Chapitre 8 Une Quête Dangereuse.
Harry, Hermione, et Cassandra rejoignirent Ron, dans la salle commune. Il s'était endormi, en les attendant
Ils se vautrèrent dans les fauteuils, et Cassandra leur raconta sa rencontre avec Voldemort.
- Mais, dit Ron, il est mort ?
- Non. Elle peut pas le tuer. Expliqua Cassandra.
- Pourquoi ? Demanda Harry.
- Je sais pas.
- En tout cas, dit Harry, qui leur raconta sa rencontre avec Voldemort et les centaures, je sais pourquoi Rogue veut la pierre. C'est pour la donner à Voldemort.
- Mais, dit Ron, qu'est ce qu'il en ferait ?
- L' élixir de longue vie. S'écria Hermione.
- Bien sûr, s'écria Cassandra. Comme il n'a pas réussi à m'avoir, il va vouloir la pierre, pour l'élixir.
- Mais, c'est pas tout. Voldemort m'a attaqué, moi aussi, juste avant de s'en prendre vous. Firenze, le centaure, m'a sauvé, mais il n'était pas sensé le faire. Bane était furieux...Il disait qu'il ne fallait pas intervenir, dans ce que decident les planètes. Elles doivent sûrement montrer que Voldemort est de retour.
Et Bane, pense que Firenze aurait dû laisser Voldemort me tuer...je suppose que ça aussi, c'était écrit dans les étoiles.
- Arrête de prononcer ce nom, Dit Ron, d'une voix sifflante.
- Maintenant, il n'y a plus qu'à attendre que Rogue vole la pierre, et la donne à Voldemort. Pour qu'il en finisse avec moi
Comme ça Bane sera content.
'Hermione était terrifiée, mais elle tenta de le rassurer.
- Harry, tout le monde dit que Dumbledore est le seul sorcier dont tu sais qui a jamais eu peur. Avec Dumbledore, il n'osera pas te toucher.
Et d'ailleurs, qui te dit que les centaures ont raison ? Ils parlent comme s'ils lisaient la bonne aventure, et d'après le professeur Mcgonagall, c'est une branche très douteuse de la magie.
- Et puis, je suis là, moi, dit Cassandra.
- C'est ça, comme ça, on sera deux à mourir.
- J'ai pas l'intention de mourir. Dit Cassandra. Et Vélia non plus.
- Vélia ? Demandèrent ils en coeur.
A ce moment là, la silhouette ornée de flemmes apparut. Ron recula.
- Je vous présente vélia. Dit Cassandra. C'était le nom de la première fury.
La silhouette leur fit signe.
- Elle vous dit bonjour. Et...C'est mon amie. Dit Cassandra.
Vélia s'éleva dans les airs, effectua une pirouette. Et disparut.
- Ou est elle allé ? Demandais Ron ?
- Elle est retournée dans ma tête. Tu n'as rien à craindre, Harry. Vélia n'a pas besoin de dormir. Elle veillera sur la pierre, et sur toi. Et maintenant, si vous voulez bien, j'aimerais aller me coucher.
- Elle a été impressionnante. Avoua Hermione..
Les examens furent une torture, pour Cassandra. La grande salle était surchauffée, et elle avait l'impression d'avoir tout oublié. Les plumes neuves qu'on leur avait fournies étaient dotées d'un sortilege antitriche.
Hermione la faisait réviser tous les soirs, et Vélia menaçait de la brûler vive, ou de rejoindre Voldemort, si elle continuait de harceler Cassandra.
Harry redoutait de voir Voldemort débarquer pour le tuer, et ils s'attendaient à ce que Rogue vole la pierre, d'un jour à l'autre. Mais les jours passaient, et Touffu, était toujours là.
Puis, ce fut les examens pratiques. Le professeur Flitwick les fit entrer un par un, et leur demanda de faire de faire danser un ananas sur la table.le professeur Mcgonagall demanda de métamorphoser une souris en tabagisme. Elle ajoutait des points si la tablature était belle, et en enlevait, si on distinguait une moustache. Ils étaient tous paniqués devant Rogue, qui les surveillait de près, tandis qu'ils préparaient une potion d' Amnésie.
Le dernier examen, était celui du professeur Binns. Ils durent passer une heure à répondre à des questions sur des sorciers un peu fous, qui avaient inventés un chaudron qui se remuait tout seul.
Puis, il furent enfin libres, pendant une semaine, en attendant les résultats de leurs examens.
Lorsque le fantôme du professeur Binns leur dit de poser leurs plumes, ils poussèrent des cris de joies.
Dans le parc, ils se retrouvèrent à leur endroit habituel, un peu en retrait, sous les arbres, près du lac.
Hermione ne parlait que des examens, qu'elle passait en revue.
Ron et Cassandra manifestaient leur soulagement, que ce soit enfin terminé. Elle tut le fait que vélia l'avait beaucoup aidé, à répondre aux questions. Sachant qu'hermione, n'aprécierait pas.
Seul, Harry semblait ailleurs.
- Tu devrais être un peu plus joyeux, Harry. Dit Ron. On a une semaine devant nous, avant de savoir tout ce qu'on a fait de travers. Pour l'instant, plus la peine de s'inquiéter.
Harry se frottait le front.
- J'aimerais bien savoir, ce que ça signifie. S'écria t'il soudain, avec colère. Ma cicatrice ne cesse de me faire mal. Ça m'était déjà arrivé, avant, mais Jamais aussi longtemps.
- Va voir madame Pomfresh, suggéra Hermione.
- Je ne suis pas malade, je crois que c'est un avertissement, le signe d'un danger, qui menace.
- Détends toi, lui conseilla Ron. Hermione à raison, il n'y a rien à craindre, pour la pierre, tant que Dumbledore sera là. D'ailleurs, on a aucune preuve que Rogue ait trouver un moyen de passer devant Touffu sans se faire dévorer. Il a déjà failli se faire arracher la jambe, une fois, il n'est pas prêt de recommencer tout de suite. Et le jour où Hagrid laissera tomber Dumbledore, Neville jouera au Quidditch dans l'équipe d'Angleterre.
Cassandra révassait. Le matin même, elle avait reçu un hibou de sa mère. Méredith lui avait annoncé qu'ils emménageaient dans un magnifique cottage, en Cornouailles, près du manoir Potter. Ils allaient enfin former une vraie famille.
Harry se leva d'un bond, la faisant sursauter.
- Ou tu vas ? Lui demanda Ron, d'une voix ensommeillée.
- Je viens de penser à quelque chose. Dit Harry, d'une voix livide. Il faut que nous allions voir Hagrid, immédiatement.
- Pourquoi ? Demanda Hermione.
Harry se hatait déjà vers la cabane.
Avec un soupir, Cassandra se leva et le suivit, imitée par Ron et Hermione.
- Vous ne trouvez pas bizarre, vous que Hagrid qui a toujours rêvé d'élever un dragon rencontre justement quelqu'un qui a un oeuf de dragon dans sa poche ? Vous en connaissez beaucoup, vous des sorciers qui se balladent avec un oeuf de dragon dans leur poche, alors que c'est interdit ? Étrange que celui là soit justement tombé sur Hagrid, vous ne trouvez pas ? J'aurais dû m'en rendre compte plus tôt.
- Qu'est ce que tu racontes ? Dit Ron.
Mais Harry ne répondit pas, et se hâta en direction de la forêt.
Hagrid était assis dans un fauteuil devant sa cabane, il avait relevé ses bas de pantalons et ses manches, et coupaient des petits poids dans un grand bol.
- Alors, dit il, c'est fini ses examens ? Vous voulez boire quelque chose ?
- Non, répondit Harry. On est pressé. J'ai quelque chose à vous demander le soir ou vous avez gagné Norbert aux cartes, à quoi ressemblait le voyageur qui vous la donné ?
- Je ne sais pas, répondit Hagrid. Il a gardé sa cape avec son capuchon sur la tête.
En voyant l'air stupéfait des quatre enfants, Hagrid haussa les épaules.
- Ce n'est pas aussi étonnant que ça, dit il, il y a des gens très bizarre, la bas. C'était peut être un marchand de dragons.
- Que lui avez vous dit ? Vous lui avez parlé de Poudlard ?
- C'est possible que ce soit venu dans la conversation. Dit Hagrid, en fronçant les sourcils pour essayer de se souvenir de la conversation. Oui, c'est ça, il m'a demandé ce que je faisais comme travail, et je lui ai dit que j'étais garde chasse. Il m'a posé des questions sur les animaux dont je m'occupais, et là, je lui ai dis que j'aimerais bien m'occuper d'un dragon. Après, je ne me souviens plus très bien...Il n'arrêtait pas de me payer à boire. Voyons...ah, oui, il m'a dit qu'il avait justement un oeuf de dragon, sur lui et que je pouvais essayer de le gagner aux cartes..Mais il voulait être sûr que je saurais m'en occuper, je lui ai dit qu'après Touffu, je saurais m'occuper d'un dragon.
- Et...Il...Il s'est intéressé à Touffu ? Demanda Harry, qui s'efforçait à rester calme.
- On ne rencontré pas beaucoup de chien atrium tête, dans la région, alors je lui en ai un peu parlé. je lui ai dit que Touffu était doux comme un mouton, quand on savait s'y prendre. Qu'il suffisait de lui jouer un air de musique, pour qu'il s'endorme
Hagrid, sembla soudain horrifié.
- Je n'aurais jamais dû vous dire ça. Dit il. Oubliez le. Hé ! Ou allez vous ?
Harry, Ron Hermione et Cassandra ne s'arrêtèrent de courir que lorsqu'ils arrivèrent devant le hall du château.
- Cette fois, il faut aller voir Dumbledore. Dit Harry. Ce voyageur, c'était, soit Rogue, soit Voldemort, et Hagrid lui a révélé le moyen de passer devant Touffu. J'espère au.moins que Dumbledore va nous croire. Firenze nous aidera peut être, si Bane ne l'en empêcher pas. Ou est le bureau du directeur. ?
Ils regardèrent autour d'eux. Comme s'il espéraient trouver un.panneau indiquant le bureau du directeur. Ils ignoraient ou il vivaient, et ne connaissaient personne, qui ai été conduit dans son bureau.
- On n'a qu'à...Commença Harry.
Mais une voix résonna soudain dans le hall. C'était le professeur Mcgonagall, qui traversait le hall, en.pirtantvune énorme pile de livres dans les bras.
- On.veut voir le professeur Dumbledore, dit courageusement Hermione.
- Voir le professeur Dumbledore ? Répéta le professeur Mcgonagall, comme si elle trouvait l'idée particulièrement saugrenue. Et pourquoi donc ?
- C'est...C'est un secret. Dit Harry. La réponse n'était pas très habile, pensa t'il, en voyant le professeur Mcgonagall plissé le nez.
- Le professeur Dumbledore est parti il y a dix minutes. Il a reçu un hibou du ministère, et il s'est immédiatement envolé pour Londres.
- Il est parti ? Dit Harry. D'une voix fébrile.
- Le professeur Dumbledore, est un grand sorcier, Potter, il est très sollicité.
- Mais, c'est très important, ce que j'ai à lui dire.
- Vous avez quelque chose de plus important à lui dire que le ministre de la magie, Potter ?
- Écoutez, dit Harry, en renonçant ajouté prudence. Il s'agit de la pierre philosophale.
La pile de livre que tenait le professeur tomba lourdement sur le parquet, mais elle n'essaya même pas de se pencher pour les ramasser.
- Cômment savez vous...balbutia t'elle...
- Professeur, je crois...non, je sais...que Ro...Quelqu'un va essayer de voler la pierre. C'est pour ça qu'il faut que je parle au professeur Dumbledore.
Elle parut à la fois, stupéfaite et méfiante.
- Le professeur Dumbledore sera de retour demain, dit elle, enfin. Je ne sais pas comment vous avez fait pour connaitre l'existence de la pierre, dit elle, mais soyez rassuré, personne ne peut la voler. Elle est trop bien protégée.
- Mais...professeur ?
- Potter, je sais ce que je dis. Répliqua t'elle sèchement. Puis, elle se baissa pour ramasser ses livres.
- Je suggère que vous retourniez dehors, pour profiter du soleil.
Mais ils restèrent là.
- C'est cette nuit, que ça va se passer. dit Harry, lorsqu'ils furent certains que le professeur Mcgonagall était trop loin pour pouvoir les entendre.
Rogue va essayer d'ouvrir la trappe. Il a tout ce qu'il faut, pour y arriver. Et il s'est arrangé pour éloigner Dumbledore. C'est lui, qui a envoyé cette lettre. Ils vont être étonné au ministère de la magie, en voyant débarquer Dumbledore.
A ce moment, Hermione étouffa un cri.
Ron, Harry et Cassandra firent volte face. Le professeur Rogue, se tenait derrière eux.
- Bonjour, leur dit il d'une voix douce.
- Ils le regardèrent avec des yeux ronds.
- Vous ne devriez pas rester à l'intérieur, avec un beau temps pareil. Dit il. Et il eut un étrange sourire, qui ressemblait à un rictus.
- Nous étions...dit Harry, sans trop savoir ce qu'il allait dire.
- Vous devriez faire attention, dit Rogue, À vous voir comme ça, tous les quatre, on pourrait croire que vous préparez un mauvais coup. Et Gryffondor ne peut pas se permettre de perdre encore des points, n'est ce pas...
Harry devint écarlate. Vélia gronda, à l'intérieur de la tête de Cassandra.
- Cette fois, je le pulvérise.
- Tiens toi tranquille. Lui intima Cassandra, même si je t'avoue que j'aimerais voir ça.
Ils se tournèrent vers la porte, mais, Rogue les arrêta.
- Je vous préviens, Potter, si vous recommencez à vous promener dans les couloirs la nuit, je veillerai personnellement à ce que vous soyez renvoyé du collège. Bonne journée.
Cette fois, s'en fut trop, pour Cassandra. Avant que Harry puisse la retenir, elle se plaça devant Rogue. Ses yeux gris lançaient des éclairs.
- Et vous, professeur, sachez que je ne laisserais jamais personne toucher à la pierre philosophale, et encore moins à Harry.
Les yeux de la sorcière virèrent au noir, quelques secondes. Elle se retourna, laissant le professeur Rogue abasourdi.
Puis, ils quittèrent le hall, avant que Rogue soit remis de ses émotions.
- Tu n'aurais pas dû faire ça. Lui reprocha Harry.
Elle haussa les épaules. Peut être qu'il y réfléchira à deux fois, avant d'affronter une fury.
- Moi, à sa place, dit Ron, je ne m'y risquerais pas.
- Moi non plus. Avoua Hermione. Qui se souvenait des arbres arrachés, de la terre qui tremblait, et des arcs électriques, qui accompagnaient sa course folle à travers la forêt.
- Peut être bien, dit Harry, mais au cas ou il essaierait quand même, voilà ce qu'on va faire. L'un de nous surveillera Rogue. Il faut l'attendre à la sortie de la salle des profs, et le suivre.
- Vélia peut s'en charger. Dit Cassandra. Il ne la verra pas, et elle pourra le suivre partout.
- Bonne idée. S'écria celle ci. Comme ça, s'il tente quoique ce soit, je le pulvérise.
- Tu nous préviens. Dit Cassandra.
- Je ne pourrais pas le brûler ?
- Non
- Même pas un petit peu ?
- Je t'ai dit non.
- T'es pas marrante.
- Je sais, mais tu fais ce que je te dis.
- Très bien
- C'est bon, dit Cassandra, tour haut, elle va le faire.
- Et nous, dit Harry, on ferait bien de se poster devant le couloir du deuxième étage. Venez.
Mais, cette partie du plan, ne fonctionna pas. A peine avaient ils
atteint la porte qui séparait Touffu du reste de l'école, que le professeur Mcgonagall apparut à nouveau, et cette fois, elle perdit son calme.
- Vous êtes plus difficile à éviter qu'un mauvais sort. Dit elle. J'en ai assez de ces balivernes ! Si jamais j'apprends que vous êtes revenus dans ces parages, j'enlève cinquante points de plus, à Gryffondor. Parfaitement, Weasley ! Même si c'est ma propre maison.
Ils retournèrent dans la salle commune. Quelques secondes plus tard, Vélia prévint Cassandra, qu'elle avait perdu le professeur Rogue.
- Quoi ? S'écria Cassandra, mais comment c'est possible ?
- J'étais dans la salle des professeurs, avec lui, et puis, Quirrell est arrivé. Et je l'ai senti. Voldemort, il était là.
- Quoi? Qu'est ce que tu racontes ?
- Je ne sais pas au juste, je ne l'ai pas vu, mais il était bien là. J'ai senti sa présence.
- Il est invisible ?
- Je ne sais pas.
- Vélia à perdu Rogue.
- C'est pas vrai ! S'écria Ron.
- Bon, alors c'est fini. Dit Harry. Il était pâle, et ses yeux flamboyaient.
- Tu pourrais peut être prévenir ton père, Harry. Proposa Ron.
- Le temps que le hibou lui parvienne, qu'il prévienne Maugrey, et que le bureau lance une enquête, la pierre aura disparu depuis longtemps. Et encore, il faut déjà qu'il me croit. Non, c'est décidé, Ce soir, dit il, je vais essayer d'aller chercher la pierre avant lui.
- Tu es fou. S'exclama Ron.
- Tu ne peux pas faire ça, dit Hermione, après ce que Mcgonagall et Rogue t'ont dit, tu vas te faire renvoyer.
- Et alors ? Explosa Harry. Vous ne comprenez donc pas ? Si Rogue parvient à s'emparer de la pierre, Voldemort va revenir. Vous n'avez jamais entendu dire comment s'était, quand il a voulu prendre le pouvoir ? Moi si. Mes parents se sont battus contre lui, à l'époque. S'il y arrive, on pourra plus se faire renvoyer, parce que Poudlard n'existera simplement plus. Il va le détruire, ou le transformer en école de magie noire. Perdre des points, n'a plus aucune importance. Tu crois qu'il vous laissera tranquille vous et vos familles, si Gryffondor gagne la coupe ? Si je me fais prendre, avant d'avoir réussi à atteindre la pierre, je n'aurais plus qu'à retourner chez moi, et attendre que Voldemort vienne me chercher, après qu'il ai tué mes parents. Et les tiens, par dessus le marché Cassandra. ça ne fera que retarder un peu le moment de ma mort, parce que je ne passerais jamais dû côté des forces obscures. Ce soir, je passe par cette trappe, et vous ne m'en empocherez pas.
- Tu as raison, Harry. Dit Hermione d'une toute petite voix.
- Je me servirais de ma cape d'invisibilité. Dit Harry, c'est une chance que je l'ai récupérée à temps.
- Et tu crois qu'elle est assez grande pour nous couvrir tous les trois ?
- Tous les trois ?
- Tu ne crois tout de même pas qu'on va te laisser y aller tout seul ? Dit Ron.
- Bien sûr que non, dit sèchement Hermione. Comment veux tu parvenir jusqu'à la pierre, sans notre aide ? Je ferais bien aller voir dans mes bouquins, je trouverais peut être des choses utiles.
- Mais si on se fait prendre, vous aussi vous serez renvoyés.
- Je pourrais peut être m'arrangée, Flitwick a dit que j'avais cent douze pour cent de bonnes réponses à son examen.
- Je vais sûrement me faire tuer. Soupira Cassandra. Soit par Voldemort, soit par mon père. Donc, j'en suis.
- Tu ne devrais pas, Cassandra. Dit Harry, Si jamais Voldemort t'attrape, non seulement il te tuera mais il deviendra beaucoup plus puissant qu'avant.
- Je sais. Mais si je ne fais rien, et que ça tourne mal, je m'en voudrais toute ma vie..
- Il n'y a plus qu'à espérer que tout se passe bien, Murmura Hermione.
Ils attendirent dans la salle commune que tout le monde aille se coucher.
Hermione feuilletait ses livres. Cassandra envoya Vélia s'assurer que Touffu était toujours à son poste.
- Profites en pour voir si tu trouves Rogue, ou Voldemort.
- Ou Quirrell ?
- Si tu veux, mais il y a peu de chance que Quirrell ai quoique ce soit à voir avec tout ça.
Enfin, lorsque le dernier Gryffondor eut gagné son dortoir, Harry prit sa cape d'invisibilité et rejoignit les autres.
- On devrait la mettre des maintenant, dit il.
- Qu'est ce que vous faites ? Dit alors une voix, à l'autre bout de la salle.
Neville apparut de derrière un fauteuil, en tenant contre lui son crapaud qui s'était encore évadé.
.- Rien, rien, dit Harry qui cacha sa cape derrière son dos.
- Vous allez encore vous balader ? Dit Neville.
- Non, non, non, dit Hermione. Pas du tout. Va donc te coucher.
Harry jeta un coup d'oeil à la pendule, il ne pouvait pas se permettre de perdre du temps. A cette heure ci, Rogue était peut être en train d'endormir Touffu.
- Si vous sortez, vous allez encore vous faire prendre. Dit Neville. Et Gryffondor aura encore plus d'ennuis.
- Tu ne comprends pas, dit Harry. C'est très important.
Mais Neville avait l'air de vouloir tenir bon.
- Je peux m'occuper de lui, si tu veux. Proposa Vélia
- Sûrement pas. Répliqua Cassandra.
- Juste un petit peu. Histoire qu'il dorme pendant trois jours.
- Hors de question.
- Pfff, t'étais plus marante, avant de venir ici. On fait plus rien d'amuser.
- Tu trouves toi ? On a pas arrêter de se battre.
- Oui, mais en dehors de ça, on ne fait plus rien.
- La ferme. Vélia.
- Je ne vous laisserais pas partir. Dit Neville qui se campa devant le trou qui servait d'entree. je... Je suis prêt à me battre.
- Neville ! Laisse nous passer. S'exclama Ron, ne fais pas l'idiot.
- Je ne suis pas un idiot. C'est même toi qui m'a conseillé de me battre.
- Mais pas contre nous.
- Essaie de me frapper, dit il en lâchant son crapaud qui se réfugia sous un fauteuil.
- Fais quelque chose. Dit Harry à Hermione.
Elle s'avança alors vers Neville, sa baguette magique tendue.
- Pardon Neville, mais il le faut. Dit elle. Pétrificus totalus
Aussitôt, les bras de Neville se colèrent le long de ses flancs. Ses jambes se colèrent l'une contre l'autre, son corps devint rigide. Il vacilla un instant, puis, tomba en avant, et resta immobile, à plat ventre, raide comme une planche.
- Eh, s'écria vélia, pas mal du tout.
Cassandra leva les yeux au ciel.
- Qu'est ce que tu lui as fait ? Demanda Harry.
- C'est le maléfice du saucisson. C'est comme si il était ligotté et baillonné.
Repondit Hermione. En retournant Neville sur le dos. Il ne pouvait plus parler, ses mâchoires étaient collées. Seuls, ses yeux jetaient des regards affolés.
- Dommage que je puisse pas le faire à Vélia. Soupira Cassandra.
- Hé ! Un petit arc électrique traversa la salle commune.
- Ca va, je plaisantais.
- Elle a pas l'air d'aimer les plaisanteries, ta copine. Dit Ron.
- Je suis vraiment désolée, Neville. Dit Hermione.
- Il.le fallait, on a pas le temps de t'expliquer. Dit Harry.
- Tu.comprendras plus tard. Ajouta Ron.
- Fallait pas te mettre en travers de notre route. Dit Cassandra.
Ils s'envelopèrent alors dans la cape,
Et sortirent de la salle commune. Être obligé de laisser Neville dans cet état, ne leur semblait pas un bon présage.
Ils avaient les nerfs à vifs. Er croyaient voir dans chaque ombre, la silhouette de Rusard, et entendre le moindre souffle de vent, l'arrivée de Peeves.
Parvenus devant le premier escalier, ils aperçurent miss teigne, tapie en haut des marches.
- Si on lui donnait un coup de pieds, pour une fois ? Murmura Ron, à l'oreille de Harry.
Mais celui ci, refusa d'un.signe de tête.
Et ils montèrent, en la contournant soigneusement. La chattectoyrna vers eux, ses yeux brillant comme des lampes, mais elle n'eut aucune réaction, jusqu à ce que Vélia ne lui lance une petite décharge électrique. La chatte fit un bond d'un.mètre, en hauteur, et poussa un miaulement de douleur
- Cassandra. Gronda Harry.
- C'est pas moi. Se défendit la sorcière, en insultant copieusement la fautive.
- Ca, au moins, c'était drôle. Répliqua Vélia.
- Je vais la tuer. Gronda Cassandra.
- Impossible, sans te tuer tu même. Lui répondit la fury.
Cassandra luii envoya alors une décharge mentale.
- Aie ! Cria t'elle. Tu es folle, tu m'as fait mal.
- Tant mieux, et maintenant, tiens toi tranquille.
Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent dans le couloir du deuxième étage. Ils virent alors Peeves, qui faisait des plis, dans le tapis, pour faire trébucher les gens.
- Qui est là ? Dit il soudain. Ses petits yeux noirs rétrécis..je sais que vous êtes là, même si je ne peux pas vous voir. Qui êtes vous ? Gnomes, fantôme, ou sales mômes ?
Il s'éleva dans les airs, et les observa.
- Je devrais appeler Rusard, si quelque chose d'invisible, rode dans les environs.
Harry eut soudain une idée.
- Peeves, dit il d'une voix rauque. Le baron sanglant à ses raisons d'être invisible.
Peeves fut tellement abasourdi, qu'il failli tomber, il se rattrapa à temps, et resta suspendu, à trente centimètre de l'escalier.
- Je suis désolé, votre sanglante excellence. Monsieur le baron, dit il d'une voix onctueuse. J'ai commis une erreur, une regrettable erreur. Je ne voys avais pas vu. Bien sûr, puisque vous êtes,invisible. Je voys demande de bien vouloir pardonner sa plaisanterie à ce bon vieux Peeves. Monsieur le Baron.
- J'ai des affaires à mener, ici, dit Harry de sa voix rauque. Ne reviens pas ici, cette nuit.
- Oh, mais bien sûr, Monsieur le Baron, bien entendu, dit wpeeves e' remontant vers les airs. J'espère que vos affaires se passeront bien, Monsieur le baron, je ne vous dérangerais plus.
Et il.fila ailleurs.
- Formidable Harry murmura Ron
Quelques secondes plus tard, ils s'étaient avancés dans le couloir. Et virent que la porte était entrebaillee.
- Et voilà, dit Harry, Rogue à réussi à passer devant Touffu.
- Tu devais nous prévenir, Vélia. Gronda Cassandra.
- Oups !
- C'est tout ce que tu trouves à dire ?
- Je ne peux pas être partout.
- Pas à moi, tu veux !
La porte ouverte semblait leur faire redouter ce qui les attendait.
- Rends toi utile, pour une fois, dit Cassandra à son double. Va voir ce qui se passe.
Harry se tourna vers les autres.
- Si vous préférez ne pas aller plus loin, je voys en voudrais pas. Vous pouvez garder la cape, je n'en aurais plus besoin, maintenant.
- Tu rigoles ? On commence juste à s'amuser. Dit Cassandra.
- Ne dis pas de bêtises. Répliqua Ros n.
- Bien sûr qu'on vient avec toi. Dit Hermione.
Harry poussa la porte. Des grognements retentirent aussitôt. Les trois museau du chien reniflaient frénétiquement dans leur direction, bien qu'il fut incapable de les voir.
- Qu'est ce qu'il y a par terre ? Demanda Hermione.
- On dirait une harpe, dit Ron. C'est sans doute Rogue, qui l'a laissé là.
- Le chien doit se réveiller quand la musique s'arrête. Dit Harry. Bon, allons y.
Il porta la flûte que Hagrid lui avait offert pour Noël, à ses lèvres, et se mit à jouer. Ce n'était pas vraiment une mélodie, mais des la première note, les paupières du chiens devinrent lourdes. Il arrêta de grogner, ses jambes faiblirent, il trébucha puis s'effondra sur le sol, profondément endormi.
- continues de jouer, dit Ron, tandis qu'ils se débarrassaient de la cape.et s'avançait silencieusement vers la trappe.
Lorsqu'ils passèrent devant les trois têtes du chien, ils sentirent son souffle brûlant et fétide.
- On devrait arriver à soulever la trappe dit Ron, tu veux passer la première Hermione ?
- Non, je n'y tiens pas.
- Bon, tant pis.
Il enjamba les pattes du chien, avec précaution, puis, tira l'anneau de la trappe qui se souleva sans difficulté et s'ouvrit.
- Qu'est ce que tu vois ?
- Rien, c'est tout noir. Il 'y a ni échelle ni corde, pour descendre, il faudra se laisser tomber.
- Vélia, qu'y a t'il, la dessous ?
- Juste une plante.
- Une plante, t'es sûre ?
- Si je te le dis.
- Vélia dit qu'il y a une plante, la dessous.
- Alors, dit Ron, si Vélia le dit...
Harry, qui jouait toujours de la flûte, fit un signe de la main à Ron, et tapota sa poitrine de l'index.
- Tu veux y aller en.premier ? Tu es sûr ? Je n'ai aucune idée de la profondeur. Donne la flûte à Hermione, sinon, il va se réveiller.
Harry tendit la flûte à Hermione. Lorsque la musique s'arrêta, le chien se remit à grogner et à bouger.
Mais dès que Hermione se mit à jouer, il se rendormit, aussitôt.
Harry l'enjamba et se pencha au dessus de l'ouverture. On ne voyait pas le fond. Il se glissa dans le trou, et se suspendit par les mains, au bord de la trappe.
S'il m'arrive quelque chose, dit il à Ron, n'essayez pas de me suivre. allez chercher Hedwige, dans la volière, et envoyez un message à mon père. D'accord ?
- D'accord. Dit Ron.
- À tout de suite, j'espère...
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