● 047
- Moi : Tu vas le voir à quelle heure Zian ?
- Ines : C'est autoriser après quatorze heures.
- Moi : Ok.
- Ines : Tu vas me laissé encore toute seule ou tu vas venir avec moi.
- Moi : Arrête toi, je vais venir.
Elle m'attaquait fort, dès qu'elle le pouvait elle le faisait, c'était grave. Elle se sentait bien après m'avoir tacler cette mahboula.
Elle s'était retournée et elle s'était rapprochée de moi et elle me regardait. J'étais trop gêné à ce moment là, je savais pas ce qu'elle pensait en me regardant mais c'était perturbant de fou.
- Moi : T'as quoi ?
- Ines : Rien, j'ai le droit de te regarder.
- Moi : Non tu me froisses là.
- Ines : Je pense au faite que tu vas encore me laisser. Tu fais que ça.
- Moi : Arrête Ines.
- Ines : J'ai bien le droit de te faire part de ce que je ressens. Je le ressens comme ça.
- Moi : Bah tu le ressens comme tu veux mais c'est pas ça donc arrête.
- Ines : Tu fuis ou pas ?
- Moi : Je fuis rien du tout putain. Oh c'est bon Zaher et Zian c'est mes gosses c'est bon, c'est ça que tu veux entendre ça y est là t'es contente ?
- Ines : Arrête de crier je te rappelle qu'on est plus tout seul.
- Moi : Je m'en bat les couilles c'est bon tu me tues le moral toi.
- Ines : Je comprends pas pourquoi t'es comme ça.
- Moi : Vas-y c'est bon je me barre. Soit prête à quatorze heures trente je serais là.
C'était embrouilles sur embrouilles et le problème s'arrangeait jamais. J'étais toujours sur les nerfs. Je suis un homme nerveux de base et c'est pas les naissances qui allaient changer quelque chose, loin de là.
J'étais redescendu et j'avais attendu jusqu'à quatorze heures trente dans la gova, j'en pouvais plus. Cette situation elle commençait à me faire changer mais c'était vraiment pas un bon changement.
J'avais l'impression de devenir de plus en plus violent et je me retenais plus. Ma haine, mon dégoût et ma frustration de tout ça me rendait vraiment mauvais.
À quatorze heures trente elle était descendu avec le petit et je les avais déposé à l'hôpital. J'étais rester dans la gova, j'étais beaucoup trop nerveux pour pouvoir aller avec elle.
Le temps qu'elle y était j'enchaînais les fumettes à grosse dose. Je pensais aux Émirats, au pays, à tout ce qu'il y avait de bon là-bas, je pensais au padre et au reste de la famille et j'avais qu'une envie c'était d'y aller.
Je pensais qu'à me barrer, être loin de tout ça, ah putain j'y pensais toutes les secondes. J'estimais pas que je fuyais le problème je voulais juste me changer les idées avant de revenir.
Il y avait eu trop de chose d'un coup et j'arrivais pas à me relever et le passage aux Émirats était comme une obligation pour pouvoir repartir sereinement ou à peu près.
Ines était revenu et elle m'avait rien dit parce qu'elle avait estimer que si j'étais pas venu c'est que j'avais pas eu envie d'avoir des nouvelles de Zian, du coup elle m'avait laisser dans le doute.
- Ines : Tu pues !
- Moi : Pourquoi tu dis ça.
- Ines : T'as que ça à faire de fumé à l'intérieur.
- Moi : J'ai fumé à l'extérieur.
- Ines : Bah arrête alors parce que tu pues la weed, tu sens que ça.
- Moi : C'est une nouvelle marque de parfum.
- Ines : Ta gueule.
- Moi : Oh c'est bon calme toi tu me fais mal au crâne.
Je l'avais déposée chez Samia et j'étais directement reparti parce que encore dix minutes de plus et j'aurais câblé sévère sur elle.
J'étais reparti chez moi, je m'étais posé un peu et finalement j'avais fini par n3ess. Krim m'avait appeler par la suite.
- Krim : Tu m'as laissé tout faire lyoum.
- Moi : Smehli khouya je suis khabat.
- Krim : Tu étais parti pour te mettre ko ?
- Moi : Non j'étais parti voir quelqu'un.
- Krim : Pourquoi t'es khabat alors ?
- Moi : Laisse tombé j'arrive.
- Krim : Laisse j'ai fini.
- Moi : T'as fait quoi ?
- Krim : La peinture.
- Moi : Vas-y j'arrive.
J'avais pas vu le temps passé, entre le temps que j'avais passé avec Ines et le temps où j'avais n3ess. J'étais claqué. Pourtant ça avait pas été mon but, à la base j'allais aidé Krim à tout faire.
Je l'avais rejoins au squatte et en faite il avait fait toute la peinture, il avait fait les deux couches de peinture. Ça avancer léger mais ça avancer tout de même. Le trou était fait, la peinture était faite du coup il restait plus qu'à mettre la moquette au sol.
Mais je voulais aussi lui parler d'autre chose.
- Moi : Demain on met la moquette.
- Krim : Il y aura plus que ça à faire et après on remet les sedari et khlass.
- Moi : Non j'ai une idée sur autre chose.
- Krim : Pour le squatte ?
- Moi : Ouais, j'ai envie qu'on change la porte. Une porte blindée ça sera beaucoup mieux que ça.
- Krim : Qui est-ce qui la mettra ?
- Moi : Bah nous.
- Krim : Tu sais poser des portes toi ?
- Moi : Mec t'as jamais bricoler avec ton padre ? C'est la base de faire ça.
- Krim : Montre moi, je sais pas faire.
- Moi : Demain on ira l'acheter.
- Krim : Je te suis moi hein, t'as l'air plus à l'aise que moi sur le sujet.
À l'intérieur on allait pas y vendre des stylo bic, loin de là du coup la simple porte qu'on avait était ridicule. Il fallait qu'on la change et qu'on la remplace par une porte blindée. Même si on y mettait le prix mahlich il fallait qu'on pense à la sécurité de tout ce qu'on allait mettre à l'intérieur.
J'avais l'impression d'avoir eu toutes les idées et que lui il suivait seulement, je suis trop calculateur et j'ai toujours des idées de fous et je savais que toutes les idées que j'avais eu étaient bonnes pour la sécurité du squatte.
Que ce soit pour la peinture et la moquette noir, la lumière tamisée, la porte blindée, la moquette pour caché le trou dans le sol j'avais penser à tout et c'était bien stratégique.
On s'était laisser, j'étais reparti à la casa et la seule chose à laquelle j'avais penser c'était mon billet d'avion, ça me cognait le crâne depuis la veille et j'attendais que ça de pouvoir le prendre.
Je cherchais une date au plus près, si j'aurais pu partir le soir même je l'aurais fait tellement j'avais ce besoin de repartir, de plus voir toute cette routine me tué.
On était déjà le 30 avril et ça faisait sept jours qu'ils étaient nés, c'était impensable, c'était fou, surréaliste. Moi j'étais père, genre Emir le petit con de dix neuf ans il était père de famille.
Ahaha non c'est une blague là, Emir tracasse tu vas te réveillé et ce sera qu'un mauvais rêve. Ah toz.
J'avais trouver un billet d'avion pour un départ à peu près deux semaines après, j'avais donc encore deux grosses semaines à me faire chier en France, avec la routine dégueulasse que j'avais. C'était lourd.
Une fois mon billet pris j'avais directement appeler Ines, il fallait qu'elle se prépare et qu'elle s'y fasse au faite que j'allais repartir.
- Moi : Ça va ?
- Ines : Très bien, je profite de mon fils chose que tu ne fais pas.
- Moi : Olalah heureusement que j'ai pris mon billet.
- Ines : Ça y est t'as pris ton putain de billet.
- Moi : Calme tes nerfs hein, tu étais au courant que j'allais partir.
- Ines : Je pensais pas que t'allais être aussi con pour le faire.
- Moi : Bah tu vois tu as ta réponse. Je suis aussi con pour le faire.
- Ines : Et le con il part quand ?
- Moi : Le con il va laisser la conne à partir du 16.
- Ines : Ok, vas-y j'ai des choses à faire.
Comment je regrettais pas d'avoir pris mon billet, la seule chose dont j'étais frustré c'est que le départ était dans deux semaines et quelques mais sinon c'était que du kiffe de penser que j'allais être loin de tout ça, de la madre et Nina, de Ines et des petits, de la cité et ses tourments, des meufs et tout le reste.
J'allais voir mon Grand Monsieur et ça me faisait du bien au gelb. Je pensais déjà aux courses de drift que j'allais partager avec lui sur les grandes routes de Dubaï, les soirées au desert d'Abu Dhabi, les journées au soleil, en jet ski, yacht qu'on allait passé ensemble, j'étais farhan à l'idée d'aller à Baghdad avec lui.
Je m'étais posé dans ma chambre et je me m'étais ko en jouant aux jeux vidéo, la mama en rentrant du boulot elle était venue me voir. Elle avait voulu me prendre dans ses bras mais j'avais esquivé en furtif. C'était affreux comment j'en avais pas envie.
- La mama : On s'est pas vu durant plus d'un mois, t'es revenu depuis une semaine et en une semaine je t'ai vu qu'une trentaines de minutes même pas et c'est comme ça que tu réagis.
- Moi : Je sens l'illicite ça sert à quoi que tu t'approches de moi.
- La mama : Ça me fatigue déjà.
Je m'étais dis que je ferais plus aucun effort, je voulais pas donc j'allais pas me forcé. Malheureusement pour elles ça leurs faisaient mal mais j'y pouvais rien à ça.
J'avais appeler Zyam pour qu'il vienne à la casa se faire des parties avec moi. Il y avait que Zyam que je voulais voir, c'est à dire que même Houssam je voulais pas, même Krim quand on se voyait j'en pouvais plus et les autres c'était pire et pourtant ils m'avaient rien fait mais c'était dans ma tête.
Il était venu, on s'était posé sur le lit et rien qu'on se tapé des parties de jeu et finalement on s'était posé et on avait parler ensemble.
On était passé par toutes les discussions possibles. La jail, al mawt, les frères, la famille, le pays, la drogue, les meufs, tout.
- Zyam : J'ai l'impression que tu t'es calmé sur les meufs toi ?
- Moi : Comment ça ?
- Zyam : Tu fais plus rien.
- Moi : Si mais j'ai pas besoin de le crier partout.
- Zyam : Ah donc tu continues.
- Moi : Sûrement.
- Zyam : Em toujours aussi mystérieux.
- Moi : Il faut frère il le faut.
- Zyam : T'as raison, moi si j'ai heja à dire je le dirais qu'à toi et Houssam mes sah jusqu'a al mawt.
- Moi : Jusqu'à al mawt frérot. Zyam t'as pas idée comment j'ai les yeux qui rougit quand je pense que je peux te perdre à tout moment. Je tiendrais jamais le coup sans toi, déjà c'est dur là sans mon frérot Nourr.
- Zyam : Pense pas à ça frère tu vas te tué le moral.
- Moi : Je suis convaincu que je partirai avant toi.
- Zyam : Dis pas ça tu veux me faire chialer ?
- Moi : la raison de ma mort ce sera la khabta, mes poumons atrophiés par la fumette.
- Zyam : Frère t'as quoi ? wAllah t'es en train de t'auto-tué, c'est quoi ces pensées de suicidaire ?
- Moi : T'es malade, suicidaire d'où ? Tfou
- Zyam : Bah arrête de dire des qtru comme ça alors tu veux mon gelb il lâche ou quoi ?
- Moi : C'est comme ça. Hassoul je vais repartir chwiya.
- Zyam : Où ça ?
- Moi : Voir le padre.
- Zyam : J'ai trop envie de venir avec toi.
- Moi : Je dirais jamais non tu le sais.
- Zyam : J'ai le boulot Em.
- Moi : Met toi en arrêt maladie.
- Zyam : Ah je sais pas, je vais essayer de voir ça et je te tiens au courant.
Ça m'avait trop fait plaisir qu'il me dise ça, jamais j'aurais dis non. Aux Émirats et en Iraq avec mon padre et mon kheyou je demandais rien d'autre à ce moment là. J'étais tellement farhan que j'étais prêt à lui payer le billet si il pouvait se mettre en arrêt maladie.
On avait passé toute la soirée à parler, ça parlait de tout et petit à petit il me parlait un peu plus de lui et par moment ça me donnait envie de tout lui dire mais je restais fort.
- Zyam : Je suis avec une mra en ce moment.
- Moi : Ouais rien de sah quoi.
- Zyam : Si du sah.
- Moi : Bwaa je te connais frérot dans une semaine tu viendras me voir pour me dire que t'es solo.
- Zyam : On verra bien en attendant ça fait un peu plus de cinq semaines.
- Moi : Toi ? Toi tu restes cinq semaines avec une mra ? T'es bizarre.
- Zyam : Tu verras le jour où ça t'arrivera tu kifferas.
- Moi : Non j'ai pas besoin de ça. Mais sah tu serais prêt à te posé sincèrement ?
- Zyam : On verra frère, c'est léger encore et je sais pas où ça nous mènera.
- Moi : Bah putain ! Si ça te fait du bien tant mieux juste j'espère je perdrais pas mon frère pour ça.
- Zyam : Jamais Emir, tu passeras toujours avant les autres et surtout avant les meufs.
- Moi : J'espère pour toi parce qu'une seule trahison et c'est fini. J'oublie rien, je suis trop rancunier.
- Zyam : Dis pas ça frère, wAllah t'es en haut de la liste.
- Moi : Bien bien.
J'y croyais pas au faite qu'il était en couple pour du sah, ça dure jamais les couples ou alors ça se tue au hob avant de trouver le bonheur, tout ce que je déteste en faite.
Mais c'était bien pour lui, si il était heureux comme ça c'était le principal et ça me faisait zizir de voir mon frérot farhan mais ça m'étonnait que ce soit la mra qui arrivait à le rendre heureux, c'était mon avis.
Avec ce qu'il m'avait dis ça m'avait trop donner envie de tout lui dire, mon frérot en qui j'avais une entière confiance, à qui je pouvais tout dire sans crainte. Il répétait jamais rien, il jugeait jamais mais il y avait quelque chose qui me poussait à tout garder.
- Moi : Je te souhaite d'être heureux en tout cas, solo ou en compagnie d'une mra peu importe je te souhaite du kheir.
- Zyam : Je te souhaite la même chose Em, en sah tu mérites plus. Tu te rends pas compte à quel point t'es une bonne personne en sah.
- Moi : Gelek bonne personne, bouge frère tu dis du khra.
- Zyam : Je vais te finir, arrête de te sous estimé. On en reparlera dans dix ans in shâ Allah.
- Moi : Je serais déjà mout.
- Zyam : Mawaaaa frère arrête de dire ça je vais t'éclater.
- Moi : On va parler en sah là ! Si un jour je t'annonce heja de fou tu réagirais comment ?
- Zyam : Fou à quel degrès ? Heja en rapport avec toi ?
- Moi : Ouais heja qui me concerne et quel degrès qu'est-ce j'en sais, juste heja de fou.
- Zyam : Je serais toujours présent et ça restera dans mon crâne et mon gelb ce que tu m'annonceras.
- Moi : T'es un bon.
- Zyam : Ouais mais maintenant dis moi, t'as commencé donc fini.
- Moi : Non j'ai rien à dire là, je demandais si jamais. Tu vois ?
- Zyam : Fou toi de moi. On se connais depuis trop de temps et ça fait quelques jours que je vois que t'es bizarre et je sais que ça à rien avoir avec le décès de Nourr.
- Moi : Non j'ai rien du tout, ça passera avec le temps.
- Zyam : C'est autre chose. Tu t'es pas embrouiller avec quelqu'un et t'as fais heja de fou ?
- Moi : J'aurais fais quoi sah ? Non j'ai vu personne.
- Zyam : Je sais pas je demande, quand on est pas dans un état normal on fait des choses qu'on contrôle pas.
- Moi : J'ai fais welou.
- Zyam : Saha je demandais juste.
Je sais pas ce qu'il s'était imaginé mais c'était assez bizarre, whatever. Je savais qu'il était de confiance et il me l'avait encore prouvé ce jour là mais malgré ça je me sentais pas prêt à lui dire et peut-être même que je me sentirais jamais prêt à le dire à lui comme aux autres.
On avait passé un long moment à parlé et finalement on été tombé raide de fatigue. Le lendemain il était reparti et moi j'avais directement rejoins Krim en bas du bloc.
On était aller jusqu'au squatte et on s'était directement mis au boulot. On dépliait, mesurait, coupait la moquette pour qu'elle rentre dans toute la pièce.
On avait passé notre matinée et début d'après-midi sur ça, tellement j'en avais marre on faisait que de s'embrouiller. À des moments je pensais qu'on allait en venir aux poings tellement j'étais nerveux.
On s'aidait malgré tout, on continuait parce qu'il nous restait encore pas mal à recouvrir mais entre temps j'avais reçu un appel de Ines.
- Ines : Tu viens pas lyoum ?
- Moi : Pourquoi ?
- Ines : On va à l'hôpital je te rappelle.
- Moi : C'est nécessaire d'y aller lyoum ?
- Ines : Mais j'espère vraiment que tu dahak là ?
- Moi : Oh c'est une question tu me réponds oui ou non !
- Ines : Fais moi plaisir, arrête de joué au con et viens !
J'en avais marre de devoir y aller tous les jours et c'était pas méchant quand je pensais ça ou que je disais des choses comme ça mais je le pensais réellement.
Disons que je voyais pas l'utilité d'y aller tous les jours sachant que quand on y allait on faisait rien. Il était dans un incubateur, branché à des machines. On pouvait pas spécialement le voir, juste à travers la vitre finalement et on en profitait pas.
J'étais parti la chercher chez Samia et on était aller à l'hôpital, cette fois là j'y étais aller sans rien dire. Comme d'habitude on avait rien fait, c'était juste histoire de se dire qu'on était aller le voir.
En revenant à la gova je lui avais dis quelque chose qui avait fini par partir en débat. Mais je suis sans filtre et ce que je pense tout bas ça fini toujours pas sortir tout haut.
- Moi : Explique moi l'utilité d'y aller tous les jours ?
- Ines : Comment ça ? D'aller voir Zian ? Mais j'espère vraiment que tu dahak Emir là ? T'as quoi à sortir de la khra à chaque fois ?
- Moi : Oh je dis vrai saha ? Je vois pas l'utilité d'aller voir un bébé qui est enfermé dans un incubateur. À part aller voir comment il souffre je vois pas ce qu'on fait d'autre.
- Ines : C'est ton fils et si on y va c'est normal. Ça permet d'avoir des nouvelles et de pas l'oublier.
- Moi : J'ai pas besoin d'y aller pour pensé à lui et des nouvelles on peut très bien appeler l'hôpital pour en avoir.
- Ines : Mais t'as aucun cœur toi, c'est une maladie ça c'est pas possible.
- Moi : Mais putain arrête tu commences à me rendre fou. On dirait que j'ai dis du mal, oh non. Je dis juste que je vois pas l'utilité de se déplacé chaque jours juste pour dix minutes à le regarder.
- Ines : Arrête de me parler et dépose moi chez Samia.
C'était fou la réaction qu'elle avait eu, je déteste quand les gens comprennent les choses de travers. C'était absolument pas méchant ce que je disais, c'était normal pour moi de pensé ça.
Se déplacé pour voir un bébé souffrir mais où est l'utilité putain. J'étais sûr qu'appeler l'hôpital chaque jours pour avoir des nouvelles ça pouvait être bien mieux que d'y aller et que si en appelant ils nous annonçaient heja là on irait.
Finalement je l'avais déposé chez Samia et j'étais reparti à la cité. J'avais rejoins Krim au squatte..
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