chapitre 6 le Dragon


Cassandra sortit de l'infirmerie, et se hâta de se rendre dans la grande salle. Harry, Ron et Hermione l'y attendaient.
- Ca va ? Lui demanda Harry.
Elle hôcha la tête.
- Qu'est ce qui t'es arrivé ? Demanda Ron.
- Rien, répondit Cassandra. J'ai...juste fait un.malaise, c'est rien
- Tu fais souvent des malaises non ? Insista t'il.
Cassandra chercha de l'aide auprès de Harry, auquel elle  adressa un regard désemparé.
- Oui, répondit il, en volant à son secours. Ça lui arrive, quand elle est sous pression.
- Dites, vous me prenez pas pour un imbécile, au moins ?
- Pourquoi tu dis ça ? Demanda Harry.
- Harry, je viens de passer deux semaines chez toi, j'ai bien vu que Cassandra faisait des choses qu'elle est pas sensée faire.
- Chut ! Lui dit Hermione. Pas ici, on pourrait nous entendre.
- Ou alors ?
- La salle commune ? Au moins il n'y aura pas de serpentar. Proposa Harry.

Ils se rendirent dans la tour des Gryffondor.
La salle commune était vide
- Alors, dit Ron ?
- Tu as raison, Ron, je suis pas tout à fait comme vous. Dit Cassandra.
- T'es pas obligé, Cass..dit Harry.
- Si, je le suis. On est amis, non ?
- Oui. Répondirent ils en coeur.
- Alors, on ne doit  rien se cacher. En tout cas, rien de si important. Je suis une fury.
Ron équarquilla les yeux.
- Bein ça alors ! Je croyais que c'était une légende.
- Quoi ? Tu sais ce que c'est ?
- Oui, c'est dans un livre de contes. Qui s'appelle contes et légendes de l'ancienne sorcellerie.
- Tu l'as lu ? Demanda Hermione, surprise.
- Tu veux rire ? C'est trop long, il fait au moins six cent pages. Mais la légende de la fury, c'était l'histoire que me lisait toujours mon frère Bill.
Elle parlait d'un enfant qui était maudit, et qui ne pouvait s'empêcher de tout détruire, et de tuer même les gens qu'il aimait.
Hermione déglutit, tandis que Cassandra baissait la tête.
- Et comment se finit l'histoire ?
- Bein, la fury tue toute sa famille, et
Finit par se détruire elle même.
- Tout le monde meurt, si je comprends bien. Dit Cassandra, d'une voix blanche.
- Ouais... Mais...Comment ça, t'es une fury ? Demanda Ron, inquièt, tout à coup.
Cassandra haussa les épaules.
- T'inquiètes, je vais pas te tuer. Je vais tuer personne. A part Rogue, peut être, s'il essaie de tuer Harry, pendant le match.
- Bein, t'es pas une vrai fury, hein ?
- Si. Mais je sais me contrôler. C'est juste plus difficile, quand j'ai peur ou quand je me mets en colère. 
- Voilà, dit Harry. Vous savez tout. Alors, si vous avez trop peur, ou si vous n'avez pas envie de rester près d'elle, on comprendra. Par contre, j'espère que vous n'en parlerez à personne.
- Qui nous croirait, de toute façon ? Dit Ron. Tant que t'essaies  pas de me tuer, moi, ça me va.
- Je t'ai déjà dit que ça n'avait pas d'importance. Dit Hermione.
Cassandra sourit.
- Vous êtes les meilleurs amis du monde. Dit elle.

Dans les jours qui précédèrent le match de Quidditch, Rogue se montra particulièrement odieux avec Cassandra et Harry, cherchant à la  pousser à bout, et tentant par tous les moyens, de punir Harry. Mais les deux enfants restèrent de marbre.
Le vendredi, veille du match, Cassandra courait pour rejoindre ses amis, en salle d'histoire de la magie. Elle était en retard. Au détour d'un couloir, elle rentra dans une robe de sorcier noire.
- Merde ! S'écria t'elle.
- Et bien, vous ne savez pas qu'on ne doit pas courrir dans les couloirs ?
Cassandra s'ecarta.
- Je vous demande par... Elle s'arrêta net, en reconnaissant Rogue.
- Je vous demande pardon, professeur.
- Miss Black..! Évidemment. Et je suppose que vos amis vont arriver d'une seconde à l'autre, tout aussi pressés que vous.
Il lui attrapa le bras, et  fixa l'endroit d'ou venait la petite sorcière, s'attendant sans doute, à voir débouler le reste du groupe.
- Non professeur, je suis seule..
- Seule hein ? Demanda t'il encore, en tournant la tête de tous côtés, comme s'il attendait quelqu'un.
- Ce n'est pas très prudent de se promener seule dans les couloirs, Miss Black.
Elle ne put retenir un sourire narquois.
- Pourquoi ? C'est une école, ici. Il.y à que des élèves et des professeurs. Et puis, j'ai peur de personne.
- Ah oui ?  Même pas du seigneur des ténèbres ? J'ai pourtant entendu dire que vous l'aviez rencontré, dernièrement.
Cassandra trembla légèrement, mais offrit à Rogue un air de défi.
- Si vous voulez parler de Voldemort, il fait pas le poids, contre moi. Je l'ai envoyer bouler' et Pfff. Il s'est volatilisé. Pas très effrayant, votre mage noir.
- Faites attention Miss Black. Vous avez eu de la chance, jusqu'ici, mais il arrive que la chance tourne. Et vous n'aurez pas toujours votre père, pour vous tirer des mauvais pas.
Cassandra plissa les yeux. Une onde de magie noire, l'entoura. Ses yeux changèrent de couleur. Rogue la lacha, et recula.
- Vous me menacez, professeur ? Dit elle d'une voix glaciale, qui n'était pas la sienne.
- Bien sûr que non. Répondit il d'une voix blanche. C'était une simple mise en garde.
- Cela vaudrait mieux. Je ne réagis jamais très bien, aux menaces.

Puis, ce fut fini. Cassandra, tremblante, fixait Rogue dans le regard duquel, elle aperçut une peur proche de la terreur. Elle baissa la tête.
- Je vous demande pardon, professeur. Je...je ne voulais pas vous faire peur.
- Peur ? Dit Rogue, d'un ton méprisant. Ce n'est certainement pas un misérable petit monstre comme vous, qui allez me faire peur. Fichez le camp, maintenant, et que je ne vous reprenne pas à courir toute seule dans les couloirs.
- Oui professeur.
Elle le contourna, et quitta le couloir, en s'efforçant de ne pas céder à l'envie de courir.
- Qu'est ce qui t'a pris ? Demanda t'elle à l'entité.
- Ce type nous a menacé, j'allais quand  même pas le laisser faire.
- Mais je t'ai rien demandé.
- Tiens, c'est vrai. Oh oh, on dirait que j'ai agi toute seule, cette fois. Je deviens chaque jour plus forte, tu vois. Bientôt, je serais libre. Tremble, petite. Parce que je les tuerais tous.
- Rêves pas, je te laisserais pas faire.
- C'est ce qu'on verra.
Cassandra s'efforça de ne pas penser à l'angoisse qui ne  la quittait plus, depuis le cauchemar qu'elle avait fait quelques jours auparavant, et qui revenait toutes les nuits, à présent.
Lorsqu'elle arriva en cours, elle était très pâle, et tremblait encore.
Elle haussa les épaules, en réponse aux regards interrogateurs de ses amis.

Le match de Quidditch avait lieu ce jour là.
Dans les vestiaires, le moral de l'équipe était au plus bas. Dubois demanda à Harry de ne pas traîner pour attrapper le vif d'or, afin de ne pas laisser le temps à Rogue, de trop les défavoriser.

Toute l'école était là, y compris Dumbledore.
Bien décidée à en découdre, et à ne pas se laisser impressionnée, Cassandra entra sur le terrain. d'un.pas ferme.

Rogue avait l'air encore plus furieux, et féroce que d'habitude.  Il darda sur Cassandra un regard plein de haine, qu'elle soutint sans faiblir, avant de s'envoler.

Elle venait de gagner la hauteur des buts, et guettait le souafle, lorsqu'elle vit Harry descendre brutalement en piqué. Sous ses yeux horrifiés, elle le vit se diriger droit sur Rogue, et un instant crut qu'il allait le percuter de plein fouet. Ca va faire mal ! Songea t'elle. Mais Rogue évita la collision de peu. Harry effectua un rétablissement spectaculaire, le bras levé. Dans sa main, le vif d'or, brillait et se débattait faiblement. Cassandra poussa un cri de triomphe, et enchaîna quelques loopings, avant d'atterrir souplement près de lui. Tandis que la foule déchaînée, hurlait de joie. C'était sans doute un reccord. Personne n'avait jamais vu quelqu'un attrapper si rapidement le vif d'or.
Du coin de l'oeil, Cassandra vit Rogue cracher sur le sol. Elle lui adressa un regard de triomphe, et courut féliciter Harry

Lorsqu'elle sortit du vestiaire, Harry avait disparut. Perdue dans ses pensees, elle ne l'avait pas vu sortir. Elle alla ranger son balai, et constata que celui de Harry n'y était pas. Inquiète, elle envoya son entité à sa recherche. Celle ci finit par le trouver.
- Il espionne Rogue et Quirrell. Dit elle. Il est malin, ce petit.
- Il va bien ? Demanda Cassandra.
- Mais oui, pour le moment. En tout cas  ah, je crois qu'il revient par ici.
Cassandra se hâta de regagner la salle commune.
  une grande effervescence régnait dans la salle bondée. Fred et Georges avaient organisé une petite fête pour fêter leur victoire. Cassandra s'approcha d'hermione, qui lui expliqua que Ron et Neville s'étaient battus avec Malfoy, Crabbe et Goyle.
A ce moment là. Harry arriva, l'air surexcité. Il s'écria.
- Il faut que je vous parle. dit il à ses amis.
Ils se rendirent dans une salle vide.
Il leur raconta alors,  qu'il avait suivit Rogue, jusque dans la forêt ou ce dernier avait rencontré Quirrell.
- Rogue lui a demandé s'il avait trouvé un moyen de passer devant le chien à trois têtes. On avait vu juste, dit Harry. Il s'agit bien de la pierre philosophale. Rogue essaie de la voler, et il veut obliger Quirrell, à l'aider. Il y a sûrement d'autres choses qui gardent la pierre, en plus de Touffu. Des tas de sortilèges, probablement, et Quirrell connait sûrement les formules magiques, pour les neutraliser.
- Ce qui veut dire, que pour protéger la pierre, il faut que Quirrell tienne tête à Rogue. Dit Hermione, inquiète.
- Dans ce cas, elle aura bientôt disparu. Conclut Ron.

Quirrell se montra cependant, plus courageux qu'ils ne l'auraient cru. Dans les semaines qui suivirent, il devint plus maigre et plus pâle, mais il ne semblait pas avoir cèdé.
Le professeur de DCFM, mettait Cassandra mal à l'aise. Son double maléfique ne cessait de lui répéter qu'il avait quelque chose de pas très net.
- Il y a de trop de magie noire, autour de lui, c'est pas normal..
- Peut être qu'il l'utilise pour se protéger des vampires ou autres créatures maléfiques..répliqua Cassandra.
- Ou peut être qu'il est moins bête qu'il n'y paraît.
- Qu'est ce que tu veux dire ?
- Je ne sais pas encore. Mais si tu me laissais plus de liberté, peut être que je trouverais.
- Compte la dessus.
- Tu ne me retiendras pas éternellement ! Siffla t'elle. Un jour..
- Oui, je sais, coupa Cassandra. Tu t'échappera et tu tueras tout le monde. Tu te répétes. Change de. disque. Et d'ailleurs tais toi. Tu me fatigues..
- Comme tu veux, mais je t'aurais prévenu. Ce type est pas net. Pas net du tout.
Cassandra soupira.
Il arrivait souvent que cette voix lui tape sur les nerfs.

Régulièrement, Cassandra envoyait son double, vérifier que Touffu était toujours là et veillait sur la pierre.

Cependant, chaque fois qu'elle croisait Quirrell, Cassandra ressentait un malaise, qu'elle ne s'expliquait pas.

Leur plus grand problème, cependant, leur vint de Hermione. Elle se mit en tête de préparer un programme de révision, en vue des examens, et encourageait vivement ses amis à en faire autant.
- Je comprends pas pourquoi tu veux réviser, lui dit Ron. Tu sais déjà tout.
- Pas besoin de réviser ? Tu es fou ? Tu te rends compte qu'il faut absolument réussir ces examens pour passer en seconde année ? C'est très important. J'aurais dû commencer à réviser il y a un mois.
Malheureusement, les professeurs semblaient vouloir lui donner raison. Il avaient tellement imposés de devoirs, pour les vacances de Pâques, qu'il ne restait plus beaucoup de temps aux élèves pour songer à s'amuser. Il était difficile de se détendre quand Hermione passait son temps à réciter les douze usages du sang de dragon ou faire des exercices avec sa baguette. Baillant et maugréant, Harry, Ron et Cassandra passaient la plus grande partie de leur temps libre à la bibliothèque, avec elle, pour essayer d'arriver au bout de leur travail.
- Je n'arriverais jamais à me rappeler ce truc. Dit un jour Ron.
Il laissa tomber sa plume, et regarda avec envie par la fenêtre. C'était la première vraie belle journée, qu'ils avaient depuis des mois. Le ciel était d'un bleu myosotis et l'atmosphère avait  un parfum d'été.
Harry lisait un article sur le dictame, et Cassandra s'efforçait de retenir les règles de base de la métamorphose.
Ils levèrent la tête, lorsqu'ils entendirent  Ron s'écrier.
- Hagrid ! Qu'est ce que vous faites à la bibliothèque ?
Hagrid apparut, cachant quelque chose derrière son dos. Avec son gros manteau en poils de taupe, il avait l'air d'un éléphant dans un magasin de porcelaine
- Je suis simplement venu jeter un coup d'oeil. Dit il, d'une voix qui ne parraissait pas naturelle. Et vous, qu'est ce que vous faites là ? Ajouta t'il d'un air soupçonneux. J'espère que vous avez cessé de vous intéresser à Nicolas Flamel.
- Oh, il y a  longtemps que nous avons trouvé ce que nous cherchions, dit Ron, d'un ton assuré. Et nous savons ce que garde ce chien, il s'agit de la pierre philo...
- Chut ! L'interrompit Hagrid, en lançant des regards inquiets autour de lui, pour voir si on les écoutait. Parle moins fort, qu'est ce qui te prend ?
- Justement,  dit Harry, nous voulions vous poser quelques petites questions. On se demandait ce qui avait été prévu, pour garder la pierre, en dehors de Touffu.
- Chut ! Répéta Hagrid, vous n'avez qu'à venir me voir un peu plus tard, je ne vous promets rien, mais arrêtez de jacasser à ce sujet. Les élèves ne sont pas sensés savoir.  On va penser que c'est moi, qui vous ai tout raconté.
- Alors, à tout à l'heure
Dit Harry.
Hagrid quitta la bibliothèque, en traînant ses grands pieds sur le parquet.
- Qu'est ce qu'il cachait derrière son dos ? Demanda Hermione, d'un air songeur.
- Je vais voir dans quelle section il était. Dit Ron.
Il revint avec une pile de livres qu'il posa sur la table.
- Des dragons ! Murmura t'il. Hagrid regardait les bouquins consacrés aux dragons. Regardez ça les différentes espèces de dragons d'Angleterre et d'Irlande. De l'oeuf au brasier. Le guide de l'amateur de dragons.
- Hagrid à toujours rêvé d'avoir un dragon. Dit Harry. C'est mon père qui le l'a dit.
- Mais, c'est contraire à la loi. Fit remarquer Ron. L'élevage des dragons à été interdit par la convention des des sorciers de 1709. Tout le monde sait ça. Comment veux tu qu'on arrive à cacher notre existence aux moldus si on garde un dragon, dans son jardin. En plus, ils sont impossibles à dresser. C'est très dangereux. Si tu voyais les brûlures que s'est fait Charly avec des dragons sauvages de Roumanie.
- Il n'y a quand même pas de dragons sauvages en Grande Bretagne ? Dit  Harry.
-  Bien sûr que si. Répondit Ron. Tu n'as jamais entendu parler du vert gallois ? Ou du noir des hebrides ? Le ministère de la magie fait un sacré travail pour essayer de les cacher. Je peux te le dire. Chaque fois qu'un moldu en voit un, il faut lui jeter un sort pour qu'il oublie tout de suite.
Cassandra haussa les épaules.
- Pourquoi on ne les extermine pas ? Demanda Cassandra.
- T'es folle ou quoi  ? Ce sont des espèces protégées.
- Moi, je trouve ça idiot de garder des bêtes aussi dangereuses. Répliqua t'elle.
- Si on devait éliminer tout ce qui est trop dangereux, dit Hermione, on serait forcer de te tuer aussi.
- Hé ! Je suis pas un animal.
- Non. Répliqua sèchement Hermione. Tu es pire, quand on y réfléchit bien. Parce que tu es intelligente.
- Ca va, j'ai compris. Soupira Cassandra.
-  cela dit, reprit Hermione, je me demande ce que mijote Hagrid.

Une heure plus tard, lorsqu'ils se rendirent chez Hagrid, ils s'aperçurent que tous les rideaux étaient tirés.
- Qui est là ? Demanda Hagrid, avant de les faire entrer et de refermer la porte derrière eux.
A l'intérieur, il faisait une chaleur étouffante, bien que dehors, la température était clémente. Un grand feu, ronflant dans la cheminée. Hagrid prépara du thé et leur proposa des sandwiches, qu'ils refusèrent.
- Alors, vous voulez me demander quelque chose ? Demanda Hagrid.
- Oui, répondit Harry. Est ce que vous pouvez nous dire ce qui garde la pierre, à part Touffu.
Hagrid fronça les sourcils.
- Bien sûr que non, je ne peux pas vous le dire. D'abord parce que je l'ignore, ensuite parce que je pense que voys en savez déjà trop. Et donc, même si j'étais au courant, je ne vous dirais rien de plus. Il y a des raisons, pour laquelle cette pierre se trouve ici. Elle a failli être volée, chez Gringott. J'imagine que vous l'aviez déjà compris. Je me demande comment vous avez appris l'existence de Touffu.
- Je comprends que vous ne vouliez pas nous le dire. Mais ne nous faites pas croire que vous ne le savez pas. Voys savez tout ce qui se passe ici. Dit Hermione d'un ton flatteur.
La barbe de Harry frémit, ils virent qu'il souriait.
- Nous voulions seulement savoir qui s'était occupé de la protection de la pierre, nous nous demandions en qui à part vous, Dumbledore pouvait avoir confiance.
En entendant parler de la confiance de Dumbledore, Hagrid bomba le torse.
- bah, j'imagine qu'il y a pas de mal à vous dire ça... Voyons...Il.m'a demandé de lui prêter Touffu, et certains professeurs se sont chargés des sortilèges. Le professeur Chourave, le professeur Flitwick, le professeur Mcgonagall, dit il en comptant sur ses doigts, le professeur Quirrell, et Dumbledore lui même, à fait quelque chose, bien sûr. Oh et j'allais oublier le professeur Rogue.
- Rogue ?!
- Eh oui. Vous ne vous doutiez pas de ça, hein. Rogue à aidé à protéger la pierre. Alors, vous voyez bien, qu'il ne veut pas la voler.
Harry,  Ron Cassandra et Hermione pensaient la même chose. Si Rogue avait participé à la protection de la pierre, il lui serait sans doute facile de de connaître les sortilèges employés par les autres professeurs. Il devait simplement ignorer  le sortilège de Quirrell, et comment passer devant le chien, sans se faire mordre.
- Vous êtes le seul, à savoir comment se protéger de Touffu, n'est ce pas ? Demanda Harry, d'un ton fébrile. Et vous voulez le dire à personne,n'est ce pas, même pas à un professeur ?
- Personne ne le sait, à part moi et Dumbledore. Répondit il avec fierté.
- Voilà au moins quelque chose, dit Harry, à ses amis. Hagrid, est ce qu'on pourrait ouvrir la fenêtre, c'est un vrai chaudron, ici
- Impossible, Harry, désolé.
Cassandra vit Hagrid jeter un regard vers le feu.
Harry s'écria.
- Hagrid ! Qu'est ce que c'est que ça ?

Au coeur des flemmes, sous la bouilloire, Il y avait un gros oeuf noir. - Ca ? Répondit Hagrid, nerveusement, c'est simplement...
- Où est ce que vous l'avez trouvé ? Demanda Ron, en s'accroupissant devant le feu, pour regarder l'oeuf de plus près ? Ça vaut une fortune.
- Je l'ai gagné. Dit Hagrid. Hier soir. Je suis allé boire un ou deux verres au village, et j'ai joué aux cartes avec un client de passage. Pour tout vous dire, il avait l'air plutôt content de s'en débarrasser.
- Et qu'allez vous en faire, quand il aura éclos ? Interrogea Hermione.
- J'ai lu pleins de choses, la dessus. J'ai  trouvé ça, à la bibliothèque.
Il montra un livre, intitulé élevage des dragons pour l'agrément ou la commercialisation. Il date un peu, mais...tout y est. Il faut garder l'oeuf dans le feu, parce que dans la nature, c'est leur mère qui leur souffle dessus, et quand l'oeuf à éclos, il faut leur donner un seau de cognac mélangé à du sang de poulet, toutes les demi heures. Regardez, là, ils expliquent comment reconnaître les différentes espèces. Le miens est un Norvégien à crête. Une espèce rare.
Il semblait ravi, mais Hermione ne l'était pas du tout.
- Votre cabane est en bois. Lui fit elle remarquer.
Hagrid n'écoutant pas, il remuait les braises en chantonnant.

Ils avaient maintenant un autre sujet d'inquiétude. Qu arriverait il à  Hagrid, si quelqu'un s'apercevaient qu'il abritait dans sa cabane, un dragon interdit.

- Je me demande à quoi ça ressemble, une vie paisible..soupira Ron, accablé par le poids des devoirs à faire.
- En tout cas, il n'y a pas que moi qui puisse détruire l'école, maintenant. Plaisanta Cassandra.

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