● 054
Les premiers jours où j'étais arrivé j'avais profité du Monsieur comme il fallait. UAE c'est un délire de fou mais UAE quand c'est ton pays d'origine et que tu as plus de la moitié de ta famille là-bas c'est un délire encore plus grand.
C'est mon terrain et quand je vais là-bas je sais quoi faire. Villa, famille, desert, plages, mariages, soirées. C'était que du bon.
Le temps que Zyam n'était pas encore là j'avais vraiment profité avec le padre et surtout j'avais profité de lui dire des choses qui restaient entre lui et moi.
Il me faisait très souvent la morale sur les études et tout ce qui s'en suit parce que meskin il pensait que j'étais encore à fond. Quand la mama allait le voir elle lui parlait plus de moi du coup il en savait pas grand chose, il pensait seulement.
Sans vraiment lui dire les choses j'essayais toujours de détourner ce genre de discussion parce que je voulais pas lui faire de la peine et je voulais pas non plus lui mentir.
Il savait absolument rien de ce que je faisais, c'est l'avantage ou le désavantage de ça. Vu qu'il était loin ça m'avait permis de faire beaucoup de choses, des choses dont je suis quasimment sûr qu'il aurait pu très vite savoir si il aurait été constamment avec nous.
La distance qui nous séparait me permettait de faire beaucoup de choses et surtout sur un long terme sans qu'il m'en parle.
Un père avec la mentalité à l'ancienne ne réagit absolument pas de la même façon qu'une mère ou qu'une sœur.
La mama et Nina elles me faisaient beaucoup de blabla et elles blâmaient énormément tout ce que je faisais mais seulement pour un temps, elles finissaient par abandonner et elles gardaient ça pour elles.
Le Grand Monsieur ça aurait été différent, il aurait eu le temps de me casser la mâchoire dix fois, de me faire trembler cinquante fois, de me retourner les poignets vingt fois. J'aurais fini en chaise jusqu'à al mawt.
Mais les épreuves qui avaient fini par m'endurcir et qui me faisaient devenir toujours plus mauvais avaient fini aussi par me rendre indifférent sur toutes choses et je suis sûr que même les paroles de mon père n'auraient rien fait et j'aurais ressenti aucune peur. Je ressentais aucune peur de toute façon.
Les jours passaient et c'était que du bon, ça faisait du bien d'être entre hommes et de plus voir les meufs de Paname et les alentours. Là j'étais bien, c'est à dire que même quand je passais du temps avec les gens là-bas c'était un autre délire. C'était au dessus.
C'est pas que le pays qui est en démesuré là-bas et ça fait du bien de voir du grand level en toutes circonstances et sur tout.
Le jour où Zyam était arrivé j'étais trop farhan, j'espérais que ça allait faire retombé la pression qu'il y avait entre nous.
Le padre il avait jamais vu Zyam, enfin du moins pas en ma compagnie, il l'avait sûrement déjà vu en bas des blocs quand il venait à Paris mais il savait pas qui c'était.
J'étais trop farhan, j'avais profité à fond avec lui. Là j'aurais jamais pu rêvé mieux que ces vacances. J'étais avec le padre et Zyam dans mon pays.
C'était tous les jours plages, bronzage, profité de la famille, nuits au desert ou dans des yacht, mariages et soirées quasimment toutes les nuits. Ça vie, ça vie.
Quelques jours avant de repartir on était partis à Baghdad, là c'était du grand lourd. J'avais toujours voulu partir dans mon autre pays d'origine avec Zyam et c'était fou.
J'avais déjà pensé à aller en Iraq avec Zyam, Houssam, Hûsin et Nourredin mais malheureusement les épreuves de la vie on fait que ça ne se passera jamais.
J'aurais voulu leur faire voir mon pays et j'aurais voulu ressentir cette sensation d'être avec ceux que j'appréciais le plus là-bas.
En attendant je l'avais fais avec Zyam et pourquoi pas un jour je le ferais avec Houssam et Hûsin à sa sortie in shâ Allah.
Le jour du départ j'étais reparti avec Zyam, on avait eu le départ le même jour. Et le jour où on était de retour à la cité j'étais monté dans mon bloc et quand j'avais voulu ouvrir la porte elle était fermée.
J'avais toqué mais ça répondait pas du coup j'avais allumer mon portable et j'allais les appeler mais j'avais vu les messages de Nina avant.
Elle m'informait qu'elles étaient partis en Algérie et qu'elles avaient mis les clés dans la cave.
Très sincèrement j'avais été farhan quand elles m'avaient dit qu'elles étaient partis. J'allais être encore relax quelques temps.
Elles ne m'avaient pas dit elles partaient pour combien de temps mais en tout cas j'allais savourer chaques secondes seul.
J'étais parti prendre les clés et j'étais monté me posé chwiya. J'avais zappé tous les messages et j'avais directement appeler Ines.
- Moi : Ça va ?
- Ines : Ouais.
- Moi : Je viens de revenir.
- Ines : Tu passes quand ?
- Moi : Maintenant si tu veux ?
- Ines : Viens alors.
- Moi : Elle est là Samia ? Répond juste par oui ou non.
- Ines : Oui.
- Moi : Arah.. bon j'arrive !
On était revenus en début de soirée donc ça avait été évident que Samia soit chez elle mais j'avais pas eu envie de la voir.
J'étais parti la rejoindre, j'étais monté et je m'étais posé avec elles. J'avais eu qu'une envie c'était de repartir surtout le faite que j'étais avec Ines et Samia dans la même pièce ça me froissais.
- Moi : Vas-y viens on descend vite fait.
- Ines : Pourquoi ?
- Moi : On va se posé dans la gova.
- Ines : Vas-y.
Elle m'avait lancé un regard scarface quand je lui avais dis ça mais sah je voulais pas être avec les deux en même temps.
Le petit était resté en haut avec Samia en train de n3ess et nous on était descendu dans la gova. On s'était posé à l'arrière.
- Ines : Maintenant tu restes là ?
- Moi : Normalement oui.
- Ines : Quoi normalement ? Ça y est t'es parti voir ton père, il y a qui d'autre que tu devrais aller voir plus que ton père ?
- Moi : Ça y est je reste.
- Ines : J'espère parce que ça a été dur ces derniers jours. Je remarque qu'on est au mois de juin et que depuis leurs naissances t'as rien fait pour eux.
- Moi : Hum ouais.
- Ines : Je suis sûr que tu sais même pas à quoi ils ressemblent tellement tu les calcules jamais.
- Moi : Je l'assume, c'est vrai.
- Ines : Je sais pas ce que t'as Em, je sais pas. Ton indifférence me rends malade
Elle s'était mise à pleurée et à me dire tout ce qu'elle pensait. Je n'avais pas su où me mettre à ce moment là d'autant plus que j'étais assis juste à côté d'elle et qu'elle s'était rapproché en me prenant dans ses bras yayy.
J'avais été crispé, ça avait été tendu, trop tendu même. Ça avait été bizarre comme situation.
- Ines : J'étais vraiment mal quand tu étais pas là, je me rends compte que sans toi j'y arrive pas.
- Moi : Par rapport à quoi ? Rassure moi tu parles toujours des petits là ?
- Ines : De tout.
- Moi : Comment ça tout ?
- Ines : Je parle globalement. Des petits, de nous, de toi. Hormis les petits je me rends compte que j'ai besoin de toi.
- Moi : Ah ouais là c'est autre chose.
- Ines : Te casse pas le crâne à répondre je sais que t'en as rien à faire.
- Moi : Arrête, juste calma par rapport à tout ça parce que tu sais ce que j'en pense.
- Ines : Je sais.
Woh woh woh ça commençait à devenir assez bizarre entre nous et pourtant je ne faisais rien pour. C'était catégorique pour moi, elle était la mère de mes enfants et khlass.
Plus elle parlait plus elle s'aggriper à moi, j'avais eu l'impression qu'à chaque réponses que je lui donnais elle était mal tellement elle me serrait fort.
- Moi : Sinon tu cherches toujours pour l'appartement ?
- Ines : Oui j'ai refais des visites mais c'était la même chose, ça me plaisait pas. Soit c'était petit soit il y avait des travaux à faire.
- Moi : Sah si il y en a qui sont plutôt grands et qu'il y a des travaux à faire prends et je les ferais.
- Ines : Avec quelle thune ?
- Moi : À ton avis ?
- Ines : Bah non alors.
- Moi : Ça vaaa c'est pas comme si je payais pour les petits. Je comprends que tu veuilles pas que j'utilise cette maille pour les petits mais là ça à rien avoir avec eux.
- Ines : Si bien sûr que si ça à avoir, bien sûr que ça les concernent. Cet appartement que je me casse le crâne à chercher c'est pas pour mon confort ou mon plaisir personnel. C'est pour les petits tout ce que je fais.
- Moi : Écoute fait comme tu veux, moi je voulais faire ça en attendant mais tu veux pas. Faudra pas venir te plaindre le jour où tu devras partir de chez Samia et que tu te retrouveras à la rue.
- Ines : Souhaite moi juste de ne jamais me retrouvé dehors avec eux.
- Moi : Bien sûr que je souhaite que tu trouves heja rapidement, bien sûr que je veux que tu sois à l'abris avec les petits.
J'arrivais rarement à trouvé les mots pour la rassurer, c'est quelque chose que je ne sais pas faire. C'était dur de parler avec elle d'autant plus qu'elle avait l'air d'avoir une certaine haine envers moi.
J'étais en tord et ça je le savais mais j'aimais pas quand on me le disait parce que je le savais mais je faisais rien pour changer ça.
J'avais été froissé à fond, quand elle était à côté de moi c'était chaud. C'était comme Zaher dès qu'elle me frôlait j'étais mal. Là c'était pire plus plus, elle était carrément sur moi.
- Moi : Vas-y bouge sur le côté.
- Ines : Dit le autrement au lieu de faire le nerveux.
- Moi : Juste met toi sur le côté khlass.
- Ines : Vas-y on remonte.
- Moi : Remonte seule, moi je vais repartir. Je passerai demain.
- Ines : Bien, tu viens pas voir Zaher ?
- Moi : Je viens juste de revenir, je suis claqué. Je passerai demain.
- Ines : Ok.
J'étais reparti et j'étais directement passé au squatte pour voir où ça en était. J'avais khaff de voir comment c'était.
En arrivant c'était fermé, j'avais toqué pour entré mais ça avait mis du temps à ouvrir. Il y avait pas eu Krim, c'était des gars de la cité que je connaissais mais à qui je parlais quasiment jamais.
Ils étaient posé sur les sedari en train de se mettrent ko devant la tv heja de normal. Je savais pas où il était Krim, sur le coup ça m'avait énervé.
- Moi : T'es où ?
- Krim : Chez moi pourquoi ?
- Moi : Je suis au squatte pourquoi tu y es pas ?
- Krim : Je m'étais posé chwiya.
- Moi : Tu laisses les gars normal en solo à l'intérieur ?
- Krim : Ils sont de confiance.
- Moi : Quoi ils sont de confiance ? Je les connais pas de sah moi.
- Krim : Moi je les connais bien et je te dis ils sont de confiance.
- Moi : C'est qui qu'a monté tout ça ?
- Krim : Nous deux.
- Moi : C'est à moi tout ça, c'est moi qu'a eu l'idée donc si tu merdes je te défonce à fond sans remords.
- Krim : J'arrive.
J'étais sorti et je l'avais attendu à la sortie du bloc, entre temps j'avais vu Jihad remonté chez lui. J'y étais aller.
- Moi : Alors ?
- Jihad : Bien ?
- Moi : On avance et toi ?
- Jihad : Pareil hamdulilah.
- Moi : J'ai récupéré les cagnottes. Je fini heja et je passe après.
- Jihad : Vas-y mais la liberté a été refusé.
- Moi : Sah ? Vas-y je fini et je monte vous voir après.
- Jihad : On fait comme ça.
J'étais parti rejoindre Krim et on était repartis au squatte. J'allais le redressé lui, fallait pas qu'il commence à merdé.
- Moi : Mec moi j'ai pas voulu ça. Eux je les connais pas plus encore. Qui te dis qu'ils vont pas nous la faire à l'envers ?
- Krim : Reste ne serait-ce qu'une journée avec nous et tu verras. Rien que quand ils se servent dans les réapp ils mettent des billets ga3.
- Moi : J'attends juste de voir moi.
- Krim : Je les ai prévenu du gars que tu étais et comment tu fonctionnes. Ils m'ont dit qu'ils savaient qu'ils entendaient les échos sur toi et pour que ça se passe le mieux possible ils suivront ce que tu demandes.
- Moi : On verra par la suite, je peux pas donné mon avis sur heja que j'ai pas testé.
- Krim : Tu verras seulement, vas-y viens on va se posé.
On étais partis au squatte se posé avec les autres, j'avais petit à petit commencer à parler avec eux malgré que je les connaissais depuis toujours. Je n'avais juste jamais pris la peine de leur adresser ne serait-ce qu'un mot parce que je ne voyais pas ce qu'ils pouvaient m'apporter.
Petit à petit ça se mettait à l'aise, ils étaient bon délire, ils avaient la tchatche mais c'est pas ça qui m'intéressait. Je voulais juste voir si ils avaient les épaules pour ça.
Durant la soirée ils avaient bien vendu, je m'étais mis avec eux. Ce qui était bien c'est qu'ils notaient toujours les ventes.
À plusieurs reprises ils étaient partis remettre de la marchandises à d'autres, Krim aussi et également moi. Ils rangeaient toujours, ils se préparaient toujours au cas où ça toquait. Ils mettaient tout dans le trou.
Petit film à l'écran, bouteilles sur la table basse. Le squatte faisait plus croire à un lieu de retrouvaille où on regardait la TV entre khey et où on se mettait bien alors qu'au final il y avait rien de tout ça.
On avait rafler pas mal de billets, j'avais jamais encore vécu ça, du moins je n'avais jamais vécu ça à mon compte.
Officiellement ça m'appartenait et ça appartenait aussi à Krim. Nous étions maitre de tout ça et c'est nous qui avions les droits sur ça à savoir qui aurait quoi.
J'étais farhan que ça roulait bien et j'espérais que ça dure dans le temps. On avait passer notre soirée calmement, petits billets, petite khabta.
J'étais ko, je m'étais raflé plusieurs poutre de coke et plein d'autres choses, j'avais été complètement sonné ce jour là.
Je ne me rappelle plus de rien après ces prises, je n'ai absolument plus aucun souvenir de ce moment là. Juste Krim qui m'avait dis le lendemain.
«Tu étais complètement mort, tu étais devenu malade, tu tenais plus debout. Tu avais mélangé trop de choses en même temps, ça t'avais tué les neurones cash. On avait préféré te remonté chez toi pour que tu n3ess sinon tu allais faire heja de fou.»
Le lendemain en me levant, j'étais sur le sol du salon à côté du sedari, j'en avais déduit qu'ils avaient du me posé sur le sedari et que j'avais du tombé dans la nuit.
J'avais eu un mal de crâne sévère, j'étais sur les nerfs mais à fond, le sang bouillant. Ce jour là tout le monde allait prendre cher.
Je n'avais eu aucun contrôle de moi et c'était chaud. J'étais conscient de tout, j'étais conscient de ce que je faisais et c'était ça le pire. Un sketch le délire.
Quand je buvais un verre en le reposant j'allais le jeté, quand je fermé une porte je la claquais jusqu'à que ça casse ga3, quand je parlais c'était beaucoup plus sèchement que d'habitude et quand je voyais quelqu'un j'avais envie de lui faire du sale.
Des insultes à répétition sur tout le monde, des gestes déplacés et violents envers tout le monde, des coups. J'ose même pas imaginé comment j'aurais été avec la mama et Nina ce jour là si elles auraient été présente.
Ce jour là j'étais resté dans le squatte avec Krim et les autres, j'avais encore une fois de plus consommé mais beaucoup moins. J'étais apte à tenir une discussion mais j'étais toujours très nerveux et ça passait pas.
Donc j'étais resté là-bas toute la journée et j'avais vu personne d'autres que Krim et les gars qui tenaient avec nous.
J'avais appeler Ines pour la prévenir que je ne pourrais pas venir la voir. Elle m'avait insulté de tous les noms et avec du recule je la comprends.
J'étais tellement dans tout ça, je me tuais tellement à toutes ces choses que j'en venais à ne plus être apte à tenir une journée du coup je ne pouvais même plus être présent pour eux ne serait-ce que une heure
On avait fait du chiffre ce jour là, ça allait être désormais notre passe temps. Ça y est on était installer et c'était bon de le voir.
Dans la soirée une fois que la pression était à peu près retombée j'étais parti chercher les cagnottes et j'étais aller toqué chez Jihad pour lui remettre.
- Moi : Donc elle est pas acceptée..
- Jihad : Non refusé directement, ils ont traitée la demande aussi vite qu'ils l'ont choppé.
- Moi : J'ai la haine, je commence à ressentir le manque, déjà qu'il nous prive de le voir.
- Jihad : On s'en remet au Très-Haut il y a que Lui qui nous donne la force nécessaire pour surmonté ça.
- Moi : Vous êtes quand même allez le voir vous ?
- Jihad : Je suis le seul à avoir pu partager quelques temps avec lui.
- Moi : Il dit heja ?
- Jihad : Il est devenu silencieux wAllahi si tu fermes les yeux face à lui c'est comme si tu étais seul. Il ne parle plus, regard sombre, souvent tête baissée.
- Moi : Douze années là-bas tu m'étonnes qu'il s'est muré dans le silence. Le pire c'est qu'il lui reste encore la quasi totalité de sa peine à faire, il en est qu'au début.
- Jihad : Ça fait mal.
- Moi : J'espère qu'il tiendra le coup et qu'il deviendra pas fou au point de commettre l'impensable.
- Jihad : On y pense tous les jours.
- Moi : Force à lui, force à vous.
- Jihad : T'es un bon, t'es l'un des rares de la cité qui prends encore des nouvelles de lui et t'es le seul qui a bouger pour lui. Les cagnottes il y a que toi qui a pensé à ça.
- Moi : C'est la moindre des choses je fais ça niya, c'est dans le gelb pas pour qu'on m'idôlatre après. Je fais ça pour moi, pour lui et pour vous ses frères et sœurs. Peu importe si ça aboutit ou non.
- Jihad : Tu as raison c'est pour ça malgré tes manquements tu restes une très bonne personne avec un bon fond. Tu le montres rarement mais quand tu le fais par les actes c'est beau à voir.
- Moi : Ça fait zizir. Là je vais te remettre les cagnottes et tu donnes aux nécessiteux comme tu as dis.
- Jihad : C'est ça, je vais quand même attendre un peu on sait jamais si on refait une demande et qu'elle est acceptée.
- Moi : In shâ Allah je le souhaite.
On avait passé un long moment à parler, le sujet portait beaucoup plus sur Hûsin notre frère. Ça m'avait fait du bien, ça me faisait pensé à lui.
Finalement j'étais reparti et je m'étais posé au squatte avec les autres, on avait vendu, consommé et finalement on était tombé raide..
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