Chapitre 17 : Quand les evenements se precipitent 1/3

J'arrive en bordure de liehle. Il faut qu'elle me dise. Sur le bord de la route avec la condensation dans l'air je me rince les cheveux retirant là couleur. Difficile à enlevé je m'acharne avant que par un excès de magie là couleur vole en éclat. Mes cheveux ont pris un Halo de lumière que je cache bien vite. Heureusement que j'avais ma capuche sur la tête. Je décide de garder mes lentilles encore un peu. Depuis mon anniversaire je sens que la lumière veut sortir de mon corps. Comme si elle avait besoin de ne plus se cacher. J'aimerai aussi mais je ne peux pas.

J'arrive à l'écurie du dragon. L'oncle de Camélia m'aperçoit.

- Tu cherche came ? Elle n'est pas encore rentré c'est tôt tu sais. Reviens dans une heure.

J'hoche la tête avant de continuer mon chemin. Je vais aller voir no et sa mère. Voir comment la petite fille se porte.

En traversant la place, les questions se bousculent dans ma tête. Pourquoi le roi tenait un banquet avec autant de gens puissant ? Un roi ne s'entoure pas de plébéiens mais pourquoi autant de mages et de militaire ? Pourquoi à t'il fait accélérer notre formation ? Pourquoi nous a-t'il forcer dans son camps comme si il devait nous préparer ? Pourquoi devons nous porter une épée ?
Alors que j'arrive devant la petite maison je me fige. Et si mon intuitions se révélait vrai ? Et si une guerre se préparait ? Plus le temps passe plus ce sentiment se renforce. Peut être suis-je parano mais il y'a trop de changements, trop de zones obscures.

Je passe la petite clôture du jardin et toque à la porte de la maisonnette. Je n'entends rien c'est très calme. Trop calme pour un endroit abritant un bébé et un enfant de 7 ans. Je toque à la porte. Une fois. Seul le silence me réponds. J'entre. La maison est sans dessus-dessous. La peur me tiraille le ventre. Si leur était arrivé quelque chose je m'en voudrais à vie. Je monte à l'étage. Il n'y a pas de trace de lutte. Juste comme si tout c'était dispersé par un coup de vent. Mais un coup de vent surpuissant. Un objet interpelle mon regard. Sur le Pierre une rune. Je la déchiffre sans savoir comment : on attends.
Des sueurs froides passent dans ma nuque. C'est pour moi. Ce message est pour moi. Ou sont-ils ? Qu'est ce qui est arrivé ? Je veux des réponses ! Mes jambes tremblent. Je m'assois sur le lit. Calme toi Jolan. Réfléchis. Ou peuvent-ils être à cette heure là ? Le moulin ! La forge ! J'aperçois un écureuil sur la branche de l'arbre en face de la fenêtre. Après mettre mis d'accord avec lui je réalise un change. Orion me rends invisible et je saute directement de la fenêtre à l'arbre. Puis sur les toits Léger comme une plume. J'arrive à l'orée du village, au pieds de la colline du moulin. Je saute du toit remercie l'écureuil qui m'a suivit. Il se place sur mon épaule. Je me rends visible et cours le plus vite possible jusqu'au moulin. La mère est la seule en train de porte un sac de blé.

- Madame ! Ou est no ? Ou est votre fille ? Ou est votre mari ?

Elle me regarde avec des yeux ahuris ?

- A la forge avec mari je lui les ai laisser. Tu es son apprentis tu devrais y aller.

- Je voulais aller vous dire bonjour chez vous mais vous n'y été pas et la maison a été ravagée ! Venez avec moi je vous en prie ! Vous n'êtes pas en sécurité !

- Je ... heu... Jolan calme toi d'accord ? Oui je t'accompagne si tu veux. En plus nous devions te dire quelque chose.

- vite vite dépêchons !

- doucement Jolan j'ai un sac de farine.

Je saisis le sac de farine par télékinésie. Un pouvoir que j'ai n'ai plus utiliser depuis longtemps. Je commence à courir et elle me suit en marchant vite derrière moi. Pas évident de courir pied nu sur les graviers. Mes bottes claquent sur le sol. Pourquoi tout cela sent-il si mauvais ?

« Jolan je suis La si tu as besoin mais ils ne vont pas forcément débarqué. Pourquoi le ferait-Elles ? »

« Pour no Soliane pour no. »

J'arrive dans le centre du village. Une douleur me vrilla le crâne mais je continuais de courir malgré la douleur. Ça ne sens pas bon du tout du tout.

« JOLAN !!! »
« J'ARRIVE NO J'ARRIVE ! Tient bon !

J'arrive devant la porte de la forge, tout les volets sont clos. Je pousse la porte d'un coup de pieds, décommandé orion et entre la lumière prête à jaillir. Le forgeron est debout avec une épée devant une ombre. No tenant sa toute petite sœur serrer contre sa poitrine, en larmes tout les deux. Je n'hésite pas une seule seconde comme la dernière fois. Toute la lumière s'agite dans mon corps, là je sais comment l'utilise, maintenant là tout de suite, je sais. Des rayons de lumière jaillir des mes mains. Je les braqua sur l'ombre. J'isole le forgeron la mère qui vient d'arriver et leur deux enfants dans une bulle protectrice. L'ombre se tord devant moi. Je tente de communiquer :

« Pourquoi ? »
« Il est l'heure. Le chef attends. »
« Dit moi qui est en chef. Je ne connais ni votre motivation, ni sa raison. »
« Trouve... trouve... trouve algatia. C'est là où tu aura toutes tes réponses. Les..les choses s'accélèrent petit.... tu dois choisir ton camp.... maintenant libère moi. »

Je commençais par relâcher ma prison de lumière.

« Non pas ainsi.... libéré moi de mes chaînes je t'en supplie... »

Je pris une grande inspiration. Les yeux clos je me concentre. Ferme une main que je porte à mon coeur, l'autre tendu devant moi. Puis avec la lumière la plus pur, la main sur mon coeur s'éclaire, la main tendu vers la créature lance un rayon très fins de lumière, mais c'est la plus puissante possible. En plein dans ses chaînes. Elles volent en éclats, l'ombre devient une sorte d'esprit d'un bleu ciel.

« Merci petit. Cela fait 1074 ans que je t'attendais. Pour que tu puisse me libérer. A présent que tu m'as fait comprendre ma colère et le fait qu'elle ne repose sur rien je peux reposer en paix. Nous nous rêverons petit maitre de la lumière. »

Il s'évapore. Mes mains brillent encore un peu. Je me tourne vers la famille. J'abaisse le bouclier.

- Tout le monde va bien ?

- Oui petit.

Les larmes perlent le long de mes yeux. Je me sens tellement coupable. Si je n'étais pas entre dans leurs vies si je ne les avais jamais rencontré ils ne seraient pas en danger.

- Je t'interdit de dire ça Jolan !

Je relève la tête. C'est la mère qui a parlé.

- Tu as réfléchi à voix haute..., si tu ne nous avait jamais rencontré nous ne serions pas aussi heureux que nous le sommes aujourd'hui. Tu as rendu Nono heureux, tu as redonné le sourire à mon mari, tu m'à redonne le goût des choses, tu m'a permis d'avoir une fille. Après ce que tu sais.

Je repense au fruit de la vulnérabilité et j'ai hoché la tête. Le forgeron commence à parler.

- Jolan je sais que je ne parle pas beaucoup à la forge. Je sais également que je ne suis pas très tendre avec toi. Mais c'est parce que je tiens beaucoup à toi. J'ai de considère comme mon fils.

- Jolan maintenant que tu es là je suis plus nul en lecture. En plus tu m'a appris plein de truc. Comme le Rêne volant !

-c'est le cerf-volant mon chéri.

- Oui Maman. Et en plus on peux parler sans être à côté.

Les parents se tournent vers nous. J'explique

- Par deux fois no m'a parlé par télépathie. Quand il y'avait un problème pour l'accouchement c'est pour ça que je suis arrivé. Et aujourd'hui même si j'étais déjà en route. Je pense que nolan va devenir un maitre. Et très puissant vu qu'il a déjà ses pouvoirs.

- un mage de quoi ?

Je ferme les yeux pour faire appel à la terre. Puis je les ouvre regardant la famille avec stupéfaction. Les 4 sont entouré d'une aura. Les petits seront très puissant cela ne fait aucun doute.

- Il n'y a pas que no. Vous vous êtes un maitre du feu, c'est certainement pour ça que vous vous sentez serein dans la forge.

Je me tourne vers la mère.

- Vous vous êtes de l'éléments de l'eau.

- j'ai toujours été à l'aise dans l'eau.

- et vos enfants .... ils seront très puissants, beaucoup plus que vous. Vous n'avez qu'une affinité pas un pouvoir réel. Nolan est de l'élément de l'air. Et la petite est de l'élément de la terre.

- Super ! Tu sais utiliser l'air Jolan ?

- Oui no.

- Tu va m'apprendre ?

La terre commence à tourner. Le sol me paraît très attrayant. Les choses dansent devant les yeux. J'ai utilisé trop d'énergie. Je ne maîtrise pas encore suffisamment bien mon pouvoir j'ai perdu beaucoup trop d'énergie.

- plus tard. Là je suis fatigué.

Il me tends son petit doigt, je croise le miens avec le sien.

- Crois de bois crois l'air ?
-crois de bois crois de notre air.

Il est tout sourire de sa blague. Puis va s'installer sur la grande chaise de son père et s'y endors. Le forgeron passe sa main dans sa chevelure.

- Si je m'attendais à ça. Moi qui déteste la magie, j'en ai en moi. C'est... surréaliste.

- Jolan ? Est-ce que tu veux bien baptiser notre fille comme tu l'as fait pour Nolan ?

Elle m'approche la petite.

- Oui bien sûr comment elle s'appelle ?

- Flora.

Le forgeron pose sa mon sur l'épaule de sa femme.

- Comment il a pu baptiser Nolan il ne devait avoir qu'une dizaine d'année ?

- Non on était comme il est maintenant.

Ignorant leur conversation j'effleure délicatement de deux doigts le front de la petite.

- lioam jui flora, lioam piot mia pytiiy fluus, straji juon, unm noe foblie nede, ie juan us ui, uis olde frerea

(Vit joyeusement Flora, vit longtemps ma petite fleur, que les dragons t'accompagne, et n'oublie jamais je veille sur toi, ton grand frère)

Puis je dépose un baisé sur son petit front au milieu de ses mèches blonde.

- Jolan comment as-tu pu baptiser nolan ?

- Je.. je n'ai pas la force de vous l'expliquer...

Mes jambes tremblent sous l'effort pour supporte mon poids. J'avais utilisé la magie pour baptiser flora et mon corps me fait bien comprendre que je suis aller beaucoup trop loin. Regardant nolan endormi en boule sur cette chaise je souris.

- le mieu c'est que je vous montre.

J'effleure les tempes de la mère et du forgeron et attends qu'ils vivent se souvenir. La mère le temps la petite. Je prends dans mes bras la petite en pleurs. Je la berce en chantonnant les notes du cerisier. Elle se calme avant de s'endormir. Les parents ont toujours le regard vide. Ils vivent tout. Depuis mon arrivée dans le bureau au explications de maitre tom. Je n'ai rien à leur cacher.
Je suis obligé de m'assoir mes jambes ne me portant plus, j'ai peur de faire tomber la petite. La mère et le forgeron émergent enfin et me regarde d'un regard remplis de larmes et de douceur pour ce dernier. La mère reprends la petite et avant qu ils n'aient pu dire quoi que ce soit je me sens m'endormir en basculant sur le côté. Je sens une main sous ma tête l'empêchant de taper le sol.

***************

Nda : qui est encore en retard ? C'est moi !
Bon de pas trop longtemps mais quand même. Voilà voilà

A partir de maintenant les choses vont se gâter. Comment cela va se passer ?

Aimez vous l'histoire ?

Des questions ?

Que pensez vous de la famille ?

De l'ombre libéré ?

N'hésitez pas à voter et à commenter

A la semaine prochaine et coeur sur vous ❤️

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