CHAPITRE 28 LA COLÈRE DES BLACK
Ils étaient de retour à Poudlard.
C'était étrange, de se retrouver ici, comme si rien ne s'était passé.
Sirius avait expliqué ce qui était arrivé aux parents de Ethan. Et Minerva avait proposé que le jeune homme, aille à l'infirmerie, mais il avait refusé.
Il avait pris la main de Cassandra, dans la, sienne.
- J'ai tout ce qu'il me faut, ici. Affirma t'il.
Harry et Hermione étaient dans la salle commune. Ils attendaient leur retour.
Lorsque Ethan et Cassandra franchirent le trou du portrait, Ethan réalisa qu'il n'avait pas la force de les affronter. Il se rendit dans son dortoir, sous les yeux surpris de Harry et Hermione.
- Alors, lui demanda Harry, que s'est il passé ? Il paraît que Fudge et Scrimgeour sont venus te voir ?
- ouep.
- Qu'est ce qu'il se passe avec Ethan, vous vous êtes disputés ? Demanda Hermione.
- Non. Ou est Ron ?
- Il doit bouder dans un coin. Répondit Harry. Mais allez raconte. Qu'est ce qu'il te voulait le ministre ?
Elle soupira. Puis, elle leur raconta en détail son combat contre Morgane, et le double deuil de Ethan.
Elle poussa un long baillement.
- Je vais voir Ethan, dit elle. Elle se leva difficilement, s'etira et s'éloigna d'un pas lourd, les laissant stupéfaits.
Ethan était assis par terre, la tête appuyée sur son lit, les genoux repliés contre sa poitrine. Des larmes silencieuses roulaient sur ses joues.
Avec un soupir, elle se laissa tomber près de lui, et après quelques mi utes, de silence, elle passa un bras autour de ses épaules et l'attira à elle.
Il posa sa tête dans le creux de son épaule. Et sanglotta. Elle le sera contre elle, et il s'accrocha à elle, comme a une bouée de sauvetage.
Harry entra dans la chambre. Et les trouva ainsi, blotti l'un contre l'autre.
- Euh, vous venez manger ? Leur demanda t'il.
- Pas faim, répondit Ethan d. Une voix rauque
- T 'as déjà rien mangé à midi, lui reprocha t' elle, gentiment.
- J'ai pas faim, mais vas y, toi.
- Non, c'est bon, je reste avec toi.
- T'es pas obligé, tu sais.
- Je sais, mais, c'est ce que je veux.
- Je vous ramènerais quelque chose. Dit Harry en ressortant.
Après le repas, il les trouva dans la même position. Il leur donna la nourriture qu'il avait apporté. Cassandra sauta dessus. Mais Ethan refusa de manger
La jeune sorcière resta avec lui toute la, soirée. Elle ne consentit à le laisser, que lorsque Dean et Seamus entrèrent pour se, coucher.
Tandis que Cassandra s'efforçait d'apaiser la douleur de Ethan, Meredith et Sirius se rendaient ensemble au ministère.
À peine sortirent ils de l'une des cheminées, qu'une missive parvint dans le bureau de Scrimgeour. Il se rua dans celui de Fudge pour le prévenir que les Black, arrivaient.
Dès, qu'ils avaient su que l'enfant était sortie victorieuse de son combat, contre la sorcière blonde, ils avaient su que ses parents débarqueraient fous de rage,
Le moment était venu, semblait il.
Au moment ou le couple arrivait dans le hall, James surgit près d'eux, un sourire malicieux sur les lèvres.
- Et bien, dit il, on dirait que les Black sont sur le pied de guerre.
- Si tu es là pour nous, dissuader, James, lui dit Sirius, désolé de te dire que tu perds ton temps. On ne changera pas, d'avis.
- Oh, mais je n'en ai pas l'intention, au contraire. Je suis venu vous prêter main forte.
Sirius sourit.
- Ça me touche, mais il y a de forte chance que je sois contraint de démissionner, après ça, et je ne veux pas être responsable de la fin de ta carrière.
- Aux dernières nouvelles, mon frère, je suis majeur et vacciné, je prends mes décisions tout seul. Et puis, aucune carrière, ne vaut une amitié, aussi belle soit elle. Les Maraudeurs, et toi, en particulier, auront toujours ma priorité, apres mon fils et ma femme.
Ils se donnèrent une accolade.
Ils prirent l'ascenceur, et se retrouvèrent face au bureau du ministre de la magie.
- Prêt James ?
- toujours Sirius
- Ça va chauffer ! Ajouta Meredith.
Sirius poussa la porte, et ils se retrouvèrent devant la secrétaire.
- Bonjour. Nous venons voir Fudge.
- Monsieur le mi istre est en conférence, et ne peut être dérangé.
- Vraiment, ironisa Sirius, et bien c'est bien dommage, parce que c'est pourtant ce que nous allons faire.
Elle tenta de se placer devant la porte, pour les empêcher de passer.
James et Sirius s'adressèrent un regard entendu. Puis, saisissant chacun un bras de la secreraire, ils la soulevèrent, tandis, que Meredith ouvrait la porte du bureau. James, et Sirius lui emboitèrent le pas.
- Bonsoir Fudge ! Lança t'elle. Scrimgeour, je suis contente de vous trouver ici. Je n'aurais pas à vous chercher comme ça.
- Madame Black, commença Fudge. Je....
- Non ! Aisez vous !
- Je vous demande pardon ?
- Vous, vous allez m'écouter. Quel genre de monstre êtes vous, pour oser...
- Black.. Coupa Scrimgeour en se tournant vers, Sirius. Vous étiez sur le terrain, vous avez vu les dégâts que cette femme a provoqué.
- Ce que j'ai surtout vu, répliqua Sirius, c'est ma fille de quatorze ans, affrontant un démon. Hors je ne m e souviens pas que nous ayons été consultés pour autoriser une telle chose.
- Nous n'avons pas eu le choix. Vous le savez très bien.
Meredith posa ses deux poings sur le bureaux et darda sur Fudge un regard luisant de colère.
- Pas le choix ? Répéta t'elle. Pas le choix d'ignorer nos droits parentaux ! D'envoyer une gamine à la mort, bien planqués derrière votre bureau ! Pas le choix ?
Elle renversa le bureau.
Fudge et Scrimgeour eurent à peine l le temps de reculer.
- Madame Black, calmez vous. Ne m'obligez pas à..
- À quoi ? M'arrêter ? Allez y, si vous osez ! Je suis sûre que Skeeter sera ravi d'expliquer au sorciers londoniens, que non seulement vous avez bafoué nos droits, maus qu'en plus, vous avez envoyé la l'été de la jeune héroïne qui les a sauvé à Azkaban.
- Sans compter que si vous arrêtez ma femme, renchérit Sirius, vous devrez m'arrêter moi, parce que je vous jure que vous ne sortirez pas en un seul morceaux de ce bureau.
- "Des menaces, maintenant ! Fudge s'étrangla de rage. Potter, vous êtes temoin ! Black m'a menacé !
- Vraiment ? Moi, tout ce que je vois, répondit James, ce sont deux hommes occupant une haute fonction, qu'ils ont deshonorés.
- COMMENT OSEZ VOUS ? Hurla Scrimgeour. J'EXIGE VOTRE DEMISSION, À TOUS LES DEUX.!
- Aucun problème, répliqua James, elle sera sur votre bureau dès demain matin. De toute façon, ça me ferait mal, de travailler pour des types comme vous.
- Je vous aurais cru plus raisonnable, Potter. S'exclama Scrimgeour..
- Vraiment ? Alors c'est que vous ne me connaissez pas, monsieur. De nous deux, c'est toujours moi, le moins raisonnable.
- Toujours aussi solidaire, vous deux, hein, mais nous n'en resterons pas là.
Votre fille. N'est pas u e enfant comme les, autres ! Nous avions besoin de sa puissance ! Si nous n'avions pas pris cette décision, vous seriez morts ! Et vous le savez ! Dit Fudge..
- Mais ce n'était pas à vous de prendre cette décision ! S'exclama Sirius.
- Vous ne l 'auriez jamais prise ! Répondit Fudge.
- Vous n' en savez rien !
- Ne me prenez pas pour un imbécile, vous savez très bien, que vous ne l'auriez pas envoyé sur le terrain. Et Londres serait détruite. S'exclama le ministre.
- De plus, votre fille n'est pas totalement humaine. Assura Scrimgeour. À ce titre, elle dépend du contrôle des créatures magiques. Nous pourrions très bien exiger qu'elle soit placée sous notre contrôle.
Meredith gronda. Elle saisit Scrimgeour par le col. Et le plaqua contre le mur.
Il sortit sa baguette, mais Sirius le desarma.
- Oh non ! Dit il.
Comme Fudge sortait la, sienne, James pointa sa baguette sur lui.
- Je ne vous le conseille pas, monsieur le ministre. Dit il calmement.
- Ça vous coûtera cher Potter.
- C'est ce que nous verrons. Répondit il.
- Essayez de me prendre ma fille, Scrimgeour, et vous le regretterez ! Gronda Meredith.
- vous commettriez une terrible erreur. Dit Sirius.
- Vous savez pertinement que vous n'avez pas la possibilité de mettre vos menaces à exécution. Dit James. Vous avez vu, ce qu'elle est capable de faire. Vous croyez vraiment qu'elle va vous laisser nous enfermer, et vous obéir ? Elle n'a peut être que quinze ans, mais elle n'est pas idiote. Séparez la, de ses parents, et elle deviendra incontrolable. Alors, ce n'est pas un, mais, deux monstres enragés, que vous aurez sur les bras. Sans comptez, que j'ai quelques influence, au sein du ministère, vous n'êtes pas sans le savoir, Fudge. Et mon arrestation, ou celle de mes zmus risque de faire du bruit. Et même si on en arrive pas là, tentez quoique ce soit contre Cassandra, et ce sera la dernière chose que vous ferez en tant que ministre. Et ça, monsieur le ministre, ce n'est pas une menace, c'est une promesse.
Il y eut un instant de silence, puis
- Très bien. Dit Fudge. Que tout le monde se calme. Il n'y aura pas, de poursuite.
- Et ? Dit Meredit.
- Et... Je laisserais la petite tranquille.
- Et...? Insista t'elle.
Fudge soupira.
- Et je vous en parlerais d'abord, avant de solliciter son aide.
Meredith sourit, et lâcha Scrimgeour
- Et bein voilà, dit elle, je savais que vous étiez capable de vous montrer raisonnable.
Elle rajusta la robe du sorcier qu' elle avait malmené et lui tapota la joue.
- Je vous préviens, Fudge, ajouta Sirius. si jamais vous ne respectez pas vos engagements, on reviendra, et on risque fort de ne pas se montrer aussi comprehensif.
- D'autant plus que je serais contraint de prévenir la presse, renchérit James et je ne doute pas une seconde, que Skeeter se jettera sur cet os, comme la charognard qu'elle est.
- Inutile de nous menacer. Potter. Nous avons un accord, nous le respecterons.
- Je veux quand même vos démissions. Gronda Scrimgeour.
- Vous les aurez à la première heure demain matin. Lui répondit James.
Ils sortirent.
- Je suis désolée, James. On t'a fait perdre ton boulot.
- Ne t'inquiète pas pour ça, Meredith, il avait beaucoup perdu de son charme, depuis la retraite de de Maugrey.
Une fois que les trois sorciers furent sortis, Fudge se tourna vers Scrimgeour.
- Bon, ça ne s'est pp as trop mal passé, finalement.
- Ces Black ! Quelle sale engeance !
- Malheureusement, Potter est avec eux. Les Black sont des sanguins, ils s'énervent vite, mais je ne les redoute pas. Potter est d'une autre trempe. Et il a raison, il est très influent, et très riche. Il peut vraiment nous poser des problèmes. Par conséquent, nous ferons profil bas, pour le moment.
En attendant, la vie quotidienne au château empirait pour Harry. Rita Skeeter avait publié son
article sur le Tournoi des Trois Sorciers mais le tournoi n'y occupait qu'une place secondaire :
il s'agissait en fait d'une histoire haute en couleur de la vie de Harry. Une photo de lui s'étalait
en première page et l'article (qui continuait en pages deux, six et sept) lui était entièrement consacré, les noms des champions de Beauxbâtons et de Durmstrang (mal orthographiés) ne figurant qu'à la dernière ligne.
Quant à celui de Cedric, il n'était même pas mentionné.
L'article avait paru dix jours plus tôt et Harry ne pouvait s'empêcher d'éprouver un cuisant sentiment de honte au creux de l'estomac chaque fois qu'il y repensait. Rita Skeeter lui avait prêté toutes sortes de propos qu'il ne se souvenait pas d'avoir jamais tenus dans sa vie, et
encore moins dans ce placard à balais.
"Je pense que ma force me vient de mes parents. Je sais qu'ils
sont très fiers de moi."
Mais Rita Skeeter avait fait pire que de transformer ses « heu... » en longues phrases grandiloquentes. Elle avait également interviewé d'autres personnes pour les faire parler de lui
" Harry a enfin trouvé l'amour à Poudlard, écrivait-elle. Colin
Crivey, un de ses très proches amis, nous a confié qu'on voit
rarement Harry sans Hermione Granger, une jeune fille d'une
beauté éblouissante, d'origine moldue, qui, tout comme Harry,
est une des meilleures élèves de l'école."
A compter du moment où le journal avait paru, Harry avait dû subir sur son passage les commentaires narquois des autres élèves - et surtout des Serpentard.
- Depuis quand est-ce que tu es devenu un des meilleurs élèves de l'école, Potter ? A moins qu'il s'agisse d'une autre école que tu as fondée avec Neville ?
- Hé, Harry !
- Oui, oui, c'est ça, s'exclama Harry en faisant volte-face. Je suis un horrible ventard.
- Non, c'est simplement que... tu as laissé tomber ta plume.
C'était Cho. Harry se sentit rougir.
- Ah, oui, c'est vrai, excuse-moi..., marmonna-t-il en ramassant la plume.
- Heu... bonne chance pour mardi, dit-elle. J'espère que tout ira bien pour toi.
Et Harry la regarda s'éloigner avec le sentiment d'être un parfait idiot.
Hermione aussi recevait sa part de remarques désagréables, mais elle n'en était pas encore à crier à tort et à travers en s'en prenant à des innocents. En fait, Harry admirait la façon dont elle affrontait la situation.
- D'une beauté éblouissante ? Elle ? s'était écriée Pansy Parkinson la première fois qu'elle s'était trouvée face à Hermione après la publication de l'article. Par rapport à qui ? A un
castor ?
- Ne fais pas attention, avait dit Hermione avec dignité, en passant la tête haute devant les filles de Serpentard, comme si elle n'entendait pas leurs ricanements. Ne fais pas attention, Harry.
Mais Harry n'avait pas la même faculté d'indifférence. Ron ne lui avait plus dit un mot depuis le jour où il lui avait parlé des retenues de Rogue.
Harry avait eu le vague espoir que les choses s'arrangeraient pendant les deux heures qu'ils avaient passées dans le vieux cachot de Rogue à mettre des cerveaux de rat dans de la saumure. Mais c'était le jour où l'article de Rita Skeeter avait paru, et Ron paraissait plus que jamais convaincu que Harry prenait plaisir à toute cette publicité.
Hermione était furieuse contre eux. Elle allait de l'un à l'autre en essayant de les forcer à se parler à nouveau, mais Harry se montrait intraitable : il n'accepterait d'adresser à nouveau la parole à Ron que le jour où celui-ci reconnaîtrait que ce n'était pas Harry qui avait déposé son nom dans la Coupe de Feu. Il exigeait également que Ron lui présente des excuses pour l'avoir traité de menteur.
- Ce n'est pas moi qui ai commencé, répétait Harry d'un ton buté. C'est son affaire.
- Tu sais bien que ça te rend triste, de ne plus lui parler, répliquait Hermione d'un air agacé.
Et je sais que lui aussi, ça le rend triste...
- Ça ne me rend pas triste du tout ! tranchait Harry d'une voix ferme.
C'était un pur et simple mensonge, bien entendu. Harry aimait beaucoup Hermione, mais ce n'était pas comme avec Ron. Quand on avait Hermione comme meilleure amie, on riait
beaucoup moins et on passait beaucoup plus de temps à la bibliothèque.
Harry ne maîtrisait toujours pas les sortilèges d'Attraction, comme s'il y avait un blocage qui l'empêchait de les réussir, et Hermione l'avait persuadé que l'étude de la théorie l'aiderait à progresser. Ils passaient donc beaucoup de temps, pendant l'heure du déjeuner, à consulter des livres sur la question.
Viktor Krum, lui aussi, passait un temps considérable à la bibliothèque et Harry se demandait ce qu'il pouvait bien y faire. Étudiait-il ou cherchait-il quelque chose qui puisse l'aider à
accomplir la première tâche ? Hermione se plaignait souvent de la présence de Krum - non
parce qu'il les importunait mais à cause des filles qui venaient l'observer en se cachant derrière les rayons. Le bruit de leurs gloussements incessants la dérangeait.
- Il n'est même pas beau ! marmonna-t-elle un jour en lançant un regard furieux vers le profil
de Krum. Elles l'aiment simplement parce qu'il est célèbre ! Elles ne le regarderaient même pas s'il n'était pas capable de faire la pente de Gros Ski...
- La feinte de Wronski, rectifia Harry entre ses dents.
Il n'aimait pas qu'on écorche les termes de Quidditch mais surtout, il ne put s'empêcher de ressentir un pincement au cœur en imaginant la tête que Ron aurait faite s'il avait entendu Hermione parler des « pentes de Gros Ski ».
Cassandra et Ethan ne se quittaient plus. Le jeune sorcier avait perdu sa joie de vivre. Il ne parlait plus à personne, mangeait du bout des dents, encouragé par Cassandra, et se traînait lamentablement de salle de cours, en salle commune.
Par un étrange phénomène, plus on redoute un événement, plus le temps qui nous en sépare prend un malin plaisir à passer le plus rapidement possible, alors qu'on donnerait n'importe quoi pour qu'il ralentisse. Les derniers jours avant la date de la première tâche semblaient défiler comme si quelqu'un s'était ingénié à faire tourner les horloges deux fois plus vite. sentiment de quasi-panique qu'éprouvait Harry ne le quittait jamais. Il était aussi présent que
les sarcasmes de ses condisciples qui ne se lassaient pas de commenter l'article de La Gazette du sorcier.
Et puis, Skeeter avait sorti son article, sur ce qui s'était passé à Londres..
Elle semblait revenue à de meilleurs sentiments envers Cassandra.
"Au milieu de ce chaos infernal, alors que cette mystérieuse sorcière semblait décidée à exterminer nos malheureux Aurors, si courageux, prêts à donner leur vie, pour leurs concitoyens, notre jeune fury, la désormais célèbre, Cassandra Black, s'est courageusement interposée. Au terme d'un terrible combat, qui a mis à mal, les infrastructures de la ville, elle a réussi à maîtriser cet effroyable démon, mais l'intervention de son petit ami, un beau jeune homme, du nom de Ethan Mackay a malheureusement, permis au monstre destructeur de s'échapper.
Nous saluons cependant le courage de cette jeune fille, dont la formidable puissance, à sauvé de nombreuses vie.
Ce qui ne nous empêche pas de nous interroger sur les raisons qui ont poussé, ce jeune homme à intervenir. "
Le regard de ses camarades, envers Cassandra. changea du tout au tout.
Présentée comme une héroïne, ils lui adressaient des regards admiratifs, et Colin Crivey la harcelait pour la prendre en photo et lui demander des autographes.
Même les professeurs, la regardait différemment. Seul le professeur Rogue, se montrait indifférent, et la nouvelle popularité de la jeune sorcière, semblait l'induspiser au plus haut point. De même que celle de Harry et il redoubla de sarcasmes odieux, et de provocations en tous, genres, envers les deux jeunes gens.
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