Le bal d'été

Se tenant près du buffet, elle se plut à observer les hôtes. Elle ne porte pas dans son coeur tous ces bals où les gens peuvent se pavaner. Elle remarque chaque parures revêtues pour l'événement. Elle prépare ce genre de bal pour donner honneur à son nom. Telle est la norme dont elle a pourtant horreur. Elle remarqua chaque parures revêtues pour l'événement. La présence de murs et de mets autour d'elle s'accordent d'avantage à ses coutumes personnelles. 

Un homme s'approche et la déloge du havre de calme qu'elle se forge près des murs lors de chaque bal. "Un effronté ose donc m'adresser la parole malgré ma nonchalance que je ne me tourmente pas à cacher ? Quelle étonnement !". L'homme offre à la jeune femme une courbette pour la saluer. 

— Enchantée ! Par quel honneur je parle donc au jeune homme de haut rang que vous êtes ?

— Ma personne a passé l'âge d'être nommé par ces bonnes grâces que vous m'adresser. Vous conversez avec un Comte, Comte Georgetown.

— Comment vous portez vous Comte ? Ce bal est à votre goût ?

— En ne comptant pas que je déteste être reconnu par le terme Comte, je me porte comme un charme.

Murmurant, en prêtant son bras à la jeune femme sans chaperon – venant d'elle, le Comte n'en fut pas étonné – l'homme acheva son propos :

— Je préfère que l'on m'appelle Edward... Entre nous, lors de ces bals, les mœurs de tous ces hauts gens m'exècrent jusqu'au fond du cœur. Ces bals, je m'y rends par convenances et amusement des ragots échangés. N'y voyez là qu'un contentement de la nature des Hommes auquel je ne peux échapper.

— Alors quelle est cette chose à de tels jugements sur les gens, Edward ? En quel honneur vous tournez-vous vers ma personne plus qu'une autre pour confesser ces remarques ?

— N'ayant pas eu vent de votre nom, Lady, je me permets de vous le demander avant de vous apporter réponse.

— Pardonner mon sens très tortueux des convenances. Je me tarde de vous révéler que vous avez devant vous Lady de Châtenay.

— Je me trouve donc au bras de la dame la plus adorée par les hommes de ce bal et vous osez vous en cacher ! être au courant de toutes choses vous concernant n'est pas autant sûr que mes pensées l'eurent projetés dans ma tête.

— Entendez-vous que vous en savez sur ma personne car vous avez amassé des sources à mon sujet ?

— Sûrement que l'homme à votre bras s'est plut à vous observé en rêvant un jour d'être honoré de votre présence. avoua Edward avec pudeur en offrant une marque de son bonheur par ses lèvres retroussés.

— Comte ? Qu'avez-vous amassé ? Que savez-vous ?

— Par exemple, de bon gré, vous semblez plus âgée que vous ne l'êtes réellement.

— Je ne vous permets pas de suggérer que cette manœuvre est exprès. Vous m'offenser superbement !

— Vous m'offenser à votre tour en me croyant dupe. Vous vous promener souvent sans chaperon : c'est que les dames et les gentlemen vous pensent assez âgée pour cela.

— Mon âge n'est pas marqué sur mon corps au nombre près comment pouvez vous être sûr de vos mots ?

— Je vous remets Lady Châtenay et un temps mon père fut proche du vôtre. Je vous confesse que de cette façon je sus beaucoup de vous, Hellen. Hellen et Edward, cela vous va ? En remembrance de nos pères camarades, nous pouvons l'être également.

— M'offrez-vous alors une dance à votre bras Edward ?

— Vous m'enchanter avec tant de talent que je ne possède pas les moyens de vous refuser quelconque chose.

Les planètes se saluèrent lorsque les deux êtres dansèrent dans la flamboyante salle de bal observée par le vent nocturne.  

14.07.2024

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