- Tu veux en parler ? -

PDV de Carrie :

Il fait sombre, je suis attachée au lit avec des menottes, j'ai peur. Je ne peux pas crier quelque chose m'en empêche. J'entend du bruit. La porte souvre. Harrison apparaît ivre mort dans l'embrasure de la porte. Il se jette sur moi. Il m'embrasse partout et je ne peux rien faire contre. Je ne peux pas... Non je ne veux pas ! Je veux qu'il me lâche. Oh non il s'apprête à me violer. NON NON NON ! Je tremble, je pleure, ça ne peut pas être réel !!

Nooooooonnn !!!!

Je me réveil en hurlant. Je pleure, je tremble... Ce n'était qu'un cauchemar rien d'autre... Mais ça semblait pourtant si réel ! Non Carrie stop tu délire complètement là.

Je sens des bras me serrer un peu plus pour me faire réagir. Je sors de ma rêverie pour regarger Harrison qui semble m'avoir rejoins dans la nuit.

Harrison : Bébé ça va ne pleure plus ce n'était qu'un rêve...

Moi : Je... c'était horrible....

Harrison : Tu veux en parler ?

Moi : Je... J'étais là attachée au lit et tu voulais me violer.... C'était tellement floue je ne sais pas mais tu n'étais plus le même...

Harrison : Ce n'est qu'un cauchemar poussin n'est pas peur.

Il m'embrasse le front.

Harrison : Viens là et on vas continuer à dormir.

Il m'ouvrit ses bras et je me blottis contre lui. Je ne tarde pas à m'endormir dans les bras de mon homme.

Je me réveil doucement. Je suis toujours dans les bras d'Harrison. Je suis tellement bien là avec lui. Je le regarde dormir. Il est beau.

Harrison : Bonjour princesse.

Putain il m'a fait peur.

Moi : Salut chéri.

Harrison : Ça va mieux ?

Moi : Je crois oui.

Je me met à califourchon sur lui pour l'embrasser avec passion. Je relève la tête pour le regarder dans les yeux.

Moi : Je suis désolée...

Harrison : Pourquoi mon amour ?

Moi : Pour hier... Je suis nulle désolée... Je te crois...

Harrison : Ce n'est rien poussin.

Moi : Si Harrison ! Tu fais tellement pour moi et moi je ne te montre même pas que je suis reconnaissante... Mais je le suis tellement cheri si tu savais...

Il m'embrasse. Il m'embrasse avec fougue et amour. Ce baisé est magique. Je l'aime plus que ma propre vie.

Harrison : Je le sais, et je suis désolé de t'avoir blessé hier soir. Je sais se que je fais avec toi poussin. Je t'aime.

Moi : Je t'aime plus que tout aussi.

On s'embrasse une dernière fois. Puis une chose en entraînant un autre il commence à enlever mon haut pour tomber directement sur ma poitrine nue. Il joue avec tétons pour mon plus grand plaisir. Je lâche des petits gémissements de plaisirs. Je remus mon bassin sur son érection. Il souffle de plaisir. Il décide que s'en est trop et me retourne pour se retrouver sur moi. Il enlève ma culotte et son caleçon. Et sans préliminaire il me pénètre avec force. Il me fait ressentir à quel point il m'aime. Au bout d'un moment nous finissons par jouir à l'unisson. Bordel qu'est-ce que je l'aime.

Moi : Je t'aime !

Harrison : Je sais poussin !

Il m'embrasse la joue et se lève.

Harrison : Je vais me doucher dans ma chambre on se rejoint en bas pour prendre le petit déjeuné ?

Moi : D'accord bébé.

Il quitte la pièce. Je me décide à me lever aussi pour aller me doucher. Une fois dans la salle de bain je constate quelques traces violacées sur mon coup et ma poitrine. Il est sérieux ?! Bon au pire balec... Je me dirige vers la douche mais comme hier soir je fus à nouveau prise de vertiges. Je m'assois rapidement sur le rebord de la baignoire.

Je reprends petit à petit mes esprits. C'est rien. Bon hop à la douche.

Une fois ma douche chaude prise je me retrouve comme une idiote sans vêtements à me mettre. Tant pis je vais descendre en peignoir.

Une fois à la cuisine je regarde mon beau brun préparer des pancakes. Il est est sexy quand il cuisine comme ça.

Harrison : T'a pas finis de me matter ?

Moi : Si j'ai envie de te matter je te matte mon chérie.

Harrison : Mais c'est qu'il prend de l'assurance mon poussin.

Moi : Je ne veux pas finir mangé comme un petit nugget.

Harrison : Pourtant je te mangerais bien mon petit poussin.

Moi : Ça ira pour ce matin bébé.

Je rigole légèrement.

Harrison : Temps que ce n'est que ce matin.

Il me regarde avec un petit sourir en coin. Je m'avance et dépose légèrement mes lèvres sur les siennes.

Harrison : Vos pancakes sont prêt ma déesse du sexe.

Moi : Merci c'est très class comme surnom vraiment.

Il explose de rire et je ris avec lui. Nous nous installons pour manger. Nous parlons de tout et de rien tout en rigolant. Je sans que cette journée va être parfaite.

À suivre...

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