Chapitre 17 : quand les évenements se précipitent

Le reste de la journée c'est déroulé trop vite et là je me sens mal. Quelque chose me sers le cœur sans que je sache mettre un mot sur ma peine. Je repose pas tête contre le mur contre lequel je suis adossé depuis plus d'une heure.
Je m'étais réveillé, après avoir dormi une heure, à la forge allongé sur le matelas ou avant je passais mes week-ends. J'étais aller avec la mère et les enfants chez eux ayant encore deux heures devant moi, pendant que le forgeron retournait travailler. J'avais aider la mère à faire ses tâches quotidiennes puis j'avais joué un moment avec no au ballon ensuite il a commencé à pleuvoir. Nous sommes rentrer et j'avais fait des petits tours de magie devant les enfants et même la petite me regardait les yeux pétillants, tout deux riant aux éclats pur des jeunes enfants. Puis j'ai dû les quitter et j'étais aller rejoindre camélia. Et c'est là que tout a dérapé.

Elle d'habitude si calme et malgré les quelque larmes qui perlaient parfois ses joues roses parfois, elle qui d'habitude acceptait que juste pour la consoler lui prennent La mains, aujourd'hui a débordé.
Je l'ai rejoins elle parlait avec son oncle sans larmes avec un sourire force. En me voyant il avait dit : Tient voilà ton chevalier servant ma camé. File donc et félicitations pour ton mariage. Dès que nous étions sorti du village, elle a explosé en larme. Je lui ai pris la main doucement. Puis j'ai appelle Soliane par télépathie. Il m'a dit qu'il ferrai ce qu'il m'a demandé. Je savais que on aurai besoin de lui.

- Pourquoi ne m'avais-Tu rien dit ?

Elle a lâché ma main et c'est arrête de marcher face à moi, ses yeux baignés de larmes. Et elle a commencé à crier.

- Parce que tu pense que cela aurai changer quelque chose ! Tu pense que tu aurai pu tout changer ! Tu ne peux pas sauver le monde Jolan ! Tu es un garçon de 16 ans ! Pas le premier dragonnier ! Tu es different sur la magie mais tu es comme tout les autres garçons ! Tu pense que tout est facile ! Tu pense que j'avais le choix ! Je vais devoir arrêter de voir ma dragonne ! Pour son bien ! Je vais devoir briser mon coeur puis le réduire en miette ! Je vais devoir quitter la guilde juste pour le bon souhait de mes parents pour que j'épouse le fils du roi suis selon eux est le seul digne de mon sang ! Que je dois affronter le fait de n'être que une simple maitre des animaux me laisse voix à la discussion avec mes parents conservateur qui voulait un garçon !
Tu crois que ... !

- Camélia.

- Laisse-moi finir ! Tu.. tu crois .... je pensais que toi tu comprendrais ça.

Elle pleurai tellement qu'elle ne pouvait plus parler. Son corps entier était secoué de sanglots.

- Je n'ai jamais cru ca camélia. J'ai juste ....

- arrête de parler ! S'il te plaît... je veux rentrer.

Elle commençait à partir en trottinant.

- Camélia attends au moins ta dragonne...

Elle s'arrêta et me regarda les yeux toujours baigné de larmes. Une dragonne bleu pastel se posa au sol prêt de nous. Je rattrapa camélia et la tira par la main. Elle essayait de résister mais je gardais sa main enfermé dans la mienne. Après un rapide coup d'œil à sa dragonne et me laissait la tirer jusqu'à sa dragonne. Elle était jeune d'un coup d'œil j'estimais qu'elle avait 78 ans. Heureusement car nous allions monter a cru.  Camélia était toujours en larmes. Elle monta seul sur sa dragonne puis je me hissais derrière elle. Derrière un autre pied. Lorsque la dragonne décolla camélia poussa un petit hochet de surprise et glissa un peu. Je me mis debout pour passer derrière elle et l'entourer de mes bras pour attraper le pics dorsale devant elle. Elle m'a jeté un regard noir. Nous nous étions envoler jusqu'à la guilde où elle partis en courant je l'a suivis. Elle était entre dans sa chambre sans un mot et de l'autre côté de la porte je l'entendais pleurer. Je l'avais appelle doucement mais elle m'avait hurler de partir.

Mon coeur était en miette. Je ne pouvais pas l'aider. Du moins je ne savais pas comment et je me suis adossé au mur du couloir où je suis actuellement. Indécis.

« Ester ? »
« Oui ? »

Je lui envoie une image mentale de l'endroit où sont cachés remus braise et vague.

« Tu veux bien aller les chercher ? Je les récupérerai pendant le repas. »

« Zéro soucis j'y vais avec otil en plus. »

Je remonte mes genoux contre ma poitrine. Les minutes passent sans aucun bruits. Il est à présent l'heure de manger. Elle ne mangera jamais. Elle ne viendra plus manger avec nous maintenant. Je ne sais pas quoi faire. Toquer à sa porte pour lui demander de venir ? Elle me jettera. Ne pas aller manger ? Pourquoi pas. Finalement je me décide à me lever. Je vais juste chercher dans la chambre le carnet toujours cacher dans la sacoche au fond du placard. Je le doute avec le crayon et le coquillage dans ma poche puis je me dirige vers la grande salle. Tous sont là y compris Le Brun assis à la table. Ils se servent à manger.
Vague et braise se perche sur les épaules et je prends remus dans mes bras quelques secondes. Puis je le repose.

- Je repars tout de suite.

J'attrape une assiette mets dedans quelque légumes du riz et une boname. Je replis un verre d'eau que je pose sur le bord de l'assiette et repars directement sous le regard ahuri de mes compagnons m'interrogeant sur l'absence de camélia.

- Laissez-le tranquille et laissez la tranquille aussi. Mêlez vous de vos affaires aujourd'hui.

Le Brun avait lever les yeux de son assiette juste pour dire ça puis a continuer de manger comme si de rien était. Je le remercie intérieurement et sors de la salle avec mes boucliers. A cette heure ci tout le monde mange. Je ne croise personne dans les couloirs. J'arrive devant la porte de camélia. Je m'assois par terre avec l'assiette. Je déchire une feuille de mon calepin et commence à écrire :

Je ne suis pas le premier dragonnier légendaire,
Je ne suis pas différent,
Je ne suis pas un garçon extraordinaire,
Je ne suis pas le sauveur dont shola a besoin maintenant.

Je ne pensais pas que tu avais le choix,
Je ne pensais pas que c'est facile,
Je ne pensais pas que tu voulais ça,
Je ne pensais pas que j'aillais te blesser avec une questions futile.

Tu as raison d'être triste,
Tu as réponds d'être en colère,
Tu as tord de penser être seule.

Je ne suis qu'un garçon de 16 ans,
Mais surtout camélia,
Je suis ton ami.

J'ouvris la porte sans regarder à l'intérieur et posa sur le bord de l'entre l'assiette avec le petit mot. Remus entra et je lui demande de ne pas bouger tant que camélia ne le veut pas. Vague et braise ont les mêmes consignes et se mettent ensemble. Je referme la porte et m'assois. Comment ai-je pu ouvrir sa porte ? Elle n'avais peut être pas fermé magiquement, dans ses émotions elle n'a du en effleurer la pensée. Pourtant d'habitude cela ce fait automatiquement. Elle doit être brisé. Les gens commencent à arriver. Je ne bouge pas. Le dos coller contre la porte cette fois. Je ne les vois pas. ne les entends pas. Ne les sens pas. Je ne pense que à sa douleur. Si je pouvais je la lui aurai prise. Mais je ne peux pas. La nuit est tombé, c'est Soliane qui me l'a dit. Je n'en sais rien du tout. Le temps n'a plus d'importance. Je de fusionner mon collier afin d'avoir à nouveau ma flûte de pan, l'écaille d'elusims et l'anneau de la forge. Je sors le coquillage de ma poche. Es ce que j'en suis capable ? Je l'ignore. Peut être n'oserai-Je jamais. Je regarde la porte contre laquelle je suis appuyé. Le couloir est entièrement enveloppé dans la pénombre. Je porte la flûte de pan à mes lèvres. Je souffle une première fois dedans. Un son léger comme je le voulais, un qui ne réveillera personne, en sorti. J'avais lu à la bibliothèque plusieurs partitions dont une qui m'avais marqué : le jour se lève toujours après la nuit. Une mélodie connu à shola. Cela me semble bien adapté. Je commence en me souvenant des notes petits à faire sortir ces sonorités de la flûte. Je répète la mélodie plusieurs fois jusqu'à ce que j'entende un mouvement de l'autre côté de la porte. Puis plus rien. Je rejoins encore la courte valse de notes trois fois avant de ranger la flûte de pan. Mes paupières sont lourdes. Il est plus d'une heure du matin. J'enfile mon sweat, mets la capuche, range mes affaires et remonte mes genoux contre mon torse. Je les entoure de mes bras avant de poser ma tête sur mon épaule. Puis petit à petit je me sens partir et m'endormir.

**********

Nda: bonjour !
Je suis encore en retard dsl 😓
Bon bon bon bon bon.
Dans la prochain parti ça va encore plus partir en sucette. Mais bon préparer vous.

Que penser vous de cette parti plus centrer sur camélia et avec plus de sentiments ?

Comment trouver vous qu'avance l'histoire ?
(Trop lent - trop rapide?)

J'ai remarqué que vous étiez bcp à lire mon histoire mais vous êtes tous des fantômes ! Vous lisez parfois vous voyez mais vous ne laisser jamais ! De commentaires. S'il vous plaît j'aimerai bien que vous me Disiez comment vous sentez l'histoire. Même si c'est juste pour dire une faute d'orthographe !

Voilà
A la semaine prochaine et coeur sur vous ❤️

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