Quatrième chapitre ded Oubliés
Eh oui, ma conscience à gagné (si vous ne comprenez pas je vous Renvoi au chapitre précèdent) donc le voici le voilà le quatrième chapitre. N'hésite pas à me donner votre avis, et à me donner des idées en commentaires. Bisous à tous.
Chapitre 4
«En cachant a tous votre talent et en ne vous recensant pas auprès du Conseil, vous vous rendez
coupable de haute trahison. Le conseil doit désormais décider de la punition.
Le conseiller Fallon mit les mains sur les tempes pour arbitrer le débat télépathique. Chaque
seconde passait comme autant d'années, et je luttai contre l'angoisse qui m'envahissait.
Ne pas pleurer, ne pas pleurer.
Ce n'est que quand mes poumons me brûlèrent que je me rendis compte que je retenais ma
respiration. Lentement, le porte-parole du conseil releva la tête.
«La sentence à été décidée à l'unanimité déclara t-il, bien qu'une personne trouve cette décision
injuste, il fixa le Conseiller le plus à droite qui je reconnu comme le conseiller Bronte. Il soutint le
regard de Fallon, puis croisa le mien, et me fit un petit sourire, à la fois triste et impuissant.
« A 11 vox contre une, continua le porte parole, nous condamnons Mlle Kipirina Desny à être
bannie à Exillium. »
Mon cœur sembla s'arrêter de battre alors que des vivats éclataient dans tout le tribunal.
Bannie
Le mot mit quelques secondes à parvenir à mon cerveau, et me fit l'effet d'une gifle.
Fallon continua : Mlle Desny partira dans quatre jours, le temps de réunir ses affaires.
Je n'aurais pas pu dire qui criait le plus fort, de mes parents, Dame Fiona ou Lady Vesta car ma vue
se brouilla, mes genoux se dérobèrent sous moi et je sombrai dans les ténèbres. La dernière chose
que je sentis fut une paire de bras robustes m'empêcher de me cogner la tête sur le sol et la voix
douce du conseiller Bronte me dire : Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer.
°°°°°°°°°°°
Les jours suivants passèrent à une vitesse folle. J'étais devenue la risée de l'école. On m'évitait dans
les couloirs, on chuchotait dans mon do. Tous les matins, je trouvais des mots dans mon casier, tous
plus blessants les uns que les autres :
-Encore heureux que tu dégages
-Va t'en !
-Au plaisir de ne jamais te revoir
-J'en viens à plaindre Exillium
…
Les gens qui ne se moquaient pas de moi avaient peur. Les rues se vidaient quand j'arrivais et nos
voisins avaient déménagés. J'arrivais en vue de mon casier, l'ouvrit, et remarquai immédiatement le
petit papier vert coincé dans la porte. Avec un soupir, je le dépliai
Tu n'est plus rien.
Une larme roula sur ma joue, sans que j’essaye de l'arrêter. C'était vrai, je n'étais plus rien, plus rien
à part « la pyrokinesiste » ou « la traîtresse ». Les gens ne voyaient plus que ça ; et mon identité
propre était partie en fumée en même temps que mon amitié avec Perle. Et il semblait que jamais
aucune des deux ne reviendrait.
Dans la solitude, les bousculades, les moqueries et les insultes, les quatre jours en devinrent trois
Puis deux
Puis un seul.
Pour la dernière fois, je passais devant la classe d'alchimie, traversait les couloirs et m'arrêtais
devant mon casier. J'entrepris de vider mon casier. Petit a petit, les prodiges formèrent une foule
autour de moi, en me huant. Lorsque mon casier fut vide, ils s'écartèrent pour former un chemin
tout en scandant : Enfin ! Enfin ! Enfin ! Enfin !
Une fois à la maison, je me roulais en boule sur mon lit
Ne pas pleurer, ne pas pleurer
Mes parents entrèrent dans la chambre, et ils s'approchèrent du lit, où ils déposèrent une longue
robe noire, agrémentée d'une capuche et d'un masque.
-Tous est prêt, dit ma mère d'une voix tremblotante, nous avons rempli ton dossier, tu logeras dans
une petite vallée près de Val-Serein. Le conseil passera te prendre à l'aube. Sa voix se brisa sur ses
derniers mots, puis elle éclata en sanglots et e pris dans ses bras : tu vas tellement me manquer
Kipi !
Mon père se joignit à notre étreinte :
-Ta mère a raison, mais je sais que tu y arriveras. Tu est une jeune fille très forte.
-Sait-tu pourquoi nous t'avons appelée Kipirina ? Demanda ma mère
-Non répondis-je
Mes parents s'installèrent à côté de moi sur le lit, et mon père prit la parole :
-C'est une belle histoire. Quand j'ai rencontré ta mère, elle avait un faible pour les cités interdites, et
s'était portée volontaire pour le programme d'assistance aux humains, avant sa fin il y a quelques
dizaines d'années. Elle avait en particulier jeté son dévolu sur une petite île du nom d'Hawaï.
-Les humains qui habitaient sur le continent ne connaissaient pas encore cette île, et les peuples qui
y vivaient étaient totalement livrés à eux mêmes, sans moyen de locomotions ni de communication,
continua ma mère. Ils étaient en quelque sorte prisonniers de cette petite île, bien qu'elle fut
paradisiaque. C'est dans leur langue que nous avons choisi ton prénom. En Hawaïen, Kipi signifie
« la rebelle, ou la rébellion », et nous t'avons appelé ainsi après la fin du programme d'échange pour
que tu te souvienne que la rébellion à beau faire peur, elle est parfois la seule solution viable, mais
surtout que cacher quelque chose ne le fera pas disparaître pour autant. N'oublie jamais.
Elle attendit que j'ai hoché la tête, puis me prit de nouveau dans ses bras.
-souviens toi toujours que nous t'aimons, quoi qu'il arrive.
Je m'aggripai à ces mots, en les laissait réchauffer tout mon corps d'un sentiment que je ne pensais
plus jamais ressentir : l'amour.
Ma mère sembla prête à partir, mais je ne lui lâchais pas la main. Ce
soir plus que jamais, j'avais besoin de mes parents.
-Maman, demandais-je, comment j'étais quand j'étais petite ?
Un sourire se dessina sur ses lèvres e elle se rassit :
-Eh bien, tu étais une petite extrêmement curieuse, et je n'oublierais jamais les premiers mots que tu as prononcé.
Ainsi, nous passâmes la nuit, sur mon lit, à nous remémorer pour la première et dernière fois le
années que nous avions passées ensembles, dans cette harmonie que nous dont nous n'aurions
jamais cru pouvoir se briser.
Le lendemain, quand les Conseillers apparurent dans le jardin pour m'escorter, un nouveau
sentiment avait pris racine dans mon cœur : le courage.
J'étais prête !
Voilà. J'espere que ça vous à plu (je suis sûre que c'est tellement nul que vous n'avez même pas Lu jusqu'ici). Bon en tout cas si vous lisez ca,erci beaucoup de lire mon histoire, je fais des efforts pour la rendre meilleurs vous inquiétez pas. Je vous aime tous bisous.
Mais quand je dis tous ça vaut aussi pour toi ❤❤.
Voilà.
Ps: un petit sondage. Pouvez vous me dire si la longueur des chaputees vous convient, sinon, sont ils tfol courts ou trop longs.
Trouvez vous les passages descriptifs Interessant, si non je m'efforcerai de faire plus court.
Voilà pour le petit sondage. Bisous
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