● 035
Quand tu parles et que la personne en face de toi elle t'écoute pas et qu'en plus de ça elle te le montre qu'elle en a rien à faire de ce que tu dis ça rends fou, je commençais à m'énervé petit à petit. Dès que j'avais pris son portable elle s'était calmée directement.
- Moi : T'es pire que les meufs que je côtoie tfou.
- Nina : Tu me compares à tes kahba, sympa.
- Moi : Est-ce que j'ai dit ça la parano ?
- Nina : Je sais pas tu viens me voir pour me dire que je te fais penser aux meufs que tu côtoies, celles que tu côtoies sont toutes des khemja. Comment je dois prendre la chose ?
- Moi : Ah non je voyais pas ça comme ça moi mais si tu le dis belek que c'est ça.
- Nina : Un peu de tact quand tu t'adresses à ta petite sœur ça serait sympa. T'es vexant dans tes propos c'est affolant.
- Moi : C'est toi tu fais ta meskina, est-ce que j'avais dis ça ?
- Nina : Je l'ai donc sûrement mal compris comme à chaque fois, exprime toi mieux dans ce cas là.
- Moi : Tu casses le crâne bordel. Je disais que tu me fais penser aux meufs que je côtoie parce que t'es difficile à cerné, une énigme à résoudre le bordel.
- Nina : À présent la personne qui est la plus difficile à cernée c'est toi. T'es un mystère comme gars et tu fais ressortir aucune émotion, aucun sentiment.. Tu as un cœur au moins, rassure moi ? Vu comment tu te comportes je me pose la question.
- Moi : Je crois que c'est toi tu m'as volé mon gelb, wAllah Nina.
- Nina : C'est quoi cette phrase ? La phrase mythique que tu sors à toutes tes kahba ?
- Moi : Pourquoi tu dis ça aussi ? Je parle pas avec les meufs, aucun sentiment et aucun amour à donné. Que du hob pour mes deux princesses.
- Nina : Lesquelles ?
- Moi : Les deux femmes de ma vie wsh, commence pas Nina.
- Nina : N'importe quoi, tu nous rends plus triste qu'autre chose.
- Moi : Ah ça vaaa, je tenterai jamais de te résoudre toi wAllah j'ai déjà mal au crâne.
- Nina : Hassoul rends moi mon portable.
- Moi : Non j'ai pas fini, essaye pas de faire un changement de discussion pour qu'on zappe l'essentiel. Maintenant je vais te surveiller à chaque fois même si il faut que je paye des gens pour le faire.
- Nina : Ma parole tu vas trop loin toi, tu t'es cru pour un infiltré carrément.
- Moi : Non tu me remercieras plus tard quand tu comprendras.
- Nina : Moi je suis une énigme mais toi t'es un sketch alors. Juste attends, toi tu oses me dire ça alors que quand même tu passes tes nuits je sais pas où avec je sais pas qui. Tu fais fort là mon frère.
- Moi : C'est pour ça que je dis ça. T'es une petite princesse et il faut que tu restes comme ça, te salit pas en restant avec des gars ou heja comme ça. Tu as pas besoin de ça et puis de toute façon je serai toujours là pour t'en empêcher.
- Nina : Non mais c'est clair qu'on s'ennui jamais quand on entame des discussions avec toi. T'es un sketch khouya, je ris là mais wAllah que c'est le rire nerveux. Je sais pas ce que t'as dans le crâne.
- Moi : Bon tant mieux si je te fais dahak même si c'est nerveusement mahlich au moins je te fais rire et c'est l'essentiel. J'aime les nerveux et les nerveuses moi donc pas de soucis avec ça. Entre frère et sœur on joue dans la même cours mahboula.
- Nina : Mais tu rends fou Emir, je deviens dingue avec toi. Je te comprends pas et même je te comprends plus. Yemma ça fait ga3 le temps qu'elle cherche plus à te comprendre et Ba si il essayerait wAllah que tu lui donnerais la migraine pour les dix prochaines années.
- Moi : En sah c'est ce que vous êtes quotidiennement. Vous êtes des migraines et chaque jours vous décidez de qui vous aller faire chier.
- Nina : Tu es pareil mais toi zahma c'est constamment. Matin, midi, soir et même entre et ya khouyaaaa même la nuit tfou, la nuit ta vieille rhass je la vois.
- Moi : Je suis flatté.
- Nina : Ah tu trouves ça flatteur ?
- Moi : De fou wsh, on pense à moi même la nuit tu vois le délire et en plus de ça ma sœur.
- Nina : Wah Emir des fois je suis triste d'avoir un frère comme ça mais après je me dis al hamdulilah je l'ai avec moi ce fou. T'es un tueur.
Je voyais qu'elle faisait en sorte de changer très régulièrement de sujet de discussion pour pas qu'on parle du vrai sujet qui me rendait fou. On était en train de dahak ensemble et elle pensait que ça y est j'avais oublier mais non c'était mort.
J'allais continuais à la pisté et à en savoir plus parce que ça me rendait fou de savoir ces choses là. Je suis un homme qui aime la compagnie féminine et je m'en cache absolument pas, je faisais de la khra par apport à ça et c'est pour cette raison que je me permettait d'être comme ça avec ma sœur. Je ne voulais pas que des hommes se mettent à faire sur ma sœur ce que je faisais avec d'autre. Je ne voulais pas ça pour elle.
- Moi : C'est ton gars l'autre ?
- Nina : Un collègue.
- Moi : Tu vas pas me jouer le coup du collègue avec moi.
- Nina : Emir j'ai pas envie de parler.
- Moi : Mais ça c'est pas mon problème, moi aussi il y a des qtru que j'ai pas envie de faire mais on me casse les couilles pour le faire.
- Nina : Je suis pas bien.
- Moi : Joue pas à ça avec moi Nina, de toute façon ga3 on va aller le voir ensemble.
- Nina : Qui ?
- Moi : Azhar.
- Nina : ...
- Moi : On va s'expliquer et je vais lui dire de plus t'approcher.
- Nina : Pour encore avoir des ennuis ? Tu te rends compte Emir que tu as utilisé une arme ? Tu te rends compte que sur le coup de l'adrénaline si il y aurait pas eu cette vitre tu l'aurais touché ? Tu te rends compte de ça ?
- Moi : Ouais mais c'est pas arriver.
- Nina : Tu réalises pas la gravité de tes actes. Je parle avec toi et je ris avec toi parce qu'après tout t'es mon frère mais wAllah j'ai tendance à avoir khaff de toi tellement t'es violent et que tu contrôles pas tes gestes.
- Moi : Je savais que ça allait pas l'atteindre.
- Nina : Mais arrête de me dire ça Emir parce que comment t'aurais pu le savoir ? Avec la gravité ça aurait bien pu le touché. J'étais là choquée sans pouvoir rien faire tellement j'étais outrée de ce que tu venais de faire. Brusquée de constaté que c'était bien Emir mon frère qui avait porté ce coup.. Et après ça tu veux qu'on aille le voir ensemble ? Mais jamais !
- Moi : Mais t'as cru on était dans un film au far west wela wach ? Je savais que ça allait pas l'atteindre zeh !
- Nina : N'importe quoi et puis même c'est le geste qui compte. T'as quand même eu l'idée et le cran de tiré Emir et quand je repense à toutes les affaires dans lesquelles tu as été mêlé ça ne m'étonne même pas.
- Moi : Tu vas me faire chier encore longtemps ? Je sais ce que j'ai fait, je suis pas con.
- Nina : Avec toi de toute façon rien est grave.
- Moi : Vas-y il habite où lui ?
- Nina : Je ne sais pas.
- Moi : Prends moi pour un con Nina.
- Nina : Je ne sais pas je suis jamais aller où il vit, il y a que lui qui me dépose.
- Moi : Comment t'es pas crédible.
Depuis tout à l'heure on parlait ensemble mais j'avais pas les réponses que je voulais et j'avais complètement oublier que j'avais son portable dans les mains. J'allais donc chercher mes réponses seul. Elle l'avais mis en silencieux parce qu'elle avait reçu pleins de messages depuis qu'on parler.
Il y avait trop de monde qui lui envoyer des messages, elle avait pas le droit à ça, j'étais trop mal. Quand je voyais ça je pensais à moi et à quoi me servait tout les numéros que j'avais dans mon répertoire et je voulais pas ça pour elle.
- Moi : C'est quoi tout ces numéros ?
- Nina : Est-ce que je me permet de fouiller dans ton portable moi ?
- Moi : Compare pas avec moi, là je suis le grand frère ici et khlass.
- Nina : Tu as pas à fouiller ! Ce sont mes connaissances, moi je te dis rien quand t'es avec des kahba.
- Moi : T'es ma sœur wsh arrête de dire ça, on dirait une meuf qui me parle là.
- Nina : Ouais bah je suis ta sœur donc raison de plus, ça me dégoute de te voir comme ça.
- Moi : Vas-y ok hassoul je capte pas comment t'as autant de numéro.
- Nina : Des amis.
- Moi : C'est chelou, je vois que tu as trop d'amis sah. Je vais prendre ton portable.
- Nina : Mais t'as pas à le prendre, mais sérieux ça t'apporte quoi de faire ça ?
- Moi : Je sais ce que je fais, tu me remercieras plus tard.
- Nina : Mais c'est pas parce que tu t'amuses avec tout le monde que eux aussi son comme ça.
- Moi : Mais t'as cru on était qui en faite ? On se contente pas de papoter nous, c'est vieux jeu ça.
- Nina : Pourtant je ne fais que parler avec eux, de très bonnes connaissances.
- Moi : T'es mignonne ukhty, reste dans ton innocence ça me dérange pas. Tu comprendras tout ça plus tard.
- Nina : Mais en ce moment tu essayes trop de m'apporter des conseils comme l'impression que tu essayes de me faire comprendre des choses.
- Moi : Comment ça ?
- Nina : Je sais pas, tu caches rien ?
- Moi : Comment ça cacher quelque chose ?
- Nina : Non rien.
- Moi : Ouais je préfère.
Je sais pas ce qu'elle avait voulu me faire comprendre en disant ça mais j'avoue que sur le coup j'avais eu légèrement khaff, pourtant je montrais jamais rien.
À cette époque là personne ne pouvait se douter du gros bordel qu'il y avait dans ma tête et tout ce que je tentais de cacher et notamment ce que j'avais fait avec Ines, personne pouvait s'en douter. Ines je la voyais rarement et même si je la voyais c'était en dehors de la cité et des quartiers alentours donc clairement plus personnes se souvenaient d'elle, juste Zyam et Houssam de temps en temps ils demandaient des nouvelles mais je faisais bleh que je savais pas.
- Moi : wAllah j'ai l'impression tu me caches des qtru de fou.
- Nina : Je te cache absolument rien.
- Moi : Ça je peut pas savoir.
- Nina : Laisse moi finir de me préparer déjà je suis en retard.
- Moi : Mahlich je te déposerai.
- Nina : Je préfère carrément louper une journée de travaille plutôt que tu me déposes et que j'aille encore à devoir me taper tes reproches.
- Moi : Je te dépose commence pas là.
- Nina : Rends moi mon portable et sors.
- Moi : Non je te le rends pas, fini de te préparer.
Elle s'était vite calmée parce qu'au début elle pensait que ça y est j'en avais plus rien à faire étant donné que j'avais cassé deux trois dahka avec elle mais elle avait vite changé de comportement quand elle avait vu que je rigolais pas.
J'étais aller me posé dans le salon et en attendant qu'elle finisse je regardais dans son portable. Je lisais les messages et dans ma tête ça tournait plus rond. Elle avait trop d'amis mais plus particulièrement des gars et ça me rendait fou. Il y avait rien d'irrespectueux dans les messages mais il y en avait trop.
J'avais trouvais les messages de Azhar, c'était un petit rigolo celui-là, j'aimais pas comment ils parlaient ensemble. Ils avaient cru qu'ils étaient à dix ans de vie commune tfou. J'étais aller voir Nina.
- Moi : T'as fini ? Il va être dix sept heure trente.
- Nina : ...
- Moi : Vas-y on y va.
Elle était sortie de sa chambre et on était sortie, elle me suivait à contre cœur mais elle avait pas le choix.
J'avais toqué chez mon khey AbdKrim qui vivait dans le même bloc que moi, au premier. Je voulais sa gova pour déposé Nina à son travail.
Je quémandé des clés de gova à tous mes khey tellement j'étais pas libre de mes mouvements depuis que j'avais plus la mienne. Quand tu as plus de gova t'es mal, on peux pas bouger, on est pas libre, une gova ça fait tout.
J'avais toqué chez AbdKrim et c'est Asra sa sœur qui m'avait ouvert.
- Asra : Emir ça va ? tu veux quoi ?
- Moi : Il est là AbdKrim ?
- Asra : Aaah Nina tu vas bien ?
- Nina : Oui et toi ?
- Asra : Oui, tu vas faire quoi ?
- Moi : Oh on est pas venus là pour jacter.
- Asra : Ahaha sale fou.
- Moi : Sah il est là AbdKrim ?
- Asra : Il est sorti.
- Moi : Tfoou.
- Asra : Je déconne, tu me tues. Toujours nerveux toi.
- Moi : Ah tu joue avec les nerfs aussi ma belle, vas-y appelle le là.
- Asra : Krimmm.
- Krim : Oh bele3 toi !
- Asra : Viens il y a Emir.
- Krim : J'arrive.
J'attendais qu'il arrive et pour le moment Asra et Nina parlaient ensemble, je comprenais pas vraiment ce qu'elles se disaient, des codes chelous que elles seules pouvaient comprendre.
AbdKrim était arrivé et il m'avait serré fort dans ses bras, j'avais pas compris pourquoi.
- Krim : Frère tu dates, on vit dans le même bloc et on se vois jamais.
- Moi : Je suis pas souvent ici.
- Krim : Même en bas des blocs tu y vas plus.
- Moi : Je commence un peu à revenir mais je suis plus trop à la cité.
- Krim : Ah ouais je vois. Tu as entendu il y a eu des coups de feu cette nuit, j'ai pas eu le temps de voir qui c'était quand je suis sorti il y avait plus personne.
- Moi : Ouais j'ai entendu vite fait.
Nina elle s'était rapprocher quand elle avait entendu Krim dire ça mais j'étais mout. Ça se voyait qu'elle avait la haine, limite elle avait envie de dire que c'était moi. Je lui avais lâché un de ces regard en vite fait et elle s'était directement reculé pour reprendre sa discussion avec Asra.
- Krim : Ça va devenir de plus en plus chaud de toute façon avec les réglements de compte ici. J'entends que Rqt tah khra ils sont chaud sur nous en ce moment, il faut se préparer à ce que ça tape fort.
- Moi : On est toujours prêt il y a plus qu'à cogner, on les attends.
- Krim : De fou, ça m'a fait plaisir de te revoir en tout cas. Khey hésite pas à revenir ici quand tu veux même à la casa je t'attends.
- Moi : Ça m'a fait zizir aussi khey. Hésite pas à passer toi aussi.
- Krim : Ouais tranquille.
- Moi : Vas-y frère il faut que je dépose Nina au boulot, prête ta gova hambouk.
- Krim : Tu as plus de gova toi ?
- Moi : Non plus pour le moment.
- Krim : Vas-y je te ramène les clés.
Nina et Asra continuaient de parlaient ensemble, les deux folles, lui AbdKrim était parti me chercher ses clés et ils étaient repartis et en refermant la porte Asra était trop bizarre.
- Asra : À plus tard Emir.
- Moi : Khoya Abd on se capte plus tard.
- Krim : Ouais pas de soucis frère.
Je parlais jamais avec Asra, welou et même pas un salam ou aller de temps en temps dt elle commençait à réagir bizarrement avec moi, c'était une migraine, une colle qu'on pouvait pas s'enlever.
On était partis s'installer dans la gova de Krim, j'avais allumer le contact et j'allais démarrer.
- Nina : Tu me donnes mon portable ?
- Moi : Non commence pas Nina, j'ai dit je te le rends pas.
- Nina : J'en ai besoin et puis imagine je dois vous joindre ?
- Moi : Ah vas-y je te le passe pas cherche pas alors.
- Nina : On fait comment alors si je dois vous joindre ?
- Moi : Vas-y tu veux un portable ? Je vais te chercher le vieux Nokia à ima
- Nina : Elle l'a.
- Moi : Non le deuxième. Bouge pas je vais le chercher.
Elle avait la haine contre moi et ça se ressentait, j'avais réponse à tout ce qu'elle me disait et elle en avait marre. Elle chercher constamment des excuses pour récupérer son portable mais j'allais pas lui rendre.
Premier ménage que j'allais faire de toute ma vie c'était dans le portable de Nina, j'allais faire le grand nettoyage avant de lui rendre.
J'étais aller lui chercher le nokia et je lui avais passer et elle avait la grosse rage contre moi mais j'en avais rien à faire. Soit elle se contenté de ça soit c'était hek.
C'était plus mon problème à partir de là, j'avais démarré, je l'avais déposé à son travail et j'étais revenu à la cité où j'avais rejoins les khey.
- Amin : Prêt frère ?
- Moi : Bien sûr, toujours prêt.
- Zyam : On est ensemble.
- Moi : Vas-y j'arrive, je vais rendre les clés à AbdKrim.
J'étais retourné toqué chez Abdel et comme d'habitude c'était Asra qui avait ouvert, grand sourire aux lèvres je comprenais pas pourquoi.
- Asra : J'appelle Krim ?
- Moi : Ouais.
- Asra : Krimmm.
- Krim : Oh Asra tu casses les couilles, arrête avec ta bouche là.
- Asra : Il y a Emir aussi.
- Moi : Comment il te met à l'amende ton frère meskina.
- Asra : Eh rigole pas toi aussi.
- Moi : Je constate juste, meskina tu te fais allumé.
- Asra : Ouais on verra, on verra.
- Moi : De quoi on verra ?
- Asra : On verra.
- Moi : C'est toi on verra la petite.
- Asra : Petite de quoi j'ai un an et quelque de moins que toi.
- Moi : Parle pas t'es ma petite.
- Asra : Ouais mais non.
- Krim : Ouais frelon, ca y est ?
- Moi : Ouais tiens tes clés.
- Krim : Saha frérot.
- Moi : Eh je peux te parlé en vite fait là ?
- Krim : Vas-y entre.
Quand Krim il se trouvait devant Asra il l'a calmée meskina, comme moi quand je me trouvais devant Nina. Ce gars c'était un bon, il me faisait pensé à moi comment il était, comment il se comportait, comment il voyait les choses, comment il vivait sa petite vie, sa façon de réagir et parler c'était ma copie.
Asra elle était repartie quand il l'avait calmée et Krim et moi on était partis se posé dans sa chambre.
- Krim : Vas-y frelon je t'écoute.
- Moi : Tu fais quelque chose ce soir ?
- Krim : Rien de prévu pour le moment, sûrement tout à l'heure. Pourquoi ?
- Moi : Je te veux trop dans mes projets, j'ai pleins de projets en tête et je te veux dedans.
- Krim : Par apport à quoi ?
- Moi : Par apport..
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