● 018
Je voulais rien lâcher, j'avais des choses à mettre au clair avec elle et pour moi elle avait pas le choix il fallait qu'elle monte. Juste on allait parler de deux, trois choses et basta elle rentrait chez elle et moi je retournais faire ma vie. Je la tenais au niveau de ses épaules pour qu'elle se baisse mais sans faire du forcing, c'était encore gentil à ce moment là mais très vite je sais pas ce qu'il y avait eu, j'avais pas eu le temps de comprendre la situation qu'elle m'avait giflé, oh j'ai cru que je venais de recevoir une gifle de la part de Hulk wela heja comme ça. Non là c'était donc Ines qui venait de me giflé comme ça, ah d'accord. Sah à ce moment là je m'étais pas contrôlé. Je touche jamais les femmes, jamais. Je sais resté à ma place et contenir ma colère face à une femme mais ce jour là ça avait été différent, clairement j'avais pas eu l'impression que c'était moi qui avait fait ça. En faite c'était comme un boomerang quand on le lance et qui revient, c'était pareil. Elle m'avait giflé et sans me rendre compte mon poing s'était levé et je lui avais balancé une bougna mais sans réagir.
- Moi : Waaah kelbaaaaa ! C'est sah là ?
- Ines : ...
- Moi : Je vais te faire la misère, fallait même pas me faire ça.
- Ines : ...
- Moi : Tu balances des putains de qtru sur moi, tu craches derrière mon dos et dès que je suis en face de toi pour parler posément la seule chose que tu trouves à faire c'est me giflé ?
- Ines : Emir je vais porté plainte contre toi !
- Moi : Qu'est-ce j'en ai à faire ? Combien de personne ont porter plainte contre moi sans suite ? Aucune preuve, aucune poursuite, sache le !
- Ines : T'as levé la main sur moi, je vais vraiment porté plainte.
- Moi : Et toi t'as cru que c'était des caresses que tu m'as fait wela wach ?
- Ines : ...
- Moi : Fini de me foutre lachou3ma ici. Soit tu montes, on se dit les choses et bslama soit je viens chez toi. Je te laisse choisir.
J'étais sur les nerfs de se qu'elle venait de me faire, j'aurai jamais pensé ça d'elle et moi j'aurai jamais osé lui faire du mal rien que physiquement, jamais. Quand je lui avais rendu son coup mon cerveau il était déconnecté à ce moment là, vraiment. Hassoul j'étais remonté dans ma gova et j'attendais qu'elle vienne mais elle bougeait pas, regard vers le sol, décomposée, elle faisait rien. Je m'étais mis à klaxonné juste pour qu'elle réagisse un peu et qu'elle prenne une décision mais elle bougeait même pas un peu. J'avais ouvert la fenêtre.
- Moi : Je vais pas resté ici des heures !
- Ines : ...
Elle en avait rien à faire de ce que je lui disais, ça me prenait le crâne qu'elle fasse sa sourde comme ça. Après avoir continué à klaxonné elle s'était décidée à montée.
- Moi : Tu vas faire des efforts je te le dis Ines ! Ça commence à me faire câblé de voir que Samia est toujours entre nous deux à faire le messager. Laisse la tranquille chwiya !
- Ines : Dis moi pourquoi tu veux absolument resté en contact avec moi ? On se tue plus qu'autre chose !
- Moi : T'es conne ou tu fais exprès ? Si je pourrais même pas je t'adresserais un seul mot.
- Ines : Fais ça et tout sera très bien.
- Moi : Ta sœur !! Ça va là ? Tu vas me rendre fou toi. C'est pas moi qui est enceinte sale folle va !
- Ines : T'es au courant.. Bah écoute c'est bien mais j'ai pas besoin de toi.
- Moi : Mais j'ai pas besoin de toi non plus, arrête de me zehef Ines. Si c'est vraiment moi le père, parce que j'en doute pour le moment bah je laisserais jamais un gosse à une folle comme toi !
- Ines : C'est toi donc arrête de dire ça, tu es complètement fou de dire ça de moi, tu me connais à peine. Tu me dégoûtes sah, j'ai déjà dis que tu étais le dernier.
- Moi : Et alors ? Ça veut rien dire ta putain de merde là ! Il suffit que tu sois passée par un autre gars quelques temps avant moi.
- Ines : Donc tu penses vraiment et toujours que cette grossesse à rien avoir avec toi ? Que ce serait celui d'un autre ? Tu me dégoûtes vraiment Emir.
- Moi : Je me base pas sur des paroles, j'y crois pas pour le moment. Je verais le jour ou ça arrivera.
- Ines : C'est bien, tu me dégoûtes !
- Moi : Arrête de dire ça zeeeeh, moi aussi j'aurai un milliard de raison d'être dégoûté d'une meuf comme toi.
Elle m'avait répondu simplement en sortant de la gova et en crachant dessus. En sah ça me faisait absolument rien. Contrairement à elle, à l'époque. J'avais juste à lavé ma gova et elle ressortait toute clean.. Si elle avait réagis comme ça c'est que mes paroles l'avait un peu touchée quand même. Hassoul j'avais refermé la portière qu'elle avait laissée ouverte et j'étais reparti, le temps que j'étais au 93 j'avais profité pour passé devant le squatte de Abdel pour voir si il était là. Sah j'étais pas bien sur le chemin, j'avais les pensées prise par trop de chose. Les visages de Hasan, Bilal, Nacim et tout mes khey et khti décédés me passait en tête soubhan'Allah, j'avais l'impression de devenir fou les derniers jours, ga3 la nuit je me réveillais en sursaut tellement je pensais à eux. Je voyais Bilal dahak avec moi comme avant, Hasan assis à côté de moi en train de parler de sujets sérieux, je voyais le sourire de Nacim quelques heures avant qu'on m'annonce son décès ou encore Leïla, Mahera et tout les autres. Je pensais tellement à eux que j'avais dû me garer sur le côté quelques minutes. Hassoul une fois devant chez Abdel avec ma gova j'avais vu de la lumière sortir du grand trou qu'il y avait sur son mur, j'allais faire le tour pour me garer plus loin et monté le voir mais en face de chez lui il y avait deux, trois gova de hnouch garer du coup j'étais très rapidement reparti mais j'allais revenir c'était sûr, je voulais essayer de me venger. Hassoul j'étais reparti à la cité, il était tard du coup j'étais allé me posé en bas des blocs avec les gars. Il y avait une bonne ambiance, la dahka, de la discute et un bon moment après Diba, notre Comorien de la cité était venu nous rejoindre.
- Diba : Emir il y a ta sœur elle se fait draguer pas deux gars je crois.
- Moi : Où ça ?
- Diba : À côté du squatte porte verte, derrière la cité.
J'y étais allé en vitesse, j'avais tracé avec ma gova et une fois sur place en effet ma sœur était en train de parlait avec des gars. J'avais vu rouge, j'étais sorti la voir.
- Moi : Ninaaa dépêche toi de montée dans la gova ou je te casse !
- Nina : Mais Emir.
- Moi : Parle même pas avec moi ! Toi tu fais ta khemja ? Tu parles heja normal avec des gars ? Toi ? Vas-y dépêche monte !
- Nina : S'il te plaît Emir..
- Moi : Bala3 ! D'où ils sont proche de toi, d'où ils te parlent ? À quelle tu te laisses faire ?
J'étais énervé mais c'était fou, elle m'avait mis dans une colère. Je pensais qu'elle avait comprit mon message mais visiblement c'était pas le cas. Les gars je voyais pas à quoi ils ressemblaient parce qu'ils avaient des casquettes et des capuches par dessus et dès qu'ils m'avaient vu ils avaient prit la fuite directement. Elle Nina elle s'était installée côté passager et moi j'étais allé me réinstallé et j'avais démarré à fond pour suivre les gars parce que j'aime pas les lâches et le simple fait que je les avais vu partir en courant au moment ou j'étais arrivé m'avais rendu fou et je voulais les tracé et leur faire khaff à accélérer derrière eux, derrières ces mouilles qui valaient welou. Elle Nina elle pleurait, elle me balançait des mots comme ça incompréhensible et en sah je l'écoutais pas tellement. Finalement ils étaient parti dans la forêt juste à côté donc j'avais rien pu faire. Hassoul j'étais retourné en direction de la cité et avant d'y rentré je m'étais garer un petit peu plus haut, à côté de l'entrée et tout de suite Nina avait arrêtée de pleurée, elle avait khaff que je la défonce.
- Moi : Tu profites que je sois plus trop à la cité et que j'ai plus trop l'œil sur toi pour faire des conneries et parler à n'importe qui, tu profites que yemma travaille dure et qu'elle soit rarement à la casa ces derniers temps pour sortir et même le soir. Maintenant ga3 matin, midi, soir et même entre je te surveillerai !
- Nina : Emie écoute moi, hambooouk.
- Moi : Ferme là, j'ai plus envie de dahak avec toi !
- Nina : Putaaain mais Emir écoute moi !
- Moi : Oh tu dis ça à qui toi ? Vas-y bouge de ma gova, sors !
Nina elle commençait à me prendre le crâne à être comme ça. Un coup elle parlait bien, un coup elle parlait mal, un coup elle respectait, un coup elle crachait sur tout le monde. Je sais pas à quoi elle jouer mais ça allait pas durer ça. Hassoul elle s'était mise à pleurée, je m'étais penché pour ouvrir la portière de la gova et je l'avais poussée pour qu'elle sorte et j'étais reparti. Je m'étais posé à la cité avec les autres, je me mettais ko avec eux. Il y avait mes gars, Zyam, Houssam et même Hûsin était là même si il me calculait pas. Je déconnais avec certaine meufs, on se mettait tous ko mais je sais pas un bout d'un moment je m'étais senti pas bien, je pensais beaucoup à Nina, il y avait comme quelque chose qui me poussais vers elle, comme quelque chose qui me poussais à aller la voir. J'avais ce sentiment là. J'avais pas attendu et j'y étais allé mais elle était plus là, il y avait personne donc je m'étais mis sur le côté et je l'avais appeler mais elle répondait pas et ça m'énervé malgré que je le comprenais tout à fait vu qu'on s'était embrouiller quelques minutes avant du coup j'étais reparti à la cité, je voulais pas que ça vrille entre nous. On allait avoir une discussion une fois à la casa. Hassoul j'étais parti me réinstallé avec les gars, il y avait presque plus personne. Je m'étais posé avec ceux qui restez et après un bon gros mal de crâne j'étais retourné à la casa, ma yemma dormait j'allais pas la réveillée mais Nina était toujours pas là et Nina dehors la nuit ? Je l'autoriser jamais. J'étais redescendu et j'avais pris ma gova, j'avais fais le tour du quartier mais je la voyais pas, j'arrêtais pas de l'appeler mais aucune réponse. J'ai cru que j'allais clamser. Je m'étais garer sur le côté et je l'avais harceler d'appel et finalement elle avait répondue.
- Moi : T'es où Nina ?
- Nina : Emir viens me chercher.
- Moi : T'es où là ?
- Nina : Où tu m'as jeté tout à l'heure.
- Moi : Vas-y bouge pas, j'arrive.
Elle était en pleurs elle me disait qu'elle pouvait pas revenir toute seule, qu'elle avait mal donc moi je m'imaginais le pire même si ça serait rien au final sur le moment je m'imaginais des qtru de fou. Hassoul j'étais ko, quand je l'avais laissée à côté de la cité j'avais pensais qu'elle serait rentrée mais finalement elle était restait, je savais pas pourquoi. Hassoul j'étais retourné là où je l'avais laissée mais elle y était pas donc je l'avais rappeler.
- Moi : Nina dis moi les choses là, je suis posé mais t'es pas là !
- Nina : Ça y est t'es là ?
- Moi : Oui !
- Nina : Ah ça y est je te vois.
En faite cette mahboula elle était plus au même endroit mais à l'opposé et je savais pas pourquoi. Elle était toujours en pleurs même plus que quand je l'avais laissée. Elle s'était assise dans la gova.
- Moi : Pourquoi t'es pas rentrée ?
- Nina : J'arrivais pas.
- Moi : Pourquoi tu pleurs ?
- Nina : Tu m'as frappé Emir..
- Moi : Oh Nina commence pas à dire ça, d'où moi je t'ai tapé ? Je t'ai poussé pour que tu te barres !
- Nina : Tu mesures pas la violence de tes gestes.
- Moi : Vas-y c'est bien !
On me faisait toujours passé pour le connard violent et ça commençait à me prendre le crâne sévèrement. Hassoul ça m'avait calmé cette dernière phrase et j'étais tellement énervé au point de cogner que j'avais arrêté de parlé et on était revenu à la cité mais Nina était toujours en pleurs et c'était bizarre, pour moi c'était impossible que ce soit le geste que j'avais eu envers elle qui l'avait mise dans cet état. C'était autre chose et j'étais presque convaincu, j'avais plus qu'à la sonder pour le savoir.
- Moi : T'es la première à témoigner hein ?
- Nina : De quoi ?
- Moi : Que je suis très malin et que je repère tout même les pires choses !
- Nina : Explique, tu veux en venir où en disant ça ?
- Moi : Ok bon je suis pas né hier hein donc tes histoires tah khra j'y crois pas. Je veux la réelle raison de pourquoi tu chiales là ?
- Nina : Je suis vexée, tu peux me laissée me remettre de tout ça s'il te plaît ?
- Moi : Nina joue pas à ça avec moi ! Je suis ton grand frère même si je te fais la misère je serai toujours là pour t'aider même dans les pires merdes à moins que. Là je te demande pour la dernière fois ce que tu as mais je te redemanderai plus après tu resteras dans ta merde si tu fais la grande encore.
- Nina : Emir c'est de ta faute.
- Moi : Oh Nina arrête s'il te plaît, pourquoi tu dis ça ?
- Nina : Tu m'as laissée seule.
- Moi : C'est pour ça que tu pleurs tu vas me dire ?
- Nina : J'étais avec deux gars avant que tu arrives et les deux gars c'était ceux de l'autre jour.
- Moi : Les chiens qui veulent ma perte ? Qui te promettait la belle vie ?
- Nina : Oui.
- Moi : Vas-y lève toi, on y va.
- Nina : Non Emir de toute façon ils sont partis.
- Moi : Putain mais Nina t'es sah ? Pourquoi, 3lech ? Je t'avais dis ou pas Nina ? Arrête Nina. Arrête tu vas me rendre fou. Pourquoi tu fais la conne comme ça ?
- Nina : Emir hambouk arrête de crier et écoute moi.
Elle me rendais fou mais c'était un qtru de barge, en plus moi je m'énerve trop facilement, trop bêtement, trop rapidement. Je laisse pas la chance aux gens de s'exprimer quand je suis énervé et là je la laisser pas en placée une. J'avais la haine contre elle, dès fois j'avais l'impression qu'elle faisait exprès de me mettre à bout pour que je lui apporte de l'attention.
- Moi : Fais attention à ce que tu vas dire sinon je te vire de la baraque, tu as compris Nina ?
- Nina : Écoute j'ai garder contact avec eux, j'ai garder les numéros et souvent ils m'appelent et ils me disent vient il faut qu'on parle et tout.
- Moi : Mais pourquoi tu as garder le contact, pourquoi ?
- Nina : Emir arrête de crier, tu me fais peur. J'ai garder contact avec eux c'est pour toi. Je ne ferais plus rien contre toi car j'ai compris que c'était une erreur et qu'il faisait ça pour me trahir après.
- Moi : Alors explique pourquoi ?
- Nina : Je me disais que c'était un moyen de récupérer le plus d'infos possible contre eux pour ensuite te les faire passer, une façon d'en savoir un peu plus sur eux.
- Moi : Ça te met en danger bêtement donc je veux que t'arrêtes. Ils t'ont dit quoi ?
- Nina : J'ai pas eu plus d'infos que la dernière fois mais Emir je voulais te dire que quand tu m'as laisser sur le trottoir tout à l'heure ils sont revenus et ils m'ont fait mal.
- Moi : Comment ça ?
- Nina : Ils sont revenus et ils m'ont mit des coups de poings, des coups de pieds, ils m'ont tirer les cheveux en me disant que j'étais une traite parce que je t'avais appeler pour me défendre.
- Moi : Oh je vais devenir fou ! Passe moi les numéros je vais régler ça en vite fait moi.
- Nina : Non Emir je veux pas qui t'arrive quelque chose. En plus ils avaient des couteaux sur eux.
- Moi : Qu'es-ce que je m'en bat les couilles ? J'ai une arme moi. Hassoul ils vendent eux ?
- Nina : Oui, ils m'ont dit qu'ils vendaient en région Parisienne et à Grenoble.
- Moi : Bah tranquille alors, je vais me faire passer pour un acheteur et je vais les chopper mais je ne serai pas seul.
- Nina : Emir fais attention.
- Moi : Ceux qui touche à ma sœur je les couche.
- Nina : Khoya nmout 3lik, fais attention !
- Moi : T'inquiète, vas-y passe les numéros.
On parlait encore un peu ensemble et j'avais récupérer les numéros. J'avais la haine de savoir qu'ils avaient touchaient à ma sœur, tfou. Je comptais me vengeais, c'est sûr parce que de toute façon je comptais me vengais depuis un petit moment déja. Hassoul j'avais laissée ma sœur n3ess et j'étais descendu pour appeler Zyam, Houssam et Noureddin ceux que je pouvais appeler à n'importe quelle heure ils étaient toujours op..
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