Chapitre 22 : la cite des elusims ( partie 4)
« Jolan ? »
Je n'arrive pas à répondre. Cela fait maintenant 17 minutes que nous procédons au massage cardiaque. Mes cheveux sont trempés, collé à mon crâne malgré notre présence dans l'océan.
« Jolan je pense que c'est fini. »
- Non. Dis-je à bout de force. Je le sens encore.
« Tu sens quoi ? »
- son fil de vie. Il est faible. Ian. Je vais te demander quelque chose.
« Tu vois, on a aspirer chacun toute l'électricité dont nous étions capable. Tu peux en parler enlever encore. Utilise ton néant. »
« tu veux rire j'espère ! Je vais le tuer ! Ou je risque de le laisser Handicapé ! Imagine je supprime aussi les messages électriques de son corps ! Jolan c'est de la folie. Je ne les ai contrôle que une fois ! »
« Je prends sur mon compte toute les responsabilités lier à de possibles suites. Ian, TU es le maître des ténèbres. Pas l'inverse. »
« Jolan je ne pourrais pas... tout le monde saura. Et le petit. Imagine. »
« Personne ne saura. Personne ne verra. Et Ian, soit le petit tombe dans un coma sans fin, soit il mourra. »
- Je veux pas !
« Je suis attaché à ce peuple comme si je le connaissais depuis toujours. Comme les elfes. C'est étrange. Mais c'est tellement plus fort ici. J'ai l'impression...
D'être chez moi. Le sentiment de quiétude. Leo ? Le fils de l'eau.
Je ferme les yeux.
Je nous enveloppe de lumière. Un bouclier brut.
« Ian, j'en prends la responsabilité. Je dois protéger m.. ce peuple ! Et je ne peux pas sans toi ! Maintenant ! Les ténèbres ne t'échapperont plus jamais ! Je te l'ai promis ! Maintenant ! »
Ian versa une unique larme. Et la bulle de lumière fut secoué de puissance. J'avais saisi la main de Ian et l'autre celle du garçonnet. Sinon les ténèbres allaient l'engloutir.
Ian était blême. Mais il s'attaqua à sa besogne sans un mot. La peur était palpable.
Une ténèbres lui échappa. Elle se précipita vers la tête du garçon. Ian s'arrêta en un cri et je posa avec précipitation mes mains sur le crâne de l'enfant.
Une douce lueur éclairait la bulle d'un blanc aveuglant.
C'est étrange. Ce n'est pas comme ce que je fais d'habitude. La ténèbre m'avait ouvert un chemin. J'étais dans sa tête. J'avançais dans un noir. Dans un néant opaque. Et je vis une faible lueur d'un bleu glacial. J'y couru. Un filament crépitait. Ma main se posa dessus. Le filament dit fit place à un enfant qui pleure, recroquevillé au sol.
- J'ai peur.
Je m'agenouille et pose ma main sur son dos, faisant des mouvements lents et rassurants.
- Je suis là.
- Qui es-tu ? J'ai peur. J'avais très mal. Mon corps ne voulait pas bouger. J'entendais tout autour, il y'avait des secousses dans mon ventre, ça me faisait mal et du bien. Et puis la douleur est parti un petit peu. Et puis beaucoup. Je voulais ouvrir les yeux. Et puis j'ai eu très très froid ! J'ai peur. J'ai plus de force ! Tout est tout noir ! J'ai PEUR ! Je veux voir ma maman.
Le moins qu'on pouvait dire, c'est que en plus d'être loquace ce petit est intelligent. Il a tout compris sans ne rien savoir. Je fis appel au feu sans le laisser sortir. Mes cheveux illuminèrent sur un cercle de deux mètres d'envergure autour de nous. Il leva la tête pour me regarder.
- Je suis Jolan. Je veux t'aider.
Le garçonnets se jeta dans mes bras. Je referma mes bras sur lui. Il était gelée, aussi je produisis un peu de chaleur.
Je viens de trouver une nouvelle manière de soigner je pense.
- Ne pars pas.
- Je reste la. Tu veux revoir ta maman ?
- Je veux que tu reste avec moi. J'ai moins peur. Tu fais comme le héros de mon histoire.
Je regardais autour de moi. Je vis très loin ce que je pensais être mon filament. C'est notre porte de sortie.
Je me leva en portant le petit, accroche à moi, sa tête dans mon cou. Il semblait presque dormir.
- Raconte moi ton histoire.
Je ne veux pas qu'il s'endorme dans sa tête. Je ne sais pas ce que ça peux faire. Et j'aime pas ça.
- C'est l'histoire d'un garçon. Il s'appelle Jolan. Comme toi. Et il fait de la lumière. Et on dit qu'il vivait très longtemps. Il étais celui qui a sauvé le peuple des fées.
C'est les elusims qui nous racontent son histoire.
Il venait souvent nager avec les poliargis, il était souvent triste.
Mais il souriait tout le temps. Et quand il souriait, les gens souriaient aussi.
Nous nous rapprochions de mon filament.
- Donc il souriait encore plus. Il étais joyeux, quand les gens l'étais aussi. On se savait pas qui il était réellement. Seul lui le savait. Mais il a ignoré et un jour, pour défendre tout les gens auquel il tenait. Tout ceux qu'il a aider, il a du faire la chose qu'il détestait le plus.
- C'est une belle histoire.
- Tu lui ressemble tu sais. Dans toi. Il y'a quelque chose qui lui ressemble.
- Peut être. On a le même prénom.
Je pose ma main sur le filament. Et nous revenons dans le monde réels. Ian est inconscient à côté de moi. Il dort. Il a dépensé trop d'énergie, beaucoup trop. Je suis agenouillé à côté de l'enfant. Une main de pose sur mon épaule.
Un homme grand, un diadème sur sa tête, je baisse la mienne en signe de respect. Celui ci le balaye d'un signe de main. Il saisit Ian sous les bras et sous les genoux et le porte.
- Suis-moi. Emmène le petit.
L'enfant battit des paupières à ce moment là. Je me pris dans mes bras et colla son front au mien.
- Dors, tu es en sécurité.
- Je sais.
- Viens fils de l'eau ! Les elusims t'attendent depuis longtemps. Nous t'attendons depuis longtemps.
Je le suis, l'enfant dans les bras. Ma tête me tourne, mais ça en valait la peine. Le petit vit. Nous nous arrêtons devant le palais. Du moins un bâtiment bien plus impressionnant que les autres.
L'homme au diadème pénètre dans l'enceinte du bâtiment.
Je lève la tête. Et continue. Un pied après l'autre.
Il me conduit jusqu'à une salle circulaire, remplie de canapé, un salon. Il dépose Ian sur un, le couvre et je fais pareil avec le petit. Puis mes genoux flanchent et je m'effondre sur le sol.
Allongé sur le dos je regarde la voûte.
Des dessins. Par milliers. Et au fond, sur une arche : Une écriture.
Mes paupières se ferment seules. Je lutte, le temps de lire l'inscription et sans autre possibilité, alors que je sentais l'homme, le triton plutôt, je m'endormis a même le seul. Sur la pierre nue. L'inscription trottant dans ma tête.
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J'ai sorti le vendredi ! Ça se fête ! Pas trop tard en plus !
Voilà la suite sortira donc vendredi prochain, avec attention, des explications.
Des avis ? Critiques / commentaires ? Questions ? N'hésitez surtout pas !
Sur ce je vous laisse, et à vendredi prochain ! Coeur sur vous ❤️
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