● 034
J'avais réfléchi à ce que j'allais pouvoir lui dire, je voulais qu'on trouve un moyen de s'entendre par apport à tout ça. Même si j'y réfléchissais depuis un petit moment j'avais pas non plus trouver un bon moyen.
- Moi : Je vais partir wAllah.
- La mama : Oui en Algérie pour quelques semaines, tu me l'as déjà dis.
- Moi : Non, là je vais partir fbledi quelques temps avec un khey et en revenant je vais vous laisser tranquille Nina et toi.
- La mama : Tu vas aller où ?
- Moi : Là je vais prendre tranquillement mes vacances.
- La mama : T'es en vacances toute l'année, ça change pas.
- Moi : Ima tu vas me laisser finir wela ?
- La mama : Continu de parler.
- Moi : Je vais partir et en revenant je vais aller aux Émirats voir ba et dès que je reviens je vais me trouvé un logement ou heja comme ça.
- La mama : 3lach ? Tu fais ça pourquoi ?
- Moi : Je vous gêne et ça me gêne de me sentir de trop ici.
- La mama : Weldi c'est pas ce que je veux et Nina non plus ne veux pas ça. Change tes habitudes c'est tout. J'ai jamais éduqué mes enfants comme ça. Pourquoi on me fais ça ?
- Moi : Je cherche pas à vous faire du mal, c'est involontaire si je vous fait du mal par apport à ça.
- La mama : Si vraiment tu serais mal par apport à ta sœur, à moi et même à ton père malgré qu'il soit pas présent et bah tu ferais tout pour changer sachant ce qu'on a déjà vécu.
- Moi : Ima j'ai pas envie de faire des débats, je suis pas en mesure de pouvoir parler là maintenant.
- La mama : Je ne cherche même plus à rentrer dans des débats avec toi. Réfléchi weldi, remets-toi s'en au Très-Haut parce que tu vas finir encore plus mal que tu l'est déjà.
Après ces dernières paroles je ne savais plus quoi répondre, j'étais resté bête devant elle parce qu'en quelques mots elle m'avait dbeh. «Remets-toi s'en au Très-Haut parce que tu as finir encore plus mal que tu l'es déjà» Finalement j'avais pas trop pété ma bouche encore une fois parce qu'elle avait raison et que j'étais totalement en tord.
C'était malheureux que ses paroles passaient par la gauche et ressortaient par la droite sans même me donnaient une leçon, elles restaient pas encrées dans mon crâne, elles me faisaient pas changeait et pourtant les mots d'un parent, les maux d'une mère auraient tout pour nous faire changeait mais malheureusement ça n'avait plus aucun impact sur moi, j'étais tellement pourris de l'intérieur que ça se ressentait à l'extérieur. J'étais quelqu'un sans aucune émotion, aucune expression, sans aucun sentiment ni quoi que ce soit de ce genre et encore aujourd'hui.
La rue me faisait dévier, elle me faisait du mal, elle me faisait prendre des chemins bizarres, elle me faisait croire que ce que je faisais était bien mais ça je le remarquer pas malheureusement. Rajouter à ça les fréquentations tout autant bizarres que j'avais, ça n'arrangeait pas les choses, ça me rendait mauvais, c'était fou. Sans repère on s'en rends pas forcément compte.
Ce qu'elle m'avait dis ça avait sonné un peu dans mon crâne mais pas plus que ça, je l'avais très rapidement oublier. J'étais resté bête devant elle pendant quelques secondes mais j'avais très rapidement repris la parole.
- Moi : Donc là dans quelques jours je m'en vais et dès que je reviendrai j'essaierai de voir selon ce que j'aurais à faire et si je partirai aux Émirats directement donc touche à rien pour le moment, laisse la chambre comme elle est et j'enlèverai tout à mon retour.
- La mama : Et combien de temps je vais devoir supporter encore tout ça ici ?
- Moi : Je verrai selon le temps que je reste en Algérie et sûrement aux Emirats.
Quand je disais «Si j'aurai le temps d'aller aux Émirats» je faisais référence au faite qu'il y avait les naissances qui arrivaient très vite et que j'aurai sûrement pas le temps de repartir dans ce cas là mais je restais sur mes positions qui étaient de ne pas les mettre au courant, c'était pour éviter qu'il y aille des tensions et surtout une cassure entre moi et elles et surtout entre moi et ma famille au complet étant donné qu'une telle annonce ça fait l'effet d'une bombe.
Finalement c'était inutile de rester devant elle parce qu'il n'y avait pas de changement et c'était des échanges de regards de travers qui en disaient long du coup j'étais aller me préparé et j'étais parti rejoindre mes khey en bas. Il fallait qu'on se mette au point parce que c'était le lendemain qu'on allait chez Abdel.
- Moi : Demain soir on va chercher les gova.
- Karim : On en discuter justement.
- Moi : Bon ça va alors vous êtes toujours dans le coup ? Pour pas que je me fasse avoir demain soir
- Zyam : C'est sah là ? Frère si on a dit qu'on viens c'est qu'on viens. On te laisse pas, c'est impossible de faire plusieurs allers et retours du 93 jusqu'au 19ème sans se faire prendre. Si tu dois te faire prendre on se fera prendre avec toi.
- Moi : Je préviens juste que si on me la fait à l'envers je chauffe cash.
- Zyam : Celui qui fait la baltringue demain on le termine. On viens avec toi !
- Moi : Sah on est tous des khey ou pas ?
«Ils me disaient tous oui, on est des frères, on se lâche pas. Toujours là pour la famille»
- Moi : Bien alors croyez pas que si vous venez avec moi demain pour faire ça que vous allez gagner quelque chose. Je vous préviens.
- Zyam : On a rien à avoir, on viens c'est tout. Entre khey on s'entraide sans attente d'oseille en retour.
- Moi : Je préfère mettre cash les règles au cas où il y en auraient qui se feraient des idées demain.
- Nourredin : Tranquille mon frère. On viens faire le boulot avec toi, c'est tout.
J'étais dans l'obligation de posée les régles, j'avais une entière confiance en Zyam, Houssam et Nourredin mes vrais khey mais les autres c'était différent. Je les connaissais trop bien et c'est pour ça que j'étais méfiant avec eux c'est donc pour cette raison que j'avais mis tout au clair. On continuait de parler ensemble.
- Moi : Vas-y n'importe qui d'entre vous m'envoi un message pour avoir une situation pour demain si jamais Abdel viens me prendre le crâne.
- Houssam : Vas-y moi je te l'envoi.
- Moi : Non, pas Zyam, Nourredin et pas toi non plus mon sah.
- Houssam : Pourquoi ?
- Moi : Tu étais déjà venu avec moi voir Abdel réfléchi, il te connais maintenant.
- Houssam : Ah ouais tranquille.
- Moi : Amin envoi moi un message, zahma tu m'invites à heja demain soir.
- Amin : Vas-y je t'envoi ça là.
Je commençais tout doucement à préparer le terrain. Je suis très calculateur et minutieux dans ce que j'entreprends et j'avais penser à tout les moindres détails. Je faisais tout pour que Abdel aille rien à me reprocher si jamais on était amener à se revoir. Les messages allaient être une preuve que j'étais occupé ces jours où il était pas là. Amin m'avait envoyé un message en m'invitant à des soirées.
Tout était prêt il y avait plus qu'à, on avait plus qu'à attendre le lendemain. Toute la soirée on était rester ensemble en bas des blocs. On tenait les murs accompagner de la khabta et on vendait un peu histoire de se faire quelques billets.
Vers les coups de une heure du matin il y avait une gova vitres teintées qui s'était arrêté devant mon bloc et j'avais vu Nina sortir de la gova, dans mon crâne ça avait vriller. Je comprenais pas ce que je voyais, elle était censée être au boulot et là je la voyais sortir de la gova. C'était quoi cette merde sah ? J'y étais aller.
- Moi : Tu faisais quoi ?
- Nina : Je suis revenue du boulot.
- Moi : Tu faisais quoi dans la gova là ?
- Nina : Je suis revenue du boulot je viens de te dire.
- Moi : Oh tu faisais quoi dans la gova, je m'en bat les klawi que t'es revenue du boulot.
- Nina : On m'a ramené, t'es con ou quoi ?
- Moi : Oh déchauffe Nina je vais pas dahak.
- Nina : Tu veux que je te dise quoi ? Quelqu'un m'a ramené, tu veux savoir quoi de plus ?
Je voyais rouge, j'étais énervé contre elle. Depuis un petit moment je la surveillais plus Nina, j'avais d'autre chose à faire et j'avais arrêter d'être constamment derrière elle, en plus de ça j'étais de moins en moins à la cité parce que j'étais toujours à droite à gauche et particulièrement le soir et la nuit du coup j'avais jamais vu ça. Je me faisais des films dans ma tête, belek elle faisait des dingueries derrière mon dos et moi je voyais rien parce que j'avais autre chose à faire.
Quand elle était sortie de la gova c'était même plus rouge que je voyais, c'était toutes les couleurs à ce stade là. Nina elle avait poursuivi ses études et à côté de ses études elle travaillait au mcdo pour avoir une rentrée d'argent mais elle avait des horaires qui me déplaisaient énormément. Elle commençait à dix huit heure, elle avait une pose à vingt et une heure, elle reprenait quelques temps après et ça jusque minuit voir minuit et demi selon les jours si elle faisait la close ou pas et du coup ça la faisait revenir à la cité très tard, parfois même à deux heure du matin elle était pas encore revenue. Là je venais de comprendre qu'elle se faisait ramené à la casa par quelqu'un tfou.
- Moi : C'est qui ce kelb ?
- Nina : Emir t'es sah là ? Arrête d'insulté pour rien.
- Moi : T'es pas cash avec moi je vais câblé.
- Nina : Je t'ai dit qu'il m'avait ramené tu cherches quoi de plus ?
- Moi : Dis moi c'est qui là ?
- Nina : Un collègue, tu cherches quoi là ?
Je parlais avec Nina mais je voyais que la gova elle restait garé devant nous, le gars il partait pas, si c'était seulement un collègue comme elle me disait comment ça se fait qu'il partait pas. Normalement il la déposait et il repartait mais là non, welou.
J'étais aller jusqu'à lui parce que je comprenais pas pourquoi il bougeait pas sa vieille gova, j'allais ouvrir sa portière mais il avait mis la sécurité du coup je toqué à sa vitre pour qu'il ouvre donc finalement il était sorti et j'avais pas compris sa réaction.
- Lui : Tu cherches quoi le hatay ?
- Moi : Qu'est-ce t'es là sale baltringue ?
- Lui : Qu'est-ce tu veux avec elle ?
- Moi : De quoi qu'est-ce que je veux avec elle ? C'est toi ya hmar t'as cru il y allait avoir quoi ?
- Nina : Sah Emir arrête.
- Moi : Nina ta gueule tu vas me faire câblé, d'où Emir arrête ? Qu'est-ce tu faisais avec lui ?
- Lui : C'est toi t'es là tu t'es rapproché d'elle, gars tu cherches quoi avec elle ?
- Moi : Mais t'as cru j'étais qui sale merde ?
- Lui : Tu t'approches tu pètes ta bouche, eh je te connais pas.
- Moi : Chauffe pas, tu vas me faire câblé.
- Lui : Oh les mecs retenez votre gars hein, pire qu'un chien en laisse.
- Moi : C'est ta soeur la chienne, je la prends.
- Lui : C'est la tienne que je prends.
Nina putain, Nina malgré les coups que je lui faisais et les coups qu'elle m'avait fais c'est mon sang et ce qu'il venait de me dire ça m'avait rendu fou. J'imagine qu'il se doutait pas que Nina était ma sœur mais ça m'empêcher pas d'avoir une haine envers lui, j'étais en train de chauffer là.
À la base dès que Nina était sortie de la gova je voulais savoir ce qu'elle faisait avec un homme dans une gova à quasimment deux heures du matin, c'était simplement ça et j'aurai improviser selon ce qu'elle m'aurait dis mais là elle tournait autours du pot et elle me disait pas clairement les choses, rajouter à ça ce gars qui me manqué de respect et qui en plus de ça avait des paroles à vomir envers ma sœur ça m'avait fait montée la pression évidemment.
Quand mes khey qui étaient derrière moi avait entendu le gars dire ça ils étaient directement venu alors que je leur avait rien dis. Entre temps le gars avait fait le tour en nous insultant et en disant des sales choses sur ma sœur, qu'il était pas censé savoir que c'était Nina. Là c'était trop pour moi.
Il était monté dans sa gova pour repartir et il continuait toujours à nous insulter donc on s'était déplacer pour l'attraper mais il avait démarré prêt à partir. J'avais essayer d'ouvrir sa portière mais il avait accélérer. On s'était mis à courir derrière sa gova. Moi entre temps j'avais perdu mon genou deux cent treize fois tellement j'avais mal, je continuais de courir avec eux.
Et chose à ne pas faire mais malheureusement ce sont des gestes que je ne contrôlé pas vraiment sur le moment. Entre la fatigue, la khabta, la haine et le mal que j'avais au genou j'avais vriller et j'avais sortie une arme que je m'étais procuré chez Abdel à mes débuts chez lui et que j'avais fini par garder sur moi à chaque fois au cas où. J'avais tiré et la balle avait exploser la vitre arrière, je le savais très bien que ça allait pas le touché, je le savais que vu où il se trouvait et la vitre qui nous séparait la balle aurait fini son chemin avant de l'atteindre.
Il y avait eu une grosse déflagration et un bruit aïgu qui avait traversé toute la cité du coup on s'était stoppé et on avait attendu voir ce qu'il faisait mais ça l'avait pas déranger il avait continuait à tracé. Je m'étais tourné pour voir ce que Nina faisait et elle était mal, toute blanche.
- Moi : Monte !
- Nina : Pourquoi ?
- Moi : Monte je t'ai dis putain !
- Nina : Emir tu veux quoi ? Pourquoi tu fais du mal à tout le monde à chaque fois.
- Moi : Nina monte sinon je vais te toucher et tu vas me faire regretter.
- Nina : Ça me dégoûte.
Mes actes et mes paroles étaient jamais dans l'intention de faire du mal ou de causé du tord à qui que ce soit, j'étais comme ça et soit on me prenait comme j'étais soit c'était bslama, j'avais pas le remède pour pouvoir changer donc il y avait pas le choix que d'accepter le nerveux que j'étais, c'est toujours comme ça, enfin je crois..
J'étais brusqué d'avoir vu ma sœur sortir d'une gova mais surtout la gova d'un homme et je pense que tout les frères qui verraient leur sœur comme ça aurait pété un câble eux aussi. Elle m'avait jamais fait ce coup là avant et c'est ça qui me rendais encore plus furieux.
Quand elle était sortie de la gova et que je m'étais approcher d'elle la seule chose que je cherchais à ce moment là c'était des explications et rien d'autre, je voulais savoir le lien qu'il avait ensemble mais les baltringues comme ça essayent toujours de se croire plus malin et il m'avait fait montée la pression. À partir de ce moment Nina avait même pas à me dire «Tu fous toujours ta merde tout partout où tu passes»
Elle était remonté toujours en pleure, les pleurs où ga3 tu as l'impression la personne elle a plus d'air pour respirer. C'était chaud.
On était devant mon bloc et par la suite on avait entendu des pas résonnaient entre les tours, c'était les curieux qui venaient pour voir ce qu'il y avait du coup on était tous monté dans mon bloc. Une fois tous dans le bloc j'avais allumer la lumière et là Nina elle était assise sur les marches.
- Moi : Tu fais quoi là ?
- Nina : ....
- Moi : Oh je te parle ! Je t'avais dis quoi ? Commence pas à joué avec mes nerfs Nina tu sais que j'aime pas ça.
En sah j'attendais pas spécialement de réponse de sa part, je voulais juste la faire réfléchir. Du coup elle était remontée et on avait suivi mes khey et moi étant donné qu'on allait pas ressortir tout de suite avec ce qu'il venait d'y avoir.
On était tous rentré et Nina était directement aller à la salle de bain et mes khey s'étaient tous installer sur les sedari. J'étais aller voir devant la chambre de la mama pour voir si elle était en train de n3ess ou si on l'avait réveillé mais je voyais que dalle. J'étais retourné m'installer avec les kheyou.
- Moi : Faites pas de bruit, ça n3ess derrière donc bele3.
- Amin : Tranquille ça vaaa.
- Karim : On va te mettre dans la merde.
- Moi : Fermez vos gueules sinon vous descendez.
- Karim : Regardez comment il est chaud l'enfoiré.
- Moi : Je vais te finir toi.
- Karim : Tranquille khey.
- Moi : Vas-y on va se posé avec les plays.
- Zyam : Ouais mon gars t'as compris comment accueillir tes frères toi.
Nina elle était toujours dans la salle de bain, je ne savais pas ce qu'elle faisait vu qu'elle pleurait avant ça. Soit elle pleurait encore ou elle tentait de se calmée pour pas que la mama se pose des questions.
C'était la première fois que Nina me voyais comme ça et me voyais faire ça. Devant elle j'essayais toujours de calmé mes nerfs et j'utilisais pas la violence, enfin du moins je n'utilisais pas ce genre de violence là donc je comprenais qu'elle était choquée, brusquée et qu'elle avait khaff du coup je l'avais laissée se calmée.
J'avais préparé les consoles pour qu'on se fasse des parties et j'allais pété des gros câbles à ce moment là. La mama elle dormait dans sa chambre, Nina elle était en pleure dans la salle de bain et eux rien qu'ils riaient comme des porcs dans le salon alors que je leur disait calma.
On avait fait pas mal de parties de jeux vidéo et un assez long moment après Nina était sortie de la salle de bain et j'avais pas eu le temps de voir son visage qu'elle était directement partie dans sa chambre. Je l'avais suivi parce que je voulais des réponses aux questions que je me posé, je voulais savoir. J'avais pas fini avec elle.
Elle m'avait pris pour un con à ce moment là, je ne savais toujours pas qui était ce gars qui l'avait déposé à la cité et en plus de ça quand je lui demandais elle me répondais toujours à côté.
j'avais laissé mes khey jouaient entre eux j'avais rejoins Nina dans sa chambre. Debout devant elle, mon visage il avait changé directement quand je voyais qu'elle me tournait le dos.
- Moi : Tourne toi.
- Nina : ...
- Moi : Tourne toi Nina.
- Nina : ...
- Moi : Oh Nina si tu réponds je te parlerais posément mais si tu réponds pas je vais te faire la misère.
- Nina : ...
- Moi : Parle parce que la pression elle est en train de montée là. Je me retiens mais j'ai envie de faire des dingueries. Dis sinon tu vas me faire regretter de te touché et c'est pas ce que je veux.
- Nina : ...
- Moi : Ninaaa réponds zeh !
- Nina : C'est Azhar.
- Moi : Qui Azhar ?
- Nina : Celui qui m'avait déposé.
- Moi : C'est qui ? C'est qui pour toi ?
- Nina : Un ami.
- Moi : Gelek un ami ? C'est qui ?
- Nina : Emir habess, tu le sais que tu me fais khaff quand t'es comme ça.
Je l'avais fait pleurée alors que c'était pas mon intention à la base, c'était les vraies pleurs qui donnent envie de tout casser, ça me rendait fou, ça résonnait.
J'avais très rapidement compris suite à sa réaction que Azhar était tout simplement son gars wela heja comme ça mais elle voulait pas clairement me le dire, elle tournait autours. C'était vraiment la mauvaise nouvelle pour me faire vrillé, pour me rendre fou et me faire câblé.
J'avais haussé un peu le ton suite à ça mais c'était vraiment sur le coup de l'énervement. Mes khey s'étaient rapproché de la porte et Zyam l'avait entre-ouverte du coup je l'avais refermée mais la mama était directement arrivée.
- La mama : Pourquoi ils sont tous là ? T'as fais quoi pour que Nina pleure ?
- Moi : Je parle avec elle, sors. Je fini.
- La mama : De quoi tu finis ? Regarde comment elle est ! T'as fais quoi ?
- Moi : Je parle j'ai dis, parler. Je fini.
- La mama : Laisse là Emir, sors d'ici !
- Moi : Non j'ai dis que je parle.
Nina était retournée à la salle de bain, mes khey eux jouaient encore et la mama était sortie pour rejoindre Nina à la salle de bain et elle était brusquée de voir tout mes khey posé dans le salon.
- La mama : Ils font quoi ici ?
- Moi : On savais pas quoi faire donc on s'est posé.
- La mama : Tu préviens même pas que tu viens avec tout ce monde ?
- Moi : C'est mieux que je sois à la rue ou que je sois ici ?
- La mama : Change pas mes paroles, tu aurais pu prévenir que tu venais avec tout ce monde, réfléchi.
- Moi : Vas-y ok.
- Akram : On peux partir si vous voulez ?
- Moi : Ta gueule !
- La mama : Parle correctement ya hmar, tu m'énerves.
Elle m'avait giflé le crâne, je m'y attendais tellement pas venant de la mama. C'était mémorable, tellement mémorable que j'en avais ris. Ils étaient tous en train de dahak et plus je les voyais plus je continuais. Ils avaient pris la confiance ga3 ils avaient cru qu'ils étaient avec leur madre.
- La mama : Rigole pas toi.
- Moi : Ça y est ima.
- La mama : Tu lui as fais quoi à Nina ?
- Moi : wAllah ima je lui ai rien fait, on parler ensemble mais tu sais qu'elle est très susceptible.
- La mama : Fou toi de moi.
- Moi : Imaaaa tu le sais.
La mama avait rejoins Nina dans la salle de bain et elles s'étaient enfermée. J'étais sûr que Nina allait rien dire concernant ce qu'il c'était passé parce que ça concernait un gars donc jamais elle aurait dis quelque chose.
En attendant j'étais aller dans la cuisine pour regarder par la fenêtre si ça bougeait en bas des blocs mais il y avait plus personne pourtant quelques minutes avant ça avait sonné.
Du coup j'étais aller voir par la fenêtre de ma chambre. En bas il y avait le groupe de Turc Ngine, Ersin, Faruk et d'autres.
- Moi : Ersinnnn ?
- Ersin : ...
- Moi : Ersinnnn ?
- Ersin : T'es où ?
- Moi : À ma fenêtre !
- Ersin : Ah ouais, qu'est-ce tu veux salop ?
- Moi : Ils sont passé les hnouch ?
- Ersin : Ils sont passé de l'autre côté.
- Moi : Ils sont descendus ?
- Ersin : Non même pas.
- Moi : Vas-y on arrive.
- Ersin : Qui ?
- Moi : Zyam, Amin, Karim et les autres.
- Ersin : On vous attends.
J'étais retourné au salon, je faisais des parties avec mes khey. On avait fait ça pendant longtemps et un moment après j'entendais du bruit dans chambre j'y étais aller et c'était les gars en bas qui jeté des cailloux par ma fenêtre.
- Faruk : Vous attendez quoi ? On vous attends là.
- Moi : Ah ouais c'est vrai, tranquille on arrive.
- Ersin : Descendez là !
Ils criaient trop fort rien qu'ils réveillaient la cité, il y en a ils insultaient, ils me foutaient dans leurs problèmes, je comprenais que dalle. À presque trois heure du matin ils imposaient leurs règles et les autres devaient subir, à l'ancienne yeuh.
J'étais retourné au salon et la mama et Nina elles étaient toujours à la salle de bain, je les avais laissés entre elles, elles avaient des choses à se dire et même si je savais que plus de la moitié de leur discussion allait être en rapport avec moi j'avais rien dis. On était descendus.
- Ersin : Pire que des meufs.
- Zyam : Vos gueules.
- Ersin : Parle bien.
- Karim : Vos gueules.
- Nourredin : Vas-y détendez-vous, on va se posé au c-gre.
- Ngine : On y était juste avant nous.
- Moi : On s'en bat les klawi de vous, nous on a pas graille.
- Ersin : Vous avez quoi aujourd'hui là ?
- Moi : Vas-y on y va.
On était aller au c-gre mais une fois devant on avait vu qu'il était fermé mais le gérant on le connaissait et on avait l'habitude avec lui. Ça faisait plusieurs années qu'on le connaissait.
Il habitait juste au dessus du coup à chaque fois on jeté des cailloux et on criait pour qu'il descende nous ouvrir. Il nous avait repéré par la fenêtre du coup il était descendu nous ouvrir et à presque quatre heure du matin il nous avait fait à manger.
- Moi : Bon faut qu'on aille n3ess nous, demain ça va être lourd.
- Faruk : De quoi ?
- Moi : Welou.
- Faruk : Faites pas vos baltringues, dites.
- Zyam : Bouge, il y a rien à dire.
- Ersin : Ça fait des plans par derrière vas-y tranquille.
Ils essayez de savoir mais j'allais rien dire, ils avaient rien à savoir. Ça restait entre mes khey qui allaient venir et moi khlass.
On était tous repartis à la cité pour n3ess et en montant à la casa j'étais aller voir Nina dans sa chambre mais elle était déjà en train de n3ess du coup j'étais parti dans ma chambre mais j'avais pas fini avec Nina, le lendemain j'allais la pisté à nouveau.
Le lendemain je m'étais levé dans l'après-midi, en fatigue total j'avais pris des pétards pour me reveillé à fond et j'étais aller me préparé. La mama était au travaille et Nina était revenue des cours et elle se préparait dans sa chambre pour aller au boulot. J'étais aller la voir.
- Moi : Alors ?
- Nina : Quoi alors ?
- Moi : Bah parle je sais pas.
- Nina : J'ai rien a dire.
- Moi : C'était qui ?
- Nina : Je te l'avais dit, c'est Azhar
- Moi : Nina tu veux vraiment que j'emploi les mots qui tapent fort ou bien ?
- Nina : ...
- Moi : Tu joueras pas longtemps avec moi Nina. Gars ou pas gars j'en ai rien à faire tu lui parles plus !
- Nina : Tu profites parce que tu sais que tu me fais khaff quand tu réagis comme ça.
- Moi : Il y a pas de khaff wela pas khaff je m'en bat les couilles, là t'es pas cash avec moi.
- Nina : ...
Elle m'écoutait plus, elle faisait zahma le maquillage, elle se regardait un coup dans le miroir puis elle regardait son portable et je commençais à voir rouge qu'elle fasse ça. Je lui avais pris son portable au final..
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