● 043
Quand j'y repensais ça faisait un sacré bout de temps que j'avais pas vu Abdel, depuis mon hospitalisation je l'avais pas revu et ça remontait à loin quand même.
J'avais aucune idée de ce qu'il avait écrit dans le message mais j'avais des doutes après ce qu'on avait fait chez lui j'étais quasimment sûr que c'était pour ça.
J'avais ouvert son message : «Tu m'as quitté ?»
Je m'attendais pas à un message comme ça de sa part, j'étais brusqué qu'il dise ça et j'avais du mal à comprendre pourquoi il m'avait envoyé ça.
De la façon que je prenais le message c'est qu'il voulait que je revienne avec lui. Je le voyais que comme ça, je voyais pas d'autre choix et en sah c'était assez plausible sachant ce que Kalvin m'avait dis sur Abdel quelques semaines avant.
Abdel commençait à comprendre qu'il était pas apprécier et que ça commençait à sentir pas bon pour lui, je l'imaginais en tout cas. Je restais méfiant parce que les spécimens de ce genre je les connais trop bien pour me faire avoir par eux.
Je l'avais quand même appeler parce que je voulais savoir ce qu'il voulait me dire, en plus ça devait faire plusieurs semaines qu'il m'avait envoyé ce message étant donné que j'étais pas là depuis un mois.
- Abdel : C'est Emir ?
- Moi : Ouais.
- Abdel : Tu peux venir maintenant ?
- Moi : Non.
- Abdel : Je vais avoir besoin de toi.
- Moi : Non.
- Abdel : S'il te plaît Em.
- Moi : Tu fais la lèche là un peu, ressaisis toi je t'ai jamais connu aussi soumis.
- Abdel : Enfoiré ! Tu devrais être content je demande ton aide parce que je sais que tu as les épaules pour faire partie de ça.
- Moi : Explique.
- Abdel : Tu vas venir avec moi, tu vas être boss avec moi et tu seras payer comme il faut.
- Moi : Ok.
- Abdel : Tu reviens ?
- Moi : T'es en chien parce que t'as plus personne ? Tu lamines ceux qui sont avec toi et après tu viens faire la lèche aux anciens sale con.
- Abdel : Parle moi mieux, je dis juste qu'il y a que toi qui a les épaules pour être à mes côtés hormis les autres. C'est des nouveaux qui ont du potentiel mais il faut garder un œil sur eux alors que toi je te connais depuis et j'ai confiance en toi.
- Moi : Ok, je te sens tout tendu là. Tu te sens plus à ta place ?
- Abdel : Je serais toujours à ma place dans ce milieu, on me veux juste du mal.
- Moi : En sah je t'ai vu changé en quelques temps, tu es passé de dominant à soumis meskin. Sale con t'as vraiment cru que dans ce milieu on nous veux du bien ?
- Abdel : Ça dépend, il y a une minorité qui nous veux du mal.
- Moi : Ah vas-y ta gueule on dirait un amateur le gars. Personnes veux du bien et pourquoi tu dis ça déjà ?
- Abdel : On m'a volé une belle sommes d'argent et il y en a qui on touché aux gamos en bas.
- Moi : C'est ce que je disais t'as plus ta place dans ce milieu et tu seras de plus en plus harcelé. Toi tu croyais que se mettre au dessus de tout le monde à les bouger comme des pions ça faisait le bonheur ? Chab comment tu vas en prendre plein le crâne maintenant.
- Abdel : Je peux rien faire sinon c'est moi qui va avoir des problèmes et c'est pas le moment mais je suis en train de chercher dans l'entourage qui a bien pu faire ça.
- Moi : Vas-y cherche mais pourquoi tu m'as demandé si je t'avais quitté ?
- Abdel : Après ce qui s'était passé je pensais que tu ne voulais plus être en bail avec moi.
- Moi : Ah oui c'est fini ça en plus temps que j'y pense grosse merde t'as repris la mustang !
- Abdel : Je l'ai revendu.
- Moi : Après tu t'étonnes que plus personne veux bail avec toi, tu nous la met tous profond.
- Abdel : Je t'avais dis que je voulais la revendre.
- Moi : Il y a des façons de faire connard ! T'as profité que je sois mal pour la reprendre et en plus de ça t'allais même pas me prévenir. Je t'avais dis que c'était la mienne, tu me l'avais échangé contre une grosse vente.
- Abdel : Je te l'échange encore si tu veux.
- Moi : Garde tes vieilles gova là et me rentre plus dans ta merde et de toute facon tu te feras pété bêtement pour tout ce que tu fais.
- Abdel : Je fais ça dans les règles de l'art. Tout est commander, payer, reçu, vendu dans ce business j'ai arnaquer personne.
- Moi : Genre c'est du licite là ce que tu fais ? Ça veut dire que tu dépenses ton oseille que tu gagnes dans tes trafiques de stups pour te faire une collection de gros gamos à revendre dont tu vas réutiliser l'oseille gagner dans autre chose ?
- Abdel : C'est ça le boulot, c'est ça !
- Moi : Non c'est pas ça le boulot connard ! Depuis que je te connais tu as perdu plus d'oseille que tu en as gagné. Arrête ce milieu c'est pas pour toi.
- Abdel : Je suis dans ce milieu depuis longtemps et toi depuis peu donc j'ai pas de conseils à recevoir d'un amateur.
- Moi : En attendant l'amateur j'ai l'impression qu'il est bien plus compétent que toi. Tu devrais pensé à changer de filière mon gars sinon à la fin de l'année tu seras mout.
- Abdel : D'accord.
- Moi : Ça c'est la réponse des incompétents de ton genre qui savent plus quoi répondre.
La discussion avait duré bien plus longtemps, on avait parler de beaucoup de chose et à la fin il m'avait une fois de plus demandé si je pouvais venir le lendemain. Je ne savais pas encore si j'allais y aller donc je ne lui avais pas dis oui mais je ne lui avais pas dis non, j'étais resté neutre sur ma réponse.
En mon absence tout le monde avait changer c'était fou, il y avait des comportements que je ne reconnaissais pas venant de certains.
La mama et Nina qui devenaient hnina, Ines qui devenait beaucoup trop envahissante pour moi, Abdel qui été devenu un soumis. J'étais brusqué.
J'avais passé mon après-midi affaler au salon à répondre aux messages, je faisais le tri. J'avais supprimé plus de la moitié et il y avait juste le message d'une meuf à qui j'avais répondu. Au début j'avais pas la certitude que c'était elle mais dès que j'avais lu directement j'avais compris.
- Célia : Comment il se sent le jeune homme après son opération ? J'ose te demandé ça plus de dix semaines après ? Mieux vaut tard que jamais non ? Si ça se trouve t'as changé de numéro..
- Moi : Belle technique d'approche j'aurais pas fait mieux.
- Célia : Toujours mettre son travail à l'honneur, ça fonctionne toujours.
- Moi : Je vais mettre la khabta à l'honneur alors ! Mais sah qui t'as dis que ça avait fonctionner avec moi ? Elle est peut-être belle mais peu intéressante
- Célia : Toujours toi et ta drogue là ! Ahah avoue tu m'as lancé un pique là ? En faite tu parlais de moi en disant ça ?
- Moi : Belle mais peu intéressante ? Qui t'as dit déjà que tu étais belle ?
- Célia : Ah tu es plutôt comme ça toi ? Ça va t'as de la chance j'aime bien.
- Moi : Ouais non, sah pourquoi t'as mis autant de temps à m'envoyé un message ?
- Célia : Je devrais dire pourquoi t'as mis autant de temps à me répondre ?
- Moi : Oh tu sais t'es pas ma priorité, j'ai d'autre chose plus intéressante à faire.
- Célia : D'accord je comprends, profite c'est pas tout le temps qu'on pourra se parler par message !
- Moi : Pourquoi tu décides déjà de me quitté ?
- Célia : Avec mon travail ce sera difficile de te laisser du temps, tu sais t'es pas ma priorité.
- Moi : Oh je vois mademoiselle, ça lance les hostilités. Tu n'as pas apprécier mon message d'avant peut-être ?
- Célia : Moi ? Jamais ! J'ai dis j'aime bien ta façon de voir les choses.
- Moi : Ok bon tant mieux alors, hassoul je vais te laissé.
- Célia : Tu vas faire quoi ?
- Moi : Je vais n3ess.
- Célia : Belle technique de rejet.
- Moi : Pourquoi ?
- Célia : C'est ce même monsieur qui avait passé sa nuit dehors jusqu'à cinq heure du matin pour m'attendre à la sortie de mon service qui va dormir en pleine après-midi ?
- Moi : L'abuuuuus. Je me serais jamais pointé plusieurs heures avant, j'étais arrivé quelques minutes avant.
- Célia : Je te taquine.
- Moi : Fais attention que ce soit pas moi qui commence, tu pourras plus t'en sortir.
- Célia : Je demande à voir.
- Moi : Ouais bah là Emir il demande à n3ess surtout. Vas-y à plus.
J'étais allé me posé dans ma chambre. Ça me ressemblait tellement pas de ne rien faire de mes journées même si j'avais l'habitude de n3ess la journée et vivre ma vie la nuit, je bougeais quand même à un bout d'un moment mais là je m'étais levé quelques temps avant et j'allais n3ess encore.
J'avais tout lâché et j'étais tombé ko dans mon lit, j'étais parti dans le sommeil de loin et par la suite ma sœur était venu dans ma chambre, elle me prévenait que Zyam voulait me parler en bas du bloc. Sur le coup je comprenais welou tellement j'étais claqué
Nina elle faisait que de revenir dans ma chambre me dire «Zyam il t'attends, c'est pas bien ce que tu fais» j'ai cru que j'allais l'encastré dans le mur ce jour là.
J'avais pris ma saccoche et j'avais rejoins Zyam en bas.
- Moi : Salam, smehli j'étais en train de n3ess.
- Zyam : Normal frérot. Hassoul je t'ai appeler je sais pas combien de fois, Samia pareil elle essaye de t'avoir depuis plusieurs heures.
- Moi : Pourquoi ?
- Zyam : Bah moi en sah je te préviens parce qu'elle m'a appeler pour te dire qu'elle a besoin de toi, si tu pouvais la rappeler.
- Moi : Elle t'a dis la raison ?
- Zyam : Non frère mais je pense c'est parce qu'elle a envie de te parler, je lui avais dis ce que tu m'avais dis de dire avant que tu partes en Algérie.
- Moi : Vas-y je vais la rappeler.
- Zyam : Fait les choses bien frère.
- Moi : T'en fait pas pour ça khey.
Ah frère si tu savais en réalité tu me dirais pas ça. J'avais commençais à me posé beaucoup de question, elle voulait absolument me parler jusqu'à elle avait appeler Zyam pour qu'il vienne me prévenir. À ce moment mes doutes ils étaient à la limite de se confirmé.
J'étais pas bien, j'étais pas prêt pour ça d'autant plus que la veille Ines m'avait appeler pour me dire qu'il restait à peu près deux semaines. J'étais au plus bas, j'avais le crâne qui faisait mal, il tapait séchement, gros vertiges de fou.
J'avais aucune envie d'appeler Samia mais il le fallait. Zyam était reparti et je m'étais posé dans le hall pour appeler Samia.
- Moi : Ouais ?
- Samia : Il t'a prévenu Zyam ?
- Moi : Prévenu de quoi ? T'as rien dis j'espère ?
- Samia : Non j'ai rien dis, ça fait plusieurs heures que j'essaye de t'avoir. Je suis à l'hôpital avec Ines.
- Moi : Visite de routine ou du sah ?
- Samia : Elle ressentait des douleurs donc on y est allée par précaution.
- Moi : Ça vaut le coup que je vienne ou pas ?
- Samia : C'est quoi cette question Emir putain ? Oui tu viens de suite, t'es fou toi.
- Moi : Ouais bah commence déjà par parler mieux parce que si je te rentre dedans je vais pas te louper.
Je sais pas elle avait eu quoi, après belek c'était moi qui avait pas pesé mes mots face à elle mais j'étais pas bien et c'était un qtru de fou.
Je pensais à pleins de choses en même temps. Ah zeh j'avais le visage de Nourredin qui me passé en tête ah ya khouya c'est dur, j'avais aussi Ines et toute cette histoire que j'aurais pu évité qui me faisait mal au crâne.
La situation elle avait commencé à me froissé petit à petit, j'étais en train de perdre le contrôle de tout mais absolument tout et c'était compliqué à gérer.
Elle m'avait pas assurer que c'était pour ce jour là, elle m'avait fait comprendre que c'était une simple nuit de surveillance mais même si c'était que ça c'était quand même énorme parce que ça voulait dire que ça arrivait là, c'était proche.
J'étais directement parti les rejoindre avec la gova de Nourredin. Sur le parking j'avais mis énormément de temps à sortir de la gova, je voulais pas parce que ça sentait pas bon pour moi et pour elle, je crois que j'avais jamais autant senti la khra de toute ma vie, c'était grave.
Finalement j'étais sorti parce que Samia arrêté pas de m'envoyé des messages et d'appeler. À l'accueil j'avais demandé la chambre où elles étaient.
Quand je marchais pour les rejoindre c'était fou la sensation que j'avais, comme si j'étais stone, je voyais plus rien et plus personne autours, juste un long couloir qui finissait pas. J'étais concentré et je regardais droit devant moi et à ce moment là je demandais juste à voir.
En sah je voulais juste voir Ines et imaginé la situation, je voulais jugé par moi même si c'était à l'aise pour ce soir là ou si c'était mort et que c'était lyoum.
En rentrant dans la chambre Ines elle était allonger et elle avait une sorte de ceinture autours du ventre avec des machines sur les côtés et il y avait Samia à côté assise sur la chaise. Elles discutaient ensemble et dès que j'étais entré elle s'était stoppé directement. C'était tendu.
- Moi : Ouais.
- Ines : Ça va ?
- Moi : C'est à toi qui faut demander ça.
- Ines : Oui, là elles m'ont fait une péridurale, j'attends.
- Moi : Ça veut dire quoi ?
- Ines : Pour pas que je ressente la douleur.
- Moi : Tu l'as ressens là ?
- Ines : Beaucoup moins.
- Moi : Après ils vont faire quoi ?
-Ines : Le travail il a commencé là, elle va revenir après voir je suis à combien et j'irais en salle.
- Moi : Attends je comprends que dalle là, comment ça quelle salle et combien quoi ? C'est lyoum ?
- Ines : Oui pourquoi ?
- Moi : Mais hier tu m'as dis il restait encore du temps.
- Ines : Emir t'as cru que c'était moi qui décidait de la suite ? C'était une date approximative qu'ils disaient et ça pouvait être avant comme un peu après. Ça va arriver tant mieux non ?
- Moi : Et ça fait combien de temps que t'es comme ça ?
- Ines : Cette après-midi.
- Moi : Vas-y je reviens.
Les nerfs ils étaient en train de lâchés, j'étais pas bien et je n'avais pas su quoi faire. J'avais eu l'impression d'avoir pris un gros zdeh et que je planais à fond, que tout ce que j'étais en train de vivre sur l'instant c'était du vent, ça existait pas. C'était vraiment bizarre.
J'étais reparti à la gova, je m'étais allonger à l'arrière et je cogité de fou. Il y a aucun mot aussi fort pour décrire exactement la situation dans laquelle j'étais et comment je le ressentais et face à ça même l'homme le plus fort mentalement et le plus indifférent de base aurait eu cette réaction.
J'étais nerveux et ça passait pas, j'avais le crâne qui cognait fort. Ça faisait un moment que j'étais dans la gova du coup Samia m'avait rappeler.
- Moi : Ouais ?
- Samia : T'es parti ?
- Moi : Non je suis dans la gova.
- Samia : Elle est où ?
- Moi : Sur le parking.
- Samia : non mais je sais ça, vas-y klaxonne.
J'étais retourné à l'avant de la gova et j'avais klaxonné pour qu'elle vienne. Quand elle était arrivée je disais rien, je savais pas comment être ni quoi faire ou dire.
- Samia : Ça va ?
- Moi : Ouais.
- Samia : Ça va bien se passé in shâ Allah et je serais là pour elle par la suite. Tu vois Em avec mes études j'ai réussi à avoir un logement étudiant du coup elle va restée là-bas le temps qu'elle trouve quelque chose, normalement j'ai pas le droit mais c'est le mieux que je pouvais faire pour elle.
- Moi : Tu vis seule au moins ?
- Samia : Oui je suis dans cette résidence depuis moins de trois mois et le weekend je rentre à la cité.
- Moi : C'est où ?
- Samia : Dans le 13ème.
- Moi : Ok du coup je dois remercier tes études ?
- Samia : Pourquoi ?
- Moi : C'est grâce à elles que tu as eu un logement du coup Ines elle se retrouve pas seule.
- Samia : Bonne déduction.
- Moi : Ouais.
- Samia : Souris, wAllah t'as l'air triste Emir, triste et fatigué.
- Moi : Arh j'ai pas envie.
- Samia : Oublie le reste et pense au faite qu'elle va mettre au monde des jolis bébés.
- Moi : Sah ça me froisse rien que d'y penser.
-Samia : C'est beau, prends le bien. On parlait des prénoms tout à l'heure, t'as même pas dis ton mot sur ça toi.
- Moi : C'est pas elle qui les choisis, c'est moi !
- Samia : Va la voir, viens on y va et vous parler ensemble pour les prénoms.
- Moi : Non c'est mort, tout est déjà calculé dans ma tête et les prénoms je les ai choisis déjà depuis longtemps khlass.
- Samia : Viens on y va quand même et tu lui dis les prénoms.
Genre elle allait choisir les prénoms, sincèrement elle pensait que j'allais rien dire, mais jamais. Je voulais pas me retrouvé avec des enfants qui avaient des prénoms trop entendu comme les Yassine, Ilyes, Kader et compagnie c'était mout. Je voulais de l'originalité pour ces petits.
Peut-être qu'elle avait l'impression que j'étais en retrait et que je me sentais pas concerné pas tout ça et surtout par apport aux naissances mais elle se trompait à fond. Je me sentais concerné de très près mais je le montrais pas donc les prénoms c'était moi qui allait les choisir.
On était repartis voir Ines dans la chambre et là j'avais pas parlé le Serbe j'avais directement tapé dans le sujet.
- Moi : J'ai entendu dire que tu étais en train de choisir les prénoms ? Sah te casse pas le crâne j'ai déjà choisis.
- Ines : Non on va choisir à deux.
- Moi : Il y a quoi que tu comprends pas dans j'ai déjà choisis ?
- Ines : Toute ta phrase je la comprends pas ! Un prénom ça se choisis à deux.
- Moi : Eh bah je te dis comment ils vont s'appeler.
- Ines : Dis et on vois ensemble si ça me plaît pas.
- Moi : Peu importe il y en aura un ce sera Zaher et l'autre Zian.
- Ines : Hm ça me va, j'aime bien sah sinon j'aurais pas hésité à te le dire.
- Moi : Il y avait pas le choix de toute façon. J'ai épargné les Yassine, Kader et compagnie.
- Ines : J'allais pas choisir ça mais mahlich. J'aime bien ça va, ils sont beaux et originaux.
- Moi : Je les ai choisis pour leurs significations.
- Ines : Dis.
- Moi : Zaher c'est un protecteur, un gardien qui te protège et Zian ça signifie la beauté, l'élégance.
- Ines : J'aime bien, t'as choisis pour les significations et sah j'aime vraiment ça.
- Samia : Ils auront des beaux prénoms et peu commun, bien vu Emir.
- Moi : Ouais et le temps qu'on y est on va parler du sujet qui fâche. Ils porteront mon nom.
- Ines : Ils porteront double-nom si il faut.
- Moi : Sur les papiers ça sera le mien khlass.
- Ines : Je regrette mais il faut qu'ils aillent les deux dans ce cas là.
- Moi : Ines commence pas, ils auront mon nom et khlass.
Elles étaient brusquées que je réagisse comme ça mais c'était la fatigue, les évènements précédents et la situation dans laquelle j'étais qui me rendait comme ça, nerveux et agressif.
J'avais vite stoppé la discussion parce que ça tournait en rond, elle restait sur ses positions et moi je restais aussi très fermement sur les miennes. J'allais pas abandonner ces enfants du coup ça porte le nom du père c'est tout, j'allais être là pour les élevé et m'occupé d'eux donc ils allaient avoir mon nom.
J'étais resté avec elles même si j'avais qu'une envie c'était de repartir. Le boulot pour Ines continuait et les infirmières venaient souvent la voir pour contrôlé et d'un seul coup ça avait commençait à beaucoup bougeait, il y avait pas mal d'infirmières qui étaient venues d'un coup parce qu'elles jugeaient que c'était le moment et dès que j'avais compris ça j'étais sorti d'une vitesse affolante et j'étais retourné dans la gova en cash..
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