● 012

J'étais sorti les rejoindre, déjà du bas de mon bloc je les entendais tous. J'avais reconnu le rire de phacochère de Samia, je l'apprécier bien, elle était bon délire, elle se prenait pas la tête. C'était la seule des toutes que j'apprécier le plus, elle arrivait à se démarquer de toutes les autres. Hassoul tranquillement j'y étais allé pensant tous les revoir mais en faite elles étaient que quatre, genre moi j'avais signé pour ça ? Je voulais toutes les revoir moi, même si il y en a quelques-une je les aimais pas sur le coup, je les aurais sûrement apprécier par la suite mais bon mahlich elles savaient pas ce qu'elles rataient. Une fois devant eux j'avais salam tout le monde et je m'étais installé avec eux. Ça se voyait qu'elles étaient là depuis un petit moment, il y avait déjà un bon délire qui s'était installer entre tout le monde, moi j'avais l'impression de déranger au début. Petit à petit je posé mes traces dans leurs délires et j'avais capté que Ines elle était pas là, j'aurai vraiment voulu qu'elle vienne mais ça avait vraiment été bizarre entre nous la dernière fois qu'on s'était vu, après ce qui s'était passé entre nous.

- Moi : Eh mahboula pourquoi elle est pas là Ines ?
- Samia : Si elle est là, elle est juste en appel. Elle arrive.
- Moi : Ah vas-y tranquille alors.
- Samia : Toi ! D'ailleurs elle doit te parler après.
- Moi : Vas-y dit !
- Samia : Non déjà c'est Ines qui doit t'en parler.
- Moi : Mais vas-y toi parle, tu as l'air d'être au courant.
- Samia : Ouais je le suis mais passe une bonne soirée et après on en reparlera.
- Moi : Eh frère j'aime pas les qtru comme ça, balance maintenant ou je me casse !
- Samia : Oh calme ma soeur, on parle après j'ai dit.
- Moi : On peut même pas rester sérieux deux secondes avec toi. Et tu m'appelles frère ou boss s'il te plaît.
- Samia : Getlek boss, tu te prends pas pour de la merde toi. Vas-y remballe frère !
- Moi : Sale folle, la vérité je te kiffe bien toi.
- Samia : Je te kiffe bien aussi le toxico.
- Moi : Ta gueule, toxico de quoi ?
- Samia : T'es un toxico qui s'assume pas ahaha.
- Moi : Sala naze ! J'assume tout frère. Hassoul balance ce que tu voulais me dire !
- Samia : Non tu parleras avec Ines, déjà moi j'ai rien à dire.
- Moi : C'est en rapport avec elle ?
- Samia : Bah oui clochard !
- Moi : C'est quelque chose qui va me faire tout cassé ou quelque chose tape des barres ?
- Samia : Je dis rien, tu verras avec elle.
- Moi : Je vais tout cassé je le sens fort là. Je prépare les poings ou pas ?
- Samia : Si tu veux boss !
- Moi : Ta gueule je rigole même plus là, ça m'a casser les couilles.

J'étais restais sans rien dire, en vrai j'étais trop énervé de ce qu'elle avait fait Samia. Je déteste quand les gens ils font montez la sauce et juste après ils te laisse en chien, à galérer. Elles assument pas après quand on se chauffe. Je les regardais tous en train de bien dahak entres eux et moi je disais plus rien, je m'enfiler joints sur joints jusqu'à me donner un mal de crâne de fou zebi. De temps en temps ils me parlait mais je répondais très rarement et très énervé surtout et ils le savaient que quand j'étais comme ça il fallait pas trop me parler parce que je pouvais démarrer à tout moment du coup ils m'avez tous zapper, et ils continuez de dahak entres eux. Hassoul je pensais trop à Ines à ce moment là mais elle prenait toute la place dans mes pensées mais vraiment, depuis que Samia m'avait dit ça je pensais plus qu'à elle et ce qu'elle voulait bien me dire. Je regardais partout autours de moi voir si Ines était là mais je la voyais pas, ça commencé à me rendre fou.

- Moi : Putaaaain mais elle est là Ines oui ou khraa ?
- Amina : Oui, oui, oui elle est là-bas au téléphone. Elle arrive.

En sah j'avais fait khaff à tout le monde, ils avaient tremblez, ils osez plus dire un mot. J'étais khabat ça y est et j'avais toujours tendance à être violent dans mes gestes et mes paroles quand je l'étais. Hassoul j'avais attendu longtemps avant qu'elle finisse son appel mais moi ça y est la sauce elle était montée depuis tout à l'heure. J'étais fou, je m'imaginais des qtru de dingue fi rhassek. Ça faisait plus d'une heure que j'attendais qu'elle finisse son appel de khraa pour qu'elle me parle enfin. Hassoul j'étais trop khabat mais j'essayais de me calmé pour pas qu'elle fuit. Là j'avais assez attendu et je voulais savoir maintenant. Il faisait noir, je voyais rien, la cité elle était même pas éclairer et au loin je l'avais vu arrivée mais dès qu'elle m'avait vu yeuuh elle était repartie, tfou. Dès que je l'avais vu repartir je m'étais levé et j'y étais allé genre tranquillement on va rire ensemble mais tozz.

- Moi : Ca va hnina ?
- Ines : J'ai pas envie.
- Moi : Pas envie de quoi ? On m'a dit que tu avais heja à me dire. J'attends !
- Ines : J'ai rien à dire là !
- Moi : Tu te souviens ce qui s'est passé dans ma gova ? Je rentrerai pas dans les détails mais avant ça on avait bien rit donc pourquoi tu recommences à faire je sais pas quoi là ?

Là elle s'était mise à pleurée, tfou. Eh sah j'avais vraiment pas signé pour ce genre de soirée moi, je m'étais fais arnaqué là.

- Moi : Ah vas-y tu sais quoi moi les gens qui chiale je déteste ça ok ma belle ? Donc quand tu seras bien calmée tu me feras plaisir, tu reviendras.
- Ines : Ta gueule ! Ferme ta putain de gueule ok ?
- Moi : D'où je ferme ma gueule toi ? C'est toi tu viens faire la sucette et après tu fais la star non ?

Directement ils étaient tous venus dès qu'ils avaient entendus que le ton de ma voix avait augmenter et je pensais qu'ils allaient tous être avec moi et me soutenir mais pas du tout, au contraire. Ils étaient tous contre moi, genre. «Calme toi !» «Lui parle pas comme ça !» «Respecte les autres un peu !» «Fait pas le connard !» Wah j'étais remonté contre eux qu'ils soient même pas de mon coté, même mes khey ils étaient pas avec moi. Encore les meufs qui étaient venues ensemble je pouvais le comprendre, elles me connaissaient pas, elles avaient rien à me devoir, entre un petit merdeux comme moi et leur sah Ines elle allait pas être contre leur sah c'est évident mais alors mes khey de ma cité eux, des baltringues, ils étaient tous contre moi alors qu'ils savaient même pas ce qu'il y avait. Hassoul j'étais khabat, je tenais pas debout, j'avais mon corps présent ici mais mes pensées elles étaient ailleurs, je savais plus quoi faire ni quoi pensé. J'étais remonté contre tout le monde, je commencé à me chauffé et cash je sais pas pourquoi j'avais tapé dans le tas. J'avais été pris d'une haine de fou. Je m'étais des coups mais je savais même pas qui est-ce qui recevait des coups mais rien à faire je continuais et juste après ça m'avait fait tout drôle, j'avais reçu à mon tour des coups, je m'y attendais même pas. J'en avais reçu par des gamins de la cité à qui je parlais jamais, des gamins qui trouvait ça bien de tapait des grands de la cité, en plus j'étais très peu conscient de la situation, je réagissais très peu aux derniers coups que j'avais reçu, moi je tapais dans le tas et c'est tout. Finalement ça s'était calmé, toutes les meufs elles étaient reparties, moi j'étais encore plus énervé parce que j'avais pas su ce que Ines avait à me dire. Hassoul là où on était sa chauffer encore un peu parce que mon embrouille avait crée une autre embrouille entre des gars de la cité. Hassoul j'étais posé au sol et j'avais mon visage qui me brûlait au niveau de l'arcade, j'étais tout ouvert, le sang qui coulait, afou. Je m'étais relevé et j'étais retourné dans mon bloc, j'étais remonté chez moi et j'étais directement allé me lavé le visage mais dès que Nina avait entendue les portes s'ouvrirent elle était directement venue me rejoindre à la salle de bain.

- Nina : Emir mais pourquoi tu nous fais ça ?
- Moi : Va dormir Nina demain tu as ta rentrée.
- Nina : Emir comment tu veux que je sois sereine ?
- Moi : Nina ça à rien a voir avec tout ça.
- Nina : J'aimerai te croire mais non. Combien il y en a qui mentent à leurs proches pour ne pas les effrayer.
- Moi : Nina putain si je te dis que c'est pas ça.. Hassoul vas-y va dormir, demain tu reprends les cours, fait pas comme moi.

Dès qu'elle a vu que j'étais en train de m'énervé elle était repartie et moi j'étais allé me posé dans ma chambre et je pensais que petit à petit ça allait arrêtait de saigner mais plus je m'étais de l'eau pour nettoyer le sang plus il y en avait et je savais pas quoi faire, en plus j'avais une entaille sur l'arcade mais j'étais tellement faible que j'avais la flemme de bouger. Ma mère elle était pas là et elle rentrait que le lendemain matin et à ce moment là du coup elle pouvait pas me soigner ma petite yemma du coup je faisais avec les moyens du bord. Hassoul j'avais fini par me dire qu'il fallait que j'aille aux urgences mais j'étais trop khabat et je pouvais pas prendre le volant sinon ça aurait pas été des points de suture que j'allais avoir mais plus le linceul autours de moi oui. J'étais allé prévenir Nina.

- Moi : Je vais aux urgences.
- Nina : Pourquoi ?
- Moi : Ça me lance et ça arrête pas de saigner.
- Nina : Tu vas aux urgences là à coté dans le 12ème ?
- Moi : Ouais vas-y dort, j'y vais.

J'étais descendu et j'allais demandé à quelqu'un que j'allais croisé comme ça en bas des blocs pour qu'ils me déposent aux urgences, dès que j'étais sorti en bas des blocs j'avais vu Abhû et Khiled

- Abhû : Tu as foutu quoi mon gars ?
- Moi : Vas-y vous êtes khabat ou pas ?
- Abhû : Non pas encore.
- Moi : Emmenez-moi aux urgences parce que moi je le suis et la vérité je vous raconte.

Tellement ils étaient curieux ils avaient acceptez mais si je leur aurait pas dis que j'allais leur expliquer ils m'auraient dit non ces clochards. Hassoul sur la route ils voulez que je leur explique moi j'avais pas envie du coup j'avais dis n'importe quoi, j'étais parti dans mes délires. Juste après aux urgences ils avaient mit un plomb à me prendre en charge juste pour qu'à la fin ils me disent que j'avais le nez et l'arcarde cassé. Hassoul une fois soigner j'étais sorti dans le couloir rejoindre Abhû et Khiled et je vois pas qui assise à coté d'eux ? Nina.

- Moi : Ah je comprends maintenant pourquoi tu m'avais demandée à quel hôpital j'allais.
- Nina : J'étais inquiète, toujours avec tes t'inquiète, oui c'est clair on s'inquiète.
- Moi : Mais qu'est-ce tu me sors là ? Tu te fais des scénarios toi même meskina.
- Nina : Très bien je comprends, j'aurai pas dû venir.

Meskina elle était effrayer, elle avait arrêtée de parlait et elle s'était posait sur le côté. Hassoul on était revenus à la cité, Nina était remontait finir sa nuit et moi j'étais restais en bas des tours, je voulais appeler Samia. Je lui avais envoyé plein de messages mais elle me répondait pas, je commencé à câblé de fou. J'étais resté longtemps en bas des blocs à lui envoyé des messages et longtemps après j'avais reçu un appel..

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