● 097
Je m'étais senti prêt à changer sur certaines choses, du moins j'essayais de faire des efforts, mais depuis que j'étais revenu d'Algérie, mon comportement avait vraiment changé. J'avais été bien plus nerveux qu'en temps normal, très aigri et j'en passe... Je n'acceptais plus ce que le gens me disait et je m'emportais pour trois fois rien.
Toutes ces choses que j'avais apprises concernant mon frère, ça m'avait complètement retourné. Je ne pensais plus qu'à ça, je m'étais imaginé tellement de choses dans ma tête, par rapport à tout ce que les gars m'avaient dit, et malheureusement, les gens qui m'entouraient m'avaient tous servi de punching-ball à ce moment-là.
Une fois installé dans la gova, je n'avais absolument rien dit. Nouredy ne m'avait pas lâché une seule fois du regard, mais je n'avais pas détourné le mien pour autant, malgré que mon sang avait bouilli d'un coup, tellement que j'étais gavé. Je n'avais plus envie de parler avec qui que ce soit. Je m'étais senti vide et mentalement déconnecté.
- Nouredy : Je te sens ailleurs et extrêmement sur les nerfs, même si tu as cette habitude d'être constamment sous pression, je ne te sens pas comme d'habitude. Tu aurais dû revenir un peu plus apaisé, normalement, mais là j'ai l'impression que c'est tout le contraire.
- Moi : La fatigue doit y être pour quelque chose.
- Nouredy : L'excuse de base, ça. Bon sah, tu as fait quoi là-bas ?
- Moi : J'ai passé mon temps avec des frérots.
- Nouredy : Je me doute bien que tu sois allé là-bas pour aller voir des gens, mais ça ne me dit pas ce que tu as fait. Tu as fait quoi là-bas, pourquoi tu es sous pression à ce point ?
- Moi : Eh je ne sais pas ce que tu t'imagines, mais tu vas vite arrêter ça.
- Nouredy : Pourquoi tu me parles comme ça, sah ? Ça fait déjà plusieurs fois, j'essaye de prendre sur moi le plus possible parce que je sais que c'est compliqué tout ce que tu traverses depuis tout ce temps, et que tu en as plein les pensées, donc je ne veux pas en rajouter une couche, puis aussi, je ne suis pas de ce genre, mais là, je commence à saturer
- Moi : Tu t'es dosé en appel et message pour qu'on se revoie, juste pour me prendre le crâne ? Tu as cru que je me forçais à être comme ça ou quoi ? Sah, si tu continues à me prendre la tête et à te plaindre de mon comportement, je t'assure que je vais devenir vraiment violent avec toi.
- Nouredy : Oh, c'est de mieux en mieux. Je ne sais pas ce qui a bien pu se passer en Algérie, pour que tu sois comme ça, mais la seule chose que je sais, c'est que, si tu es comme ça actuellement, c'est à cause de quelque chose qui s'est passé là-bas, et ça, tu ne pourras pas dire le contraire.
- Moi : Tu as voulu qu'on se voie parce que tu as quelque chose à me dire apparemment ? Eh bien, balance ce que tu veux me dire sinon je repars. Je ne suis pas venu pour que tu me prennes le crâne. Je vrille complètement là, donc ne force pas trop, je pourrai faire des choses que je finirai par regretter, je le sais.
- Nouredy : Je n'ai rien à dire alors. Tu m'as brusqué là, et je trouve ça stupide la façon dont tu te comportes. Je sais pourquoi tu es comme ça, tu es mal à l'intérieur de toi et je le comprends, mais je pense, que je n'arrive plus à supporter ça. Là, tu commences à me faire regretter le temps que j'ai déjà pris pour toi.
- Moi : Tu dis que tu commences à regretter le temps que tu as déjà pris pour moi, mais pourtant, c'est toi qui as forcé pour qu'on se revoie là, alors que j'avais dit khlass.
- Nouredy : Parce que j'en ai marre. J'aimerais que tu changes, bordel, tu le comprends ça ? J'ai voulu revenir vers toi là, pour réessayer une nouvelle fois, parce que j'avais prévu quelque chose pour toi, mais je me rends compte que tu n'es pas prêt pour ça en fait. Je vais annuler, et chacun reprendra son chemin.
- Moi : J'ai envie de te mettre des poings quand tu parles comme ça. Tu me casses le crâne depuis que je suis parti, et je pensais que ça allait passer après mon retour, mais c'est pire qu'avant.
- Nouredy : C'est grave ce que tu dis là. Tu fonctionnes à l'envers toi, c'est désespérant. Tu te comportes comme quelqu'un de mauvais avec des gens qui veulent que ton bien, mais tu te comportes comme une crème avec des perdus de la vie qui veulent que ton mal. Tu saisis la chose ou bien non ?
- Moi : Je suis en train de craquer là, plus tu parles et plus je suis en train de monter en pression. Je suis trop vif là, donc je vais remonter vite fait. Tu m'attends ?
- Nouredy : Pourquoi ?
- Moi : Je demande !
- Nouredy : Ça dépend la raison.
- Moi : Ça fait perdre du temps. Dis-moi juste oui ou non.
- Nouredy : Je vais dire oui, mais ça va prendre combien de temps ? J'ai quelque chose à te dire, et il ne faut pas que tu perdes de temps.
- Moi : Je monte et je redescends !
Il m'était souvent arrivé de vriller, mais complètement, et donc d'avoir des gestes et des paroles très déplacés dû à un excès de colère, mais par moment, j'arrivais à me contrôler et à prendre les choses en main avant que ça ne parte trop loin. Cette nuit-là, mes poings m'avaient énormément démangé, et j'avais eu envie de le cogner.
Il n'y a rien qui avait pu justifier le comportement que j'avais eu, hormis ce que j'avais appris, mais Nouredy, il y avait été pour rien dans tout ça, donc rien n'avait pu justifier la colère que j'avais eue envers lui, mais ça s'était passé comme ça malheureusement, mais j'avais pris les choses en main, et j'avais décidé de remonter.
Je lui avais demandé de m'attendre, mais je n'avais pas voulu m'étaler sur la raison. J'étais monté afin de consommer quelque chose qui allait me calmer, c'était la seule chose que j'avais trouvée pour avoir une discussion posée avec lui, parce que sinon ça n'aurait jamais pu tenir, et peut-être même que ce serait parti très loin.
Ça avait commencé à monter en pression entre nous deux, et hormis des mots durs et des paroles très déplacées que j'avais eue envers lui, j'avais également été assez violent de par mes gestes. Au fond de moi, je ne l'avais pas voulu, mais malheureusement ça avait été plus fort que moi, et j'avais eu deux trois gestes assez forts.
J'étais resté très longtemps. Le temps que ça fasse effet. Plusieurs fois, il m'avait dit qu'il voulait repartir, parce qu'il pensait que je me foutais de lui, mais absolument pas, je devais attendre que l'effet se pose. Sa gentillesse avait fait, qu'il était resté en bas, à m'attendre. Dès que c'était monté, j'étais descendu le rejoindre.
- Moi : C'est bon, on peut reprendre.
- Nouredy : Tu étais parti faire quoi ?
- Moi : Me calmer chwiya.
- Nouredy : Tu as l'air surtout ailleurs là.
- Moi : Peut-être, je ne sais pas. Bon alors, c'était quoi ?
- Nouredy : Je ne vais rien dire là, parce que de toute façon, tu m'en as déjà parlé, mais wAllah Emir, que si dans un mois, je te vois encore dans un état comme ça, je te fous en désintox, que tu le veuilles ou non.
- Moi : Bon, tu voulais parler de quoi alors ?
- Nouredy : Continue à faire le sourd.
- Moi : Non, j'ai compris, mais tu veux que je réponde quoi ?
- Nouredy : Allez zappe ça, sinon ça va jamais se finir. Hassoul, tu te rappelles, on avait parlé un peu boulot l'autre jour ? Je m'étais entretenu avec mon patron que je connais très bien en dehors du travail, pour te pistonner. J'avais tout fait pour te mettre bien, je l'avais appelé, j'avais essayé de t'avoir un entretien rapide, et j'avais réussi même, c'est juste toi au dernier moment, tu avais décidé de me tourner le dos, donc on avait laissé tout ça sans suite. Je l'ai rappelé là, avant de venir te voir, et il a accepté de te prendre en entretien. On se connaît très bien, je lui parle souvent de toi, et il m'a proposé de te prendre en entretien tout à l'heure du coup.
- Moi : Je n'irai pas. Tu as fait ça en traître là, tu as appelé sans me demander mon avis.
- Nouredy : Je n'en ai strictement rien à faire Emir. Déjà, la première fois, tu l'as laissé en plan alors qu'il t'attendait. J'avais dû m'excuser à ta place, parce que c'est moi qui avais préparé tout ça, et toi, tu n'avais pas donné suite. Tu lui avais fait perdre son temps, alors que lui, il t'avait fait passer avant tous les autres, par le fait qu'on se connaît lui et moi, donc cette fois-ci, crois-moi, tu vas y aller.
- Moi : Ouais, mais c'est toi qui avait voulu le faire, et encore plus la deuxième fois, parce que je ne t'ai rien demandé et tu ne m'as même pas mis au courant.
- Nouredy : C'est pour toi que je fais ça, parce que j'ai envie que les choses changent. Tu ne peux pas te permettre de réagir comme ça, surtout sur ce genre de choses. Estime-toi heureux, que je le connais, ce qui fait que tu as un petit avantage par rapport aux autres, qui postulent là-bas. Je fais tout pour te faire passer avant les autres, mais ne crois pas que c'est parce que je le connais, que forcément, tu seras pris. La décision lui reviendra, moi je fais mon possible, mais après, c'est lui qui verra en fonction des efforts que tu auras fournis et si tu auras été convainquant pendant l'entretien s'il décide de poursuivre avec toi.
- Moi : Je n'ai rien demandé.
- Nouredy : J'ai fait exprès. Il faut que ça bouge là, tu comprends ou pas ? J'ai décidé de bousculer ta routine sinon ça va rester au même point et c'est mauvais pour toi. Tu es rentré dans un cercle vicieux là, et c'est ça qui te tue petit à petit. Tu fais rien de tes journées, mis à part le fait que tu sois avec ton fils, donc forcément, tes pensées, elles travaillent beaucoup, tu rumines trop donc ça te rends mal, et au final, ça joue sur ton moral et ça se ressent sur ton comportement, donc indéniablement, tu finis par balancer ton trop-plein de haine sur les gens qui t'entourent, ou alors pour oublier un peu, tu consommes des choses qui te fracasse le crâne, qui touche à ta santé, etc. C'est ça le cercle vicieux dans lequel tu es, et si tu ne te boostes pas, ça ne s'arrêtera jamais.
- Moi : Ouais, c'est vrai. Tu as raison.
- Nouredy : Alors qu'est-ce que tu attends ? Tu as envie de changer ces choses-là ou pas ?
- Moi : Oui, forcément.
- Nouredy : Alors accepte d'aller à cet entretien tout à l'heure. C'est la dernière chance que tu as, parce que ça fait déjà deux fois que je l'appelle pour toi, il a accepté pour ces deux fois, mais si tu le mets amnése pour la deuxième, ce sera fini. Il s'est fait prendre pour un hram une fois, mais si tu le prends pour un hram une deuxième fois, je ne pourrai plus rien pour toi par rapport à ça.
- Moi : Je n'ai pas le choix, je crois.
- Nouredy : Avec toi, je ne sais plus. Tu m'avais dit ça la première fois et pourtant, tu n'étais pas venu pour l'entretien. Peu importe, ce sera vraiment bien pour toi, maintenant, c'est à toi de mettre toutes les chances de ton côté, malgré que tu n'as aucune expérience, ce n'est pas ce qu'ils recherchent eux. Ils veulent des rajel qui n'ont pas khaff, qui sauront gérer les choses en cas de bourbiers ou quoi, etc. C'est pour ça que je t'avais proposé ça, parce que je te vois dans ce genre de choses, par rapport à ta façon d'être et de penser. Selon, si tu auras été convainquant pendant l'entretien, il te donnera une date, où tu iras passer des tests écrits, parce qu'il faut quand même qu'ils voient si tu en as dans la tête. Ils ne veulent pas des arriérés non plus, mais je n'ai aucun doute, tu l'auras à coup sûr. Il faut simplement que tu y mettes du tien et ça passera tranquillement.
- Moi : J'irai alors, c'est bon. Tu travailles là-bas toi déjà ?
- Nouredy : Oui. Si par la suite, tu es accepté, ça ne veut pas dire qu'on sera ensemble. On sera amené à se voir très souvent, et à s'occuper de la même section par moment, mais ça ne sera pas tout le temps.
- Moi : Il y a rien, je demandais seulement.
- Nouredy : Saha, ça me fait plaisir le fait que tu acceptes, ça prouve que tu en veux. Ça sera vraiment quelque chose de bien pour toi. J'ai décidé de commencer par ça, parce que je voyais que ça n'avançait pas avec la façon dont on s'y était pris.
- Moi : In shâ Allah.
- Nouredy : Par la suite, si jamais tu es accepté, tu commenceras à prendre tes marques, tu pourras te mettre à chercher un toit, afin de partir de chez la mère de ton fils. Il va falloir que tu commences à gérer ces choses-là. Rien que pour toi déjà, je sais que tu aimes bien être seul par moment, quand tu n'es pas bien, donc tu pourras te le permettre, puis aussi quand ton deuxième enfant arrivera, ça te permettra d'avoir leur garde, mais aussi pour nous, ça nous rapprochera, on pourra venir chez toi afin de partager des moments, à réciter, à prier et toutes ces choses-là in shâ Allah. Toutes ces choses qu'on ne peut pas se permettre actuellement, car ce n'est pas chez toi.
- Moi : In shâ Allah. Il y a encore quelques étapes à passer avant ça. Ce n'est pas encore sûr.
- Nouredy : C'est à toi de tout donner mon frère. On verra, par la suite, in shâ Allah. Là, ce qu'il faut, c'est que tu te fasses un CV et une lettre de motivation, même si tu n'as aucun diplôme en poche wela heja comme ça, il le faut.
- Moi : Je n'ai jamais fait ça.
- Nouredy : J'aimerai bien t'aider à les faire en prenant exemple sur les miens, mais ça fera trop juste, de retourner chez moi pour qu'on le fasse et qu'après tu reviennes te préparer. Tu n'auras jamais le temps.
- Moi : On monte chez Ines, on le fait vite fait et après tu repars.
Je n'aurai jamais pensé que ça allait être aussi rapide, je n'avais pas eu le temps de m'y faire. Il l'avait fait derrière mon dos, c'était un coup à ce que je refuse et que je parte en vrille, mais j'étais tellement décontracté avec ce que j'avais pris, que je n'avais pas refusé, puis aussi, je savais qu'il avait raison dans tout ce qu'il disait.
On était monté chez Ines. Il m'avait fait ma lettre de motivation et mon CV, en rapide, avec l'aide des siens. Ça n'allait être d'aucune utilité étant donné qu'il n'y avait rien dessus, mais il le fallait. Actuellement, je le remercie, c'est sûr. Il arrivait à m'avoir des rendez-vous rapides, alors qu'il y en avait, ils trimaient pour ça.
J'avais eu de très gros avantages, comparer à d'autre, par rapport au fait qu'ils se connaissent Nouredy et lui, et même encore à ce jour, voire plus, étant donné que je le côtoie en dehors du travail, maintenant. Il n'y a aucun favoritisme pour Nouredy et moi, par rapport aux autres, juste quelques avantages de plus.
Le temps qu'il était en train de me faire tout ça, j'étais parti prévenir Ines. Le problème était toujours le même, à savoir, où j'allais pouvoir laisser Zaher. Je n'avais pas su quoi faire, et je n'avais pas pu perdre trop de temps, parce qu'il fallait que je me prépare. Ça allait être un problème pour la suite, si je venais à être accepté là-bas.
- Moi : Tu pars à quelle heure ?
- Ines : Dis-moi seulement, c'est qui au salon ?
- Moi : C'est Nouredy. Il est en train de faire quelque chose pour moi.
- Ines : Il fait quoi ?
- Moi : Il me remplit un papier. J'ai besoin de savoir à quelle heure tu pars ?
- Ines : Je vais aller me laver et dès que je suis prête, je pars. Pourquoi ?
- Moi : J'ai un rendez-vous après et je ne sais pas où emmener Zaher.
- Ines : Tu as rendez-vous où ?
- Moi : Tu vois bien que je n'ai pas le temps, je t'expliquerai la prochaine fois. Je veux savoir où j'emmène Zaher là.
- Ines : Bah écoute, appelle Lylia, préviens que tu vas lui déposer Zaher dans pas longtemps, et si elle ne peut pas, je m'arrangerai pour revenir, mais en tout cas, le temps que je ne suis pas là, tu restes avec lui, s'il y a personne pour le prendre, jusqu'à que j'arrive.
Quand j'essayais d'éviter Lylia, il y avait toujours quelque chose qui faisait que j'étais obligé d'être en contact avec elle. Déjà, j'avais énormément pris sur moi en allant la voir régulièrement, et là, j'avais dû à nouveau y aller, alors que je n'en avais eu aucune envie. Je n'avais pas eu le choix, c'était soit ça, soit le rendez-vous allait être annulé.
J'avais essayé de la contacter, mais elle n'avait pas répondu. Je lui avais laissé un message, et j'avais juste espéré qu'elle soit là quand j'allais arriver. J'étais parti me préparer et une fois prêt, j'avais imprimé ce que Nouredy m'avait fait, j'avais réveillé et préparé Zaher, et j'étais parti à la cité pour le déposer chez Lylia.
Dès qu'elle l'avait récupéré, j'étais aussitôt reparti. J'étais allé au lieu du rendez-vous, sans tracas. Sincèrement, je n'avais rien ressenti. Au mieux, ça allait bien se passer et j'allais être pris, au pire, ça allait être l'inverse, et dans ce cas, il n'y aurait eu aucun changement par rapport à d'habitude. Je m'étais fait aucun souci.
Par la suite, j'étais passé en entretien. Ça avait duré un bon moment, il m'avait dit énormément de choses par rapport au milieu, etc. J'avais répondu selon mes connaissances, mais surtout très naturellement. Il m'avait tout de même lancé des petits piques par rapport au fait que je n'avais aucune expérience ni aucun diplôme.
Il m'avait surtout piqué sur le fait que je n'avais jamais pris les études au sérieux, que j'avais quitté les bancs de l'école assez tôt, et que même quand j'y étais, je n'y allais que très peu. Ce n'était pas ça qui l'avait intéressé, c'était ma façon d'être et toutes ces choses-là qui allaient l'aider dans son choix, mais il avait voulu me tester un peu.
On était resté pas mal de temps, à échanger sur beaucoup de choses. Par la suite, j'avais rempli des papiers et signer des choses. Il n'y avait eu aucun engagement encore, mais ça avait été le processus à suivre. Une fois fini, il m'avait dit qu'il me recontactera rapidement si c'était favorable, pour passer à la suite. Je n'avais pas su quoi en penser..
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