● 023
Abdel avait couru en furie vers moi et j'avais très rapidement compris ce qu'il tenait à faire. Il allait profité du faite que j'étais assis sur le rebord de sa pseudo fenêtre pour clairement me pousser afin que je tombe. Dès que j'avais compris ça je m'étais empresser de sauter vers lui et je m'étais pousser sur le coté pour tout simplement échapper à ça. Il s'était retourné vers moi et il continué à vouloir me taper du coup j'avais attraper la chaise et je l'avais mise devant moi pour qu'il y aille une certaine distance de sécurité entre nous deux. J'essayer comme je peux d'échapper aux coups qu'il voulait me mettre. Hassoul il avait prit sa batte et il m'avait mit un violent coup au niveau du torse rien qu'avec le bout de sa batte, tfou. J'avais du mal à respirer tellement il avait tapé fort, j'avais dû me stoppé un instant tellement j'avais du mal à reprendre ma respiration et dès qu'il avait comprit que j'étais mal et que j'étais en incapacité de pouvoir me défendre il en avait profiter pour me tapé d'autant plus, avec sa batte. Il me mettait des sales coups sur le côté du crâne, il s'acharner zahma normal, comme un mahboul inconscient. Plus il tapait plus il forçait à mettre des coups encore plus forts que les précédents. À force il avait fini par me faire saigner. Le sang couler dans le long de ma joue, du cou, le col de mon tee-shirt était devenu rouge. Je saigné de partout mais impossible de savoir d'où ça venait exactement, où c'était vraiment ouvert. Je ne savais pas quelle tête j'avais à ce moment là. Il était devenu fou Abdel, incontrôlable, très honnêtement c'était la première fois que je le voyais dans un état aussi fou que celui-ci. J'avais longtemps hésité à partir. Hassoul malgré que j'avais khaff de le voir comme ça j'avais pas perdu mes cojones et j'avais foncé dans le tas avec la chaise à la main. J'avais couru vers lui et je l'avais bloqué contre le mur. J'avais retiré la chaise et je l'avais maîtrisé au sol, fallait pas que je lui laisse le choix, il devait s'arrêter. Je m'étais assis sur lui de tout mon poids et je lui avais fait laché sa batte.
- Moi : Abdel arrête toi, regarde dans l'état où je suis.
- Abdel : Tu m'as mit le mort, j'ai pas fini.
- Moi : Fais pas quelque chose que tu pourrais regretter.
- Abdel : Le seul regret que je pourrais avoir c'est de ne pas réussir à te finir. Chahad Emir chahad.
- Moi : Mais qu'est-ce tu dis là ? Si tu réagis comme ça c'est que depuis le début tu voulais me voir à terre.
- Abdel : Je vais me vengé.
- Moi : C'est moi j'ai voulu me vengé. Tu me l'as fais à l'envers depuis.
- Abdel : Parle même plus !
J'étais tellement à fond dans ce que je lui disais parce que je tentais de lui faire comprendre les choses calmement que j'en avais oublier que j'étais assis sur lui. Je suis même sûr que lui aussi s'en était plus rendu compte tellement on était à fond dans notre discussion mais très vite c'était revenu aux coups. Il essayer de se débattre et moi j'essayer de le retenir par les bras mais il pesait le double de mon poids donc il est clair que je n'avais pas sa force. Hassoul d'un seul coup il avait eu un excès de colère, une rage venue de je sais pas où et il m'avait poussé sur le côté, il m'avait attrapé par les épaules et il m'avait mit un coup de genou dans le haut du dos. Je l'avais senti passé sec celui-ci. Ma respiration elle s'était coupée net un instant et cash il m'avait mit un coup de genou au niveau de la tempe. À ce moment là j'étais trop mal, j'étais naze, plus de force. Je recevais coup sur coup sans pouvoir rien faire tellement il choissisait bien les bons endroits où ça mettait bien KO. J'avais la tête lourde, des bourdonnements, des vertiges. J'avais essayé de me relevé mais à chaque fois que j'étais debout j'avais une impression de tombé tellement les vertiges étaient présent. Hassoul je m'étais allongé quelques instants mais je m'étais vite relevé pour pas qu'il en profite pour faire autre chose mais quand j'étais debout damn j'étais trop mal, je m'étais assis au sol et je fixé un point précis pour stoppé mes vertiges mais rien y faisait, ça continuait. Je gardé malgré tout toujours un œil sur Abdel qui ce soir là était devenu une autre personne, je n'avais jamais connu ce Abdel là malgré qu'il était déjà violent de base mais là ça avait passait un cap au dessus, tfou. Je me calmé petit à petit mais lui il bougeait partout et là je l'avais vu prendre son opinel.
- Moi : Vas-y Abd pose ça, tu vas trop loin là.
Franchement j'avais plus aucune force, la seule force que j'avais trouvée c'était celle de m'allonger et de lever mes genoux pour cacher mon torse. C'était le plus important pour moi. Il pouvait me planté où il voulait mais pas le torse ni la tête et mon but avait était de protéger ces zones là. J'étais incapable de me défendre, ça fait chier de le dire mais j'avais était naze ce jour là, un amateur sans défence. J'avais déjà reçu des coups quelques minutes auparavant qui comme ça peuvent paraître sans importance mais qui au fond mettait vraiment KO. Il rigolait pas et ne lésiner pas sur la force de ses coups. Sans vraiment sentir la douleur il avait réussi à me planté sa lame à deux reprise sur le genou gauche {Ceux qui me suivait sur instagram depuis mes débuts doivent se rappeler des photos que j'avais posté, celles de mon genou.} Suite à ça j'avais essayer de me levé mais la douleur s'était à ce moment là manifesté, lui Abdel avait jeté son couteau sur son lit et il était revenu vers moi me mettre un coup de poing. Je m'étais posé au sol tellement j'espèrais plus rien, j'avais l'impression que c'était fini pour moi. Quand j'avais l'impression qu'il en avait fini avec moi et bien non il revenait à la charge me remettre des coups. Je tremblais de partout.
- Moi : 3lach ? Pourquoi ? Pourquoi tu me fais ça ?
- Abdel : Prends ça enfoiré.
Je lui parlais mais il me répondait pas, il m'évitait même. Il me regardait pas. Il m'avait jeté une bouteille d'eau à moitié vide pour que je puisse boire mais je l'avais ouverte et je m'étais versé le peu qui restait sur le visage. Lui il s'était installé sur son lit et il rangeait ses paquets de marchandise qu'il était en train de préparer juste avant qu'il se passe ça. Il était déjà plus calme qu'avant du coup j'en avais profité pour m'étaler sur le sol juste histoire de me calmé un peu. Je tremblais encore de fou. J'étais dégueulasse oh, du sang partout mélanger à la sueur, j'étais plus Emir là. Je respirais comme un hlouf tellement j'avais mal au niveau du gelb, ark tfou. Hassoul Abdel avait rangeait ses paquets et il s'était relevé.
- Abdel : Lève toi enfoiré.
- Moi : Pourquoi ?
- Abdel : Lève toi putain, je t'emmène aux urgences.
Je m'étais levé difficilement, je commençais à vraiment ressentir des douleurs au niveau du genou, j'arrivais pas à tenir debout. Abdel s'était rendu compte que j'étais en galère du coup il m'avait aidé.. À sa manière. Il était toujours aussi brusque dans ses gestes mais il m'avait aidé en me tenant par la taille et en m'aidant à descendre au sous sol. Je comprenais plus rien de ce type. Un faux méchant ? En vrai j'en avais aucune idée. On était descendu et on avait prit sa gova pour qu'il m'emmène aux urgences, il m'avait aidé à m'asseoir, c'était surréaliste. Notre relation était assez bizzare, on s'insultait, on se tabassait à la limite de se donnait la mort mais si on se voyait mal ou en galère de heja on allés s'entre-aider directement. C'était à plus rien comprendre, mais là j'avoue que j'avais été brusqué de tout ça, j'aurai jamais pensé qu'il aurait été capable de faire ça. Quand j'avais jeté le couteau sincèrement je savais que ça allait pas le touché, j'étais beaucoup trop loin pour ça, c'était juste pour qu'il se sente plus en sécurité et qu'il se sente menacé parce que j'avais une certaine haine envers lui mais jamais j'aurai souhaitait sa mort mais là ce qu'il m'avait fais j'étais choqué, ça m'avait mis un coup dans ma fierté d'avoir était rabaissé à ce point.
- Abdel : Croit pas que je t'emmène te faire soigner parce que je regrette ce que j'ai fait, je regrette pas. Je veux juste que tu te soignes parce que je vais avoir besoin de toi.
- Moi : Je ferais plus rien pour toi, avant ça j'aurai belek dit oui mais là crève Abd, t'as touché a celui qui avait repris la relève après Ayssem Allahi rahmo sah me demande plus rien, maintenant ça va être la vengeance.
- Abdel : Redis que ça va être la vengeance et je fait un accident maintenant, j'ai pas peur de la mort moi.
- Moi : J'ai pas peur de la mort moi aussi, je veux juste ma vengeance à tout ceux qui me l'ont mise à l'envers après tu fais ce que tu veux.
- Abdel : Nique ta mère la pimbêche ! Bon là on va aux urgences si ils te disent comment tu as eu ça tu dis que tu sortais de soirée ok ?
Je voyais rouge, en faite depuis tout à l'heure je me laissé faire comme un faible. J'avais plus aucune force, les coups qu'il m'avait mit ça m'avait eu, j'étais ailleurs, je réagissais que très peu à ses mots pourtant je comprenais qu'il me manquait de respect et qu'il se foutait de moi mais impossible de pouvoir réagir mais le
«Nique ta mère la pimbêche» je l'avais bien entendu et compris. Il me disait souvent ce mot là. Avant qu'il me dise ce mot je ne savais pas ce que ça voulait dire, pimbêche, je l'avais appris avec lui, à force de l'entendre le dire je m'étais mis à le dire à tout le monde après ça. Hassoul j'étais tellement dégoûté de l'avoir entendu me dire ça que je lui avais mis un coup de poing au visage. C'était rien à côté de tout ce qu'il m'avait fais mais c'était pour lui montrait que j'étais pas à terre malgré tout ça et que je pouvais me vengé à tout moment. Lui je le sentais nerveux, il avait envie de tout casser mais il faisait rien.
- Abdel : T'as de la chance enfoiré, je t'est déjà assez défoncé et surtout j'ai encore besoin de toi, la prochaine fois je te termine à fond !
- Moi : Je viendrais pas seul la prochaine fois si il le faut.
- Abdel : Si il y a une prochaine fois ! Putain mais met ton tee-shirt sur tes plaies t'es en train de souiller ma gova.
Plus les minutes passaient plus j'avais envie de le casser en deux, je lui en voulais trop. Quand il parlait je câblé de fou intérieurement mais je disais rien parce que j'attendais qu'une chose c'était d'arriver aux urgences. Je me servais de lui à ce moment là parce qu'il avait prit mon portable du coup je pouvais prévenir personne.. Hm en sah non je me servais même pas de lui, il avait juste à faire son nécessaire pour moi après ce qu'il venait de me faire, c'était légitime en faite. Hassoul une fois aux urgences il m'avait aidé pour tout, à me déplacé à remplir les feuilles de prise en charge, il avait attendu avec moi. On avait attendu longtemps tellement il y avait du monde. J'étais assis devant des grands portes coulissantes en verres et j'essayais de me regarder à travers pour voir qu'elle tête j'avais après ça mais je voyais welou, juste le côté droit du visage en sang. Hassoul longtemps après j'avais était pris en charge, une infirmière était venue me cherché, lui Abdel était resté à l'accueil à m'attendre. Je m'étais fait soigné par deux infirmières, prise de tension, points de sutures à l'arcade, désinfection, tout et quelques temps après Abdel avait demandé à me voir en inventant un gros mytho.
- Moi : Je vais resté en observation cette nuit.
- Abdel : Ah bon ?
- Moi : Ouais mon état est pas stable.
- Abdel : Sah ? Moi j'ai un rendez-vous après du coup je vais rentré là me reposé un peu. Tu m'appeleras quand tu en sauras plus.
- Moi : J'ai pas de portable enfoiré.
- Abdel : Tiens, tu m'appelles si tu sors je viendrais te cherché.
- Moi : Vas-y.
En vérité j'en savais absolument rien de ce que les médecins pensaient. Les infirmières avaient pris ma tension, m'avait suturé etc mais sans quoi il m'avait rien dit par apport à mon état global. Ils parlaient entre eux mais je comprenais rien et c'est de là quand ils étaient sortis de la salle dans laquelle j'étais pris en charge que j'avais profité de dire ça à Abdel pour qu'il se décide à rentré chez lui. Peu importe quand j'allais sortir et ce qui allait en être de la suite il était clair que j'allais pas le prévenir. Hassoul Abdel était finalement parti et les infirmières étaient revenues s'occupée de moi
- Infirmière : Tu es stressé ?
- Moi : Non pourquoi ?
- Infirmière : Ton cœur ne bat pas normalement. Tu es sûr que t'es pas stressé
- Moi : Non aucun stresse.
- Infirmière : Ça nous inquiète, ton cœur bat pas comme il devrait et on trouve pas la raison.
- Moi : J'ai pris un coup dans le torse et dans le dos tout à l'heure ça m'avait coupé d'un coup je sais pas si ça va vous aidez.
- Infirmière : Je vais prévenir l'infirmier mais attends toi à rester ici au moins cette nuit.
- Moi : Putain, je crois que j'ai pas le choix.
- Infirmière : Pas tellement, si tu veux qu'on trouve pourquoi tu es dans cet état là il va falloir rester.
Elle faisait que des allés et retours entre moi et ses collègues, elle revenait souvent me voir avec plusieurs infirmiers qui avaient beaucoup plus d'années d'expérience qu'elle. Ils continuez à me faire des tests, ils m'avait branché à plusieurs machines, j'étais comme fou, je comprenais pas pourquoi tout ce bordel pour ça. Je voulais juste qu'on me suture l'arcade et le genou rien de plus. Hassoul ils m'avaient envoyé dans une autre salle et j'avais passé des radios, IRM, scanners pour voir si j'avais rien au niveau du cœur et finalement je m'étais retrouvé avec un traumatisme crânien, des côtes cassées, une luxation du genou avec fracture et ligaments croisés juste pour deux coups de couteau sah, plus une fracture du nez mais ça je l'avais déjà avant même que Abdel me tabasse,
- Infirmier : Tu vas être envoyé à l'hôpital du 12ème de Paris, tu seras pris en charge là-bas. On te laisse avec les pompiers qui vont t'emmené.
En sah j'en avais rien à faire de ça, peu importe où j'étais, Paris ou sa banlieue ça m'était égale. Je voulais juste que ça se finisse vite. Hassoul j'avais été emmené et dans l'ambulance je parlais avec l'un des pompiers, sah il était trop hnin. Je lui avais expliqué tout du début jusqu'à la fin et il m'avait forcé à porter plainte, il m'avait même passé son numéro. Il voulait qu'on reste en contact il était prêt à faire bouger les choses mais il savait pas que j'étais du même groupe que Abdel, que je vendais avec lui du coup j'essayais d'esquiver ce qu'il me disait même si c'était gentil de sa part sah. Hassoul une fois à l'hôpital ils m'avaient fait venir un chirurgien en urgence alors que meskin il était tranquillement chez lui de base. Hassoul j'étais allongé et je les entendait parlez entre eux.
- Chirurgien : Ses blessures sont trop importantes. Ça s'arrangera pas si il a pas recourt à une intervention chirurgical. Il faut la pratiquer dès demain.
- Infirmier : On le met dans une chambre et on le prépare au lavage.
- Moi : Hein, quel lavage ?
- Infirmier : Le lavage au rouge.
Je comprenais rien, le dialecte des médecins c'est pas pour moi. Je comprenais que j'avais pas le choix et qu'il fallait que je me fasse opérer sinon je pouvais dire bslama à la guérison mais l'histoire du lavage au rouge c'était trop pour moi. Je comprenais plus. Hassoul un infirmier m'avait installé.
- Moi : Mais c'est pourquoi ça ?
- Infirmier : C'est pour le rasage et le lavage.
- Moi : C'est mort ! le rasage d'où ?
- Infirmier : de l'entre-jambe et des genoux.
- Moi : Mais il est où le rapport entre mon entre-jambe et mon genou sah ?
- Infirmier : C'est obligatoire avant chaque intervention.
- Moi : tfou, je le fait moi même.
Genre il y avait un homme il avait débarqué de nulle pour me rasé l'entre-jambe, mais genre à quelle heure même ga3 à quelle époque c'est possible ça ? C'était mort, il allait rien faire du tout. Ça m'avait refroidie d'un coup quand il m'avait dis ça, surtout qu'il forçait parce que soit disant je pouvais pas bouger, j'étais en incapacité de le faire seul. Oh oh, j'allais lui prouvé que j'étais en capacité de le faire seul. Je m'étais levé, je douillé de fou, je me déplacé sur ma jambe droite et je mettais toutes les chances de mon côté pour qu'il cède. Finalement il m'avait laissé me posé dans la salle de bain seul mais zahma il fallait pas que je m'enferme si jamais il y avait heja. J'avais tout fait ce qu'il me disait de faire. Hassoul après ça j'avais n3ess tellement j'étais ko et que la morphine me mettais khabat de fou. Le lendemain à huit heure j'avais était réveillé et on m'avait emmené au bloc opératoire. L'opération avait durée un peu plus de quatre heure et je m'étais réveillé en salle de réveille en fin d'après-midi. En me levant j'étais trop mal, mal au niveau du torse comme si on m'avait tabassé et je comprenais pas pourquoi. J'étais toujours aussi ko. Hassoul j'avais était redescendu dans ma chambre et une fois installé j'avais directement pris mon portable, malgré que j'étais fatigué et brusqué de ce qu'il m'arrivait il fallait que je prévienne mes proches parce que ce n'était pas eux qui allaient prendre des nouvelles de moi étant donné qu'ils étaient au courant de rien mais surtout parce qu'à l'époque j'avais toujours l'habitude de déserté la cité et même la casa pendant plusieurs jours sans prévenir personne ni donner de nouvelle donc ils se doutaient de rien, pour eux c'était limite devenu normal tout ça. «Emir est pas là depuis hier ? Oh mahlich. On a l'habitude.»
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