● 052

- Lylia : Je dis rien depuis tout à l'heure mais sah je suis choquée de ton changement.
- Moi : Comment ça ?
- Lylia : Ton changement physique, je suis choquée de fou, tu imagines même pas.
- Moi : Je te plais toujours au moins ? Ahaha.
- Lylia : Ahaha t'es grave. Non mais sah on était encore tout jeune quand je suis partie. On avait quinze ans quelque chose comme ça.
- Moi : À l'ancienne, ça a évolué entre temps.
- Lylia : Carrément ! Gros bras, grosse barbe, grosse touffe de cheveux, t'es devenu une perche. Toujours un aussi beau sourire et toujours tes yeux chimique sinon le reste c'est du changement radical.
- Moi : T'as vu comment j'étais keus avant aussi, après j'avais fais la boxe, j'avais commencé à prendre un peu, suite à ça j'ai arrêté la boxe et après j'ai dosé la salle.
- Lylia : Mais évidemment que je m'en rappelle c'est pour ça que ça me choque, là c'est level au dessus mais j'aime bien.
- Moi : De toute façon même si t'aimerais pas mahlich.
- Lylia : La seule chose que je veux que tu changes c'est ta touffe de cheveux. On dirait un évadé de jail.
- Moi : Mais c'est ça.
- Lylia : Je vais te les coupé tes cheveux.
- Moi : Commence pas, il y a déjà une meuf elle m'a fait le coup il y a quelques mois.
- Lylia : Qui ça ? Quelle meuf ? Toi ça se voit en sah comme un papillon tu vas te posé à droite à gauche.
- Moi : Non même pas, je me suis jamais maqué.
- Lylia : Autant que moi tu sais qu'il y a pas besoin de se maqué pour aller se posé à droite à gauche.
- Moi : J'avoue j'avoue.
- Lylia : Alors c'est que tu le fais petite enflure !
- Moi : J'ai rien dis moi.

Je l'appréciais bien Lylia, elle était sans prises de tête, elle aimait rire, elle avait un certain dialogue, elle savait tué mon temps. Elle était bon délire, elle était mon délire.

Ce jour là elle avait su me faire oublier l'espace de quelques minutes tout ce qu'il m'était arrivé quelques jours avant, elle avait réussi à mettre pose sur tout le reste et c'est ça que j'aimais bien.

- Moi : T'es revenue sur Paris depuis quand ?
- Lylia : Je suis là depuis hier soir.
- Moi : T'as parler avec personne encore ?
- Lylia : Non pas vraiment, juste deux trois comme ça.
- Moi : Très bien, continue comme ça alors !
- Lylia : Pourquoi tu dis ça ?
- Moi : Comme ça, t'as pas besoin de parler avec les autres. Je te suffit pas moi c'est ça ?
- Lylia : Tu me suffit, tu le sais très bien mais j'ai envie d'avoir des nouvelles des autres. Ça fait longtemps.
- Moi : Bah c'est bien, fait comme tu veux !
- Lylia : Wah t'as changer de comportement aussi.
- Moi : Comment ça changer ?
- Lylia : Je trouve que tu es plus le Emir d'avant. Avant tu étais posé et plutôt calme et là je suis brusqué de ton changement.
- Moi : Je suis resté le même.
- Lylia : Non, vous avez tous changer mais toi t'es le changement qui me brusque le plus. En quelques secondes de discussions avec quelques-uns de vous j'ai remarquer ça.
- Moi : Bah explique au lieu de faire ta choquée de je sais pas où !
- Lylia : T'es devenu agressif, nerveux. T'es obliger de parler séchement et mettre des coups de pression à chaque mots que tu sors.
- Moi : C'est comme ça, j'y peux rien.
- Lylia : C'est quoi qui te pousse à être comme ça ?
- Moi : Rien c'est ma façon d'être et je changerais pas.
- Lylia : Bah tu vois ton changement m'a énormément brusquée parce que moi qui était très proche de toi avant je te reconnais pas. Tu étais toujours dans le délire, calme, tu te prenais pas le crâne et là c'est l'opposé.
- Moi : Juste pour une façon de parler ?
- Lylia : Non c'est bien plus qu'une façon de parler, c'est aussi une façon de se comporter. C'est quoi sah ? La mort de Maamar que t'as toujours pas acceptée ?
- Moi : Me parle pas de mon frère.
- Lylia : Je te soutiendrai quoi qu'il arrive mais s'il te plaît Emir devient pas comme ça.
- Moi : Je suis comme ça et ça changera pas. T'es brusquée de mon changement mais j'ai juste grandit et khlass. Quand on s'est vu on avait à peu près quinze ans et là on va sur nos vingt ans. Ça change.
- Lylia : Je comprends le faite qu'on grandit et change avec le temps mais toi c'est pas un changement positif.
- Moi : D'accord !
- Lylia : Je comprends mieux pourquoi tout à l'heure tu m'as dis que ça sera plus jamais comme avant entre nous.
- Moi : Ça y est t'as compris, enfin.
- Lylia : T'as la haine envers les femmes ou quoi ?
- Moi : Pourquoi j'aurais la haine envers les femmes ? J'ai été élévé que par des femmes, je suis entouré que par elles depuis petit.
- Lylia : Je ne sais pas, permet moi de me posée des questions. T'as l'air d'avoir une haine envers elles.
- Moi : Retire toi ces idées tout de suite !

C'était pas la première fois qu'on me disait ça, autant les meufs que mes khey à plusieurs reprises on m'avait déjà dit que j'avais l'air d'être un homme qui avait un profond dégoût envers les femmes.

Je ne comprenais pas comment ils avaient pu me dire ça. Quand j'étais en compagnie de quelqu'un c'était la plupart du temps avec des femmes. Je n'étais quasimment qu'avec elles. Si vraiment j'avais eu de la haine ou du dégoût envers elles je les aurais tous évité.

Après belek que j'avais une certaine haine envers elles de par ce qu'il m'était arrivé avec Ines, c'était possible en y repensant maintenant mais c'est vrai que sur le coup je le remarquais pas.

On me disait souvent : «Quand tu t'adresses à des hommes soit tu les prends comme tes frères soit tu leur rentre dedans cash et quand tu t'adresses aux femmes tu montes le son de ta voix et tu les descends tous à coup de paroles qui fait mal, tous sans exception» Mais c'était jamais voulu quand je le faisais.

Les quelques femmes que je porte dans mon gelb je me sens obliger de les tirer vers moi et de leur mettre des coups de pression. C'est juste une preuve que je tient à elles et que je veux pas qu'elles vrillent. C'est ma façon à moi de faire.

Elles le prenaient mal mais actuellement elles me remercient, il n'y a pas meilleure façon de faire que comme ça. De mon avis, le mien.

- Lylia : Tu fais quoi maintenant ?
- Moi : Après ma première année de lycée où j'y allais quasimment jamais j'ai définitivement arrêter et depuis je vends.
- Lylia : T'as une boutique de quoi ?
- Moi : Tu me parles de quoi là ?
- Lylia : Bah tu vends quoi je demande.
- Moi : À ton avis.
- Lylia : Genre je vais deviné, je sais pas, dis moi.
- Moi : De l'argent lassdeg.
- Lylia : Emir je vais t'éclaté ! Toi tu fais ça ? Mais depuis quand, pourquoi sah ?
- Moi : Je me fais des sous.
- Lylia : Et moi je te mets des coups ça va ?
- Moi : Oui tu peux.
- Lylia : Mais je suis tellement déçue de toi Emir, tellement déçue que j'ai les nerfs qui lâchent là.
- Moi : Vas-y là tu vas pas t'y mettre toi aussi.
- Lylia : Mais Em pourquoi tu fais ça ?
- Moi : Ça rapporte beaucoup et khlass. Il y a rien d'autre à dire.
- Lylia : Tu en consommes ?
- Moi : Je me tues à ça toutes les heures.
- Lylia : Je suis déçue et tellement mal pour toi.
- Moi : Moi je suis bien hein.
- Lylia : Je comprends mieux pourquoi tu es devenu agressif et très nerveux. Tout ça te pourrit de l'intérieur.
- Moi : Ouais c'est possible ma belle.
- Lylia : Je m'en remets pas.
- Moi : Tu vas t'en remettre, bon je vais te laisser et on se recapte la prochaine fois.
- Lylia : On se revois demain alors, promet moi. Repasse ton numéro.
- Moi : Tracasse, demain on se capte.

Elles avaient toutes les mêmes discours lourds à me dire, c'était toujours les mêmes choses. Au final ça me faisait rien.

C'est moi qui payera de mes actes, c'est moi qu'aura à rendre des comptes sur la manière dont j'ai vécu ma vie, c'est pas les gens qui seront là pour moi le jour où je devrais témoigné. Donc vous avez rien à dire c'est tout.

On s'était redonner nos numéros et j'étais remonté à la casa me mettre khabat. J'avais fini par n3ess à fond et le lendemain j'étais descendu me posé en bas des blocs.

Il y avait la moitié qui était au boulot etc et ils en restaient quelques-uns de posé. Je m'étais mis avec eux et parmis tous le monde il y avait Lylia du coup on s'était posé dans sa gova.

- Lylia : Du coup tu fais quoi de tes journées ?
- Moi : Et toi tu fais quoi de tes journées ?
- Lylia : Calma moi je viens de revenir hier mais je vais très rapidement reprendre mes études.
- Moi : C'est bien pour toi alors.
- Lylia : Je vais me mettre au défis de te faire changer, de te faire devenir plus calme et plus doux.
- Moi : Gelek me faire changer. Vas-y met toi au défis alors.
- Lylia : Je vais réussir, je vais t'apaisé de fou.
- Moi : Tu y arriveras jamais, crois moi. Personne ne pourra me faire changer.
- Lylia : Même pas moi ?
- Moi : Encore moins une femme. C'est des baltringues ceux qui changent seulement pour une femme et j'en suis pas une de baltringue moi.
- Lylia : T'es un gros dur toi.
- Moi : Non je dis juste ce qui est vrai. Hassoul sah je me répète mais ça fait vraiment plaisir de te revoir.
- Lylia : Même moi, hier soir quand t'es reparti j'ai repensé à tout ce que l'on faisait plus jeune.
- Moi : Je me souviens de tout, j'oublie welou moi. C'est pour ça que je suis farhan de te revoir, c'était un bon délire à l'ancienne.
- Lylia : Donc pour toi c'est clair notre relation d'avant elle ne reviendra pas ?
- Moi : Non parce qu'on a grandit et on a plus les mêmes délires ni les mêmes envies.
- Lylia : Je comprends ce que tu veux dire mais c'est quelque chose qui se tente.
- Moi : Bwahaha mais qu'est-ce tu attends de moi ? Que je te passe la bague au doigt ou quoi ?
- Lylia : Pas tout de suite.
- Moi : Ahaha gelek pas tout de suite, t'es une folle. Le mariage est moi c'est pas compatible.
- Lylia : C'est normal tu y penses pas encore.
- Moi : Maintenant, dans un mois, deux ans ou dix ans ça n'arrivera pas.
- Lylia : C'est radicale pour toi, tu veux pas.
- Moi : T'as compris, je veux pas me sentir en jail.
- Lylia : Ahaha pour toi le mariage c'est la jail.
- Moi : Chacun sa façon de voir les choses hein ? Belek je me trompe.
- Lylia : Oui tu te trompes. L'union de deux personnes qui s'aiment c'est magnifique.
- Moi : Ah on y vient, faut-il encore que je ressente heja pour quelqu'un.
- Lylia : Tu verras quand ça te tombera dessus.
- Moi : Ahaha tu me lances des appels de phares là.
- Lylia : Ahaha non, impossible.
- Moi : Fait pas zahma c'est impossible.
- Lylia : Si c'est impossible tu viens de le dire.
- Moi : Pour ma part c'est impossible pour la tienne je ne sais pas.
- Lylia : Arrête tu me gênes.
- Moi : Si on a plus le droit de parler maintenant.
- Lylia : Bon changeons de sujet.
- Moi : Non j'aime bien appuyer là où ça dérange. Dis moi pourquoi t'es gêné ?
- Lylia : Em me cherche pas.
- Moi : Ahaha j'ai pas fini avec toi. Hassoul je vais aller à la salle et si tu veux on se capte après ?
- Lylia : Vas-y on fait comme ça, tu me zappes pas.
- Moi : Non tranquille, va prendre des nouvelles des autres comme tu m'as dis hier.
- Lylia : Oh arrête toi.
- Moi : Vas-y cours vers eux.
- Lylia : Tu te fous de moi là ?
- Moi : Je te dis juste que tu peux aller les voir.
- Lylia : Jaloux !
- Moi : Je jalouse personne, je suis très bien dans ma vie pour jalousé les autres. J'ai pas le temps pour ça.
- Lylia : Oh ça va je rigolais arrête de faire le Baudelaire.
- Moi : Vas-y bouge de là !

J'étais parti à la salle juste après, j'y étais resté un sacré long moment. J'avais lâché la quasi totalité de la haine que j'avais au fond de moi sur ces heures que j'avais passé là-bas.

Dans l'après-midi j'étais retourné à la casa et avant d'aller me lavé j'avais lu quelques messages que j'avais reçu depuis le matin et j'avais repéré celui de Zyam.

- Zyam : Passe chez moi avant dix huit heure.
- Moi : Je pourrais pas.
- Zyam : Je sais que t'as rien à faire ! T'as une opportunité et tu l'as laisse passé juste pour pas froissé ta putain de fierté ?
- Moi : Dis moi c'est pourquoi et je verrais !
- Zyam : Si je te dis de venir chez moi c'est parce que je veux te parlé en face to face.
- Moi : T'es où là ?
- Zyam : Je me repose chez moi avant le boulot.
- Moi : Ça va je me lave et je viens.

Zyam est beaucoup trop important pour moi et je ne pourrais jamais le laisser. Si il lui arriverait quelque chose je serais anéanti.

Certes je n'aurais jamais fais le premier pas envers lui pour avoir une discussion CAR je ne fais jamais le premier pas envers les gens peu importe les retombées que ça a par la suite mais là Zyam avait fait le premier pas donc je me devais de mettre ma fierté de côté et donc faire le deuxième pas.

Je ne savais pas sur le coup ce qu'il voulait me dire. Belek il allait encore me prendre le crâne avec ça ou bien au contraire il allait essayer de calmé le jeu mais sur le coup je n'avais eu aucune idée.

Je m'étais lavé et préparé et je l'avais rejoins chez lui même si c'est vrai que sur le coup je n'en avais pas eu envie.

- Zyam : Alors ?
- Moi : Quoi alors ?
- Zyam : Tu te sens bien ?
- Moi : Ouais très bien.
- Zyam : Tu ressens welou depuis notre embrouille.
- Moi : Ainsi va la vie.
- Zyam : Mec tu vas me faire le plaisir de recraché ton gelb et de le refoutre à la putain de place où il devrait être.
- Moi : Trop tard.
- Zyam : Quoi trop tard ?
- Moi : Je l'ai digéré.
- Zyam : J'en ai marre de toi, même quand ça doit être sérieux ça l'est pas.
- Moi : Mais je suis sérieux moi là, je t'écoute.
- Zyam : Moi j'ai mal.
- Moi : Mal de quoi ?
- Zyam : J'ai mal depuis notre embrouille, c'est pas comme ça qu'on est censé être, hcheum. En plus quelques jours après la mort de Nourredin sah on a pas honte ? On devrait se soutenir dans cette dur épreuve, on devrait être soudé et nous la seule chose qu'on fait c'est de la khra.
- Moi : J'ai ma part de tord j'en suis conscient mais frère j'ai pas compris ce qui t'étais arrivé.
- Zyam : J'ai mal pour toi frère c'est tout. Je t'aime trop pour te laisser.
- Moi : J'ai pas l'habitude de ça khey.
- Zyam : J'ai mal au gelb tu peux même pas savoir comment frère. Je pense à Nourredin, je pense aux autres, je pense à ton frère Maamar Allahi rahmo et je me repasse en boucle ces putains de scènes quand on les a perdu et comment on était suite à ça et je me verrais pas te perdre alors qu'on était en embrouille. Je pourrais pas supporté ça.
- Moi : Je sais bien frère, moi non plus je pourrais pas. wAllah je sais pas quoi te dire, tu sais que j'ai pas les mots pour savoir répondre à ce genre de choses.
- Zyam : Oublions ça frérot, oublions sinon on va badé.
- Moi : Je sais bien frère.
- Zyam : La vrai raison de pourquoi je t'ai appeler c'est pour te dire que j'ai pris mon billet pour les Émirats.
- Moi : Sah ? wAllah tu pouvais pas me faire plus plaisir que ça. Il est quand ton départ ?
- Zyam : Pas ce mardi mais l'autre.
- Moi : Saha, pas longtemps après moi.
- Zyam : On va profité avec ton Grand Monsieur et in shâ Allah quand on reviendra tu seras mieux parce que t'as l'air vraiment mal depuis ton retour.
- Moi : Ouais.

Ce jour là, à ce moment là, suite à ce qu'il m'avait dit j'avais ressenti une sensation bizarre. J'avais senti que ça avait été le bon moment pour lui dire, je ne sais pas réellement ce qui m'étais arrivé mais j'avais ressenti quelque chose qui me poussait à lui dire.

Sur le coup je ne savais pas si j'allais réussir à lui dire mais plus je le regardais plus le début de ma phrase se posait sur le bout de ma langue et était prête à sortir.

- Moi : Il faut que je te dise heja Z.
- Zyam : Je t'écoute frérot.
- Moi : Je sais pas par pour où commencer.
- Zyam : C'est par apport à quoi ?
- Moi : Je sais pas c'est dur. Atta laisse moi me mettre en condition.
- Zyam : C'est par apport à ce que tu m'as dis l'autre jour ? Comment j'allais réagir si tu m'annonçais heja ?
- Moi : Atta laisse moi juste préparer mes phrases comme il faut.
- Zyam : Prends ton temps et quand t'es prêt attaque.

Ça avait vraiment été difficile, j'avais eu du mal à trouvé les mots mais je sentais qu'il fallait que je lui dise. Il m'avait dit quelques jours avant qu'il ne me jugerait jamais sur quoi que ce soit donc il fallait que j'y aille.

- Moi : Tu te rappelles de Samia et Ines ?
- Zyam : On est rester en contact avec Samia donc oui je me souviens pourquoi ?
- Moi : On était rester en contact avec Samia mais moi j'étais aussi rester en contact avec Ines et c'est assez difficile à dire.
- Zyam : Je te jugerais jamais comme j'aimerais pas qu'on me juge sur mes actes mais frérot me dis pas que c'est ce que je pense ?
- Moi : Laisse moi finir.
- Zyam : Vas-y frère je te brusque pas, prends ton temps.
- Moi : J'ai merdé avec elle.
- Zyam : Je le savais putain. Mais mec tu l'aimais pas Ines donc comment tu t'es retrouvé dans cette situation bordel ? Emmmmmir.
- Moi : C'est pas que je l'aimais pas, j'étais juste sur les nerfs ce soir là et je m'étais emporté pour rien contre elle mais j'avais aucune raison de la détesté.
- Zyam : Comment t'as fais mec ?
- Moi : Après mon retour à Paris on s'est revu.
- Zyam : Mais vous êtes allez où ?
- Moi : À ton avis ? Elle me servais à quoi ma gova.
- Zyam : Mec je suis brusqué putain, j'ai la tête qui vrille là. C'est pour quand ?
- Moi : Ça y est.
- Zyam : Mec je suis trop mal, j'arrive pas à te regarder dans les yeux.

J'avais été assez brusqué de sa réaction, elle m'avait paru bizarre. Après sûrement que c'était moi qui psychotais du faite que je lui avais dis. Je l'avais senti dégoûté et c'était pas plaisant à ressentir surtout venant de lui..

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