- Mais t'aurais du voir ta tête -

PDV d'Harrison :

Carrie : Chéri... Euh Harri ?

Moi : Oui bébé ?

Carrie : Tu peux me raconter comment on s'est rencontré ?

Ok merde je l'avais pas vu venir celle- la... Il faut que je trouve un truc à dire et vite... Je l'a fait à la romantique, normal ou merde je sais pas moi...

Carrie : Tout va bien ?

Moi : Oui t'inquiète pas c'est juste que je ne m'étais jamais imaginer devoir te rencontrer notre rencontre... Enfin tu vois se que je veux dire ?

Je lis de la tristesse dans ses yeux. J'aurais peut être pas du dire ça comme ça...

Carrie : Je... Pardon...

Elle se leva et elle partit à l'étage. Je ne sais pas trop quoi faire. Il faut que je fasse attention pour que sa mémoire ne revienne pas sinon j'aurais tout perdu. Je vais la laisser un peu seule et je vais réfléchir à une histoire à raconter...

Ok c'est bon je crois que je l'ai ! Elle va adorer j'en suis sur, c'est obligé même ! Je me décide donc à monter la chercher. C'est sans grande surprise que je la retrouve allongée dans mon lit. Je m'allonge à côté d'elle et je la prends dans mes bras. Elle se retourne surprise ? Je pense qu'elle ne m'a pas entendus. Elle a les yeux rougis, je ne comprends pas pourquoi elle pleure.

Moi : Poussin pourquoi tu pleure ?

Carrie : Pourquoi je pleure ? Sérieusement ?

Moi : Hé calme toi bébé ! 

Carrie : Mais bordel de merde je me rappelle de rien ! Ça me rends folle ! Tu comprends ça ? Ça me fais tellement de peine de devoir t'infliger tout ça ? Tu ne devrais pas avoir à me dire comment on c'est rencontré ! Ça devrait être encrés en moi ! Mais non au lieu de ça moi je suis là comme une idiote à te poser des questions que je ne devrais pas te poser.

Je le voyais dans ses yeux, c'était trop d'un coup pour elle. Elle pleurait de plus belle.

Moi : Carrie, bébé regarde moi s'il te plais.

Elle me regarde avec ses yeux tristes et remplis de larmes.

Moi : Ne sois pas gênée de me demander quoi que ce soit sur nous, sur toi... Ça me dérange pas de te répondre, ça m'a juste pris du temps pour trouver les mots adapter. Mais je suis prêts à répondre à toutes tes questions mon cœur.

Carrie : Je ne sais pas se que j'ai fais pour mériter un homme comme toi... Tu es merveilleux...

Moi : Je t'aime aussi.

Je l'embrasse tendrement et je lui caresse la joue pour la mettre en confiance.

Moi : Maintenant sèche moi tes vilaines larmes et pose moi tes questions.

D'un revers de manche elle s'essuie les yeux puis se cale dans mes bras.

Carrie : Je voudrais vraiment savoir notre rencontre....

Moi : Ok alors c'était il y a à peu prêt 2 ans j'étais à la fête foraine avec des potes et on marchait sans vraiment regarder ou on allait et on va dire que je t'ai percuté et que ton coca c'est renversé sur ton t-shirt...

Carrie : Sérieusement ?

J'hoche la tête positivement et elle rigole légèrement.

Moi : Sauf qu'au lieu de m'excuser, comment dire j'ai agréablement regarder ta poitrine apparente à cause de ton t-shirt trempé.

Carrie : Espèce de pervers va ahaha. 

Moi : Du coup tu t'es un peu emballée et j'ai décidé de t'offrir un autre coca, j'avoue j'ai pu continuer à te mater par la même occasion. 

Carrie : Tu me désespère...

Moi : Bref après on c'est échangé nos numéros et on a commencé à se fréquenter et maintenant tu es la dans mes bras et dans mon lit en plus. Je dis merci à la maladresse et au coca.

Carrie : Tu es irrécupérable jeune homme.

Moi : Peut être mais tu m'aime n'est-ce pas ?

Carrie : Non.

Elle a dit ça d'un ton tellement sérieux que je me suis immédiatement retourner pour la regarder dans les yeux. 

Moi : Série....

Elle me coupe.

Carrie : Et bébé je rigole... Je t'aime plus que tout.

Moi : Putain tu m'a fais peur !

Carrie : Mais t'aurais du voir ta tête.

Elle part dans un fou rire monumentale qu'il est presque impossible de l'arrêter.

PDV de Carrie :

Je rigole tellement que je n'arrive pas à m'arrêter. Ça tête m'a tellement fais rire. C'était mémorable. 

Harrison : Tu es sur de vouloir rigoler ?

Je n'arrive même pas à répondre, je rigole trop.

Harrison : Ok tu l'aura voulus poussin.

Sans que je m'y attende il se met à califourchon sur moi et commence à me faire des chatouilles sur le ventre. C'est trop pour moi, je suis très sensible aux chatouilles malheureusement pour moi... Il continue encore et encore jusqu'à que je sente sa bouche déposer quelque bisous dans mon coup. Bizarrement ça me calme de suite, je n'ai plus envie de rire. Ses bisous me procure comme des décharges électriques dans tout mon corps et je commence à avoir chaud. J'étouffe presque, il me rend folle.

Harrison : Tu ne rigole plus ?

Moi : Il n'y a rien de drôle.

J'ai dis ça à bout de souffle. Je le regarde dans les yeux,  je bouillonne, j'ai envie de lui. Il me procure tellement de sensations. Je passe mes mains derrière ça nuque puis je l'embrasse avec fougue. Il répond instantanément à mon baisé. Nos langues s'entrechoque en rythme et nos habits finissent rapidement au sol. Nos corps s'assemblent férocement et mélodieusement. Il est mien, je suis sienne. Nos corps ne font plus qu'un. On se compléte, je l'aime. Je l'aime tellement.

À suivre ...

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