● 032
J'attendais que Ines arrive après l'avoir appeler, dès que je l'avais vu j'avais la haine qui était montée, à chaque fois que je la voyais j'avais envie de la cassée. Il y a que les gars qui ont étaient dans ma situation un jour qui pourront le comprendre, le dégoût qu'on ressent.
- Moi : Ça va ?
- Ines : Difficile mais je fait avec.
- Moi : Il arrive quand déjà ?
- Ines : Qui ?
- Moi : C'est quand que tu accouches sah ?
- Ines : Un peu plus de douze semaines.
- Moi : Le mois, le mois !
- Ines : En faite je ne sais pas tellement mais j'ai cru comprendre qu'à partir de fin avril ça pourrait venir à tout moment.
- Moi : Il y a quand même une putain de grosse différence entre août et fin avril tu le captes ça quand même ?
- Ines : J'étais perturbée et je t'avais dit ça vraiment parce que je voulais en finir avec notre discussion.
- Moi : Depuis le début je me prépare à une arrivée en août, large j'avais encore le temps de me préparé à tout ça et là sans pression tu m'annonces qui peut passer le salam à tout moment.
- Ines : On s'était pas compris, ça avait était difficile pour tout. De te l'annoncer, de te donner des explications, en plus de ça tu étais toujours très énervé donc j'avais du mal à te dire clairement les choses de peur que tu vrilles et que ça finisse mal.
- Moi : Mais tu racontes que de la khra là, comment tu veux que je te fasse confiance après ça ? T'es là tu réinvente le tout. Soit cash avec moi putain.
- Ines : Tu veux que je sois cash ?
- Moi : Cash, comme moi tu rentres dans le tas.
- Ines : Viens on va se poser dans le squatte il faut qu'on parle.
- Moi : Tu sais quoi ? On va faire quelque chose.
- Ines : Quoi ?
- Moi : Tu vas me dire tout ce que tu m'as encore jamais dis, tout ce que tu as jamais osée me dire par apport à ça et après on se revois plus jusqu'au jour où il sera là.
- Ines : Tu seras pas là le jour de l'accouchement ?
- Moi : Je viendrais après pour le voir.
- Ines : Donc tu seras pas là pendant ?
- Moi : Tu m'as vu ou pas ? Tu pensais quoi toi ? Tu pensais aussi que j'allais venir te caresser les cheveux pour t'encourager ce jour là sah ? Welou !
- Ines : Ça a le mérite d'être clair, je suis assez déçue je pensais vraiment que tu serais là. On est ensemble pour ça.
- Moi : Réfléchie Ines, comment tu pouvais encore pensais que je serais là sah ? Jamais !
- Ines : Ok.
J'étais vraiment surpris qu'elle avait pu penser à un bout d'un moment que j'aurai pu être la ce jour là. C'était évident que j'allais pas y être, je sais pas comment elle avait fait ses comptes dans sa tête pour penser ça mais elle avait tout faux.
En apprenant que j'allais pas être la ce jour là elle s'était braquée et elle disait plus grand chose mais c'était lyoum si elle avait heja à dire parce qu'après je l'aurais zappé jusqu'au jour de l'accouchement.
Après cette discussion on était allez s'installer dans le squatte, je m'étais posé et elle elle s'était mise en face de moi. Il y avait eu un gros blanc au début et après elle s'était mise à l'ouvrir.
- Ines : Écoute il faut que je te dise quelque chose.
- Moi : Je suis là pour ça hein !
- Ines : T'es vraiment pas une aide pour moi, j'ai toujours une forte pression sur les épaules par apport à toi, j'ai khaff de toi je vais clairement le dire. La grossesse elle a était difficile et très stressante et même encore actuellement. Quand on discutait ensembe il y avait certaines choses que j'osée pas te dire.
- Moi : Je prendrais sur moi, vas-y je t'écoute.
- Ines : Mon médecin j'allais le voir, j'avais de nombreux rendez-vous avec lui. C'est impossible qu'en plus de cinq mois on ne prenne pas rendez-vous avec son gyné ou quoi mais je te faisais croire le contraire pour pas que tu me poses des questions parce que..
- Moi : Attaaa c'est quelque chose de auch que tu vas balancer là ?
- Ines : Écoute tu le prendras comme tu le souhaites.
- Moi : Vas-y parle.
- Ines : Je fais une grossesse gémellaire.
- Moi : C'est quoi ?
- Ines : Deux bébés dans des poches différentes.
- Moi : Tu as deux gosses dans le bide là ?
- Ines : Écoute je le sais depuis longtemps mais je ne savais juste pas comment te l'annoncer.
- Moi : On est dans la merde là Ines, tu le sais ? Tu vas faire comment ?
- Ines : De quoi comment je vais faire ? Eh toi aussi tu vas faire comment ?
- Moi : Sah c'est de la grosse dahka là ou tu me fais ça juste parce que je te fait la misère ?
- Ines : J'ai une tête à rire sur ce sujet ?
- Moi : Tu te débrouilles, moi ça me casse les couilles à chaque fois t'es là tu balances des grosses bombes.
- Ines : Il va falloir que je prévienne ma famille donc attends toi à ce qu'ils veuillent parler avec ta famille.
- Moi : J'ai pas de famille.
- Ines : Arrête Emir.
- Moi : Sah je te le dis Ines, si ta famille essaye de rentrer en contact avec la mienne peu importe le moyen je vais changer de comportement cash, je serais dix fois pire que là et sans remord.
- Ines : Pourquoi tu es comme ça ?
- Moi : Attends tu veux finir seule ou que je sois là ?
- Ines : Que tu sois là.
- Moi : Alors réfléchie bien à ce que tu vas faire parce que si je te laisse dans ta merde tu vas avoir des pensées suicidaire tellement tu sauras plus où donner de la tête. Ça va là ?
- Ines : Tout dans la violence toi.
- Moi : On me prends pas pour un hatay moi, je te ferais passer pour la pire des meufs. Je peux nié que je suis le géniteur oublie pas ça.
- Ines : Hm !
- Moi : Le temps qu'on y est tu as d'autre bombe à balancer ?
- Ines : Hier j'ai était aux urgences avec ma cousine qui est au courant de la situation mais qui ne dira jamais rien donc t'énerve pas.
- Moi : J'ai rien dis.
- Ines : Il a deux bébés, le deuxième qui se porte très bien et le premier ne se développe pas correctement, en clair il a énormément de complications. Ils ont dit que c'était à surveiller et que il y avait de plus de plus de risques.
- Moi : Du coup ?
- Ines : Ça aussi je le savais depuis un moment mais je pensais pas que c'était autant à prendre au sérieux car tout de même ils me disaient que malgré tout dans l'ensemble les résultats étaient positifs mais là en quelques semaines ça s'est dégrader.
- Moi : Sah tu es une meuf qui distribue des maux de crânes mais zahma gratuitement. Tu le sais depuis longtemps putain alors pourquoi tu m'as pas prévenu ?
- Ines : Met toi à ma place bordel, comprends moi Emir putain. T'es toujours sur la défenvise, toujours à te braqué quand je parle, violent dans tes gestes et tes paroles donc comprends que j'ai pas envie de te faire par des nouvelles.
- Moi : C'est inutile de toujours te mettre en position de victime pour que j'en culpabilise. Tu me feras ressentir aucune culpabilité, tristesse, émotion ou même de compassion donc laisse.
- Ines : Si c'est pour que tu parles comme ça autant en rester là. Je vais montée et tu vas tranquillement repartir toi.
- Moi : Non j'ai dis qu'on allait parler.
- Ines : Il me semble qu'on s'est tout dit, pour ma part j'ai dit tout ce que je voulais.
- Moi : J'ai rien à te dire moi donc si tu estimes que tu m'as tout dit alors bslama.
- Ines : J'ai été la plus sincère possible, il me semblait juste à ce stade de notre relation à tout les deux de te dire sincèrement les choses pour te permettre d'encaisser tout ça avant les naissances.
- Moi : Par contre j'aimerai juste te dire une seule et unique chose et ça sera cash. On pourra jamais me reprocher le faite d'être un hypocrite ou heja comme ça parce que moi quand j'ai quelque chose à dire je me cache pas et je fonce dans le tas quoi qu'il puisse arriver.
- Ines : J'ai pas dis le contraire, vas-y.
- Moi : Si après les naissances je vois que tu continues à faire tes magouilles et à me cacher des choses ça le fera pas et je prendrais des décisions qui pourront vraiment d'atteindre et te blesser, je te préviens maintenant.
- Ines : Je t'ai tout dis donc je n'ai plus rien à cacher. C'est le moment de tout zapper ce qui s'est passé et d'avancer sur des bases solides rien que pour le après. Il faut qu'on s'entende pour eux.
- Moi : J'ai pas encore réfléchi au après parce que je suis même pas encore prêt pour ça. Je réalise pas encore ce qui se passe et d'autant plus depuis que tu m'as lancée ces bombes en plein dans le gelb. J'y suis perdu et si au final j'assume plus et je te laisse avec eux ? Hassoul vas-y j'ai plus envie de parler.
- Ines : J'ai cru comprendre que tu allais partir quelques temps au bled et que tu reviendrais fin avril ? Moi je risque d'accouché vers ce mois là à moins qu'ils décident de me déclenché avant mais si tu pars on se reverra que très peu de temps avant ou bien après l'accouchement donc si il faut mettre les choses au clair un jour c'est lyoum.
- Moi : Tu veux savoir quoi ?
- Ines : Ce que tu ressens par apport à tout ça.. Et puis vraiment j'ai khaff que tu me laisses avec tout ça, déjà que ma famille n'est pas au courant parce que malheureusement c'est pas une grossesse normale donc j'ai l'impression de me retrouvée seule.
- Moi : Comment ça pas une grossesse normale ?
- Ines : Une grossesse normale et dans les règles c'est après s'être unis à la personne.. Là on a fait de la khra tout les deux, j'ai salie ma famille en faisant ça donc comment être heureuse de les prévenir de ça ? Je me sens sale et seule, sans aucun soutien de nulle part. J'ai du soutien de personne. J'ai pas envie de prendre le crâne à Samia en lui en parlant à chaque fois, ma cousine je veux pas la brusquée parce qu'elle vient juste de l'apprendre.
- Moi : Et donc ?
- Ines : La seule personne à présent qui pourrait m'aidé à surmonté ça c'est toi Emir, c'est toi mais t'es pas là, tu te sens pas concerné par ça. Tu as l'air relax par apport à tout ça. C'est moi qui tiens le plus difficile en moi et j'aimerai ton soutien mais t'es ailleurs. T'es partout sauf là où tu devrais être.
- Moi : Croit pas que je suis relax par apport à tout ça, c'est juste que je réagi différement. Je le montre d'une autre manière.
- Ines : Mais ta manière c'est d'être violent. Je dis pas que tu me tabasses parce que c'est faux, loin de là mais t'es violent rien que verbalement déjà et ça c'est énorme pour moi là à ce stade.
- Moi : On me fera pas changé, j'ai toujours été comme ça. J'ai jamais changé et c'est pas ça qui me fera changé mon comportement, au contraire je le montre comme ça et khlass.
- Ines : Mais moi j'ai besoin de ton soutien, t'es l'homme et j'ai besoin de sentir que t'es là. Tu arrives à le faire avec des meufs de passage et pas avec moi alors que prochainement on sera lié par quelque chose de fort.
- Moi : Comment ça des meufs de passage ?
- Ines : Emir s'il te plaît me la fait pas à moi.
- Moi : De quoi ?
- Ines : Pour avoir ce que tu veux auprès d'elles tu en joues et tu arrives à montré que t'es l'homme mais quand ça parle de sérieux t'es plus là.
- Moi : J'ai pas besoin d'en jouer auprès d'elles et tu le sais très bien. Là c'est toi qui me bloque, j'ai un bug avec toi. J'arrive pas à être peiné pour toi ou à avoir de la compassion ou heja comme ça, j'arrive pas. Admettons que j'aurais été dans cette situation et que par pur hasard ça aurait été Samia à ta place bah la situation aurait été différente sur tout les points.
- Ines : Comment ça ?
- Moi : Admettons que j'aurai consommé avec Samia et bah la vérité j'aurais été là pour elle mais à chaque instant, je l'aurai soutenu et sincèrement j'aurais foutu ma vie en l'air en lui passant la bague au doigt juste pour éviter les problèmes mais toi c'est différent. J'arrive pas, j'ai du mal avec toi.
- Ines : J'arrive pas à comprendre c'est quoi qui te pousse à me haïr autant.
- Moi : J'ai du mal, tu m'as pas l'air quelqu'un de sincère, tu m'as l'air plus de quelqu'un qui fait tout dans le dos et j'en ai eu la preuve lyoum. Tu viens de me mettre au courant de quelque chose que tu sais depuis ga3 le début et moi je déteste ce genre d'énergumènes.
- Ines : Pèse tes mots contre moi, c'est blessant d'entendre ça. Pèse tes mots Emir.
- Moi : Smehli Ines mais moi c'est ce que je ressens.
- Ines : Déjà depuis le début je sentais que tu avais quelque chose contre moi donc j'arrive pas à comprendre pourquoi tu étais tombé dans mes bras l'autre jour si tu me détestes autant que tu le dis.
- Moi : Oh ça sort les grands mots et tout là, non attends je t'arrête cash là on va remettre tout dans le bon ordre tu veux ?
- Ines : Je t'écoute.
- Moi : Tu as kiffée dès le début et ça tu peux pas le nié, après tu as voulu me voir et à ce moment là tu avais en tête quelque chose de bien précis et ça il faut que tu finisses par l'assumer. Moi je tombe dans les bras de personne, je deviens juste faible quand la situation devient trop facile.
- Ines : Comment ça situation trop facile ?
- Moi : C'était trop facile quand on s'est revu. Tu savais clairement ce que tu voulais, il a fallu que quelques minutes de dahka et c'était jouer.
- Ines : C'est blessant surtout venant de toi.
- Moi : Tu sais pourquoi tu es blessée ?
- Ines : Parce que ce sont des paroles blessantes.
- Moi : Possible mais pas que pour ça ! Tu es blessée tout simplement parce que c'est une vérité que tu as du mal à admettre. Une vérité fait toujours mal et tu as eu mal parce que c'est vrai ce que je t'ai dit.
- Ines : Ça me fait vraiment mal ce que tu me dis.
- Moi : Ma foi Ines là je tente pas de te faire du mal volontairement, j'essaye juste de te faire comprendre les choses.
- Ines : Toi tu es serein parce que limite tu t'en fiches que l'on te parle de ça mais moi je suis une femme et c'est dégradant, enfin je sais pas comment expliqué ça.
- Moi : Je comprends ce que tu veux dire. Bon je vais y aller là faudrait pas que tu te fasses shlasser par ta famille.
- Ines : Hm !
- Moi : Si tu as besoin de me dire quelque chose ou heja comme ça maintenant on le fera par appel, je me déplacerai plus.
- Ines : Ouais.
Là on avait bien pris le temps comparer à d'habitude c'est pour ça que j'avais fini par couper la discussion pour repartir parce que les discussions sérieuses comme ça c'est bien cinq minutes mais après ça prends le crâne donc elle était remontée et moi j'étais reparti à la cité.
Je m'étais mis au squatte avec les khey. Ils jouaient et se mettaient khabat du coup j'étais remonté parce que j'avais pas envie de me prendre le crâne avec eux. Je m'étais posé dans ma chambre, solo avec ma khabta et j'étais en appel avec une meuf. Pas mal de temps après Nina était venue me voir.
- Nina : Je peux te parler ?
- Moi : Casse toi.
- Nina : Mais je veux juste te parler.
- Moi : Oh Nina déjà je suis en appel là et tu viens tu parles plus fort. J'entends plus ce qu'elle dis.
- Nina : Bon laisse tombé.
- Moi : Ouais.
Nina elle me faisais toujours ça et après elle allait se plaindre comme quoi je pété des câbles contre elle. À chaque fois que j'étais en appel et occupé elle venait l'ouvrir en parlant plus fort que la personne que j'avais au bout du fil, elle était dans l'éxagération ma Nina.
Finalement j'avais stoppé mon appel et j'avais rappeler Nina pour qu'elle vienne.
- Nina : Oui ?
- Moi : Tu voulais quoi ?
- Nina : Fini ce que tu fais et on parle après.
- Moi : Eh t'es marrante toi tu me coupes la parole quand je suis en appel et quand j'y suis plus tu me dis plus tard ah vas-y parle !
- Nina : Si tu as fini on parle maintenant.
- Moi : Vas-y je t'écoute là !
- Nina : Je voulais juste te prévenir que yemma elle m'a parlée tout à l'heure.
- Moi : Par apport à quoi ?
- Nina : Elle est rentrée dans ta chambre tout à l'heure et elle a vu des choses qui l'on déplu.
- Moi : Pourquoi elle rentre aussi ?
- Nina : Non Emir réfléchi elle rentre si elle en a envie.
- Moi : Elle t'a dit ce qu'elle a vu ?
- Nina : Écoute je pense que tu sais mieux que nous où tu mets toutes tes merdes donc pas besoin d'en dire plus tu sais déjà.
- Moi : Ouais et du coup elle t'a dit quoi ?
- Nina : Elle en a marre de revivre les mêmes choses, elle est dégoûtée. Elle savait qu'elle pouvait pas te faire confiance quand tu lui disais que tu avais arrêté. J'y avais cru moi aussi mais en faite que dalle.
- Moi : Mais elle a regardé dans la trappe ?
- Nina : Quelle trappe ?
- Moi : Enfin le placard là ?
- Nina : Bah oui c'est là qu'elle a regardé.
J'étais gavé de cette situation, elle rentrée normalement et elle allait fouillé à droite à gauche. J'y étais aller cash et j'avais parlé de la trappe comme ça au moins j'allais être fixé a savoir si elle l'avait vu ou pas mais tranquille elle avait pas l'air de comprendre.
- Moi : Eh mais sah si vous continuer à venir faire la fouille ici ça va pas me plaire et je vais me barré d'ici.
- Nina : Pour allez où ?
- Moi : Je me prends un appartement sur Paname et comme ça on me cassera plus les klawi.
- Nina : Si t'es énervé c'est que tu as quelque chose à te reprocher ?
- Moi : J'ai rien à me reprocher parce que j'assume tout ce que je fait. Oui je cache des choses un peu partout mais putain qui vous a dit de toucher, qui vous a dit de regarder et même de rentrer ?
- Nina : T'énerve pas contre moi, je suis même pas rentrée dans ta chambre. Je te dis juste ce que yemma m'a dit pour que tu trouves quoi lui répondre et que tu ne te mettes pas à bégayer devant elle si elle t'en parle.
- Moi : Tfou, mais bégayer de quoi ? De toute façon elle m'en parlera pas, elle osera pas.
- Nina : Soit pas trop serein ! Moi si je prends le temps de venir te dire ça c'est parce que j'ai pas envie qu'entre yemma et toi ça éclate parce que tu chauffes vite. J'ai pas envie que tu dises des mots ou que tu fasses des choses contre elle sur le coup de la colère que tu pourrais regretter.
- Moi : Vas-y.
- Nina : Mais pourquoi tu fais ça aussi ? Pourquoi tu te mets en danger quotidiennement comme ça ? Pourquoi tu touches à cette merde ? Pourquoi tu prends le chemin de Maam ? Khouya pourquoi ?
- Moi : Tu veux que je te dise quoi ? Oui j'aime lflouss, je vis que par ça les billets, les billets et surtout les verts. Je ferais pas tout pour en avoir mas je tenterai d'en gagner par les moyens les plus faciles et à présent j'ai pas trouvé autre chose que ça.
- Nina : Mais tu crois pas qu'un travail serait mieux ?
- Moi : Nina vas-y là tu me chauffes, déjà j'ai même pas a parlé de ça avec toi.
- Nina : Tu te rends même pas compte à quel point tu fais souffrir yemma meskina. Maam puis après toi.. Elle est tellement aveuglé par l'amour qu'elle te porte qu'elle veut pas se l'avouer que t'es comme ça.
- Moi : Laisse tu me feras pas culpabilisé avec tes phrases.
- Nina : Si on peut même plus parler ! Vas-y je te laisse.
- Moi : Vas-y.
Je voyais rouge, j'étais en train de câblé, j'en avais plein le crâne. Elles voulaient toutes me mettre à terre, entre Ines, Samia, Nina et la mama, c'était fou.
Elles fouillée dans ma chambre le temps que j'étais pas là et ça me rendait fou ça. J'avais de tout, de la consommation, des billets en grosse quantité, des lettres qu'on m'écrivait, des, des.. Ah des choses que personne avait à regardait..
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