Rêve.. Ou réalité ?
Sous cette couverture, ma femme est ...
Au sol il y a ... Mon dieu, qui à bien pu faire ça ?! ...
La cage thoracique de ma femme est ouverte ... Comme forcée. La chair est déchirée et les côtes brisées, comme pour former l'ouverture d'une cage à oiseaux.
Au sol, gis son... Son cœur. Entouré d'une marre de sang, limite un lac.
"Qui a fait ça ?!" Hurlais-je. "Montre toi, assume tes acte!"
Une larme coule le long de ma joue.
Je m'agenouille au pied du lit pour pleurer. Je regarde ma femme. Ce que je vois me fige.
Il lui manque un ses yeux, ses magnifiques yeux bleus. Mon cœur bat la chamade. Sans bouger, sans parler, je la regarde dans dans le seul œil qui lui reste.
Je me mis à chercher un peu partout en quête d'un globe oculaire dissimuler dans la chambre. Sous le tapis, sous le lit, rien. Le malade qui avait fait sa l'a emporter avec lui.
Soudain, un grincement de porte. Je me lève et regarde. Il ne vient pas de ma chambre, mais de celle d'à côté. Qui est celle de ... de quelle chambre s'agit-il...?" Me questionnais-je. Je ne me rappelle plus. Sans doute le choc.
"Merde, les enfants !" Dis-je à voix haute.
Mon trou de mémoire avait duré quelques seconde, sans doute le temps pour l'intrus de s'emparer de mes enfants ou pire, de leur faire subir le même sort qu'à leur mère. Comme si cette amnésie avait été provoquée exprès... Non c'est impossible, ou alors je suis encore dans un de mes cauchemars ! Je me précipite dans leur chambre mais ils ne sont plus là.
"LYDIA ! AARON !" Criais-je, la voix tremblante.
D'un coup, des pleurs d'enfants retentirent dans mes oreilles, si fort que j'ai cru que m'a tête allait exploser. je me bouche les oreilles pour atténuer le son, en vain. Le son est pareil.
À bout de nerf, je prend la première chose qui me tombe sous la main, sans la regarder. Je sais juste que c'est très lourd. Je la frappe à ma droite à plusieurs reprise contre le mur, encore et encore et encore... Jusqu'à ce que le bruit stop net. Sa a marché. Mais seulement à droite.
Alors je prends autre chose, le premier objet semblant éclaté comme une pastèque.cet objet avait le même poids que le premier. Je le frappe à ma gauche cette fois. Encore et encore et encore ...
Et soudain, plus de bruit, ni à gauche, ni à droite. Je soupire. Enfin le calme.
Mais le repos est de courte durée, je n'ai toujours pas mes enfants ! Je sort dans le couloir en courant, fait le tour de la maison en passant par le grenier jusqu'à la cave ( on ne sait jamais où un taré peut se cacher ). Mais rien. Je ne sais plus ou donner de la tête. J'ai chercher partout, je suis en larme et je n'arrête pas de crier le nom de mes enfants.
Je décide de remonter dans leur chambre. Mais il n'y a, évidement, toujours rien. Je réfléchis quelques secondes.
"La baignoire.. Je n'ai pas regarder dedans !!" M'écriais-je. J'étais passer en coup de vent dans la salle de bain, sans même déplacer le rideau de douche pour y vérifier le contenu.
Je m'y précipite. L'aire y est pesante et il y fait très froid. "Ils sont sûrement là..." Pensais-je. Je marche, doucement, vers la baignoire. J'ai peur de ce que je vais y trouver. J'attrape le rideau, le tire et ...
Tombe en arrière. Ce que je vois est horrible. J'essaie d'ouvrier la porte mais elle est verrouillée. En face de moi se tient une ombre noir, qui ressemble à une silhouette masculine. me ressemblant !
Ses contours sont flous, comme estompé dans le mur. Je ne respire presque plus. Je la regarde, effrayé. Elle fini pas tendre ses bras vers moi.
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