17 la bataille de Poudlard
Tandis que Méredith affrontait son frère, Remus était en mauvaise posture.
Acculé contre un mur, il mettait ses,dernières forces dans le duel qui l'opposait à Dolohov
Regulus arriva alors. Son regard embrassa la scène.
Il n'avait jamais,beaucoup apprécié Dolohov. Ce dernier tenait des propos homophobes, et sa vulgarité, et sa grossièreté écoeurait profondément Regulus. Sans compter que la façon dont il regardait Méredith, lorsqu'il venait au manoir Lestrange et les propos salace qu'il tenait à son encontre, même après qu'elle ai quitter le manoir, ne laissait planer aucun doute sur ses intentions vis à vis d'elle. Alors,qu'elle avait tour juste quatorze ou quinze ans il.lui arrivait de laisser ses mains, se balader sur la jeune fille. Elle l'avait toujours remis à sa place par le verbe et la magie, allant même jusqu'à lui casser le poignet. Rodolphus disait alors que la jolie brune l'obsedait.
Il aurait du se porter au secours de Remus, mais cela le répugnait après tout c'était un hybride. Un être inférieur une bête dangereuse.
Pourtant le visage ensanglanté et la pâleur de l'homme me touchait.
Remys ne lui avait jamais rien fait, et il était le parrain de Cassandra. Certes, il faisait parti de la bande à Potter que Regulus avait encore du mal z supporter, même s'il devait reconnaître qu'ils n'étaient plus kes crétins d'autrefois.
- Allez Reg, tu es de leur côté, maintenant c'est le moment de le prouver. Se morigena t'il.
Il avança à découvert
- Eh ! Dolohov si tu t'en prenais à quelqu'un capable de se défendre, pour changer ?
Dolohov se retourna et sourit.
- Tiens le morveux qui a trahi les siens, la petite pédale à trouve un peu de courage finalement ?
- Hum, la pédale va te foutre la pâtée.
- Ça j'en doute. Vous les Black vous êtes des grandes gueules, mais, c'est tout ce que vous avez. Mais au moins, ton frère est un homme pas un sale petit pèdé !
- Change de disque tu veux, celui ci commence à être salement rayé.
- Tu n'aimes pas ma musique ? Très bien, changeons de tempo alors, voyons voir si tu sais danser.
Regulus s'approcha. Leurs visages se touchaient presque. Les yeux dans les yeux, ils s'affrontaient du regard.
- Mets moi un Rock. Connard ! Lâcha Regulus.
Dolohov bougea imperceptiblement la main qui tenait la baguette. Regulus attrapa son bras, l'empêchant de se servir de sa baguette et dans le même temps, lui décocha un coup de poing en plein visage. Il le lâcha aussitôt, et un sourire en coin étira ses lèvres en voyant son adversaire tituber sous la violence du coup.
Il tomba lourdement par terre
Regulus approcha et se retrouva face à la baguette tendue vers lui il recula tandis que Dolohov déversait sur lui un flot de magie noire.
Protègé derrière son bouclier, Regulus ripostait.
Dolohov se relèva, et ils s'affrontèrent en duel.
Dolohov avait pour lui la puissance, Regulus avait l'agilité et la rapidité d'exécution. Ses mouvements étaient précis, il réfléchissait vite, et contrait de Dolohov, avec la même magie noire que lui.
Dolohov se fatiguait. Son combat contre Remus l'avait obligé à utiliser beaucoup d'énergie, d'autant que la magie noire, exigeait un prix, elle demandait beaucoup d'énergie vitale.
Il bougeait beaucoup, pour parer, et tirer sur son adversaire qui se déplaçait avec une souplesse et une vélocité digne d'un grand félin.
Regulus exploitait cette faiblesse, en alternant les deux magie, pour éviter de se vider de son énergie.
James et Sirius déboulèrent comme une boule ke bowling dans un jeu de quilles. En face d'eux cinq mangemorts poursuivaient des élèves.
Ils leur barrèrent le chemin.
- Pas si vite les gars ! S'exclama James.
Ou vous courrez comme ça.
L'un d'eux sourit.
- Black, Potter, vous tombez à pic. On commençait à s'ennuyer.
- Bein on est là. Mais c'est pour cacher votre laideur que vous vous Abritez derrière vos masques ? S'ensuit James.
Deux des mangemorts retirèrent leurs masques
- Ouh ! Grimaça James, en faisant une mise dégoûtée. Vous devriez les remettre, vous êtes moches à faire peur.
- Bah, renchérit Sirius ', au moins ils n'ont pas besoin de masque à Halloween, ils ont juste à montrer leur sale gueule
Les deux hommes rirent, tandis que les mangemorts les encerclaient.
- Je crois,que tu les a vexés Sirius. Fit remarquer James.
- Tu crois ? Non, pour pouvoir se vexer, il faut avoir un semblant de dignité mais des pantins ne savent même pas, ce que ce mot signifie.
- Tu vas voir ce qu'on va vous faire ! Gronda l'un des mangemorts
Ce dernier était rondouillard, et ne devait guère mesurer plus d'un mettre soixante.
- Tu as un problème le gnome ? Demanda Sirius.
- Je crois que ce château à besoin d'être dégnommer. Renchérit James
- Oui, et d'un bon désinfectant. C'est quoi cette odeur ? Vous vous êtes parfumé à l'urine de Troll ou quoi ?
- Non c'est leur odeur je crois.
- Ah je vois, on a du sang de troll à ce que je vois.
James pouffa.
- Des Troll lilliputiens.
Sirius éclata de rire et un jet de lueur rouge le frola de si près, qu'elle lui érafla la joue.
- Ah tu veux jouer ! Siffla Sirius avec colère en essuyant d'un revers de main, le sang qui coulait de sa joue ouverte.
James et lui se mirent dos à dos, et se lancèrent dans la bataille. Ils étaient tous deux roués aux combat, et savaient se battre de concert. Les mots étaient inutiles. Ils bougeaient avec harmonie et fluidité, savaient quand se baisser, sans se concerter.
James.faisaient de grandes arabesques, avec sa baguette, tandis que Sirius, plus sobre, économisait ses gestes, mais leurs tirs étaient précis et efficaces.
- J'en ai eu trois ! Se venta Sirius.
James neutralisa le dernier
- Vantard ! Répliqua t'il.
- Celui là bouge encore. Fit remarquer Sirius, en tendant sa baguette pour l'achever.
James posa sa main sur son avant bras, l'obligeant à baisser sa main.
- Non Sirius. Il y a déjà bien trop de morts.
- Tu es trop sentimental James, tes bons sentiments finiront par te tuer. Un bon ennemi...
- Je connais, ta philosophie, Sirius, mais, ce n'est pas la mienne. Il se peut que tu ais raison, mais je ne m'abaisserais pas à leur niveau.
Sirius soupira.
- Comme tu veux.
James assomma les deux mangemorts qu'il avait neutralisé, les ligotta et les enferma dans un placard.
- Tu sais, lui dit Sirius, si on se fait tuer, ils risquent de mourir là, sans que personne ne le sache.
- Bein faut qu'on évite de se faire tuer alors.
Ils se donnèrent une claque dans le dos, et se lancèrent de nouveau à la poursuite des attaquants.
Arrivés à un croisement, des cris leur parvint de chaque côté des deux couloirs. Ils se séparèrent.
Des cris provenaient d'une salle de classe, et James poussa prudemment la porte.
Une bande d'élèves de dernière année, était prostrée contre le mur trois mangemorts les torturaient.
- Hum hum, je ne vous interromp pas j'espère ?
Ils se retournèrent, mais, James n'attendit pas qu'ils lui fassent face.
Il stupéfixa le premier, évita les deux sortilèges mortels et assomma le second. Le troisième reçut le sort mortel qui était destiné à James, celui ci ayant utilisé un bouclier miroir.
Il ligotta les mangemorts, les bayonna, et se tourna vers les élèves.
Alors il vit dans le reflet d'un miroir, deux mangemorts, derrière lui.
Il sut qu'il allait mourir. Il n'aurait pas le temps de se retourner avant qu'il ne jettent leurs sortilèges.
Il ferma les yeux, et une dernière pensée l'envahit.elle avait une belle chevelure rousse, et de magnifique yeux verts, pétillants de malice.
Lily ! Puis, l'image de Harry s'imposa à lui.
Et rien ne se passa. Il arqua un sourcil et ouvrit un oeil. Lentement il tourna la tête.
Elle rit et son rire s'egrenna comme des notes de musique.
- Lily !
- Excuse moi, c'était trop drôle.
A ses pieds, se trouvaient les corps inertes mais vivants des deux mangemorts.
- Qu'est ce que tu fais là ? Tu devrais être chez...
- Andromeda, oui, à me morfondre en attendant d'apprendre que tu es mort.
- Lily !
- Tu serais mort si je n'étais pas intervenue.
Ouvrit la bouche.. Et la referma.
- C'est bien ce que je disais. Confirma Lily.
James soupira.
- Oui, bon, d'accord mais tu restes près de moi.
- Oui. Ça vaut mieux si je veux te garder en vie.
James leva les yeux au ciel, mais ne repondit pas.
Lily se tourna vers les enfants.
Sortez vos baguettes, et s'ils bougent. Improvisez.
Elle prit la main de James, et ils quittèrent la salle de classe.
Fabian et Gideon Prewett ressemblaient à deux bulldozers, ils écrasaient les mangemorts partout où ils passaient leurs silhouettes massives, se découpaient nettement dans les salles du château qu'ils parcouraient, baguettes en main.
Ils venaient d'entrer dans un couloirs, lorsque deux mangemorts sortirent d'une salle de classe.
Gideon et Fabian tirèrent en même temps et les deux mangemorts s'effondrèrent, inconscients.
Ils se congratulèrent et topèrent dzns leurs mains.
Mais Gideon blemit soudain surpris, Fabian vit son frère s'affaisser lentement.
Derrière lui, un mangemort masqué les regardait sa baguette tendue.
Fabian tendit la sienne et les lueurs qui jaillirent se heurtèrent.
Mais la rage de Fabian était supérieure au désir de tuer de son adversaire, et la baguette de ce dernier lui échappa des mains. Le sort mortel de Fabian le frappa, avec une violence inouïe. Il fit un bond en arrière, et glissa lentement, sur le sol.
Fabian s'agenouilla et prit la tête de son frère sur ses genoux, et ferma les yeux, refoulant la douleur, qui peu à peu l'envahissait.
James, Sirius et Lily venaient de se retrouver au détour d'un couloir.
- Lily ? S'étonna Sirius.
- Pas de commentaire. Répliqua James arrachant un sourire à Sirius.
- Quand vous aurez fini de vous congratuler vous pourrez peut être me donner un coup de main ?
Tous trois se retournèrent et découvrirent Regulus. Il soutenait Remus, à moitié conscient.
James et Sirius se précipitèrent et attrapèrent Remus.
- Remus ! Oh mon dieu !
Lily se précipita pour le soigner.
- REMUS ! Nymphadora se précipita vers son mari.
Remus la regarda, surpris.
- Dora ! Mais.. Que diable fais tu là ? Ou est Teddy ?
- Teddy est chez ma mère, et moi ma place est avec l'homme que j'aime.
- Dora...
- Non ne dis rien.
Remus était trop faible pour protester d'avantage.
- Bon, inutile de me remercier. S'exclama Regulus.
Il se retourna et s'éloigna.
- Reg ! Le rappela Sirius. Merci.
- Pas de quoi. Dolohov est mort. Et...Fol.oeil aussi.
La nouvelle frappa James, Lily et Sirius, qui accusèrent le coup.
Rodolphus et Méredith tournaient l'un autour de l'autre, cherchant une faille dans les défenses de l'autre, les baguettes crépitaient, leurs yeux scintillaient de colère.
- Tu crèves de trouille, petite soeur
- Dans tes rêves ! Grand frère si je crève c'est d'impatience de te voir mourir.
-Je m'en voudrais de te décevoir, naturellement, mais . Tu n'as aucune chance.
Meredith ne parvenait pas à lire en lui. Rodolphus pratiquait l'occlumencie, et rien ne pénétrait son esprit. Mais elle parvenait à anticiper à la dernière minute, et les échanges de sortilèges étaient mitigés.
Peu à peu cependant ils cessèrent de se tester et les sortilèges de plus en plus violents fusèrent des baguettes des deux adversaires.
Harry, Hermione et Ron s’aplatirent dans l’embrasure d’une porte tandis qu’une horde de pupitres au
galop fonçait devant eux, menée à la baguette par le professeur McGonagall qui courait à toutes
jambes et ne sembla pas s’apercevoir de leur présence. Ses cheveux défaits étaient tombés sur ses épaules et elle avait une entaille sur la joue. Lorsqu’elle tourna l’angle du mur, ils l’entendirent crier :
— CHARGEZ !
— Harry, mets la cape, dit Hermione. Ne t’inquiète pas pour nous…
Mais il la déploya sur eux trois. Si grands qu’ils fussent, il doutait qu’on puisse voit leurs pieds dans
la poussière qui saturait l’atmosphère, les gravats qui tombaient de toutes parts et le scintillement des
sortilèges.
Ils dévalèrent l’escalier voisin et se retrouvèrent dans un couloir rempli de combattants. De chaque côté, les tableaux accrochés aux murs étaient peuplés de personnages peints qui hurlaient des conseils et des encouragements pendant que les Mangemorts, masqués ou à visage découvert, affrontaient
élèves et professeurs.
Parvati était aux prises avec Travers. Harry, Ron et Hermione brandirent aussitôt leurs propres baguettes, prêts à frapper, mais tout le monde courait, virait, zigzaguait si vite qu’en lançant un sortilège, ils risquaient fort de toucher quelqu’un de leur propre camp.
Concentrés sur le combat, ils guettaient la moindre occasion d’agir, lorsque un grand « whIIIIIIIIIIII ! » retentit. Harry leva les yeux
et vit Peeves. Filant au-dessus d’eux, il jetait des gousses de Snargalouf sur les Mangemorts dont la
tête fut soudain engloutie par des tentacules verdâtres qui se tortillaient comme de gros vers.
— Argh !
Une poignée de gousses était tombée sur la cape d’invisibilité, à l’endroit où Ron avait sa tête. Les
racines vertes et gluantes semblèrent suspendues en l’air dans une étrange position, tandis que Ron
essayait de s’en débarrasser.
— Il y a quelqu’un d’invisible, là-bas ! s’écria un Mangemort masqué, le doigt tendu.
— ALLONS-Y ! hurla Harry.
Tous trois resserrèrent la cape autour d’eux et se ruèrent en avant, tête baissée, au milieu de la
bataille, glissant un peu sur les flaques de jus de Snargalouf. Ils se dirigeaient vers l’escalier de
marbre qui menait dans le hall d’entrée.
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