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J'avais sincèrement été attiré vers Ines pour tout un tas de raison et notamment pour sa personnalité vraiment forte et très propre à elle ainsi que tout ce calme entremêlé à cette douceur qui émanait de sa personne et qui me laissaient des sensations tellement brûlantes au plus profond de moi et encore à ce jour, puisque tout est resté intact.

Mon attirance envers elle avait tellement été intense que ça avait été tout juste impossible que je me prive de ce que sa présence me procurait de fort et plaisant en posant une distance assez amer entre elle et moi, donc j'étais passé au-dessus de ça en gardant la proximité qu'il y avait eu entre nous sans lui faire de mal ou plutôt en essayant.

J'avais été contre le fait que tout ça nous nuise, donc même si par envie, j'avais gardé cette proximité qui selon moi avait été juste, je m'étais abstenu de beaucoup de choses autant sur tous mes mots que mes gestes pour ne pas que ça réveille des sentiments plus chargés et que ça la froisse davantage. Ça avait été un peu plus lège de ma part.

J'avais été blasé par la tension qui s'était installée entre nous, donc ce jour-là et peu importe son sale état de peine, je m'étais dit que cet abcès allait être claqué pour notre bien, car mon nerf tendu avait commencé à me rendre bouillant, donc ça avait été le mieux à faire pour ne pas que ça se casse entre nous et que ça en soit irrécupérable.

Au fur et à mesure du temps, je m'étais approché et installé à ses côtés comme pour lui remove cette occasion de fuir les explications. J'y étais allé avec calme tout en lui faisant comprendre que toute ma patience avait atteint un degré élevé et que les chatouilles au niveau de mon nerf avaient été comme très mal reçues sur cet instant-là, ay.

Finalement et après quelques échanges sans importance, elle s'était longuement confiée sur tous ses maux et j'avouerai que certaines révélations avaient fait pression sur moi, car je n'aurai jamais pu me rendre compte par moi-même de toutes ces choses. Elle avait littéralement retourné mes pensées de par tous ses mots. Ça avait été raide.

Je ne rentrerai pas dans les détails de tout ça, mais il y avait eu plusieurs choses qui avaient provoqué ce fort état de peine dans lequel elle avait été comme ce qu'il s'était passé entre elle et moi ainsi que les naissances des petits et le décès de Zian, mais aussi des choses qui avaient été nouvelles pour moi et qui avaient été comme brusques.

Ça avait été de nombreuses choses dont elle ne m'avait jamais fait part, donc une fois au courant, il y avait eu quelque chose qui s'était froissé en moi. Je n'avais pas su quoi faire face à elle, car les choses avaient été assez particulières et mes mots s'étaient comme bloqués et la seule chose qui avait réussi à sortir, ça avait été des «Je suis là !».

J'avais tellement été brusqué par ses confidences que mes mots avaient été répétitifs. Je lui avais fait part de mon soutien qui avait été sincère, mais entre quelques mots, elle avait sorti une phrase assez déplacée au vu du soutien que je lui avais apporté ces derniers mois. Elle avait balancé dans un calme plat «Tu ne m'apportes rien de bon».

J'étais resté très calme, car je m'étais mis en tête que j'avais sûrement mal compris ses mots, donc je lui avais demandé des explications pour voir si ma compréhension avait été bonne et elle était restée sur ses positions en rétorquant «Tu ne peux pas dire que tu es là pour moi alors que tu ne me soutiens même pas». Mon nerf avait chauffé.

Je m'étais contenu malgré mon nerf qui s'était dressé, car je m'étais rendu compte que son état était devenu assez strange. Je l'avais senti déconnectée et absolument pas en accord avec certaines de ses paroles alors j'étais resté une fois de plus très calme, car je n'avais pas eu envie que ça vire flou entre nous. J'étais devenu bizarre un peu.

Je ne m'étais vraiment pas reconnu, parce que j'étais devenu relativement calme et patient alors que ça avait été contraire à mes habitudes impatiemment nerveuses. Jamais personne ne me changera et je ne changerai jamais pour personne, mais je m'étais accordé à la situation pour Ines, car je veux son bien et du plus profond de moi, zeh.

Suite à cet échange, j'avais pu comprendre que son attitude envers moi était devenue assez raide par le fait que nos attentes et sentiments avaient été différents, car elle aurait voulu que je sois vraiment présent pour elle à sa manière ou disons même selon son envie, mais ça avait été impossible, donc ça n'était vraiment pas passé pour elle.

En réalité, il y avait eu une accumulation de plusieurs choses par rapport à tout ce que l'on avait vécu durant ces dernières années entre cet acte ainsi que ces naissances non-désirées qui ont fait suivre la masse de bourbiers y compris le décès de Zian en plus des dernières révélations dont elle m'avait fait part juste quelques minutes plus tôt.

Elle avait reçu tout ça avec une certaine violence alors rajouté à ça le fait que j'avais été indifférent et absolument pas réceptif à ses envies, ça avait chargé contre elle et soulevé une réelle rancune envers moi. Le comportement avait suivi dans la négativité, car elle avait été touchée par diverses choses. Je l'avais bien réalisé ce jour-là. Da shit.

Je n'avais pas eu les mots face à ses quelques provocations, donc je ne m'étais pas prononcé sur tout ça, parce que j'avais eu envie que tout se passe calmement. J'étais tout de même resté à ses côtés et toujours avec cette oreille attentive, car je m'étais parfaitement rendu compte que mon écoute avait eu un très bon effet sur elle, for sure.

Elle avait souvent demandé à ce que l'on prenne nos distances, mais une fois que je m'étais affalé sur le côté, elle s'était tout naturellement rapproché de moi. Elle avait vraiment été incompréhensible de par ses réactions, mais ça avait été lège pour ma part, donc on s'était posé et elle avait aussitôt repris la parole alors je lui avais mis un stop.

Je lui avais dit très franchement de se taire, car tout son mal avait pesé contre moi. Ça reste vraiment très paradoxale venant de moi qui me tue littéralement avec des pensées sombres sur des choses qui sont passées et qui me font constamment revenir vers la drogue, mais ça avait été très différent pour elle, car son bien avant le mien, sure.

On était resté ensemble sans rien dire, car nos présences avaient suffi l'un pour l'autre, mais quelques instants après, je m'étais rendu compte que ses pleurs avaient repris alors que ça avait vraiment été le calme avant ça. J'avais compris ses peines, donc le blabla avait été inutile alors je m'étais contenté de la prendre contre moi pour calma ça.

Ça avait été risqué de ma part au vu de ses nombreux sentiments, mais ça avait été la seule chose qui était passé pour lui faire comprendre que j'avais été là comme soutien sans s'éterniser sur des paroles que l'on s'était déjà dit à plusieurs reprises. J'avais opté pour une manière plutôt calme et douce tout comme elle. À son image finalement.

J'avais été claqué dû aux dernières heures, donc ce calme avait permis un repos plutôt court, car Ines s'était redressée en me regardant bizarrement et en me lançant un violent «Eh ! Mais tu fous quoi toi là, tu n'es pas censé être au travail ?» J'avais tellement été lège à ses côtés que j'en avais oublié cette galère-là, mais j'avais été mout hhh.

J'avais essayé de faire suivre la douille en disant quelque chose du genre «Ne parle pas si ce n'est pas utile et repose-toi tranquillement avec moi», mais ça n'était pas passé, donc je lui avais expliqué sans tous les détails de ce qu'il s'était passé cette nuit-là, car je ne lui avais rien dit sur le fait que j'étais en train de perdre un de mes frères.

Suite aux explications, on s'était laissé pour nos occupations et à seize heures, j'étais parti à la crèche pour prendre Zaher, parce que j'avais eu envie que l'on passe du temps à deux. Ça avait été bizarre le fait de me dire que depuis sa naissance, je n'avais jamais réellement fait quelque chose avec lui, mais surtout pour lui ainsi que son plaisir.

Ça avait été quelque chose de nouveau pour lui comme pour moi alors j'avouerai que ça avait bloqué sur l'activité. J'avais refusé ces vieilles aires de jeux où j'aurai vite perdu patience avec tous les gosses excités qui auraient sûrement été brusques avec Zaher, donc j'avais call Ines pour des propositions et de là, elle avait trouvé la pépite zeh.

Le LEGO store de Disney Village qui depuis est devenu le troisième toit de Zaher et Junayd. Après que l'appel ait fini, j'avais été mitigé, mais on s'y était tout de même rendu, car ça avait été la seule chose à faire. Lorsque l'on était arrivé, je l'avais lâché dans le store et il avait commencé à prendre ses aises en toute normalité. J'avais été mout.

Il n'en avait rien eu à faire du stand de construction, il s'était jeté sur les grosses boites de LEGO et de façon subtile, il avait fait comprendre que l'on allait ressortir du store avec les boites qu'il avait touché à plusieurs reprises vu que personne allait en vouloir après ça. Il avait refait ma soirée, mais je n'avais pas cédé pour autant, très loin de là.

Je suis très allergique aux enfants pourris gâtés, car ils grandissent avec une réelle inconscience de ce qu'est la vraie valeur des choses et je n'avais pas eu envie de ça pour lui, car ça reste tellement sale à voir ce genre de comportement, donc je lui avais refusé ne serait-ce qu'une boite, car j'avais eu cette envie de bien faire les choses, really.

J'avais senti que son petit gelb de jeune garçon avait été froissé suite à mon refus, car il avait été très déterminé, donc je lui avais proposé de faire des constructions de LEGO, parce que ça avait été le but de notre venue, mais pour ne pas qu'il soit frustré, je lui avais promis que je lui achèterai au moins ce qu'il aura pris le temps de construire.

Lorsqu'il avait compris ma façon de fonctionner, il s'était précipité vers le stand et il avait enchaîné les constructions en me les donnant à chaque fois pour me faire comprendre que l'on allait repartir avec tout alors que je lui avais bien précisé que ça allait être une seule figurine. Il était déjà très intelligent, fort et futé pour son âge alhamdullilah.

Je l'avais laissé faire ses petites affaires pendant un petit moment tout en le regardant faire de loin et une fois qu'il en avait bien profité, j'étais revenu à lui pour lui dire de choisir un personnage parmi les constructions, mais il avait énormément forcé pour tout prendre. J'avais été salement dépassé, parce que ça avait été du nouveau pour moi.

Je m'étais mis sur le côté avec lui pour que l'on puisse avoir une discussion, mais j'avais aussitôt faibli face à sa petite tête, car pour une première sortie, j'avais vraiment eu envie de lui faire plaisir et sans trop en faire malgré tout. Je lui avais tenu tête pour les boites complètes tout en cédant pour le reste et on avait réussi à s'arranger en lège.

Ce jour-là, j'avais vraiment réalisé que son éducation allait prendre un nouveau tournant, puisque les caprices avaient pris place. Il avait grandi et son comportement avait évolué avec lui au fil des mois comme tous, donc on allait devoir faire les choses bien avec lui et surtout pour lui et son bien. Il n'y a rien de mieux qu'un enfant bien élevé.

Chaque parent donne une éducation différente à leurs enfants et pour ma part, j'avais opté pour une manière lège et à la fois ferme. Il est très évident que chaque éducation ne peut pas être comprise et approuvée par tout le monde, mais j'avais eu à cœur de faire comme ça pour que ce soit décontracté avec mes petits, mais sans perdre le fil.

La relation que j'entretenais avec Zaher était particulière, car au-delà du fait, qu'il était mon enfant, je le prenais comme mon pote et ça avait suivi avec Junayd. À ce jour, notre relation est restée la même sur ce qu'il en est de nos façons d'être entre nous et j'espère sincèrement que ça restera comme ceci sur de très longues années, in shâ Allah.

Je suis un jeune père de famille, donc mon comportement et mes choix vis-à-vis de mes enfants vont parfaitement avec ce fait. Je compare souvent cette relation que Maamar, Nina et moi avons partagé avec notre Monsieur qui est à une dizaine de jours de faire ses soixante-dix-sept ans in shâ Allah avec celle que je partage avec mes enfants.

À ma naissance en 1991, mon Monsieur avait déjà un certain âge, donc autant dire que ce petit détail ainsi que les mentalités qui étaient très différentes de maintenant s'étaient amèrement fait ressentir dans notre relation. On a toujours eu un lien assez plat avec une certaine retenue, mais disons que ça s'est accentué suite à mes sales actes.

La relation que j'ai pu avoir avec mon Monsieur et celle que mes enfants ont avec moi est totalement opposée. Je me comporte avec mes enfants comme je me comporte avec tous mes frères à quelques exceptions près et si j'ai envie de partir dans des délires un peu strange avec eux, je le fais, parce que je suis en totale décontraction, zeh.

En tout cas, ce jour-là, le caprice de Zaher avait laissé une certaine idée dans mes pensées, car depuis et dans ces moments-là, j'ai pris cette habitude de les imiter pour qu'ils ressentent le ridicule et qu'ils s'arrêtent très rapidement, donc en tant que grand gamin, je me lâche sévère, mais évidemment tout ça se fait lorsque l'on est chez nous.

Ils pleurent, je pleure faussement avec eux. Ils me mettent des coups par mécontentement, je fais un sale one-one du futur avec eux. Ils se roulent au sol en criant ou en pleurant, je leur fais la chenille dans le plus grand des calmes pour qu'ils aient un aperçu du dérangement dans lequel ils sont et wAllah ça fonctionne, parce qu'ils s'arrêtent.

Je suis satisfait de cette éducation que je leur ai donnée, car je n'ai jamais réellement eu de soucis au niveau de tout ça. Ça a toujours été très lège ainsi que comique et surtout, ils ne m'ont jamais mis un coup de hachma en public ou dans des évènements, car tout se passe 7na, fi dar et ça reste vraiment très appréciable en tant que parent.

Parenthèse fermée même si je n'ai jamais signifié qu'il y en avait une qui avait ouverte. Anyway, suite à ce moment passé avec Zaher, j'étais rentré avec lui et j'avais expliqué cette sortie à Ines pour que la suite des choses soit lège et que notre façon de faire avec Zaher soit totalement en accord, parce que ça avait été le mieux à faire pour lui.

Suite à ces quelques explications, je les avais laissés ensemble et j'étais parti sur mes occupations. Ce moment seul avait permis de prendre des nouvelles de Karim, mais son père m'avait expliqué que les choses étaient restées comme à notre départ. J'avais eu besoin de toutes ces nouvelles-là, et même si les choses avaient déjà été écrites.

Je ne peux pas dire que j'en avais été soulagé, puisque de toute façon, son décès avait été au bout de ces quelques heures qui allaient suivre, mais ça avait quelque peu calmé une pression au fond de moi de savoir que rien ne s'était passé durant ce temps où je n'avais pas été sur place, car j'avais eu envie de le voir au moins une dernière fois.

J'avais poursuivi sur mes occupations et dans la soirée, je ne sais pas réellement pourquoi, j'avais pris la route jusque chez Lylia. Je ne m'étais pas vraiment posé de question sur ça, non, j'étais descendu à la gova et j'étais parti. J'y étais forcément allé pour voir Junayd, mais impossible de savoir ce qui était passé dans ma tête pour m'y rendre.

Lorsque j'étais arrivé, je m'étais posé avec Junayd sans vraiment faire attention à Lylia, car une de ces haines avait toujours été présente. Je m'étais plus attardé sur Junayd en le prenant sur moi, même si la situation avait été assez gênante à ses côtés par une certaine impression qu'il n'avait vraiment rien eu avoir avec moi. Ça avait été amer.

Je savais quand même ce que j'avais fait durant cette nuit-là en plus des dates qui avaient totalement été en accord, mais ça avait tout de même soulevé une gêne au fond de moi comme cette impression que l'on n'avait rien eu à faire ensemble. Ça avait sûrement, et même réellement été cette entente très bad avec Lylia qui avait causé tout ça.

Après une bonne heure et demie de malaise en compagnie de Junayd et Lylia, j'étais reparti chez moi sous fatigue. J'étais rentré pour du repos, car le travail ainsi que le patron sous nerfs salement tendus avaient attendu après moi pour la première heure. J'avais eu besoin de reprendre des forces avant ce fight de reproches qu'il allait y avoir.

Je m'étais posé pour du repos, mais ça avait été compliqué, car mes pensées avaient été mauvaises à fond. J'avais été dans une phase de micro coma, car cette forte fatigue avait été là, mais mes pensées sombres avaient toujours été plus fortes que le reste. J'étais tout de même resté dans ce calme avant d'être perturbé par diverses sirènes.

Les pompiers passaient sous sirène des dizaines de fois par jour et je n'en avais jamais vraiment prêté attention, mais cette nuit-là, j'en avais vraiment été perturbé au point de me préparer pour rejoindre tout le monde chez Karim. Il avait été évident qu'ils n'avaient rien eu à voir avec lui, mais ça avait été un vrai bordel dans mes pensées, ay..

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