Nouveau Monde
Il faut que je le fasse. Il suffit que j'avance d'un tout petit pas. Ce n'est pas si différent de mon ancien lycée à Marseille. C'est grand, avec au moins 2 000 élèves, et d'après ce que je peut voir c'est blindé de gosses de riches. Non ce n'est vraiment pas si différent. Génial... J'entre dans la grande bâtisse avec les mains tremblante. Une fois au centre du couloir la plus part des regards son braqués sur moi. En même temps, je ne porte pas de vêtement de luxe, je ne suis pas maquiller de la racine des cheveux au bouts des ongles de pieds et je ne suis pas percher sur des échasses. Je suis même tout le contraire. Compressé par tout les regards braqué sur moi je me dirige vers les toilettes. Lors de la visite du lycée la semaine dernière j'ai pris soin d'analysé chaque recoins de se bahut. Et j'ai bien fait. Une fois devant les miroirs des WC je fixe mon reflet.
Mes cheveux blonds son légèrement bouclés, mes yeux bleus sont soulignés de cernes et mal grès mes vaines tentatives de maquillage on voit encore le bleu sur ma joue droite. Quand mon père va voir ça il va me tuer... Bordel... Je sors des toilettes et bien évidement les couloirs sont vides. Pour une première journée de cours, je commence bien. Je regarde mon emploie du temps ; B126, Mathématique. Bon ça aurait pu être pire. Une fois devant la dite salle je souffle un grand coup et toque. Je suis prête.
-Entrez !
Je peut le faire. J'ouvre la porte et encore une fois tout les regards sont braqué sur moi. C'est lourd à la longue...
-Bonjours, je suis Angélina Jolls. Je viens d'arriver, excusez-moi du retard.
Contre toute attente, la professeure me fis un immense sourire et me fit signe d'entrer. Elle n'était pas bien grande, brune, les cheveux long et tressé en épi de blé, elle avait l'air très gentille.
-Ce n'est pas grave. Je suis Mademoiselle Strauss, ta professeure de maths et principal. Bien, elle s'adressa à la classe, je vous présente Angélina Jolls, elle vient d'arriver de...
-De France, dis-je en souriant.
-Oui, voilà, de France. Je compte sur vous pour bien l'accueillir.
-Ça c'est sûre qu'on va très bien l'accueillir.
Je releva la tête vers le crétin qui venait de parler. Il rigolait avec ces amis, les filles gloussèrent et moi je le regarder avec dégoût.
-Et bien qu'est-ce qui t'arrive chérie ? Il rigolait toujours comme un con.
-Julian, c'est bon laisse-la tranquille.
Je tourna la tête vers celui qui venait de parler. Il me fixa et mon regard s'accrocha au sien. Bordel qu'il est canon.
-Oh, Brice t'es relou. Si on peut même plus s'amuser un peu. Je disait juste qu'on allait très bien l'accueillir. Rien de bien méchant.
Je décida qu'il était temps que j'ouvre ma grande bouche.
-Si tu m'accueille aussi bien que tu te coiffe et bien on est pas rendu...
Le silence se fit dans la classe. Puis après plusieurs personne se sont mise à rire, même la prof dissimula un rire en quinte de toux. Je dévia ma tête vers se Brice, il me regardait en souriant et me fit un léger clin d'œil et je lui rendit en un sourire. Quant à Julian, il s'était enfoncé dans sa chaise et ne bouger plus. Ensuite, Mademoiselle Strauss me fit asseoir à une table libre vers le font de la classe. Je n'est pas arrêter de fixait Brice, qui était à trois table sur ma droite, et lui aussi me jetait souvent des regards. J'ai l'impression de l'avoir déjà vu. Mais je dois me faire des idées.
La matinée passa super vite et l'heure du repas arriva aussi vite. Je me suis dirigeais vers la cafet' et...
-Merde !
-Un problème ?
Je me retourne en sursaut, la main sur le cœur.
-Putain, tu ma fais peur.
-Désoler.
La fille ria légèrement. Elle était belle. Grande, jambe fine, brune, yeux vert, et une peau pâle. Ouais, elle était belle quoi.
-Alors ? Un problème ?
-Oui. J'ai oublié mes sous pour manger ce midi.
-Ah ouais. Comme tu dis. Merde.
-Ouais mais c'est pas grave.
-Oh mais si. Viens je te dépanne.
-Non, non. Franchement c'est pas la peine. Je mangerais mieux en rentrant chez moi.
Mon cul, ouais...
-Si j'insiste.
-Bien. Mais j'ai très faim, alors...
-Fais-toi plaisir.
-Merci. T'es plus sympa que je le pensais.
-Tu me voyais comme elle ? Elle pointa une table derrière moi.
Un groupe de fille très...Fake étaient en train de rire comme des dindes. Je ne pu m'empêcher de répliquer :
-Non ! Je ne suis pas méchante à ce point non plus.
Elle rit et me tendit la main.
-Jenny.
-Angélina.
Je lui serra la main en souriant et elle m'entraîna à sa table. Elle fit les présentations.
-Les gars je vous présente Angélina. Angélina je te présente Mike, Luke, Cindy, Connor et je suppose que je n'ai pas besoin de te présenter Julian.
Toute la table rit. Mike est blond au yeux vert. Luke, brun au yeux marrons, Cindy est rousse au yeux bleu et Connor, brun au yeux vert. J'allais pour m'asseoir quand je senti quelqu'un me projetais sur le coté. Du coup j'ai fini les fesses par terre. Deux paires de bras me relevèrent. Je reconnu Julian et... Brice je crois. Quand je leva la tête pour voir qui venait de m'éjecter, c'est sans grande surprise que je reconnu Cécilia. Elle était entrain de rire comme une dinde.
-Et bien Angélina ? On fait le sol ?
-T'es tellement conne que tu te rend même pas compte que tu ris toute seule.
Elle se stoppa net.
-Pardon ?
-En plus d'être conne, elle est sourde. Non mais je rêve... C'est le botox qui te monte à la tête ?
-Mais pour qui tu te prend ?
-Pour moi. Alors je te jure que la prochaine fois que tu me touche je te ridiculise à vie. Même si tu y arrive déjà toute seule.
Elle se leva et me poussa de toute ces force. C'est encore une fois Julian qui m'empêcha de tomber.
-Tu l'aura voulu.
Je pris le verre de smoothie qu'il y avait sur son plateau et lui versa sur ces extensions.
-Espèce de... Tu verra à la maison.
Aïe... Je sens que je vais morfler. Pourquoi je ne suis pas capable de me la fermer ?
-Hey... Ca va ?
Je me retourne et voit Brice le regard un peu inquiet. Je lui souris.
-Oui, oui. Tout vas bien.
Jenny me prit doucement par le poignet.
-On vas se chercher à manger ! Elle tourna la tête vers moi. Pourquoi elle t'as parler de maison ?
-Oh... Parce que j'ai l'horreur de te présenter, Cécilia Lise, Fille de mon affreuse belle-mère Cathy, Jolls depuis peu...
-Donc cette femme c'est marié avec ton père et du coup Cécilia est...
-Ma demie-sœur...
-Putain, le bordel...
-T'as tout compris...
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