Chapitre 20 Un beau match

Ils marchèrent vers la terrain et les tumultueux cris et hurlements. Un
coté du stade était rouge et or, l’autre un mer de vert et d’argent. Beaucoup
e Poufsouffle et de Serdaigle avaient pris parti aussi : malgré les cris et les
applaudissements, Cassandra  put distinctement entendre les rugissements du lion provenant du chapeau de Luna Lovegood.

Harry fit face à madame Bibine, l’arbitre, qui était debout prête à lâcher les balles de leur boîte.

- Capitaines, serrez-vous la main, dit elle, et Harry eut sa main écrasée
par le nouveau capitaine des Serpentard, Urqhart, Enfourchez vos balais. À mon coup de sifflet…..3….2…1…. »

Le sifflet résonna Harry et les autres décolèrent du sol gelé et prirent leur place dans les airs.  Puis une voix
différente du commentateur habituel commença.

-  Okay ils sont tous là, et je pense qu’on est tous surpris de voir l’équipe présentée par Potter cette année. Beaucoup doivent penser qu’avec la
piètre performance de Ronald Weasley comme gardien l’année dernière, il aurait été viré  de l’équipe, mais bien sur une amitié indéfectible avec le capitaine doit aider… »

Ces mots furent applaudis par les Serpentard au bout du terrain. Cassandra  se tourna sur son balai pour regarder le  podium du commentateur. Un petit maigrichon blond avec un nez proéminent était assis là, parlant dans le micro. magique comme le faisait  Lee Jordan; Cassandra reconnut
Zacharias Smith, un joueur de Poufsouffle qu'elle détestait profondément.

- Oh et voici le premier essai des Serpentard pour marquer, C’est
Urquhart qui envoie le souaffle.
L’estomac de Cassandra se retourna. 
-  Weasley l’a arrêté, bien il semble qu’il ait eu de la chance pour le moment.
-  Tu as raison, Smith, il en a  murmura Harry, se souriant à lui-même,
alors que son regard plongeait derrière les poursuiveurs cherchant partout pour une cachette pour le vif d’or
.
Après une demi-heure de jeu Gryffondor menait avec soixante points à zéro, Ron fit des arrêt assez spectaculaires, avec le bout de ses gants, et Ginny avait marqué quatre des six buts de Gryffondor. Cela arrêta Zacharias et ses questions lourdes comme quoi les deux Weasley étaient dans l’équipe seulement parce que Harry les aimait  bien et il commença sur Coote et Peakes
à la place.

-  Bien sûr Coote n’a pas la carrure habituelle d’un batteur, dit Zacharias,   ils ont en général un peu plus de muscles -»
- Envoie lui un cognard, » Harry appela Coote alors qu’il passait en
trombe mais Coote souriant largement  choisit d’envoyer le prochain cognard à Harper à la place, qui venait de dépasser Harry dans la direction opposée.
Harry fut content d’entendre le bruit sourd qui signifiait que le
cognard avait touché au but.

Au même moment, une brusque rafale de vent heurta violemment le podium, et Zacharias fut propulsé au sol.
Harry baissa les yeux et croisa le regard satisfait de Cassandra.
- Voilà qui devrait lui clouer le bec à cet imbécile ! Gronda la fury. Merci Velia.
- Oh mais de rien voyons c'était un plaisir.

Il semblait que Gryffondor ne pouvait rien manqué.  Il marquait et encore et encore,  à l’autre bout du terrain Ron arrêtait tous les coups avec une facilité déconcertante  Il était en fait en train de sourire  quand
la foule entama un grand chant avec un chœur hurlant  leur chanson
préférée « Weasley est notre Roi »,

- Je pense qu’il a quelque chose de spécial aujourd’hui non ? » dit une
voix vicieuse, et Harry tomba presque de son balai quand Harper lui rentra dedans brutalement et délibérément.
- Le traître à son sang… »
Madame Bibine leur  tournait le dos, et lorsqu'elle réalisa que les les Gryffondor criaient avec colère, avant elle se retourna, mais, Harper était déjà  parti.
Son épaule lui faisant mal, mais  Harry  vola derrière lui, bien déterminé à lui rentrer dans le dos.

-  Et je crois que Harper des Serpentard a vu le vif d’or ! » s'écria alors Zacharias  Smith, Remis de ses émotions. « Oui il a certainement vu quelque chose que Potter n’a pas vu.

Smith est vraiment un idiot, pensa Harry, il n’avait pas remarqué qu’ils
étaient rentrés en collision? Mais l’instant d’après, son estomac sembla se décrocher de l’intérieur, Smith avait raison et Harry avait tort: Harper ne volait pas au hasard, il avait vu ce que Harry n’avait pas vu: Le vif d’or volait très au-dessus d’eux, étincelant et brillant dans le ciel bleu clair.

Harry accéléra. Le vent sifflait à ses oreilles en noyant tout bruit en
provenance de la foule et tout commentaire de Smith, mais Harper était toujours plus haut que lui et Gryffondor n’avait que cent points d’avance. Si Harper l’attrapait en premier, Gryffondor aura perdu… Et maintenant
Harper était tout proche, sa main se tendait…
-  Oh Harper ! l’appela Harry en désespoir de cause. Combien Malefoy t’a payé pour venir à sa place ?

Il ne sut pas ce qui lui avait fait dire ça, mais Harper fit une double faute.
Il tâtonna pour attraper le vif d’or, le laissa s’échapper de ses doigts et échoua à le rattraper.
- Harry donna une grande gifle a la petite et  balle et l’attrapa.

- OUI ! » cria Harry, volant autour il descendit vers la terre, le vif d’or
bien serré dans sa main. Alors que la foule réalisait ce qui s’était passé, un
grand cri s’éleva couvrant presque le sifflement qui signalait le fin de la
partie.

- Ginny, où vas-tu? » l’appela Cassandra  qui fut happée  dans l'attroupement avec le reste de l’équipe, mais Ginny les dépassa et  elle rentra violemment dans le podium des commentateurs.
Alors que la foule criait et riait. L’équipe des Gryffondor atterrit à coté des débris de bois sous lesquels Zacharias remuait faiblement. Harry entendit Ginny dire joyeusement au professeur Mc Gonagall contrariée. 
- J’ai oublié de freiner professeur, désolée »

Riant, Harry s’arracha du reste de l’équipe et étreignit Ginny mais il  la
lâcha très rapidement. Évitant son regard, il applaudit Ron toute animosité oubliée, l’équipe des Gryffondor le faisait sauter dans leurs bras, l’élevant dans les air et le montrant à leurs supporters. L’atmosphère dans les vestiaires était à la jubilation. « Selon Seamus, il y a une fête dans la salle commune, dit Dean de manière exubérante. Allez venez Ginny Delohine.

Ron et Harry furent les deux derniers dans les vestiaires. Ils étaient sur le
point de partir quand Hermione entra. Elle tenait son écharpe de Gryffondor dans ses mains et semblait énervée mais déterminée:
-  Je voudrais te parler Harry, elle prit une profonde inspiration, tu n’aurais pas du faire ça. Tu as entendu Slughorn, c’est illégal.
-  Qu’est ce que tu vas faire, nous dénoncer ?  demanda Ron.
- Mais de quoi est-ce que vous parlez  tous les deux ? demanda Harry en
se tournant pour pendre sa robe, pour qu’aucun des deux ne le voit sourire.
-  Tu sais parfaitement bien de quoi nous parlons! » dit Hermione d’une
voie aiguë. Tu as ajouté ta potion de chance au petit déjeuner dans le jus de Ron! Félix Félicis !
-  Non ce n’est pas vrai ! dit Harry se retournant vers eux deux.«
-  Si tu l’as fait Harry, et c’est pourquoi tout s’est bien passé, avec les
joueurs de Serpentard manquants et Ron qui sauvait tout !

-  Je ne l’ai pas versée dedans !  dit Harry, souriant. Il glissa sa main dans la poche de sa veste et en sorti la petite bouteille qu’Hermione avait vu dans sa main ce matin là.
Elle était pleine d’une potion dorée et le bouchon était toujours scellé
avec de la cire.
-  Je voulais que Ron croit que j’avais fait ça, alors j’ai fait semblant quand je savais que tu regardais, il se tourna vers Ron, Tu as tout sauvé parce tu te croyais chanceux. Mais tu as tout fait toi-même »

Il remit la potion dans sa poche.

-  Il n’y avait vraiment rien dans mon jus de citrouille? dit Ron, sidéré.
Mais les conditions de météo étaient bonnes… et Vaisey ne pouvait pas
jouer… Tu ne m’as réellement pas donné de potion de chance ?

Harry secoua négativement  la tête. Ron resta béat à le regarder pendant un moment, puis il se tourna vers Hermione, imitant sa voix. « Tu as mis de la Félix Félicis dans le jus de Ron ce matin! C’est pour ça qu’il a tout sauvé! Tu vois je peux garder les buts sans aucune  aide, Hermione !
-  Je n’ai jamais dit que tu ne pouvais pas, Ron. Tu pensais aussi qu’on
t’en avait donné !

Mais Ron l’avait déjà dépassé et sortit avec son balai sur l’épaule.

-  Euh, dit Harry dans le silence soudain. Il ne s’attendait pas à ce que son plan s'achève  comme ça, « Est-ce que… on monte à la fête, non ?
-  Vas y ! » dit Hermione retenant ses larmes. « J’en ai assez de Ron
pour le moment,
Et elle sortit des vestiaires comme une tornade.

Cassandra ne vit pas Hermione à la fête des Gryffondor qui battait son plein quand il arriva. Relançant les félicitations et les applaudissements à l' arrivée,de Harry.
il fut bientôt submerger par une foule de personnes le félicitant.
Alors qu’il essayait de s’extirper des frères Crivey, qui voulaient un
commentaire à chaud du match, et d’un groupe de filles qui l’encerclaient, riant à ses commentaires et battant des paupières, il mit un petit moment
avant  de trouver Ron.

Il sortit enfin des griffes de Romilda Vane, qui insistait sur le fait qu’elle
aimerait aller à la fête de Slughorn avec lui.
Alors qu’il se rendait  à la table des boissons, il heurta Ginny, avec Arnold, sa houpette-pygmée, sur ses épaules et Pattenrond miaulant d’espoir à ses mollets.
- Tu cherches Ron ? » demanda-t-elle en souriant.  Il est juste là
monsieur l’hypocrite »

Harry regarda dans le coin qu’elle lui indiquait. Là, à la vue de tous, Ron
se tenait debout enroulant Lavande Brown de ses bras.
-  On dirait qu’il lui mange le visage, non ? dit Ginny désespérée. Mais je
suppose qu’il doit affiner sa technique en quelque sorte, bien joué, Harry.
Elle le tapota sur le bras ; Harry sentit son estomac se retourner, mais elle
s’éloigna pour aller se chercher une bière au beurre. Pattenrond la suivit, ses yeux jaunes fixé sur Arnold.

Harry se detourna de Ron qui ne semblait pas près  faire surface , alors que le portrait se refermait. Avec un sentiment bizarre, il lui semblait avoir vu une masse de cheveux châtains sortir de son champ de vision.

Tandis qu'il se ruait dans  le couloir à à la suite d'Hermione, Delphine se tourna vers un garçon qui lui souriait beatement.
- Oui, enfin, je suppose que c'est facile de marquer des buts pour une Fury !
Je me demande pourquoi on la laisse jouer ! C'est pénalisant  pour les  autres équipes 
L'air vibra, et Delphine fut soulevée du sol. Elle hurla

- NON ! Cria Ethan. Cassandra repose la.
- Bien sûr ! Répondit la Fury, dont ton mielleux. C'était juste une marque d'allegresse, tu sais à cause des trois petits buts qu'elle a marqué.
Elle l'a reposa en douceur. Et à peine la sorcière eut elle touche le sol,
Que le saladier de ponch se versa sur sa tête 
- Oups ! Fit Cassandra. Ce que je peux être maladroite !

Folle de colère, la boisson dégoulinant depuis ses cheveux qui  pendaient tristement, à présent,  sur ses épaules, son dos et son visage,
Delphine poussa un cri de rage et se jeta sur Cassandra.
Celle ci roula au sol, et n'eut aucun mal à se dégager de l'emprise de la française. Elle la souleva au dessus d'elle, tandis que tout le monde riait, en la voyant se débattre inutilement et grotesquement.
Cassandra se relèva d'un bond souple et la laissa tomber  lourdement par terre.
- Si j'étais toi, lui dit elle, j'éviterais de m'en prendre à une fury ! Tu ne fais pas le poids ma vieille !

Et elle quitta la salle commune, suivie d'éthan.
- Tu ne crois pas que tu es allée un peu loin ?
Cassandra soupira 
- J'aurais parié que tu prendrais sa défense !
- Non Cassy, je m'en fiche de Delphine,  c'est pour toi que je m'inquiète.
- Vraiment ? Bein il n'y a pas de quoi pourtant.
- Ces démonstrations de forces finiront par te retomber dessus.
- Et qu'est ce qu'ils feront hein ? Ils me renverront ? Et alors ? D'ailleurs ce serait peut être pas plus mal.

Et elle sortit dehors en ke plantant la, dans le hall, tandis que Velia la faisait disparaître 

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