● 049

J'avais pas réussi du coup on était partis se réinstaller. Il continuait de m'expliquer les choses, il se plaignait énormément. C'était trop.

De ce que j'avais compris il était parti se réapprovisionné mais il allait rien préparer ni vendre. Je comprenais pas ce qu'il voulait.

- Moi : Mais mec laisse moi me posé des questions quand même mais je trouve ça bizarre que tu sois parti là-bas te refaire ton réapp et que tu veux rien vendre.
- Abdel : J'ai plus la force, je le referais mais j'ai besoin de temps.
- Moi : T'as pris tout ça pour rien alors, donne moi tout dans ce cas là !
- Abdel : Non t'es malade, jamais ! Ça sortira pas d'ici, tu vas bail avec moi c'est tout ce que je sais.

C'était pas le Abdel que j'avais connu, il avait énormément changé. Sincèrement ça me faisait rien, je compatissais pas pour lui mais je trouvais ça énorme le changement qu'il avait eu. C'était plus une dépression à ce stade là.

Après pas mal de temps à parler avec lui principalement des trafiques, du bail et de sa fuckin dépression j'étais reparti.

J'étais revenu à la cité et j'étais resté dans la gova parce que je savais qu'à l'heure où j'étais revenu la porte allait être fermé et que si je montais forcé ça allait partir en kawkaw.

J'avais n3ess la song à fond et le lendemain je m'étais fait réveillé par tout les petits de la cité qui faisaient du bruit, j'avais réveillé Krim et je lui avais demandé de me rejoindre au squatte.

Il me réveillais toujours donc je pouvais bien lui rendre la monnaie de sa pièce.

Il m'avait rejoins au squatte.

- Moi : J'ai pas la force de posé la porte.
- Krim : Mec on va le faire, il nous reste que ça.
- Moi : Tu sais le faire toi ?
- Krim : Moi ? J'y connais rien à ça.
- Moi : Vas-y j'arrive, je vais regarder vite fait sur le net deux trois choses.

J'étais remonté et j'avais regarder sur le net deux trois infos, j'avais tout noté et j'étais redescendu dans la cave avec Krim, on avait pris les outils et la porte et on y était aller.

Je l'avais déjà fait, je savais comment faire mais ce jour là j'avais pas eu la tête à ça, j'y allais en freestyle. Je voulais finir le plus rapidement parce que ça me rendais fou.

J'avais fini par appeler Zyam pour qu'il vienne nous aidé. Il était venu et ensemble on s'était cassé le crâne à retiré l'ancienne porte, faire les trous au bons endroits, positionné la porte bien là où il fallait, tiré, vissé.

Ça avait été casse tête, j'avais eu l'impression que ça nous avait pris plus de temps que tout le reste mais j'étais d'autant plus farhan une fois qu'on avait fini parce que là ça y est le squatte était prêt.

Je m'étais posé dans le squatte avec Zyam et Krim et j'avais remarqué que Zyam il se posait des questions et il avait fini par m'en parler.

- Zyam : Pourquoi vous faites ça en sah ?
- Moi : On va vendre ici !
- Zyam : Il y aura qui ?
- Moi : En attendant Krim et moi et on verra par la suite.
- Zyam : Bien bien et les autres sont au courant ?
- Moi : Quels autres ?
- Zyam : Les khey de la cité.
- Moi : Non ils ont pas à l'être.
- Zyam : Vas-y Krim sort vite fait je voudrais parler avec Em.

J'avais été brusqué ce jour là qu'il fasse sortir Krim, je savais pas ce qu'il voulait me dire mais j'étais pas serein. J'attendais juste de savoir ce qu'il avait à me dire.

- Moi : Pourquoi tu l'as fais sortir ?
- Zyam : On a pas besoin de lui.
- Moi : Ok je vois et tu veux me dire heja wela ?
- Zyam : Je veux savoir tu fous quoi khey !
- Moi : Toujours les mêmes choses et toi kheyou ?
- Zyam : Je rigole pas mec, je te parle sincèrement là. Pourquoi tu fais ça ?
- Moi : Faut des thunes frérot.
- Zyam : J'ai envie de te foutre des poings dans la gueule mec !
- Moi : Vas-y frère, je t'empêche pas.
- Zyam : Ta gueule tu me casses les couilles.
- Moi : Eh calma frère sinon je vais te rentré dedans.
- Zyam : J'en ai rien à foutre mec, tu me fais trop mal !
- Moi : Je te cala même pas donc en quoi je te fais mal ?
- Zyam : Tu tiens à moi ? Tu m'aimes ou pas ?
- Moi : Ah ta gueule frère, arrête de me dire ça.
- Zyam : Je te pose une dernière fois la question. Est-ce que tu m'aimes autant que moi je t'aime frère ?
- Moi : Je vais câblé si tu continues à me dire ça Zyam, arrête toi.
- Zyam : Arrête avec ta putain de fierté et dis moi les choses ! Est-ce que tu m'aimes comme ton frère ou pas ?
- Moi : Vas-y barre toi de là où je vais te finir.
- Zyam : Bien t'es comme ça ? Tu restes sur tes positions ? Alors va bien te faire foutre !

J'avais été brusqué, je m'étais pas attendu à ce qu'on s'embrouille comme ça. Par moment il nous arrivait que le ton monte entre nous mais ça avait jamais été jusque là.

Il était remonté chez lui et j'étais sorti du squatte et j'avais rappeler Krim. On s'était installer à l'intérieur.

- Moi : Qu'est-ce qui pourrait me rassurer et me dire que je pourrais aisément avoir confiance en toi ?
- Krim : Pourquoi tu dis ça ?
- Moi : Les choses vont commencer donc je veux savoir ce qui me pousserait à croire que t'es quelqu'un de confiance.
- Krim : Tout frère absolument tout. Depuis le temps qu'on se connait.
- Moi : Ça veut rien dire ça, même par sa chair et une personne de même sang on peut se faire trahir donc trouve moi autre chose.
- Krim : J'ai compris, si tu veux pas avoir confiance en moi c'est ton choix mais je t'assure que je suis de confiance. Laisse moi te le prouver et si tu estimes plus tard que je t'ai trahi sur quelque chose tu te vengeras et khlass.
- Moi : Tu sais je suis prêt au pire quand il s'agit de vengeance. La jail ça fait mal mais ça fait pas khaff et al mawt de toute façon on y passera tous donc soit sur de tes paroles.
- Krim : Em rassure toi je te la mettrais jamais à l'envers parce que je te connais trop pour ça. Je sais de quoi tu es capable.
- Moi : On verra dans ce cas.

Je ne savais pas si je pouvais avoir entièrement confiance en Krim, il ne m'avait jamais trahi, c'était un bon gars, on était du même délire mais j'avais jamais partager heja avec lui à part l'histoire des gova.

Je doutais un peu mais pour le savoir j'avais juste à bail avec lui et voir ce que ça donnait.

- Moi : Je vais partir quelques temps là.
- Krim : Combien de temps et quand ?
- Moi : Je pars la semaine prochaine et pour deux semaines et quelques.
- Krim : Je commencerais sans toi et ça te permettra de voir que tu peux avoir confiance en moi même en ton absence.
- Moi : Ouais mais faut faire les réapp.
- Krim : T'as des contacts ?
- Moi : Je vais en récupérer chez Abdel.
- Krim : Explique moi tout, donne moi ce qu'il faut et sah j'irai. Je serais capable d'y aller avec des mecs.
- Moi : C'est qui ces mecs ?
- Krim : De la cité et ils sont de confiance.

Il me parlait de mecs de la cité qui étaient de confiance et qu'il voulait faire bail chez moi mais je comprenais pas où il voulait en venir mais en sah j'avais rien à perdre.

- Moi : En sah moi là j'ai rien à perdre parce qu'il y a rien à moi. Ma marchandise restante elle est caché et je la passerais pas du coup je vais te proposais heja.
- Krim : Fais moi confiance et explique.
- Moi : T'as l'air à fond dedans du coup je te propose de mettre avec toi les gars dont t'as parler et qui sont soit disant de confiance, fait les réapp toi même, je vais te passé des contacts et commence les ventes avec eux et en revenant des Émirats je verrais si t'as les épaules pour ça.
- Krim : Ça me va.
- Moi : Soit pas trop serein aussi tu vois. Hassoul tu te démerdes avec les thunes et les paquets. Juste tout ce qui sera vendu je veux des notes. Tu noteras les sachets et les nombres au rapport.
- Krim : Cette fois si ce sera un test, t'es ok ou pas ?
- Moi : Je suis ok parce que de toute façon j'ai rien à perdre dedans mais si en rentrant je vois que t'as merdé je brûle le squatte ga3.
- Krim : Fais moi confiance tu seras pas deçu. Je ferais tout comme il faut.

À titre personnel je trouve que le blabla c'est l'ennemi de l'acte, les gens s'endort sur du blabla parce qu'ils savent qu'ils auront pas les épaules pour passer à l'acte ou bien qu'ils merderont l'acte et qu'ils ont pas confiance en eux. C'est mon point de vu.

Moi même quand je fais trop de blabla c'est parce qu'au fond de moi je sais que je merderais l'acte et là Krim il faisait un peu trop de blabla, un peu trop de «Non mais t'inquiète Em j'aurais les épaules pour» et c'est pas bon ça.

C'est tout ce que je déteste mais après sûrement qu'il allait réussir, je demandais juste à voir. Il avait deux semaines pour tout faire.

- Moi : Demain je vais chez Abdel et je vais rentrer dans le tas je vais directement lui demander les contacts.
- Krim : Il te les passera ?
- Moi : Peut-être bien que oui peut-être bien que non. Il faut que je trouve les mots juste pour qu'il accepte.
- Krim : Espéront qu'il accepte.
- Moi : Je lui demande maintenant parce qu'en ce moment il est mal. Disons que je profite de sa position pour lui demander.
- Krim : Tu lui fais comme il t'a fais.
- Moi : Je lui rends la monnaie de sa pièce.

Quelques mois avant il avait profité que je sois à l'hôpital dans un sale état pour me prendre la gova par derrière donc c'était à mon tour de profité et de lui demander tout ce que je voulais vu qu'il était pas conscient de ce qu'il faisait ces derniers temps.

Une fois les conditions posée j'étais rentré me posé chez moi et je répondais à mes messages en écoutant de la grosse song.

J'en avais reçu beaucoup de Ines, elle m'avait harcelé en appel, en message à plusieurs reprise et ça avait duré toute la journée mais j'avais pas répondu une seule fois. Je savais c'était pourquoi et ce jour là j'avais pas eu envie d'y aller à l'hôpital.

Je m'étais reposé un peu et dans la soirée j'étais aller voir Zyam chez lui. J'étais directement monté sans l'appeler, j'avais toqué à plusieurs reprises mais il avait pas ouvert.

Je voulais l'appeler mais je savais que si je l'appelais il allait se douté que c'était moi qui toquais chez lui. J'avais forcé et j'avais toqué encore à sa porte et finalement il était venu.

- Moi : Viens on va parler.
- Zyam : J'ai eu les réponses que j'attendais à partir de là khlass.
- Moi : Quelles réponses ? J'ai rien dit !
- Zyam : Ça m'a suffit à comprendre.
- Moi : Juste pour ce qu'il y a eu ?
- Zyam : Je me tue le gelb pour toi et ça te fait welou.
- Moi : C'est dommage.
- Zyam : Toi c'est dommage ! Tout ce que tu me disais en sah c'était que du bleh.
- Moi : Je le pense donc arrête de me casser les couilles.
- Zyam : Pourquoi tu fais les nerveux comme ça ? Ce que je te dis ça te touche ?
- Moi : En quoi ça me toucherait ? Juste arrête de forcé les choses. J'ai pas besoin de te dire heja au fond de moi je sais ce que je ressens pour toi.
- Zyam : Bsahtek c'est bien alors.
- Moi : Pourquoi tu fais le vexé comme ça ?
- Zyam : Vexé de rien du tout. Ça me casse les couilles de te voir te tué aux trafiques comme ça, wAllah tu me tues le gelb.
- Moi : J'y peux rien.
- Zyam : Si tu m'aimes comme un frère de même sang tu arrêtes ce que tu fais !
- Moi : Non !
- Zyam : C'est bien ce que je disais alors ! Vas-y khlass je perdrais pas mon temps plus que ça.
- Moi : Saha, salam.

Je cours pas après les gens et je suis très bien solo, tu peux être mon khey depuis gamin si ça s'arrête du jour au lendemain ce sera certainement pas moi qui courera après toi. Tu veux plus me parler ? Saha, salam alors.

Notre discussion avait rien donner et ça avait même casser un peu plus notre lien j'avais eu l'impression. Il me disait des choses que je n'aimais pas.

Je ne change pas pour les gens moi et ce ne sont certainement pas des paroles comme celles-ci qui allaient me faire changer. Je suis pas un pigeon.

J'étais reparti et j'étais passé à la résidence de Samia, comme d'habitude j'avais attendu que quelqu'un rentre ou sorte pour monté. Elle m'avait ouvert et j'étais rentré.

Samia était pas là, le petit lui dormait et Ines elle était en pleurs, ça m'avait brusqué, je me doutais légèrement de pourquoi elle l'était mais ça m'avait froissé.

- Moi : Pourquoi ?
- Ines : ...
- Moi : T'as quoi ?
- Ines : ...
- Moi : Pourquoi tu pleures ?
- Ines : ...
- Moi : Oh réponds !

Ça m'avait encore plus froissé quand j'avais eu aucune réponse, elle était allonger et je savais pas si elle pleurait encore vu qu'elle était retournée.

- Moi : Je suis venu pour rien alors. Je repars !
- Ines : ...
- Moi : Oh réponds ta sœur là !
- Ines : ...
- Moi : Bah vas-y salam, démerde toi avec eux.
- Ines : Ferme ta gueule, t'es jamais là. Tu sers à rien !
- Moi : Raison de plus pour me barrer si je sers à rien.
- Ines : La ferme !
- Moi : Bon soit bele3 fomek soit tu me dis pourquoi tu chiales.
- Ines : Bouge tu sers à rien.
- Moi : Je vais te lancé une bombe de tarba. Soit tu me parles soit je prends Zaher et je pars.
- Ines : Essaye juste essaye.
- Moi : Ouais !

On était resté un long moment sans rien dire. Ines était allonger sur le lit avec Zaher et moi j'étais allonger juste à côté d'eux en train de m'endormir de tarba. J'attendais qu'elle parle.

Je ne savais pas si elle allait finir par parler mais c'était sûr que j'allais rester posé là en attendant. Elle avait mis Zaher entre nous et rien qu'il était à côté de moi ça me froissait complet, j'avais les poils du bras qui se redressaient ga3.

- Ines : T'as pas oublier quelques chose lyoum ?
- Moi : Non j'y ai penser mais j'avais pas envie. Je me suis pas forcé.
- Ines : On s'en bat les reins de ce que t'as envie ou pas envie, c'est pas pour toi qu'on fait ça.
- Moi : Tu feras comment quand je vais te laisser pendant les deux semaines ? Si demain je mout dans un réglement de compte tu feras comment ? Apprends à faire les choses solo parce qu'on sait pas ce que demain nous réserve.
- Ines : Et si c'est moi qui claque demain tu feras comment toi ?
- Moi : Je prendrais la relève heja de normal.
- Ines : Donc en sah en attendant tu fais rien, tu te casses pas le crâne à ça parce que je suis là ?
- Moi : Un nouveau né il a besoin plus de la madre que du padre.
- Ines : Non ça c'est toi qui pense comme ça. Un nouveau né il a autant besoin de la mère que du père.
- Moi : Ah ok toutes mes excuses alors.

Des situations chiantes et inutiles, comment j'aimais pas quand je me retrouvais dans des situations comme ça avec elle. Elle me rendait trop nerveux.

J'étais en train de m'endormir sévère tellement il y avait rien à faire et que je voulais plus lui répondre. J'étais à demi endormi mais je sentais qu'elle bougeait, qu'elle s'occupait du petit, qu'elle envoyait des messages.

- Ines : Reste avec moi cette nuit.
- Moi : Non je vais repartir là.
- Ines : Fait moi plaisir et reste juste cette nuit.
- Moi : Non en plus Samia va revenir.
- Ines : Il est plus de minuit et tu dis qu'elle va revenir ? Cherche pas d'excuses là. Tu sais très bien que le weekend elle est chez ses parents.
- Moi : Peu importe en tout cas je reste pas.

Elle s'était levé et elle était parti à l'entrée mais je voyais pas ce qu'elle était en train de faire parce que moi j'étais de l'autre côté du muret qui séparait la seule pièce du studio. Je m'étais demandé ce qu'elle était en train de faire.

- Ines : Donc tu restes avec moi lyoum ou non ?
- Moi : Non.
- Ines : Très bien bah sors alors !
- Moi : Ah t'es comme ça ?
- Ines : Oui sors.

Elle était vraiment chelou, par moment j'avais du mal à la comprendre, c'était dur. Finalement je m'étais levé et j'étais parti à l'entrée pour repartir mais la porte était fermée.

- Moi : Donc là t'es sah tu as fermé ?
- Ines : Ouais comme ça tu as aucun autre choix que de resté.
- Moi : T'as que ça à faire.
- Ines : Oui c'est ça.
- Moi : Bah vas-y je fais welou.

Comment j'avais eu la haine, elle avait fermé à clé et elle avait caché les clés. J'avais la pression qui montait mais j'essayais de me contrôlé parce que je voulais pas m'emporté vu que le bébé était là et qu'il dormait dans sa poussette.

J'étais parti me rallonger à côté d'elle et j'avais mis en route le no calculage, à chaque fois qu'elle me parlait je répondais pas. J'avais cacher ma tête avec un cousin et je l'écoutais même plus.

Plus je la calculais pas et plus elle me cherchais. Elle se rapprochait, elle me retirait le cousin, elle se posait normal sur moi, elle me parlait sans cesse sans forcément attendre de réponse.

Le studio de Samia aurait été au moins au troisième je serais passé par la fenêtre heja de normal pour partir.

- Moi : Oh bon ma belle met toi sur le côté et laisse moi chwiya là.
- Ines : Non, j'ai envie qu'on parle posément.
- Moi : J'ai envie de n3ess donc bouge.
- Ines : Non, on va parler ensemble.
- Moi : Toi c'est que quand ça t'arrange. Tout à l'heure j'étais prêt à parler tu faisais ta nerveuse et maintenant tu fais du forcing.
- Ines : Tu peux parler sans faire le nerveux aussi.
- Moi : T'as fermé la porte donc compte pas sur moi pour parlé ou t'aidé. Je n3ess là.
- Ines : Mahlich au moins je sens ta présence c'est le principal.
- Moi : Bah bsahtek alors.

Une migraine cette femme, une migraine qui finalement dérangeait pas, j'avais la haine contre elle par apport à tout ça, par apport à l'acte et aux événements qui avaient suivis mais au final il y avait pas vraiment de raison que je m'emporte contre elle..

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