chapitre 21 le Journal de Jedusor


- Alors, expliqua James, je luis dis, bein, si tu veux, on a qu'à se battre en duel, après tout, le but de ce club de duel, c'est bien de montrer aux enfants comment se défendre, et comme ça, on saura enfin qui de nous deux est le plus fort.
- Et bien sûr, il a accepté. Dit Andromeda, amusée.
- Tu parles, il est bouffi d'orgueil. Il a sauté sur l'occasion de prouver que les Serpentard sont plus fort que les Gryffondor.
- Hum, il a surtout voulu clouer le bec du plus gros vantard, de tous les Gryffon. Ironisa Andromeda.
- Moi ? Vantard ? Non, juste réaliste.
- Bein voyons ! De toute façon, tous les Gryffon, sont des vantard. Affirma Ted.
- Quoi ? Mais..non..très bien, puisque c'est comme ça, je ne vous raconterais pas la suite.
Andromeda leva les yeux au ciel.
- Allez, fais pas ton cabochard, vas y, on t'écoute.
James sourit, et leur raconta en détail, son duel, contre Severus Rogue.
- Il était vert de rage ! Conclu t'il.

- Tu as fais quoi ? Demanda la voix glaciale de Lily, derrière lui.
Il se retourna avec la vivacité d'un serpent qui attaque sa proie.
- Lily, je ne t'ai pas entendu arrivé.
- Je vois ça.
- Tu vas bien, ma chérie ?
- Tu as provoqué Severus en duel ? Devant toute l'école ?
- Non, enfin, oui, mais c'est pas ce que tu crois.
- Je crois qu'on va vous laisser, dit Ted, en entrainant sa femme, qui résistait, curieuse d'entendre la suite.
- Je ne vois pas comment ça pourrait être autre chose. Une fois de plus. Tu n' as pas pu résister à l'envie de l'humilier !
- Mais. c'est lui qui passe son temps à humilier notre fils !
- Et c'est une raison pour lui ôter toute crédibilité, devant ses élèves ? Rien à changer, alors ! Tu es toujours le même cretin de Poudlard, qui le faisait l'éviter pour amuser la galerie !
James ouvrit la bouche...Et ne trouvant rien à dire, la referma.
Sirius passa à ce moment là.
- Sirius ! S'écria James, tu tombes bien. Dis lui que j'avais pas le choix.
Sirius fronça les sourcils.
- Le choix de quoi ?
- De provoquer Severus en duel. Répondit Lily, d'une voix glaciale.
Sirius blémit. Il détestait se retrouver entre Lily et James, lorsqu'ils se disputaient, surtout, si cela concernait Rogue.
- Oh, ça, euh, oui, bien sûr, tu connais Servi..Severus, il en avait après Harry, et James, à juste voulu le défendre.
- Comme toujours tu prends sa défense. Gronda Lily. Il n'y a jamais rien qui change, avec vous.
- Désolé, Lily, mais Méredith m'appelle.
Sirius se hâta de quitter le salon, sous les yeux suppliants de James.
- Lâche ! Grommela t'il.
- Tu crois,que tu sauras te conduire comme un adulte, un jour ? Attaqua Lily.
- Bon sang, Lily, je l'ai pas tué.
- Non, bien sûr. Tu t'es contenté de le rabaisser, encore !
- Pourquoi est ce que tu prends toujours sa défense ? Enfin, c'est vrai Ce type est un mangemort, il mène la vie dure à ton fils, et toi, tu le défends. - Je ne le défends pas, mais je n'aime pas la façon dont tu le traites, chaque fois que tu le vois.
- Hé, c'est Sirius, qui le frappe chaque fois qu'ils se rencontrent, pourquoi tu vas pas l'engueuler ?
- Parce que je ne suis pas marié à Sirius, mais à toi. Et je suis en droit d'attendre de mon mari, qu'il se comporte en adulte. C'est à cause de toi, qu'il traite Harry aussi mal.
- Il traite mal tous ceux qui ne sont pas à Serpentard.
- Oui, mais si tu le traitais avec respect, il ne s'acharnerait pas comme ça sur Harry.
- Il ne mérite pas que je le traite autrement.
- Donc, tu ne lui présenteras pas tes excuses ?
- Quoi ? Ça va pas ? Que je m'excuse ? Et puis quoi encore ? Je vais pas m'excuser de l'avoir battu à la loyal, dans un duel, qu'il a accepté de son plein gré. Il a perdu, tant pis pour lui.
- Très bien ! Comme tu voudras. Cria Lily.
- Très bien ! Cria James.
Elle sortit, en claquant les talons furieuse.
Derrière la porte, Sirius et Andromeda sursautèrent, lorsqu'elle ouvrit la porte à la volée.
Elle ne leur adressa pas un regard, et monta dans sa chambre.

Sirius entra dans le salon, et sans dire un mot, prit une bouteille de Whisky, et servit deux verres. Il lui en tendit un.
James tournait le dos à la porte. L'air furieux.
- Comment l'a t'elle su. ? Demanda Sirius.
- Elle à surpris une conversation, avec Andy et Ted..
- T'as pas pu t'empêcher de te vanter !
- Que veux tu, je rêvais tellement de ce moment. Rabattre le caquet de Rogue, devant Harry. Le venger de toutes les humiliations qu'il lui fait subir ! Je pouvais pas garder ça pour moi.
- Hum, t'es mal barré, mon pote, elle va pas te lâcher.
- C'est reparti pour dormir sur le canap, et la gueule, pendant au moins quinze jours.
- Au moins ! Tu peux toujours l'inviter au resto !
- Ca marche peut être avec Méredith, mais pas avec Lily.
- Alors, t'as pas trente six solutions, excuse toi.
- Jamais !
- Bon, alors prépare toi à dormir sur le canapé quelques nuits.
Il sortit, et James adressa un regard noir, au canapé.

- Andro, demanda Sirius.
Il tenait à la main, le sceau qui était sensé tuer ou controler une fury..
- Ton arme antifury ne fonctionne pas. On a failli se faire tuer, à cause de ça.
- Quoi ? Non, c'est impossible. Je m'en suis servie sur Henry, je sais qu'il fonctionne.
- En tout cas, il n'a pas marché
- C'est parce que tu n'as pas su le faire fonctionner, donne moi ça.
Elle prit le médaillon, et l'actionna, rien ne se produisit.
- Hum, c'est étrange. Dit elle, c'est comme s'il avait été désactivé.
- Personne à pu le désactiver, je l'ai toujours sur moi.
- Tu es sur ?
-Une arme capable de tuer ma fille ? Oui, je suis sûr.
- C'est Moi ! Dit une voix, dans la tête de Sirius.
- Vélia ?
- Oui, salut beau gosse. C'est moi qui ai désactivé ton arme. Tu ne crois quand même pas que j'allais te laisser la seule arme, capable de me tuer ?
- Tu aurais dû me le dire ! On a bien failli se faire tuer, à cause de toi !
- Oups !
- C'est tout ce que tu trouves à dire ? Gronda Sirius, furieux.
- Non, je trouve que je meriterais des remerciements, pour avoir sauvé vos fasses, une fois de plus.
- Oui, c'est vrai, tu as raison, mais elles n'auraient pas eu besoin être sauvées, nos fesses, si tu n'avais pas détruit cet appareil.
- Pourquoi est ce que cette fury devait mourir ? Demanda t'elle.
- Quoi ?
- Pourquoi c'est toi qui décide qui doit mourir, et qui doit vivre ? Pourquoi une fury aurait moins d'importance qu'un sorcier ?
- Parce que les fury ne pensent qu'à tuer, et à détruire, et faire souffrir ? Hasard Sirius, sachant qu'il navigait en terrain miné. .
- Donc, selon toi, je devrais mourir?
- Non, Vélia !
- Pourtant, je suis une fury, j'aime tuer, détruire, et torturer.
- Oui, mais tu es différente ?
- Pourquoi ? Parce que j'ai choisi de vous tuer, plutôt que de me ranger du côté de mon espèce ?
- Oui, entre autre
- Je ne comprends pas bien, Pourquoi., c'est vous, les sorciers, qui décidez qui doit vivre ou mourir ?
- Peut être parce que nous sommes humains ?
- Et les humains sont meilleurs juges que les autres créatures magiques ? Pourtant, Voldemort, est humain, et Bellatrix aussi.
Sirius soupira. Il n'avait aucune envie de polimiquer, avec une fury, capable de lui griller le cerveau, si la conversation ne lui plaisait pas.
- Nous sommes sensés être capable de raisonnements, de compassion et amour, et bien sûr, il y a des brebis galeuses, partout.
- Donovan est une brebis galeuse ? Pourtant, ce n'est pas de sa faute, s'il tue, il a été créer pour ça. On ne peut pas lutter contre sa nature. Et on ne peut pas nous juger, pour ce que nous sommes.
- On juge sur les actes. Et on a toujours le choix, la preuve, toi, tu as choisi de nous sauver.
- J'espère que j'ai eu raison. Dit elle.
- Tu en doutes ? Demanda Sirius, inquièt.
- Non, mais j'ai trahi ma propre espèce.
- Tu as agi selon ta conscience, et tes sentiments. Tout comme je l'ai fait, en ne me rangeant pas du côté de ma famille, autrefois. J'ai fait un choix, que je n'ai jamais regretter.
- C'était plus simple, avant, soupira t'elle.
- Avant quoi ?
- Avant tous ses sentiments humains.

- Cassandra.. Cassandra... Ca sert à rien de faire la tête, tu sais..je suis dans tes pensées, je sais ce que tu penses, à cet instant même.
- Dans ce cas tu sais que je ne veux pas te parler.
- Je sais que tu m'en veux !
- Tu m'as trahie, Vélia ! Je ne te le pardonnerais jamais. Je n'aurais plus jamais confiance en toi !
- C'est long, jamais.
- Ferme là, je ne veux plus t'entendre
- Ça va être difficile. Vu que je suis dans ta tête.
Avec un soupir exaspéré, Cassandra rassembla ce qui lui restait d'énergie, et hurla de toute ses forces.
- FERME LÀ.
Vélia poussa un gémissement et se blottit dans un recoin de l'esprit de Cassandra.

Mais cet effort, vida la fillette de ses dernières forces. Vélia lui injectait de l'énergie, à petite doses, elle affirmait que si elle lui en donnait d'avantage, elle pourrait lui griller les neurones.

- Tu m'as fait mal, se plaignit Vélia. Au bout de quelques minutes.
- Oh non, gémit Cassandra, tu ne vas pas me foutre la paix, cinq minutes.
- Je veux que tu comprennes, pourquoi, j'ai fait ça.
- Je sais pourquoi ! Tu n'es qu'une sale petite peste, égoïste, meurtrière, et méchante.
Vélia soupira.
- Oui, je suis tout ça, et bien plus. Mais...je ne suis pas toi.
Cassandra fronça les sourcils
- Comment ça, tu n'es pas moi ?
- Toi, tu as une vie. Tu as des amis, tes parents, tu t'amuses. Moi, je suis enfermée dans ton corps, tu m'interdis tout ce qui est amusant.
- Parce que tout ce qui est amusant pour toi, est mortel, pour les gens.
- Je sais. Mais je m'ennuie à mourir. Tu sais, moi, je ne dors pas, alors la nuit, quand tu dors, je chasse les rats, dans le château, je joues avec Peeves. Et la journée, j'attends ! J'attends une opportunité de faire quelque chose d'intéressant. Heureusement, il y a ton pére. Grâce à lui, de temps en temps, je peux faire ce que j'aime.
- Ca n'explique pas ce que tu m'as fait.
- Je sais. Mais j'en ai eu assez, de vivre dans ton ombre. Je voulais être toi. Quand j'ai commencé à absorber ton énergie, je voulais prendre le contrôle, je pensais que je pourrais vivre ta vie, être Cassandra, tout en restant Vélia.
- C'est impossible, tu n'aurais abuser personne.
- Je sais, je crois que je l'ai toujours su, mais je ne voulais rien entendre. C'était grisant, de prendre le pouvoir.
Et puis je l'ai rencontré. Il était comme moi, puissant, violent, fort. Je voulais tellement être avec lui.
- De qui tu parles ?
- De Donovan. C'est une fury, comme moi, enfin presque, parce que lui. C'est pas une vrai fury.
- Comment ça ?
- Il ne peut pas s'échapper de son corps. Il a les pouvoirs et la puissance des fury, mais il est prisonnier de son corps. Et...C'est leur esclave. Quand ils n'auront plus besoin de lui, ils le livreront à Voldemort
- Tu lui as dit ?
- Oui, mais..Il ne veut pas se libérer. J'ai cru, qu'il le ferait, je voulais être avec lui.
- Mais tu voulais tuer mes parents. Et le bébé.
- Oui ! Et je l'aurais fait ! Quand je suis allé au ministère, c'était pour ça. Pour faire ce que j'aime. Détruire, tuer.
- Alors, demanda Cassandra, intriguée. Pourquoi tu l'as pas fait ?
- Parce que, quand je suis arrivée, je les ai vu.
- Tu as vu quoi ?
- Ton père, et son ami. Ils avaient peurs, ils étaient terrifiés, je sais ce qu'est la peur, j' aime, la sentir. Je la sens, sur mes victimes, je l'ai sentie, sur ton père, et sur son ami.
- Bien sûr, qu'ils avaient peur. Ils allaient se faire tuer.
- C'est pour ça, que je suis entrée dans sa tête. Je voulais lire ses pensées, avant qu'il meurt.
- Tu es monstrueuse.
- Merci. Ça me touche beaucoup.
- C'était pas un compliment !
- Ah ? Bon, tant pis. Ce qui m'a surpris, c'est de voir ces deux hommes morts de peur, affronter une fury.
Donovan était là, et derrière lui, il y avait tout un groupe de ces sales mangemorts. Ils auraient pu essayer de s'enfuir, mais non. Ils sont restés. Et j'ai vu, dans la tête de ton père, tout cet amour, pour toi, pour ta mère, pour son enfant à naître, pour Harry, sa peur, pas de mourir, mais de vous perdre, de ne pas avoir pu vous protéger, de ne pas pouvoir connaître son enfant, tous ses sentiments, son amitié pour James, Lily, Lupin, la trahison de Pettigrew, c'était... Tellement fort ! Tellement puissant. Je n'avais jamais rien vu de tel ! Et puis, je n'avais jamais, réalisé, cette amitié, entre ces deux hommes, ils ont préférés mourir ensemble, James, aurait pu s'enfuir, ou au moins, essayer, mais il a choisi de rester, pour être avec lui, pour qu'il ne meurt pas seul.
- Ou tu veux en venir ? Demanda Cassandra, que cette conversation mentale, épuisait.
- J'ai compris, qu'il n'y a rien de plus fort, de plus puissant, que cet amour, et cette amitié. Je n'ai pas voulu que quelqu'un détruise ça. Je voulais que ça dure, c'est pour ça, que je les ai protégés.
- Wouah ! Vélia, tu te rends compte ? Tu as eu des sentiments, qui pour une fois, n'ont rien avoir, avec la haine ou l'envie de tuer. Tu as voulu les protéger, pas pour moi, ni parce que je te l'ai demandé, mais parce qu'ils t'on touché, ils t'ont émus.
- N'importe quoi ! Les fury n'ont pas ce genre de sentiments.
- Il faut croire que si. Ça veut dire que tu es en train de changer. Tu deviens un peu humaine.
- Non ! C'est impossible.
- Pourquoi, ce serait si mal ?
- Parce que....parce que...ça rend faible.
- Ne dis pas de bêtise. L'amour ne rends pas faible, il rend plus fort. La preuve, si dans la tête de mon père, tu y avais vu la colère, et la haine, contre Bellatrix, et l'autre fury, si tu avais lu l'envie de les tuer, jusqu'au dernier, tu l'aurais aider ?
- Probablement pas, non.
- Tu vois. Tu l'as aidé, parce que il t'a ému. Moi aussi, j'ai changé, tu sais. Depuis que je suis amie avec Harry, Ron et Hermione, j'ai envie de les protéger, tout le temps, d'être avec eux. Avant, je n'aimais personne, je me fichais, de ce qui pouvait arriver aux autres, enfin, sauf à ma mère, mais...C'est plus le cas, aujourd'hui.
- Je ne veux pas devenir humaine.je veux pas aimer. Je veux haïr ! Et tuer..et...
- C'est trop tard. Répliqua Cassandra.

Quelques jours auparavant, Hedwige, avait apporté des nouvelles de Harry à Cassandra. La potion de polynectar avait parfaitement fonctionnée, mais Malefoy, n'était pas l'héritier de Serpentard. Le mystère demeurait entier. Hermione était à l'infirmerie. Des poils de chats, s'étaient mélangés à sa potion, et certains aspects félins, refusaient de disparaitre.

Les vacances étaient terminées. Et Sirius avait raccompagné sa fille à la gare. Il avait refusé que Méredith les accompagne. Il ne voulait pas qu'elle prenne de risque, alors qu'elle allait entamer son sixième mois de grossesse.

Le trajet parut interminable, à la jeune sorcière. Murée dans le silence, elle demeura maussade, jusqu'à ce qu'elle entre dans le grand hall du château. Elle y retrouva Harry et Ron.
- Tu nous as manqué, Cass, dit Harry.
- Ouais, vous aussi, vous m'avez manqué.
Elle leur raconta ce qui s'était passé au ministère, mais ne leur parla pas, de la trahison de Vélia.

Les cours reprirent, et Hermione étant toujours à l'infirmerie, ils lui apportèrent leurs devoirs, chaque soir.

Un soir, qu'ils sortaient de l'infirmerie, ils entendirent la voix de Rusard, qui hurlait, visiblement furieux.
Ils se précipitèrent afin de voir ce qui pouvait bien l'énerver comme ça.
- Tu crois que quelqu'un d'autre s'est fait attaquer ? Demanda Ron.

Le concierge s'éloigna à grands pas, et les enfants, s'approchèrent.

A l'endroit où Miss Teigne avait été attaquée, il y avait une grande flaque d'eau, provenant des toilettes de Mimi geignarde.

- Qu'est ce qu'elle a encore, celle là ? Demanda Ron.
- Allons voir. Dit Harry.

Ils traversèrent la mare d'eau, en prenant garde de ne pas mouiller leurs robes de sorcier, et entrèrent dans les toilettes.

Mimi geignarde pleurait encore plus bruyamment que jamais. L'i'nondation avait atteint les chandelles, et on y voyait pas grand chose. Les pleurs de Mimi, provenanaient de sa cabine habituelle.

- Qu'est ce qu' il y a, Mimi ? Demanda Harry
- Qui est là ? Demanda le fantôme d'une voix gémissante. Vous êtes encore venus me jeter des choses à la figure ?
- Pourquoi est ce qu'on te jetterait quelque chose ?
- Ce n'est pas à moi, qu'il faut demander ça. Dit elle en émergeant des toilettes, provoquant une nouvelle flaque. J'étais là, bien tranquille, à m'occuper de mes affaires. Lorsque quelqu'un s'est s'amusé à me lancer quelque chose sur la tête.
- Ca ne peux pas te faire mal, quand on te jette quelque chose, ça te traverse, c'est tout. Dit Harry, avec raison.

Mais, ce n'était pas ce qu'il fallait dire. - C'est ça ! Hurla t'elle, d'une voix aiguë. Jetons des livres sur Mimi. De toute façon, elle ne sentira rien..Dix points, si le livre passe à travers son ventre, cinquante points, s'il lui traverse la tête. Ah, Ah Ah, on rit, on s'amuse, très drôle, comme jeu, mais pas pour moi.

- Qui est ce qui t'a jeté un livre ? Demanda Harry.
- Je sais pas, j'étais assise dans le tuyau, tranquillement, j'étais en train de penser à la mort, quand le livre m'est tombé dessus. Il est là bas.

Harry et Ron, virent un petit livre ala couverture noire et miteuse, sous le lavabo, tout aussi trempé que le reste des toilettes. Harry se pencha pour le ramasser, mais Ron, l'en empêcha d'un geste.
- Qu'est ce qui te prend ? S'étonna Harry.
- Tu es fou ? Dit Ron, ça peut être dangereux.
- Dangereux ? Tu plaisantes, qu'est ce qui peut être dangereux.
- Ca sent la magie noire. Dit Vélia.
- Tu es sure ? Demanda Cassandra.
- Formelle.
- Vélia dit que ce truc pue la magie noire.
- Ah, tu vois, Harry.
- Vélia voit de la magie noire partout.
- Hé ! S'exclama cette dernière. Puisque c'est comme ça, débrouillez vous, mais ne venez pas vous plaindre après.
- Je vais juste y jeter un coup d'oeil. Dit Harry.
- Tu devrais pas, dit Cassandra. Crois moi, si Vélia dit que ce truc est ensorcelé, c'est qu'il l'est.
- C'est juste un vieux livre. Insista Harry. On dirait un journal intime. TE JEDUSOR. Lut il.

- Attends, je connais ce nom, TE JEDUSOR, à été récompensé, il y cinquante ans, pour services rendus à l'école. Dit Ron.
- Comment tu le sais ? Demanda Harry, surpris.
- Parce que, pendant ma retenue, Rusard, m'a fait astiquer cinquante fois, l'écusson que Jedusor à reçu. Si tu avais frotté un nom, sur une plaque de métal, pendant une heure, tu t'en souviendrais aussi.
Harry, tournait les pages du journal, résolument vides.
- Il n'a rien écrit. Pas une ligne. Dit il, déçu.
- Je me demande pourquoi on a voulu le jeter. Dit Ron, intrigué.
- Je comprends pas pourquoi vous vous interressez tant à ce vieux journal, vide, sans le moindre intérêt.grogna Cassandra.
Harry remarqua que le journal venait d'une papeterie moldue.
- Il devait venir d'une famille de moldu. Dit il.
- En tout cas, il ne te servira à rien. Constata Ron.
Puis, tout bas.
- Cinquante points, si tu le lances à travers la tête de Mimi.

Mais Harry préféra le mettre dans sa poche.

Au début du mois de février, Hermione, sortit enfin de l'infirmerie. Harry lui montra aussitôt le carnet.
- Peut être qu'il a des pouvoirs cachés, dit elle, enthousiaste.
- Alors, ils doivent être très bien caché. Dit Ron tu ferais bien de t'en débarrasser
- Ouais, renchérit Cassandra. Je suis d'accord avec lui.
- Ce qui m'intéresse, justement, c'est de savoir, pourquoi on a voulu s'en débarrasser. Dit Harry. Et aussi, quels genres de services, Jedusor à rendu à l'école.

- C'était peut être un élève extrêmement doué, ou il a sauvé la vie d'un professeur, ou c'est peut étre lui qui a assassiné Mimi Geignarde, ça, c'était un.grand service à rendre à la communauté. Dit Ron, exaspéré.

- Qu'est ce qu'il y a ? Demanda Ron, en regardant alternativement, Harry et Hermione, qui échangeaient un regard de connivence.

- La chambre des secrets à bien été ouverte il y a cinquante ans, non ? C'est Malefoy, qui nous l' a dit. Répondit Harry.
- Oui, répondit Ron, qui ne voyait pas ou Harry voulait en venir.
- Or, ce journal date d'il y a cinquante ans. Ajouta Hermione d'une voix surexcitée.
- Et alors ? Demanda Ron.
- Réveille toi un peu, bon sang, dit Hermione, on sait que la chambre à été ouverte par un élève qui a été renvoyé, hors, On sait que T E à reçut une récompense, pour service rendu à l'école, il y a cinquante ans. Et si cette récompense lui avait été donné, pour avoir démasqué l'héritier de Serpentard ? Son journal intime permettrait alors de tout savoir ! L'emplacement de la chambre des secrets, comment l'ouvrir, et qu'elle est la créature qui y est enfermée. L'auteur des crimes actuels, n'aurait pas intérêt, à ce que ce journal, traîne n'importe où.
- C'est un peu tiré par les cheveux, non ? Dit Cassandra.
- En tout cas, renchérit Ron, il y a quand même un problème, il n'y a rien d'écrit, la dedans.

Hermione sortit sa baguette magique.
- C'est peut être de l'encre invisible. Dit elle.
Elle tapota le livre trois fois, avec sa baguette, en murmurant aparecium
Rien ne se produisit. Elle fouilla dans son sac, et en retira une sorte de grosse gomme rouge vif.
- C'est un révélateur, expliqua t'elle. Je l'ai acheté dans une boutique du chemin de traverse.
Elle frotta énergiquement la date du 1er janvier, mais rien ne se produisit.
- Je te le dis, dit Ron, on ne trouvera rien là dedans. Jedusor à dû recevoir ce carnet en cadeau de Noël, et n'a pas voulu s'en servir.
Ils eurent beau chercher, ils ne trouvèrent rien, qui explique quel service Jedusor, avait bien pu rendre à l'école.
Mais Harry, ne parvenait pas à jeter le livre, il était sur, que ce livre avait un secrêt, et il.entendait bien le découvrir.

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