● 057

On avait passé toute notre nuit à parler ensemble, on avait eu toutes sortes de discussions et plus on parlait ensemble plus on en apprenait un peu plus l'un de l'autre. Elle arrivait à comprendre un peu plus le pourquoi j'étais comme ça malgré qu'elle ne supportait pas et je commençais à me rendre compte un peu plus de ce qu'elle était réellement.

On n'avait fini par fermer les yeux assez tôt le matin et vers six heures du sbah ça s'était mis à taper fortement sur une porte. Dans un premier temps j'avais pensé que la personne qui tapait, elle tapait sur la porte d'un voisin jusqu'à que je me rende compte qu'en fait ça tapait sur la mienne. Ça s'acharnait dessus ga3, c'était même plus des tapes, ça cherchait à défoncer la porte, clairement.

Je m'étais directement levé, Ines elle s'était redressée en balle tellement elle avait eu khaff. Elle s'était demandé ce qu'il y avait. Ils tapaient fortement sur la porte avec des qtru, j'avais senti la grosse douille arrivée. Je m'étais aussitôt douté que c'était les hnouch parce que d'une part les tapes étaient beaucoup trop insistantes et avec ce qu'il s'était passé deux jours avant c'était une évidence.

Sur le coup la seule chose à laquelle j'avais pensé, ça avait été de prendre mon sac de consommation et de mettre les armes dedans. Je l'avais rangé dans la chambre de Nina, je l'avais passé par la fenêtre et je l'avais glissé dans le renfoncement du mur et j'avais aussitôt prévenu Ines : «Si je pars tu iras chercher ce que j'ai mis à la fenêtre de la chambre de ma sœur et tu le remettras sous mon lit.»

Elle s'était mise à stressée une fois qu'elle avait compris plus ou moins ce qui était en train de se passé. Elle s'y était pas attendu à ce qu'il arrive ça tandis que moi j'y avais été préparé à ça et je m'y étais attendu. J'étais allé devant la porte d'entrée parce qu'il fallait que j'ouvre évidemment. Ils étaient en train de crier tout en continuant de s'acharner sur la porte.

Ines avait vraiment été mal ce jour-là et je m'en étais voulu sur le coup de la mettre dans cet état, sachant qu'il y avait Zaher. Elle avait les yeux rougit, elle était toute tremblante, vraiment mal, elle s'était demandé ce qu'il allait y avoir par la suite. Je voulais que ça se finisse vite, je voulais partir vite d'ici, je ne voulais pas la froissée plus qu'elle l'était.

Une fois que j'avais ouvert la porte ils m'avaient sauté dessus comme un chien et ils m'avaient plaqué au sol pour me mettre les menottes et ils m'avaient posé sur le sedari en cash. Je n'avais eu aucun droit de bouger, à chaque fois que je bougeais j'avais eu le droit à un recadrage et ils m'attrapaient et me reposais sur le sedari en version plus musclé et plus dur alors que j'étais blessé.

En attendant ils s'étaient directement mis à fouillé partout, plus particulièrement dans ma chambre. Ils avaient tout retourné, jeté et ouvert tout ce qu'ils pouvaient sans rien oublier. Ils avaient été sans gêne alors que le bébé dormait et Ines était peu vêtue, enfin comme quelqu'un qui était chez elle en détente. Ils n'en avaient eu rien à faire, ils avaient broyé son intimité. Ça m'avait tué.

Le temps qu'ils faisaient ça j'en avais profité pour parler avec Ines, peu importe qu'elle allait être l'issus de la garde à vue j'avais directement pensé au pire donc j'avais préféré la mettre au courant des choses et j'avais voulu tout bien recadrer. J'avais voulu par la même occasion lui faire comprendre que malgré tout ce qu'il y aurait j'allais être là pour eux. De près ou de loin.

Ils étaient acharné contre moi donc ils me disaient à chaque fois de ne pas bouger, de ne pas parler, ils me faisaient rassoir sèchement chaque cinq minutes et c'était insupportable. Mais malgré tout j'essayais de glisser quelques paroles à Ines en chuchotant. Je m'étais pas laissé faire, je ne suis pas une merde pour qu'on en vienne à me la faire fermer. Il en faut beaucoup plus pour me faire taire.

«Je sais pas comment ça va finir tout ça donc appelle Samia qu'elle vienne t'aider. Il faut que tu partes lyoum Ines. Si jamais il y a une suite à cette garde à vue je ne vais pas revenir et je ne peux pas être certain que la mama et ma sœur reviennent vraiment fin août donc tu ne peux pas restée. Retourne chez Samia et si je sors je viendrais te recherché.»

«Je pense qu'à vous, wAllah t'as pas idée comment. Vous êtes dans mes pensées à tout moment et peu importe comment tout ça va finir, reste forte, juste reste forte Ines et raccroche toi aux petits, c'est tes forces. Je serais là peu importe ce qu'il y aura, juste patiente, ça va le faire. Quand tout sera mis au clair on profitera à fond, crois moi.»

«Continue tes cours et lâche rien, ton code et ton permis arrache les, continue tes recherches pour un appartement et perd pas espoir Ines, un toit tu finiras par un avoir un donc lâche pas. Dis-toi que ce sont les débuts donc c'est normal que c'est compliquer mais quand tout sera bien posé tu verras qu'on commencera à vraiment kiffé les moments à quatre.»

«Surtout n'hésite pas à rentrer en contact avec Zyam, crois-moi Ines il te sera d'une grande aide. wAllah t'as pas idée à quel point il m'aime et tout ce qu'il pourrait faire pour moi. Il m'a dit qu'il serait là pour moi, pour les petits et même pour toi donc n'hésite vraiment pas à te raccrocher à lui. Samia à son numéro donc voit ça avec elle.»

La perquisition avait durée assez longtemps, ils s'efforçaient à trouver quelque chose, ils voulaient absolument mettre la main sur quelque chose qu'il n'y avait pas. Ils voulaient trouver quelque chose pour absolument me descendre, c'est ça ce qu'ils cherchaient. Peu importe ils voulaient heja mais manque de chance pour eux, ce matin-là ils avaient trouvé nada, welou, rien.

Ils avaient tout retourné mais c'était un carnage. J'étais intérieurement en train de bouillir tellement ils me rendaient nerveux, j'avais eu envie de tout casser tellement ils se sentaient au-dessus. Je faisais que de leur répéter : «Il y a rien ici. Emmenez-moi, c'est ça que vous voulez donc emmenez-moi. Il y a mon fils et ma femme, sérieux vous n'avez pas honte ? Ils n'ont pas à subir ça.»

Une fois fini ils m'avaient emmenez et en passant devant la porte de chez Krim j'avais vu qu'elle était ouverte et celle de Najib aussi, eux aussi ils étaient en train de se faire perquisitionné. On allait tous prendre cher et j'avais espéré que la cité voisine aussi allait prendre cher. Les hnouch avaient été déterminé à nous arrêter étant donné qu'ils avaient défoncé la porte blindée pour rentrer.

J'avais été placé en garde à vue pour une durée de vingt-quatre heures dans un premier temps et finalement ils avaient rajouté des heures, j'avais fait pas loin de quarante-huit heures de garde à vue. Mon portable avait été passé au crible et les messages m'avaient trahi malheureusement. Je n'avais pas pu faire le muet très longtemps.

Suite à cette garde à vue j'avais été placé en détention provisoire le 25 juin 2010 pour éviter de communiquer avec mes proches. Ma détention avait durée cinq mois, donc autant dire que j'avais déjà commencé ma peine, enfin je m'étais dit ça. Être enfermé durant cinq mois en attendant son procès, c'est tout comme finalement. Ça reste un enfermement.

Entre temps j'avais appris que mes proches avaient été mis au courant mais je ne savais pas ce qu'ils en pensaient parce que je n'avais eu aucun droit de les voir. Je n'avais pu voir personne durant ces cinq mois qui auraient été susceptible de communiquer sur cette affaire et donc de retourner les cerveaux. Je devenais fou plus les semaines passaient.

En novembre avait eu lieu mon procès, accompagné de mon avocat. Ce jour-là j'avais énormément pensé à mon Grand Monsieur, à chaque pensées que j'avais eu pour lui mes nerfs se contractaient tellement j'avais eu la haine de lui infliger ça. J'avais eu des pensées pour les autres aussi mais plus particulièrement pour mon père.

J'avais espéré que ma peau serait sauvée. Quand je pensais à tout ça, ça me mettait les nerfs et cette situation m'avait énormément fait penser à Hûsin qui était encore au début de sa peine, qui n'avait fait que très peu et qui allait passer douze ans derrière les barreaux. Douze putains d'années en jail sans possibilité de libération. Ça me tuait un peu plus le gelb.

Durant tout le long j'avais eu mes pensées ailleurs, mais vraiment ailleurs. J'avais été physiquement présent mais ça s'était arrêter là. J'avais eu des pensées pour la mama, Nina, mon Grand Monsieur, Maamar Allahi rahmo. Zyam, Houssam, Hûsin, Nourredin Allahi rahmo. Les autres qui avaient été dans le même cas que moi et même pour Ines et les petits.

Bla bla bla... Peu importe ce jour-là le verdict était tombé et j'avais été condamné à sept mois d'emprisonnement. Durant tout le jugement j'avais attendu ce final de savoir combien j'allais prendre, sachant que j'avais déjà été enfermé cinq mois. Ça avait été des gros coups de stresse à chaque paroles qu'ils sortaient.

Je m'en étais voulu d'avoir fait subir ça à pas mal de monde. À l'époque je ne calculais pas vraiment le poids de mes gestes et même de mes paroles et je n'avais jamais pensé que suite à ça j'allais me faire attraper. Je pensais que j'aurais pu indéfiniment passer entre les mailles du filet et pouvoir causer du tort à autrui sans payer de mes actes jusqu'au jour où c'est arriver.

Après que le verdict soit tombé j'avais un peu plus pensé à mon frérot Hûsin. J'avais pris sept mois pour une affaire de shlass qui aurait pu être mortelle et lui il avait pris douze ans pour une affaire de trafic de drogue. «On supposait que c'était pour ça malgré qu'on en avait pas eu la certitude étant donné qu'on avait jamais été réellement mis au courant.»

Ça c'est une preuve que la mentalité à la french est belle, juste et tolérable. En France tu fais dix ans et plus pour des trafics de drogue «Donc en soit tu bousilles ta vie toi-même sans faire chier personne.» Mais par contre tu fais six, douze, dix-huit mois pour des embrouilles qui finissent avec les armes. Belle logique.

Durant toute ma peine j'avais eu quelques visites, il y en avait pas mal qui avaient été refusé mais dans l'ensemble j'avais vu des proches que j'avais vraiment eu besoin de voir. La mama était passé évidemment et durant ses passages je me rattachais souvent à elle pour avoir des nouvelles de la famille mais plus particulièrement de mon Grand Monsieur malgré qu'ils étaient en haine contre moi.

J'avais eu aussi des parloirs avec Zyam et je m'étais beaucoup raccrocher à lui pour avoir des nouvelles de Houssam, des autres khey et surtout de Hûsin qui avait enfin pu avoir des parloirs al hamdûlilah. Ça m'avait vraiment permis de ne pas perdre le lien que j'avais avec eux tous. Ils ne m'avaient pas oublié durant tous ces mois et ça m'avait fait du bien de le ressentir.

Il y avait eu des cousins qui avaient fait le déplacement jusqu'à Paris pour me donner de la ce-for et même Jihad le frère de Hûsin était venu me voir et ça, ça avait été fort. Ça avait valu tous les autres parloirs tellement ça avait été improbable. Ça avait toujours été les mêmes qui avaient été acceptés mais ça m'avait pas déranger, eux m'avait suffit.

Il y avait aussi une personne qui était venu me voir, ça avait été improbable et c'est pour cette raison que j'avais été brusqué. Elle avait été mise au courant par Zyam que j'étais derrière les barreaux et elle avait tout fait pour avoir un parloir avec moi. C'était Kamilia, je l'avais connu à Cendrars à l'époque et on avait jamais réellement perdu le contact par message malgré qu'on ne s'était plus revu.

Elle m'avait donné beaucoup de ce-for Kamilia et elle m'avait dit des mots dont je me rappellerai toute ma vie : «À ta sortie appelle moi, j'aimerai te présenté un frère et pourquoi pas que tu fasses un petit bout de chemin avec lui in shâ Allah.» Sur le coup j'avais été brusqué mais en bien et sans aucune hésitation j'allais la rappeler à ma sortie pour en savoir plus.

J'avais aussi reçu des lettres, beaucoup de lettre. Je m'étais rattaché à ça durant ces douze mois. Que ce soit celles de ma sœur, de mes khey, de Lylia, Kamilia ou les autres ça m'avait vraiment fait zizir. Les voir en photo, lire leurs lettres ça m'avait beaucoup aidé à tenir le coup surtout que ça devenait vraiment dur.

L'enfermement me rendait toujours plus mauvais et c'était fou, il y avait eu des grosses embrouilles avec les autres détenus, je ne me laissais pas faire donc ça finissait toujours aux coups. J'en avais passé des semaines au mitard parce que c'était impossible de me laisser avec tous les autres détenus. Je devenais fou et je voulais qu'une chose : La liberté et être auprès des miens.

Le 21 juin 2011 j'étais enfin sortie. Ce jour-là il y avait eu Zyam et Houssam qui m'avaient attendu à l'arrière. Quand j'avais posé un pied dehors mais le vrai dehors, le dehors de la liberté j'avais senti cette pression que j'avais eue au gelb durant toute mon incarcération s'en aller. Ça avait été fort en émotion et c'était quelque chose que j'avais attendu longtemps.

Quand j'avais croisé le regard de Houssam mes yeux ils s'étaient mis à rougir tellement ça m'avait fait plaisir. J'avais revu mes sah sauf lui, Houssam je ne l'avais pas revu depuis que je lui avais annoncé pour Zaher et Zian et ça avait été une sensation de fou d'être en liberté et avec eux. Je ne voulais rien d'autre à ce moment-là que de profiter avec tout le monde.

On s'était posé pas loin et on s'était mis à parler ensemble. J'avais posé énormément de question, j'avais voulu savoir tellement de choses. Comment ils allaient ceux qui avaient été dans le même cas que moi, comment Nina elle était, si Ines elle allait bien, si elle avait garder contact avec Zyam. J'avais voulu savoir plein de choses.

Parmi ceux qui avaient été dans mon cas il y en avait qui étaient encore en train de poursuivre leur peine, il y en a qui avaient pris beaucoup plus malheureusement. Zyam avait souvent pris des nouvelles de la mama et Nina et elles étaient en haine sur moi apparemment mais je le comprenais tout à fait.

Ines avait pris contact avec Zyam les premiers mois et finalement elle avait coupé le contact avec lui peu de temps après. De ce qu'il m'avait dit elle avait arrêté de répondre à ses messages et appels, ça m'avait assez brusqué quand il m'avait dit ça mais il avait réussi à avoir des nouvelles d'elle de par Samia avec qui il était resté en contact et apparemment tout allait plutôt bien pour Ines.

J'avais appelé Samia parce que je voulais prendre la température avant d'appelé Ines malgré que j'étais en haine contre Samia, je voulais avoir les informations que j'attendais avant de reprendre contact avec elle réellement. J'avais essayé de me remettre petit à petit dans tout ça sans la froissée. J'essayais d'y aller finement parce que un an sans moi ça avait dû être compliqué pour elle.

- Moi : C'est Emir là !
- Samia : Al hamdûlilah t'es sorti, enfin.
- Moi : Ouais, elle est où Ines ?
- Samia : Passe chez-moi si tu veux, on va parler ensemble.
- Moi : C'est toujours dans ta résidence ?
- Samia : Oui, toujours même studio.
- Moi : Vas-y je passe chez moi vite fait et je viens te voir.

J'étais passé par chez moi avant d'aller la voir, j'étais monté à la casa. La mama et Nina étaient là, je m'en rappellerai toujours de cette scène : Elles étaient dans la cuisine. La mama était assise sur une chaise et Nina était assise sur le plan de travail à côté de la fenêtre et elles étaient en train de parler ensemble avant que j'arrive et que je me mette devant elles.

Elles s'étaient aussitôt stoppées dans leur discussion, la mama elle m'avait regardée de haut en bas sans rien dire et elle s'était reculée avec sa chaise. Nina elle s'était levée et s'était rapprocher de moi sans rien dire non plus. Les deux me fusillaient du regard mais ça se sentait qu'elles étaient aussi soulager que c'était enfin fini.

- Moi : Inutile de le préciser mais bon quand même. Ça y est je suis sorti.
- Nina : Al hamdûlilah, malgré ce que tu peux penser par rapport à nos comportements ça nous fait vraiment plaisir. On n'est pas venus parce qu'on voulait te laisser avec Zyam et Houssam à ta sortie, on s'était mis d'accord avec eux.
- Moi : Ça ne me dérange pas ça. Je vais faire deux trois choses et j'appellerai Ba demain sûrement.
- Nina : Viens vite fait.

Nina elle avait voulu me parler solo. Je m'attendais pas à ce qu'on me saute dans les bras à ma sortie, de toute façon je n'aurais pas accepté mais au moins un salam ça coûtait rien. Ça faisait un an que j'avais été enfermé, la mama m'avait vu qu'en parloir donc j'avais été assez brusqué. Ça avait fait effet boomerang en fait, ce que je leur faisais subir elles me le faisaient désormais. Mais mahlich.

- Nina : Prend la dans tes bras, embrasse la, dit lui que tu l'aimes. Fait un effort Emir, c'est la première femme de ta vie yemma. Tu ne l'as jamais fait mais ce n'est pas trop tard. Prend la en gova et allez parler ensemble au calme. Dit lui ce que tu ressens et elle te dira ce qu'elle ressent. Sincèrement Emir dans les jours à venir fait le.
- Moi : Nina je viens de sortir, je suis encore brusqué, il faut que je m'habitue à nouveau à tout ça donc me presse pas, commence pas à me dicté des choses que tu sais pertinemment que je ne ferais pas.
- Nina : Tu devrais ! Tu n'as pas idée de comment ça a pu être dur pour elle, sans Ba et avec ce qu'il s'est passé, sans toi, en pensant à Maamar Allahi rahmo et à toi derrière les barreaux. Tu ne peux pas imaginé une seule secondes combien de larmes ont pu couler sur ses joues en une année..
- Moi : Laisse-moi Nina, vous essayez toujours de me faire culpabiliser et tu n'as même pas idée de comment ça me fait monter en pression ça.
- Nina : Je t'ai parlé donc maintenant à toi de voir ce que tu comptes faire mais sincèrement Emir, débarrasse toi de cette fierté qui te bloque sur beaucoup de chose.

Elle avait compris très rapidement que la discussion n'allait menée à rien parce que j'étais resté sur mes positions. Avant de repartir voir la mama elle m'avait embrassé le front et elle m'avait prise dans ses bras mais elle était aussitôt repartie quand elle avait compris que je n'allais pas faire d'effort. Dès mon entrée à la casa j'avais ressenti la pression qu'il y avait eu..

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