● 136
Lylia avait dû faire part à Ines de ce moment où ça avait dérapé lège entre elle et moi. Ça avait été un peu comme douteux, mais en même temps comme une évidence, car elle aimait se plaindre de moi à Ines en balançant de sales faits me concernant qui allaient forcément mettre un frappé entre nous et j'en avais été salement froissé de ça.
J'avouerai que ses mots avaient accentué la haine que j'avais eue envers elle et ça avait sûrement été par le fait que j'avais été dans une mauvaise posture du fait que je m'étais bien laissé vivre entre Ines et elle sans faire attention à cet effet salement brutal qui allait se mouvoir contre elles de par tous les actes que j'avais eu envers les deux.
En soi, ce soir-là, tous mes agissements qui étaient restés très lèges avaient été faits selon mes envies de par la pression que Lylia avait exercée sur moi qui suis bien trop sensible à la douceur de la femme et non dans l'intention de faire du mal à qui que ce soit, donc leurs mots m'avaient un peu perdu, car je n'avais rien attendu des deux, eh.
- Moi : Peu importe ce que Lylia a pu te dire nous concernant elle et moi, je sais ce que je ressens à l'intérieur par rapport aux enfants, mais aussi à toi, donc il ne faut pas que tu l'écoutes.
- Ines : Le sujet n'est pas là, donc je n'en ai rien à faire de ce que tu ressens ou non.
- Moi : Alors pourquoi tu me prends le crâne ?
- Ines : Laisse. Tu ne comprendras jamais rien en fait.
- Moi : Mais tu ne me dis pas clairement ta pensée, donc comment veux-tu que je comprenne quelque chose ?
- Ines : Ça fait des mois que je tente de te faire comprendre les choses, mais à ce que je vois tu n'as toujours pas saisi, donc je ne m'éterniserai plus sur ça, parce que j'estime que si tu n'as toujours pas bougé sur ce qu'il en est de ça, c'est que tu n'as pas les mêmes attentes et ni les mêmes envies que moi.
- Moi : Bien sûr que j'ai compris ce que tu recherches ou du moins ce que tu désires de moi, car notre connexion si intense m'a permis de le comprendre, mais ça reste assez compliqué, parce que je ne peux pas te donner ce que je n'ai pas, autrement, ça ferait bien longtemps qu'entre nous, les choses auraient évolués.
- Ines : Dans ce cas-là, reste à ta place et arrête de faire des choses qui touchent à nos sentiments, mais dans le mauvais sens.
- Moi : Tu as raison. Prenons nos distances pour ne pas que tu finisses par en être salement touché, parce que malgré ce que tu peux croire, ça me foutrait mal.
Je n'aurai jamais imaginé être confronté à une problématique pareille sur ce qu'il en avait été de tous ces sentiments qu'elles avaient développées au fil de ces mois, et même de ces années, car pour moi, tout avait été assez clair même si, à un moment, je m'étais perdu dans mes sentiments envers Ines. Il n'y avait eu aucune possibilité, zeh.
Il est vrai que mes intentions avaient très souvent laissé paraître certaines choses envers-elles et bien plus envers Ines qui m'apporte tellement de choses dans ma vie, mais j'avais toujours fait en sorte de mettre les choses au plus clair avec les mots, mais visiblement, les sentiments avaient tout de même fini par se poser. C'est ma hantise lhob.
Suite à ces échanges qui avaient été assez froids, la discussion s'était aussitôt arrêtée et j'étais tombé raide. Au sbah, j'avais déposé Zaher à la crèche avant de me rendre au PC et une fois là-bas, le patron avait demandé à ce que je le rejoigne dans son bureau, donc je m'étais changé et j'y étais allé, afin de voir quel bourbier m'avait attendu.
Je m'étais installé et il avait aussitôt lancé le sujet qui avait été fâcheux, puisque ça avait été celui des congés exceptionnels. Il ne s'était pas éparpillé et il avait simplement demandé à ce que je donne des dates pour un énième congé, donc dès l'instant, j'avais repensé à la venue de mon Monsieur et je me l'étais tenté, mais il avait refusé, ay.
Le nerf avait été tendu suite à son refus, donc j'étais sorti, mais lui aussi, il était sorti et il m'avait suivi jusque dehors, puis finalement les échanges avaient doucement repris, mais sous une indifférence de ma part, parce que j'avais été à bout. Ça avait été le refus de trop, celui qui avait vraiment tapé sur la moindre de mes pensées, mais sale.
Il avait déjà refusé énormément de mes demandes et notamment lors des mises sous terre des frères quelques mois auparavant et j'avais toujours accepté ses refus malgré la tension, mais cette fois-là, le refus n'était vraiment pas passé dû au fait que j'avais été le seul à me prendre des sales rejets dans le genre. Il m'avait laissé nerveux, deh.
Je m'étais posé énormément de question et surtout à savoir ce que je foutais réellement chez lui, car sous tous ces efforts et ce bon travail fourni, il n'y avait jamais eu des retours positifs de sa part, mais uniquement des sales refus sur des demandes qui avaient vraiment été banales. Je m'étais demandé à quoi ça servait que je reste au PC.
- Patron : Je comprends que tu sois sur les nerfs, car ça ne doit vraiment pas être facile d'être à la merci de quelqu'un surtout pour une personne comme toi qui a toujours été en position de force, mais Emir, je ne veux pas que tu le prennes mal tout ça. C'est comme ça, c'est le travail et le tarif à payer.
- Moi : Malgré les sales comportements que j'ai pu avoir, j'estime que j'ai fourni et que je continue à fournir du bon boulot depuis ma venue et que par conséquent, je n'ai absolument plus rien à prouver à personne sur ce qu'il en est de mon travail, donc me mettre seulement sept ou dix jours de congé non préparé ou des refus sur mes demandes qui sont des plus banales, mais qui m'apporteraient vraiment quelque chose, ça me froisse.
- Patron : Le mental prime sur le reste, donc quotidiennement, j'aime mettre mes hommes à l'épreuve en les testant sur différentes choses et bien souvent sur des choses qui peuvent mettre les nerfs pour voir si celui-ci est toujours aussi intact que la première fois pour poursuivre sous ma direction.
- Moi : Le mental, je l'ai, parce que sinon ça ferait bien longtemps que j'aurai cané.
- Patron : C'est le travail qui te fait dire ça ? Mon but n'est pas de te mettre à mal.
- Moi : Non. Je n'en ai rien à faire du travail. Ce que je veux dire par là, c'est que depuis toutes ces années, si j'ai toujours gardé le mental malgré que je sois souvent tombé bien bas, ce n'est clairement pas toi et ton boulot qui me le fera perdre. Ce n'est rien ça, juste nerveux.
- Patron : Je l'imagine bien ça, mais quelque part, c'est ce que je recherche chez chacun de vous. C'est une des grandes raisons qui m'a poussé à te prendre dans mon équipe.
- Moi : Alors ça ne sert à rien toute cette pression que tu tentes de mettre sur moi, parce que ça ne me fera rien de plus que de me mettre les nerfs sur le moment même et peut-être même que ce sera la chose qui appuiera sur mon envie de partir.
- Patron : Tu es sérieux sur ce que tu me dis là ? Tu partirais de chez moi pour finir sans rien ?
- Moi : J'ai fait sans pendant plusieurs années.
- Patron : Tu es un vrai homme, mais surtout un chef de famille maintenant, donc arrête de dire n'importe quoi, parce que tu as un toit à gérer et des enfants à nourrir.
- Moi : Je le sais bien ça et je ne l'oublie pas.
- Patron : Tu le sais le lien que j'ai avec Nouredy, donc lorsque l'on se voit, il me parle énormément de toi et à force, j'ai pu apprendre à te connaître de loin, mais cette discussion que l'on vient d'avoir confirme juste tout ce qu'il a pu me dire. J'hallucine de toi haha.
- Moi : Ça a lâché le venin sur moi ? Je l'imagine.
- Patron : Jamais il ne se permettrait quelque chose comme ça et surtout envers un frère qu'il aime énormément. C'est du miel tout ce qui sort de sa bouche te concernant.
- Moi : Vas-y, je vais à la session et pour le congé, mets-moi les dates qui te sembleront les plus justes, mais le moment venu, j'aimerais être prévenu pour ne pas que je me retrouve comme un con au PC un jour de repos.
J'avais rapidement écourté notre discussion, parce que j'avais été assez gêné de tous ses gentils mots qui avaient doucement fait pression sur moi. Je m'étais éloigné, mais il avait poursuivi en faisant bien comprendre que l'on se reverrait tous les deux avec Nouredy en dehors du PC, car tous nos échanges lui avait donné envie de poursuivre.
Ça avait été très loin de mes envies, mais par politesse, je lui avais répondu quelque chose de plus ou moins positif et je m'étais rendu à la session. J'avais passé ma journée sous lège et à la dépointe de la soirée, j'étais remonté sur Paris et j'avais serré sur Cambrai pour me rendre à la cité. Ça avait été bien trop loin tous ces délires-là, shit.
Je n'étais pas retourné à la cité depuis un long moment et je l'avais vraiment ressenti tout au fond de moi surtout lorsque j'étais passé devant mon bloc. J'avais ressenti énormément de choses, mais je ne m'étais pas plus étalé sur mes pensées, car ma venue avait été pour mon frère Karim, donc je m'étais repris et je m'étais rendu à son bloc.
Lorsque j'étais rentré, j'avais aussitôt rejoint le salon qui avait été réaménagé au mieux pour lui, mais aussi pour tous ceux qui allaient être présents jusqu'à son dernier souffle. Ce soir-là, j'y étais allé seul et sans mettre au courant Nouredy et les frères, car avant de prévenir qui que ce soit, j'avais eu envie de voir comment tout avait été fait.
Je m'étais posé à ses côtés sous une forte pression qui avait parcouru tout mon corps, car toute cette sale ambiance avait rappelé que sa fin avait été imminente, mais j'avais masqué au mieux toutes mes émotions, parce que je n'avais pas eu envie que ça rajoute une pression supplémentaire. Le bad avait été salement intense, comme sad.
J'avais posé mon regard sur lui et il en avait fait de même, mais ça s'était arrêté là. Je m'étais fermé à la discussion ou du moins, je m'étais refusé à lui dire tout ce que j'avais eu au fond de moi, car ce sale manque de réponse aurait eu un impact tellement raide sur moi. J'avais été envahi par une multitude de pensées négatives sous charge.
J'étais resté quelques minutes auprès de lui, puis lorsque des frères étaient arrivés, j'étais sorti, car je n'avais pas eu envie que ça parte dans des sujets un peu trop nerveux. J'avais rejoint son père devant la porte et on avait échangé sur certaines choses, puis j'étais reparti pour me rafraîchir et rejoindre la clique de frères pour la nuit.
Ça avait été le vide, lorsque j'étais rentré chez moi, car les présences de Zaher et Ines avaient comme salement manqué. Ça avait été le flou, parce que je m'étais demandé où est-ce qu'ils étaient passés à une heure pareille, mais j'avais mis pause à mes pensées, car j'avais dû rejoindre les frères après être passé au rafraîchissement.
Dès que j'étais arrivé, je m'étais glissé entre tous et j'avais enchaîné sur la pratique. Ça s'était comme perdu dans tout ça, puis lorsqu'il y avait eu une pause, j'étais sorti avec Nouredy, parce que j'avais dû le mettre au courant pour Karim, donc on s'était posé en bas et je lui avais bien expliqué le tout et de là, on était remonté pour prévenir.
On avait expliqué à tout le monde le déroulé des choses et ils avaient aussitôt accepté, mais de toute façon, il n'y avait eu aucun doute sur le fait qu'ils allaient être présents pour lui, mais surtout pour du concret sur ce qu'il en avait été de la pratique, car son père avait uniquement voulu des pratiquants et non des gars qui allaient attendre.
Car il y en a énormément des personnes sans respect qui viennent uniquement pour être présent sur ce moment où le malade est en agonie et à peu de prendre le dernier souffle. On n'avait pas voulu ça pour lui, donc les frères et moi-même, on s'était dit que l'on allait tout faire pour que tout se passe le plus calmement possible sur la fin.
Suite à ces nombreux échanges, chacun de nous avait repris la pratique, puis finalement, j'avais lâché les frères et j'étais rentré chez moi, mais en rentrant, je m'étais retrouvé une fois de plus seul comme un con. Je m'étais demandé où est-ce qu'ils étaient passés depuis la veille, donc je m'étais décidé à la texte pour savoir, but no answer.
Je ne m'étais pas pris la tête avec ça et j'étais allé me mettre lège, puisque de toute façon, je lui avais envoyé quelque chose, donc hormis attendre une réponse de sa part, je n'avais rien pu faire. Ça avait été bon pour ma part, car jamais elle aurait eu une idée un peu strange à vouloir partir avec lui ou je ne sais quoi. J'avais juste patienté.
Je m'étais reposé sur les quelques heures restantes et finalement, je m'étais fait réveiller par Ines due à la réponse que j'avais reçu où elle m'avait dit qu'elle avait passé la nuit chez Lylia. J'avais eu une forte haine, mais j'étais passé au-dessus de ça ou du moins, j'avais essayé, parce que Lylia avait eu un vrai don pour me foutre la haine, ay damn.
Dans tous les cas, je n'avais pas eu le choix, puisque le travail avait attendu après moi, donc j'avais dû me mettre un coup de booste et me rendre au PC. Une fois sur place, je m'étais rendu au tableau des présences et j'avais remarqué que le patron avait posé ces sales dates sur la semaine suivante. J'avais été soûlé, mais ça avait été le tarif.
J'avais passé la journée à la session et à la dépointe, j'étais rentré chez moi pour me rafraîchir et faire wudu pour les salah que j'avais eu à faire, mais aussi pour la pratique envers notre frère. Une longue nuit nous avait tous attendus là-bas, mais en rentrant chez moi, j'avais encore été seul du coup, j'avais contacté Ines pour en savoir plus.
Je m'étais demandé si elle avait récupéré Zaher à la crèche ou si ça avait été à moi de le faire au vu de la dernière heure, donc je ne m'étais pas éternisé sur les échanges et je lui avais aussitôt demandé, mais elle avait répondu que Zaher était avec elles, donc j'avais amnèse pour faire mes salah et une fois fini, j'avais été frappé de pensées bizarres.
Je m'étais posé de nombreuses questions sur les deux et j'avais voulu en savoir plus, donc vraiment à contre cœur, j'avais laissé tout le reste de côté et je m'étais rendu à Argenteuil. J'y étais allé sans le dire à aucune des deux, parce que j'avais eu envie de voir si le malaise allait être présent ou pas. J'avais pris la route pour les rejoindre.
Elles ne s'y étaient pas attendues, mais j'étais passé au-dessus de ça et j'étais rentré chez elle tout en attrapant Zaher, puis j'étais allé me mettre lège au salon. Une fois qu'elles s'étaient installées en face de moi, il y avait eu un malaise qui était arrivé, donc j'avais posé Zaher et j'avais emmené Ines dans la pièce juste à côté du salon, yayy.
Je l'avais attrapé pour qu'elle me suive et une fois que je l'avais ramené devant moi, je l'avais vu dans un sale état, mais comme jamais je ne l'avais vu. Elle avait été en larmes, mais tellement que tous ses mots avaient été incompréhensibles dû aux bégaiements et tremblements qu'elle avait eu. Je n'étais vraiment pas venu là pour ça, zeh.
J'avais été gêné de la situation au point où je n'avais pas su quoi faire pour calma la tension. Je l'avais attrapé et je lui avais bloqué sa tête contre moi pour que ça cesse, mais elle avait été inconsolable du fait que ça avait été moi enfin de ce que j'avais pensé. J'avais été comme débordé par tout ça et je m'étais senti vraiment trop con.
À plusieurs reprises, elle avait tenté de me dire des choses, mais je n'avais rien saisi de tout ce qu'elle avait pu sortir et je m'étais efforcé à lui répondre x10 des «Tais-toi et calme-toi. On parlera quand les choses seront redescendues.», mais elle n'en avait rien eu à faire de ça et elle avait forcé en continue pour me faire part de ses maux, ay.
J'avais vraiment été perdu dans tout ça. J'avais eu comme une impression que ma présence avait eu un sale impact sur elle, donc j'étais sorti de la pièce pour que la pression se lège et j'étais retourné au salon avec mes petits et Lylia en attendant que les choses s'apaisent. La soirée avait été trop raide alors que mon 19ème avait attendu.
Je m'étais posé en prenant Zaher sur moi et en allongeant Junayd auprès de moi. Je m'étais vraiment forcé à le faire, mais ça avait été le seul moyen pour que l'on ne me blâme pas. J'avais eu envie d'être tranquille et que l'on ne me prenne pas la tête avec des «Ton fils est à côté de toi et tu ne le regardes même pas.», je l'avais fait taire eh.
J'avais profité de Zaher et Junayd tout en laissant Lylia de côté et après de longues minutes, Ines était sortie de la pièce et s'était préparé sans rien me dire alors j'avais laissé Junayd à Lylia pour que Zaher puisse mettre ses affaires. Une fois prêt, j'avais pris Junayd pour lui faire bisous et câlins, puisque sinon j'étais surnommé le sans-cœur.
J'avais essayé d'être irréprochable pour que Lylia ne puisse pas me mettre des tacles en me disant du khra. J'avais fait les choses avant que l'on me dise de les faire et ça s'était très bien passé, donc de là, j'étais parti avec Zaher, et Ines avait pris la route seule. On s'était retrouvé chez moi où elle s'était occupée de Zaher avant qu'il tombe raide.
Je les avais laissés et j'étais allé me mettre à l'écart. J'avais eu envie de rejoindre tous les frérots chez Karim, puisqu'ils y étaient tout de même allés, mais Ines avait tellement été dans le bad que j'avais préféré être présent au cas où ça serait reparti mal. J'avais été raide, parce que j'avais déjà vu Ines dans de sales états, mais là, ça avait été dingue.
Lorsque Zaher était tombé raide, j'étais allé au salon pour être avec Ines, mais ça avait été comme un peu trop tendu. Je m'étais posé à ses côtés, mais sans rien dire, parce que je n'avais pas eu envie que ça reparte en vrille et que je me retrouve dans une situation ingérable. J'avais privilégié la douceur et la patience contraire à mes habitudes.
J'avais attendu et attendu qu'elle se décide à dire quelque chose, mais elle était restée dans un mutisme total alors que quelques heures avant, lorsqu'elle avait été tapée par les tremblements et les bégaiements, elle en avait eu des choses à dire, mais malheureusement, je n'avais rien suivi de tous ses mots. Ça avait été incompréhensible maawa.
Après de longues minutes à attendre et surtout à réfléchir sur énormément de choses, j'avais décidé de prendre la parole tout en faisant attention à mes mots, car je m'étais dit que je n'étais pas resté là pour rien et qu'il fallait que l'on aille une discussion sur ce qu'il s'était passé chez Lylia et surtout à savoir pourquoi, afin que ça se débloque..
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