu'à se que son téléphone sonne.

"Halo bonjo-"

"Ouais c'est moi. Si tu pouvais venir maintenant j'ai pas toute la journée."

Et il raccrocha de suite, sans pouvoir lui laisser dire quoique-ce-soit. Elle fronça les sourcils face à ce "petit désagrément", il n'avait jamais été très sympathique et le temps ne l'avait pas aider à s'améliorer. Aussi, le fait que se serait le dernier service qu'il devrait à sa famille devait aussi jouer.

Une fois arrivée devant la maison, ou il l'attendait avec une impatience plus que discernable, clé en main, la porte déjà ouverte. Elle entra dans la veille maison, des souvenirs remplissant sa tête. Les lieux semblait si vide sans toute la joie et la vie qui l'habitait auparavant. Le temps nuageux avait dut aider à cette atmosphère grise et mélancolique. Elle dut retenir une larme. Mais avant de pouvoir continuer sa contemplation, elle fut interrompue.

"Alors. Tu comptes garder quoi ? Nan parceque j'ai pas toute la journée et t'aider à emballé des cartons ne m'enchantais déjà pas vraiment..."

Elle fit l'inventaire de ce qu'elle garderait et de ce qui resterait puis ils se partagèrent les taches. Cela pris toute la matinée mais ils réussir à le finir avant d'aller manger. Une fois finit, elle fis ses adieux et reprit le train en direction de chez elle.

Quelques jours plus tard, elle apprit que le camion avait eu un léger petite accident, rien de grave cependant mais les voyages de nuit ne sont jamais sans aucun danger. Il arriverait donc en retard mais un jour de plus n'allait pas la tuer après tout.

- • -------- • -

   Qui est-il ?
Un grunt qui fait se pourquoi il à été créé.

| Quelque part dans le Nevada |

Adossé au mur, il regardait devant lui, réfléchissant à la raison de son existence jusqu'à qu'il sente une tape sur son dos.

"Hey 4879 ! Ils ont besoin de toi en salle des machines. D'autre caisses à transporter je crois, ils ont pas vraiment donner plus de détails..."

Et c'est ainsi qu'il se dirigea, sans arme, vers le lieux où il était attendu. Il descendit silencieusement, certains des autres grunts le saluairent mais il n'y répondit pas. En effet, il avait un problème en tête. Était-il destiné à vivre ceci toute sa vie ? Certe, à leur yeux, ceux de l'agence, il n'était qu'un clone, un fulgaire pion, une chose remplaçable. Mais il n'était pas que ça. Il était plus que ça ! Il avait des sentiments, des envies, des rêves ! Mais ça le mettait en danger. L'agence avait déjà des problèmes de tailles à régler alors un pion rebelle serait juste une chose de plus à ce préoccuper. Et comment font-ils pour ce débarrasser des problèmes ? Réponse simple, ils les suppriment, enfin quant ils le peuvent.

Une fois à l'intérieur, les portes se refermèrent plutôt soudainement. C'était mauvais signe. Puis depuis un haut parleur, il entendit la voix d'un de ses dirigeants.

"4879. Depuis plusieurs jours, ont nous rapporte plusieurs.. "incidents" vous concernant :
refus de travailler, injures auprès d'un supérieur, et plusieurs autre actions plus ou moins "rebelle". Vous savez que nous ne cautionnons que très peu ce genre de comportement."

Son "visage" se deforma en un "froncement de sourcils". Il était fichu, il allait le tuer, c'était la pire chose qui pouvait lui arriver enfin, c'est ce qu'il pensait à ce moment là. Cependant il était près à ce battre pour gagner ça liberté.

"Bien. Je vois que vous prenez conscience de votre sort cependant. . . Nous ne vous tuerons pas, nan. Vous nous êtes encore trop utile."

Soudain, les portes s'ouvrir et plusieurs agents entrèrent rapidement avec des armes pointer en sa direction. Néanmoins, il avait d'autre plan, il se dirigea rapidement vers son assaillant le plus proche, poussant l'arme contre lui toute en lui faisant un croche pat pour le faire tombé. Il prit l'arme et tira sur les autre qui l'entourait cependant il fut touché par deux balles avant de pouvoir faire un autre mouvement. L'agent qui l'avait touché le frappa au visage, ce qui le fis tomber en arrière. Tremblant à cause des deux trous dans son abdomen et incapable de se relever à cause de la douleur insoutenable que ça lui provoquer, il essaya de reculer mais avant qu'il ne puis récupérer l'un des pistolet, il sentit une seringue lui être planté dans le coup et il s'évanouit.

| Plusieurs jours plus tard |

Il se réveilla dans une cuve, une masque à oxygène, ou du moins se qui y ressemblait, sur la bouche. Ses plait avait "miraculeusement" disparu et il se sentait étrange, changer même, mais il ne savait pas pourquoi. Puis soudain tout les souvenir lui revint comme une mine qui aurait explosé juste sous ses pieds. Il entendit des portes s'ouvrir ainsi que des bruit de pas rapide et se dépêchas de fermer les yeux. Le verre étouffé leur parole mais il réussi à distinguer quelques mots. Réacteur. Expérience. Instabilité. Mais celui qui l'inquiéta le plus, Implosion. Il fallait qu'il sorte, rapidement.

Il essaya de frapper la vitre de toute ses forces mais le liquide ayant ralenti ses mouvements ne causa qu'une légère fissure. Malheureusement son action déplaça le masque à oxygène et celui-ci se rangea automatiquement un l'intérieur d'un boîtier,  devenant inatteniable. Maintenant, en plus de l'urgence sortir s'ajoutait la terreur de la noyade, ses coups devenèrent ainsi plus frénétique. Après plusieurs coups, il réussit finalement à briser le verre et s'échapper, non sans égratignures.

Il chercha la sortie, se sentant de plus en plus mal de minutes en minutes, et pour arranger les choses, des soldats se rendirent comptent qu'il était un prisonnier évadé et essayèrent de le tuer.

Soudain, il y eu comme un flash. Un son trop puissant pour que leur "oreilles" puissent l'entendre mais suffisamment pour qu'ils arrivent à le ressentir. Le sol sembla trembler sous leur pied et la gravité devint instable. Puis..

...plus rien...

1641 mots

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