15• en planque
Assise en tailleur sur le toit plat d'une maison inhabité, j'ai vue sur une petite place. Dans ce coin il n'y a pas beaucoup de maisons habiter. Apparemment beaucoup de monde c'était réuni hier pour mon grand-père mais la majorité son parti ailleurs, loin de cette sordide ville. Je ne le savais pas mais beaucoup de personnes son parti suis au décès de mon grand-père car les gens d'en haut, autrement dit le gang et ses partisans, ne pensent qu'au profit qu'ils peuvent faire en intoxiquant les jeunes avec de la drogue ou le fait que la vente d'armes est très facile. Pour vous dire un bébé pourrait s'acheter un fusil.
Vous savez combien j'ai horreur des armes à feu. Or ce matin j'ai entendu par grande mégarde le toutou de mon frère dire qu'il allait intercepter ce matin une livraison d'armes au téléphone. Bon ok tout était pas clairement dit mais j'ai un QI élevé. Une fois à l'école j'ai cuisiné mon pauvre Maxence qui a tout craché. Je me suis juste assise sur ses genoux et j'ai peut-être un peu roulé des hanches, quelques gestes et regarde. Et puis on dit que les femmes sont le sexe faible, mon œil, c'est pas moi qui suis frustré ici.
- t'es vraiment une salope en fait... marmonne mon ami assise à côté de moi
- j'ai jamais prétendu être un ange mon chère
- les apparences sont trompeuses
Je continue de surveiller la place, c'est désert mais on est à l'avance.
- Je m'ennuie... se plaint-il à nouveau
- c'était ça où les cours, une préférence ?
- tu es sur d'être une bonne fréquentation
- franchement... non.
Il me regarde un instant et soupire. Il sait que j'ai raison puis c'est lui qui a voulu me suivre. Au moins si ça tourne mal j'ai un acolytes.
- couche toi!
Maxence exerce une pression sur ma tête assez forte que je retiens alors qu'il c'est déjà couché. Je me dépêche de l'imiter. Les choses sérieuses commencent.
Trois hommes vêtus de noir, pas du tout suspects, non vraiment pas, viennent d'arrive dans le petit espace depuis la ruelle dans le coin gauche. Ils repartiront probablement par là. Ils vont vers le bâtiment à notre droite. Je fais un rapide tour pour essayer de distinguer les hommes que mon frère a envoyé. Trouver! J'ai une vue direct sur eux par une vitre en face, juste au rez-de-chaussée du bâtiment à côté du notre, un café abandonné. Ils sont quatre, vêtu eux aussi en noir avec il me semble un brassard blanc au bras.
Ils sont motivés. Dés que ceux qui apportent des armes sont à leur hauteur, une fusillade débute. Les trois hommes lache la grosse caisse qu'ils transportent et se mettent à couvert derrière pour riposter.
Soudainement, les coups de feu se stoppe du côté du gang d'en bas. La cargaison vient d'exploser. C'est effrayant...
- quelqu'un a du lancer une bombe...
- Valentin, il n'aime pas se battre au corps à corps mais il est doué pour en matière d'explosif, m'explique calmement Max.
Évidemment lui est habitué à se genre de scène comme la majorité des habitants ici. Moi j'ai encore du mal. Et encore plus quand je vois ses inconnus inanimés au corps complètement meurtris.
- tu voulais voir bah voilà...
- Je mettrais un terme à ses horreurs, tu es avec moi ou contre moi?
- tu vas t'opposer à ton frère comment ?
- mon principe est de tuer Personne, pour Lucien, je vais trouver une solution... en attendant on va mettre des bâtons dans les roues de leur activités au deux gangs
Je me lève et poursuis:
- ils ne doivent pas récupérer ses armes
Je descend les escaliers à vive allure, sort du bâtiment et cours vers la boîte, deux hommes s'en approche, je crois qu'ils étaient présents lorsque j'ai été à l'hangar. Des subordonnés d'en bas.
- t'es pas possible, j'entends dire derrière moi Max.
Je cours vers eux et attaque le premier d'une droite dans son flan, j'enchaîne avec un coup de pied dans le ventre, puis j'arrête de réfléchir. Mon corps bouge naturellement, c'est trop facile, ce type me déçoit. J'aperçois Maxence soupirer et s'approcher les mains dans les poches. Je l'observe du coin de l'œil neutralisé rapidement l'autre. Je m'arrête quand je remarque que l'homme que je tapais est à terre dans un sale état. Mon allié se défend mieux qu'eux. Un bon point. Je suis pas tombée sur un incapable.
J'étire mes bras vers le ciel:
- Ah... une bonne chose de faite...
- il était pas très fort c'est tout
- ou c'est nous qui sommes trop fort
Non mon égo va très bien, juste que ça fait trop du bien de se laisser aller et pas se prendre la tête pour des futilités comme la couleur du rouge à lèvres. Qu'est-ce que j'ai pu être idiote moi...
J'ouvre le boite après avoir crocheter la serrure avec une pince à cheveux. Les yeux de Maxence trahissent son étonnement.
- Bah quoi?
- comment t'as appris ça ?!?
- euh... moi ? Je le fessait petite pour ennuyer mon frère...
- déjà une terreur à cet âge, soupira mon ami l'air ennuyé
- Je tapais dans tout ce qui bouge on peut dire, je ris
Autant lui dire à qui il a affaire. Je suis une terreur depuis petite.
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