CHAPITRE 10 Delphini


Lord Voldemort avait découvert une forlzcde magie très rare et très puissante, qu'il voulait à tout prix posséder. Malheureusement, ce genre de magie n'était pas facile à obtenir.
Il avait tout lu, à ce sujet, et était  parvenu à une conclusion, cette magie là tenait du hasard.
Mais il etait le plus grand mage noir de tous les temps et ne pouvait être tenu en échec par une simple question de gènes et de hasard.
Il voulait maîtriser le secret des.Fury  et il y parviendrait.

Il finit par découvrir l'histoire de la première Fury. Ainsi elles avaient été fabriquées. Il ne lui restait plus qu'à découvrir comment.
Lorsqu'il pensa avoir percé le secret, il chercha celle qui pouvait la lettre au monde. Dans son entourage, il ne voyait qu'une seule personne, qui présentait en plus l'avantage d'être née Black,
Il avait donc la mère  Bellatrix Lestrange, et  il trouva le père  Rabastan Lestrange. Malheureusement, bien que ayant bombardé le foetus de  magie noire tout au long de son développement,  les deux jumeaux qui vinrent au monde n'étaient pas des fury. S'arrogeant le droit de tenter des expériences sur l'un des bébés, il en fit un monstre, obéissant et presque aussi puissant.

Cependant, pour lui, cela restait un échec.
Aussi décida t'il de renouveler l'expérience  mais cette fois ci, ce serait lui le géniteur.
Il n'eut  aucun mal à convaincre Bellatrix de coucher avec lui.
Elle lui était entièrement dévouée.

Tout comme la première fois, il Bombarda le foetus de magie noire.
Il avait espèré un garçon, ce fut une fille.
L'enfant n'était pas  à proprement parlé une fury, mais elle en avait des caractéristiques.
La magie noire coulait dans ses veines.  Elle n'avait pas besoin de baguette, pour exercer la magie. Elle utilisait les quatre éléments, l'eau, l'air, le feu, et la terre. Et elle parlait le langage des serpents.

Ils la prénommèrent Delphini. C'était là le plus grand secret de Lord Voldemort. Il avait une fille, une héritière, digne de lui.
Voldemort avait un plan tout tracé pour elle.
Maus l'issue inattendue de La guerre ne lui permit pas d'eduquer son enfant comme il l'aurait souhaité.
Il ne s'attendait pas alors qu'un enfant d'à peine un an, mette fin à son règne de Terreur.

Après la disparition de son maître  Bellatrix confia son enfant à un couple de mangemorts en qui elle avait toute confiance, un frère et une soeur, les Carrow.

Lorsque Bellatrix fut arrêtée ainsi que Anthonin Dolohov et Rodolphus, son époux  par James Potter  Remus Lupin et Sirius Black, Rabastan Lestrange, le frère de Rodolphus se chargea de l'éducation de l'enfant, lui distillant toute la haine qu'il ressentait pour les nés moldus et les Black.
Il l'entraîna au combat, et lui permit de développer ses pouvoirs de destruction, la transformant peu à peu en machine de guerre  cruelle et sans pitié, une tueuse froide et sans état d'âme.

Et Rabastan fut tué à son tour. Les Carrow reprirent la tutelle de la fillette, et ils ne brillaient ni l'un ni l'autre, par leur intelligence. C'était des brutes épaisses qui ne connaissaient que la violence.

Ballotée d'un tuteur à l'autre, d'un endroit désertique rt solitaire z un autre, identique, Delphini ignorait tout de la générosité, de l'amour de la tendresse. Enfin pas tout à fait, car une rencontre inattendue allait lui procurer ce dont elle manquait le plus, un ami.

Delphini avait six ans  lorsqu'elle découvrit dans une grotte  immense, une dragonne blessée.
D'abord effrayée, elle s'aperçut qu'à l'instar des serpents  elle comprenait aussi les dragons. Elle tenta de soigner  la pauvre bête  mais il était trop tard pour elle. Elle eut la force de pousser vers  l'enfant son oeuf, qu'elle couvait précieusement, puis s'éteignit.
L'enfant prit l'oeuf, et le soigna en cachette. Elle lut tous les ouvrages qu'elle put trouver sur les dragons,
Et Drogon vint au monde dans la grotte ou sa mère était morte.
Delphini avait prit soin de  jeter à la mer, le corps de la dragonne.
Et c'est ainsi qu'elle éleva le petit dragon, il se nourrissait de poissons qu'elle lui ramenait, ou de lapins, et autres rongeurs.
Il devint son seul ami.

C'était une enfant solitaire, cachée à la vue de tous, elle n'avait personne avec qui parler ou jouer. Élève attentive et très douée, elle apprenait vite  et sa curiosité sans cesse en éveil  en faisait  une enfant brillante, une surdouée.

Mais ses coups de colère, étaient dévastateurs, et ne passaient pas inaperçu.  et elle  devait déménager chaque fois que ce que les moldus appelaient une catastrophe naturelle se produisait. Un tremblement de terre, une tornade gigantesque, un incendie qui ravageait une forêt entière, ou un tsunami soudain.

Heureusement Drogon fut très vite  capable de trouver sa nourriture tout seul, et bientôt il fut  en mesure de voler, et put la suivre dans ses déplacements.
Il fut bientôt trop grand pour qu'elle puisse cacher son existence, et bien trop puissant pour être tué facilement.
Mais, les Carrow bien que redoutant l'animal, furent enthousiastes devant ce regain de puissance.

Durant toute sa petite enfance, on  répéta à Delphini  qu'elle était née pour mettre le monde à ses pieds, et redonner aux sang pur  leurs lettres de noblesse. Il était de son devoir de détruire les nés moldus qui pratiquait injustement la magie. Et d'eliminer les ennemis de ses parents.

Et puis, Voldemort était revenu, ainsi que  Bellatrix, et ils s'étaient montrés enthousiastes devant le dragon adulte. Que rêver de mieux que cette puissance de feu associé à leur fille démoniaque,  pour asservir le monde ?

Aussi au fil des jours, Delphini avait noué un lien très fort avec Drogon.
Ils étaient devenus indissociables.
Elle lui confiait tous ses secrets les plus inavouables, ses rêves de liberté  et d'indépendance, ses doutes face aux plans que ses parents avaient conçu pour elle.

Insolente et rebelle, face à une mère qui était pour elle une étrangère, elle ne ressentait pour sa famille disparate  et dénuée de tendresse, que de l'indifférence. Mais néanmoins, elle leur obéissait à contre coeur.

Et le moment vint pour elle de  faire ses preuves. 
Elle avait tout juste dix huit ans,
Et rêvait de montrer au monde de quoi elle était capable.
Et le jour était enfin venu de quitter
ce manoir triste et sinistre.
Elle  se prépara avec soin.

Sur ce petit îlot rocheux, perdu près, des côtes de Cornouailles, se dressait un vieux manoir à l'allure délabrée, mais à l'intérieur, sa décoration et son mobilier était d'un luxe ostentatoire.

A l'étage supérieur, Delphini  jeta un dernier regard au miroir, dont le reflet renvoyait l'image d'une belle jeune femme dont les boucles noires auréaulaient un visage aux traits fins et délicats, à l'ovale parfait,
Un nez très légèrement retroussé, des lèvres pleines, un large front bombé et un menton volontaire, un cou gracile, un port de tête altier. Elle possédait la grâce innée des aristocrates, mais quelque chose, dans son regard exprimait une certaine cruauté, en dépit de ses grands yeux bruns frangé de long cils noirs.
Elle se tenait debout, les mains sur ses hanches étroites, l'air dédaigneux.

Personne ne lui avait jamais dit qu'elle était jolie. Personne ne lui faisait jamais de compliments.
Il faut dire que peu de monde connaissait son existence.
Depuis sa naissance, elle vivait recluse, cachée aux yeux de tous.
Mais d'ici quelques heures, elle prendrait son envol, et le monde tremblerait en entendant son nom.
Elle sourit à cette idée..

- Delphini ! Gronda une voix nasillarde, au ton excèdé. Tu veux bien te dépêcher un peu ! On ne va pas t'attendre toute la soirée.
La jeune fille poussa un soupir, et descendit les marches, quatre à quatre

- Ah Bein tout de même ! S'exclama une femme qui lui ressemblait à s'y méprendre.
Delphini baissa la tête.
- Je vous demande pardon Mère.
- Allons Bella, intervint alors une voix sifflante et trainante. Elle a bien le droit de se faire attendre, après tout c'est un grand jour pour elle.

Bellatrix Lestrange baissa la tête, vexée et recula dans l'ombre de l'homme assis sur un fauteuil en velours vert.
Il était grand, mince et chauve, et son étrange visage blême, ressemblait à s'y méprendre à celui d'un serpent.

La jeune fille sourit, d'un air narquois.
- Merci père.
Lord Voldemort lui adressa un étrange sourire
- Alors, est tu prête à faire flamber ces horribles moldus ?
Son sourire s'élargit.
- Je n'attends que ça, père.
Voldemort se leva, et s'approcha de la jeune fille.
- Depuis ta naissance, nous te préparons à ce grand jour.
Rends moi fière ma fille.
- Je le ferais père. Cette fury n'a aucune chance contre moi.
Voldemort ricanna
- Je n'en doute pas, qui pourrait rivaliser avec la fille de Lord Voldemort ?

Delphini ne répondit pas
Mais, elle sortit dans le parc, leva les yeux vers le ciel et poussa un cri sauvage.
Au bout de quelques, minutes, un grondement grave lui répondit.
Une tâche sombre, sortit des nuages,
Et plongea dans sa direction.
Elle s'agrandit semblable à un grand oiseau, qui en se rapprochant devenait de plus en plus grand.
Ce n'était pas un oiseau, mais un dragon, écarlate qui cracha un long jet de flammes, avant de se poser lourdement devant la jeune fille
Elle avança sa main devant la gueule béante, hérissée de pointes acérées.
Le dragon soufla un petit jet de vapeur, et posa son museau dans la main minuscule.
- Oui, Drogon, Murmura t'elle. C'est le grand jour. Ce soir, les moldus et les traîtres à leur sang, connaîtrons leur douleur. Nous purifierons cette ville dans le feu et le sang
Elle contourna la bête, et donna un coup de baguette qui la propulsa sur son dos.
Le dragon fit demi tour, et étendit ses longues ailes, qui battirent l'air, dans un bruit assourdissant, et brassement d'air, qui coucha les,arbres
Le dragon s'envola.
Delphi poussa un cri sauvage, auquel se joignit le grondement puissant de la bête.

Au même instant, Bien loin de la Cornouailles,  un hurlement retentit, réveillant la maison.
Méredith Lestrange se dressa dans son lit, en sueur, et tremblante.
Une vision terrifiante l' avait brutalement tirée de  son sommeil,
Un dragon rouge sang, fondait sur Londres en crachant des torrents de flammes.

- Mery ? Mèry que se passe-t-il ?
- Le... Le dragon...Il.... Il va mettre le feu à Londres. Il attaque le ministère.
Sirius bondit hors de son lit et se hâta,
de s'habiller.
Il ne prit pas la peine de se coiffer  il passa par la cheminée er réveilla James.

Ils s'y attendaient depuis que Méredith avait commencé à rêver du dragon, mais ils avaient secrètement espèré, que pour une fois sa vision ne serait qu'un mauvais rêve.

- Comment on arrête un dragon ? Demanda James.
- Avec prudence, répliqua Sirius.
- Sans blague ?
- Je préviens les autres. Reprit Sirius. Oh et James, il faut viser les yeux.
- génial. Tu regarderas ce dragon dans le blanc des yeux pendant qu'il me rotira comme un cochon de lait.
Sirius lui donna une tape amicale sur l'épaule, en guise d'encouragement.

- Tu crois pas qu'on devrait demander un coup de main à..
- Cassandra ? Je préférerais éviter d'en arriver là. Après tout ce n'est qu'un dragon.
- On devrait envoyer Hagrid. Dit James. Les monstres ça le connaît.
- Mouais il lui chantera une berceuse.

Ils transplanèrent et retrouvèrent les autres Auror.
- Un dragon ? Demanda Alice, tu es sur ?
- Oui. Répondit Sirius. Mèry en rêve depuis des semaines.
- Elle pourrait pas rêver de ballerine qui jette des fleurs pour une fois ! Grogna Martin sturgis.
- Il manquait plus que ça. Ce sera quoi  la prochaine fois demanda Franc.
- t'inquiète pas,  répondit James on ne sera sans doute plus là pour le voir.
- Vu sous cet angle.
- Quelqu'un sait comment on abat un dragon ? Demanda Fabian Prewett.
- Demande à Sirius, répliqua James. Il dit qu'il faut le regarder dans le blanc des yeux.
Sirius soupira.
- Non, j'ai dit qu'il faut viser les yeux.
- C'est évident  ! Renchérir Fabian.
- Et tellement facile à faire ! Renchérit Gideon.
- Eh, James c'est pas ton fils qui en a affronte un, il y a deux ans ? Demanda Dorcas médowes
- Si répondit l'interpelé. Tu veux que j'aille le chercher ? 
- Inutile. Si c'est une femelle, elle sera peut être sensible au charme de Sirius. Répliqua Emmeline Vance.
- Et si c'est un mâle ? Demanda Benjy Fenwick.
- On enverra Emmeline. Répliqua James.

Franc se tourna vers Sirius.
- Mèry s'est peut être trompée dit il avec un faible espoir.  Ce n'était peut être qu'un cauchemar en fin de compte.
Au même instant une gerbe de flamme creva le ciel.
- Et merde ! Jura Sirius. J'aurais préféré qu'elle se trompe pour une fois.
- Tu sais bien qu'elle ne se trompe jamais. Répliqua James

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