24 ~ Into the Denkiverse
Titre : Into the Denkiverse
Univers : Canon
Genre(s) : Humour (C'est un peu une crack fic)
Rating : K
Personnage(s) : Denki et une grande partie de la 1A
Ship(s) : //
Première de publication : Été 2021
Dernière correction : Été 2021
Nombre de mots : 2,7k
Résumé : Un Denki venu d'une dimension parallèle est apparu de nulle part pour dire à Denki de ... de quoi déjà ?
.
Défi : Écrivez un texte contenant l'une des trois thématiques suivantes, à choix :
- Bodyswap : deux personnages échangent leurs corps
- Un personnage rencontre son alter ego dans/venu d'un autre univers (lequel peut être un univers alternatif, une autre version du canon, etc.) Par exemple, le Izuku apprenti héros du canon rencontre un Izuku devenu vilain dans une réalité parallèle.
-De-aging : Un personnage est, temporairement ou non, rajeuni et retrouve un corps d'enfant ou d'adolescent, que ce soit en conservant ses souvenir actuels ou non.
Notes (2021) : Voilà le troisième défi, c'est un peu parti dans tous les sens, comme souvent quand j'écris sur Denki, mais encore pire que d'habitude... bah, vous inquiétez pas, je me rattraperai avec le défi 4.
Notes (2023) : Spoiler : j'ai jamais fini le défi 4 et il repose depuis dans les tréfonds de mon ordi (peut être qu'un jour je me motiverai à le terminer, il reste pas grand chose en plus)
Faites pas trop attention à ma note de 2021, cet OS et très fun, je l'aime bien, il me fait rire moi même quand je le relis.
.
Into the Denkiverse
.
.
— Ne fait pas ça !
Denki laisse échapper sa tartine de confiture qui tombe dans un spoutch sonore sur la table du salon de l'internat. Mais pour une fois, personne ne le reprend sur sa manière de manger peu élégante. Non, tout le monde est bien trop stupéfait par l'arrivée d'un individu non identifié dans un voluptueux nuage de paillettes roses. L'homme, sans doute un peu plus âgé que leur promotion, s'est brusquement précipité vers Denki pour plaquer ses mains sur la table avant de hurler d'un air désespéré.
C'est là que Denki en à lâché sa tartine.
— Mais j'adore la confiture de framboise ! proteste-t-il d'une voix aussi désemparé que l'individu dont le visage lui rappelle vaguement quelqu'un.
L'instant d'ahurissement dure peu de temps avant que le conditionnement des apprentis héros ne reprennent le dessus. Katsuki est le premier à réagir, sans doute parce qu'il déteste être dérangé le matin avant d'avoir avalé son troisième litre de café. Une explosion retentissante force l'inconnu à s'éloigner pour sauver sa peau, mais il est rapidement bloqué par un amas de glace qui s'est formé autour de ses pieds le forçant à s'immobiliser. Puis la glace fond suite à une deuxième explosion et l'intru en profite pour s'éloigner, levant les mains en l'air en signe de paix.
— Hey ! Je viens pas pour me battre je-
Le souffle coupé par un coup dans l'estomac, l'individu se plie en deux en gémissant.
— Ei', t'es pas sympaaa, couine -t-il.
Sa lamentation fait se figer le poing durcit de Eijiro qui s'apprêtait à lui assigner un deuxième coup. Il dévisage les cheveux sombres, rayés d'une mèche blonde de l'homme courbé devant lui.
— Kirishima est touché, intervient la voix forte de Tenya. Ça doit être un alter paralysant faites attention !
— Je m'en occupe !
Izuku bondit en avant, laissant un éclair de pouvoir vert dans son sillage et assène un coup de pied à l'intru. L'homme est propulsé en arrière et atterrit sur les fesses dans un grognement douloureux.
— Super sympa l'accueil, souffle-t-il en levant de nouveau les bras devant lui. Stop, stoooop !
Toujours illuminé de son alter, Izuku s'avance près à attaquer de nouveau, mais se fige en croisant le regard doré de l'individu.
— Denki ?
Denki, très occupé à lécher la confiture étalée sur la table, s'immobilise soudain lorsque les regards de tous ses camarades de classe se tournent vers lui.
— Quoi ? s'exclame-t-il, penché tortueusement en avant, sa langue à moitié sortie pour aspirer une miette. Faut pas gaspiller !
Comme plus personne ne parle et se contente de les dévisager tour à tour, l'intru et lui, Denki se redresse, essuyant sa bouche collante contre sa manche d'uniforme et observe l'inconnu assis par terre qui se tient le ventre en gémissant.
— Ta tête me dit un truc, constate-t-il. On se serait pas croisé ?
Il y a un nouveau silence, à peine interrompu par Katsuki qui marmonne un « Il est complètement stupide, cet abruti» mais Denki a apprit à ignorer les intervention de l'explosif. C'est un peu comme les Italiens qui parlent avec les mains, Bakugo parle avec des insultes, c'est sa manière de s'exprimer.
— Bien vu Denki ! s'exclame Mina.
Mais Denki entend un ricanement dans sa voix, alors il ne se laisse pas avoir par ses fausses éloges, il est pas aussi bête qu'elle ne le croit !
— C'est peut être parce qu'il a la même tête que toi ! finit-elle en hurlant.
Denki sursaute avant de dévisager l'inconnu avec plus d'attention. Et effectivement, l'homme, bien qu'il semble un peu plus âgé que lui, l'observe avec les mêmes yeux dorés qu'il croise tous les matins dans le miroir. Ses cheveux sont noirs avec un éclair blond mais aussi ébouriffés que les siens, comme si leurs couleurs avaient été inversées. Mais l'intru à une petite cicatrice sur le menton qui rassure tout de suite Denki, au moins ce n'est pas un clone de lui !
— Wow mais c'est vrai, tu me ressembles trop ! Est-ce que tu es mon frère jumeau disparu ?!
— Non, je viens d'un univers parallèle, lui répond l'intru avec un grand sourire.
— Ah oui bien sûr, c'est plus logique ! approuve Denki.
— Oh bordel, marmonne Kyoka en se frappant le front. On est pas dans la merde.
— Je suis désolé de t'avoir frappé, fait Eijiro en s'approchant du brun pour lui tendre une main et l'aider à se relever. Je savais pas que tu étais Denki... Euh, un Denki.
— T'inquiete c'est rien Ei' , puis t'es vachement sexy en mec !
— Quoi ! s'étrangle Eijiro. Qu-
Mais il n'a pas le temps d'interroger l'intru que Katsuki se remet à hurler :
— Non mais vous allez pas croire ses conneries quand même !
— C'est que ça à l'air assez crédible quand même, marmonne Izuku. Si on prend en compte la probabilité qu'il n'existe pas qu'une seule ligne temporelle, ça augmente largement les chances que dans un ces univers parallèles il existe quelqu'un avec un alter capable de voyager entre les dimensions. C'est possible que dans l'une de ces réalité alternative il existe un autre Denki, qui viendrait dans notre réalité pour ... pour quoi en fait ? demande-t-il en se tournant vers le Denki brun qui lui fait un grand sourire.
— Pour empêcher mon autre moi de devenir un vilain !
— Voilà, pour empêcher Denki d'être un vilain, approuve Izuku en hochant la tête. C'est logique. En plus il est arrivé dans un nuage de paillettes en plein milieu du lieu le plus sécurisé du pays. Il y a pas d'autres explications.
— La ferme Deku ! Tu raconte encore de la merde !
— Oh ! s'exclame le Denki parallèle en claquant soudain des doigts. Tu es Deku, je t'avais pas reconnu ! Dans mon monde tu es un sans alter.
— Hrmf ! renifle (ou ricane, Denki n'est pas vraiment sûr) Katsuki.
— A-ha ?
Izuku paraît soudain assez mal à l'aise et se gratte l'arrière de la tête en affichant un air gêné.
— Ouais donc t'étais pas dans notre classe au lycée.
— Tu as fini le lycée ? relève Shoto.
— Comment tu le connais alors ? fait Mina en même temps.
— J'ai eu mon diplôme il y a trois mois ! s'exclame l'intru fièrement.
— Cool, ça veut dire que je suis sûr de devenir un héros ! s'écrit Denki et leur ton de voix est exactement identique.
— Et pour te répondre, ma chère Mina, tout le monde connaît le célèbre Deku depuis qu'il sort avec Katsuki !
— Quoi ?! glapit Izuku, mais sa voix est couverte par le bruit d'une explosion.
— Tu as dit la dernière connerie de ta vie ! hurle Katsuki. Je vais te buter ! Y a pas un seul putain d'univers ou je sortirais avec ce putain de nerd de Deku !
Un couinement étranglé s'échappe des lèvres du Denki parallèle et il court se réfugier derrière le Denki blond. Qui n'a d'ailleurs pas bougé depuis l'arrivée pailletté de son lui d'ailleurs et finissait tranquillement son petit déjeuner.
— Sauve-moi, mon autre moi !
— Quoi ?
Denki n'a pas le temps de réaliser que la mort arrive qu'une explosion le projette en arrière, lui et son autre lui et désintègre les restes de son petit dej'.
— Strike, commente monotonement Kyoka en regardant les deux Denki rouler dans le salon de l'internat.
— M-ma confiture de framboiiiiiseuh !
— Je vais aller chercher Aizawa-sensei, avertit Tenya avant de s'enfuir à toute vitesse.
À peine la porte de la salle commune claquée derrière lui, qu'elle s'ouvre de nouveau pour laisser passer un Hitoshi mal réveillé. C'est toujours le dernier lever, battant même les records de retard de Denki depuis qu'il a été transféré dans leur classe.
— Il se passe quoi, marmonne-t-il frottant ses yeux encore embrouillés de sommeil.
— Oh bonjour Hitoshi ! le salut Izuku avant de lui expliquer très simplement : Un Denki venu d'une dimension parallèle est apparu de nulle part pour dire à notre Denki de ... de quoi déjà ?
— De ne pas devenir un vilain ! répond le Denki brun depuis le tas de membres enchevêtré qu'il partage avec son lui blond.
— ... Il est beaucoup trop tôt pour vos conneries, marmonne Hitoshi avant de traverser la pièce pour se rendre au coin cuisine et se servir une tasse de café. Noir, sans sucre.
Ça laisse le temps aux deux Denki de se relever et de vérifier qu'ils n'ont rien de cassé, dans un mouvement synchrone qui laisse le reste de la classe stupéfait. Si certains doutaient encore qu'il s'agissait de la même personne, leur parfaite coordination ne peut que les convaincre qu'ils sont bien en face de deux Denki pratiquement identiques. Leur gestuelle est exactement la même et seules leur différence capillaire permet de les distinguer facilement.
— Alors c'était pas pour la confiture de framboise que tu es venu ? s'étonne Denki, le vrai, après s'être assuré que Katsuki ne l'avait pas trop amoché.
— Pourquoi je viendrai juste pour de la confiture de framboise ?
— Bah... Parce que c'est la meilleure de l'univers ?
— Hm, c'est vrai que ça se tient, approuve le Denki parallèle.
— Génial, on a droit à une double dose de stupidité, soupire Kyoka.
Après avoir descendu une tasse et demi de caféine liquide, Hitoshi s'approche des Denki, observant prudemment le brun.
— Qui es-tu ? demande-t-il en s'arrêtant à quelques pas des Denki, et le regard de faux Denki s'écarquille lorsque ses yeux se posent sur lui.
— Wow, tu es hyper sexy, comment ça se fait qu'on se soit jamais croisé dans mon m-
L'alter de Hitoshi agit sournoisement et le coupe dans sa phrase, ses bras retombent le long de son corps comme une poupée de chiffon.
— Vas t'asseoir sur une chaise et ne bouge plus, ordonne Hitoshi et le brun s'exécute sans aucune résistance.
— Eh, t'es pas sympas avec moi, proteste Denki tout en agitant une main devant les yeux figés dans le vague de son alter-ego.
— On peut pas laisser un individu étrange se balader librement dans l'internat, c'est peut être un espion de la ligue, soupire Hitoshi, déjà épuisé par la longue journée qui s'annonce.
— Il est pas étrange, moi je le trouve méga cool !
— Je suis pas sûre que tu sois très objectif Denki, ricane Mina.
— Qu'est-ce que tu vas faire de mon moi ? demande Denki en jetant un regard suspicieux vers Hitoshi.
— Le garder sous contrôle jusqu'à ce que les profs arrivent
Comme la vie est tellement bien faite qu'on dirait que tous est écrit, c'est à ce moment précis que Tenya revient accompagné des professeurs Aizawa et Yamada.
— Pourquoi c'est toujours dans ma classe qu'il se passe des choses étranges, soupire Aizawa en s'approchant de la chaise où repose le Denki brun toujours immobile. Pour une fois ça pourrait pas être au tour de la classe B ?
Ses yeux rougeoient pendant une fraction de seconde et ses cheveux mal coiffés ont à peine le temps de se dresser sur son crâne que déjà, il désactive son alter dans un nouveau soupir.
— Bon, ce n'est pas un métamorphe.
Il jette un regard lasse sur les traces noirâtres laissés par les explosions de Katsuki dans la salle et sur le corps des Denki.
— Et vous l'avez visiblement assez frappé pour vous assurer que ce n'était pas un clone, constate-t-il, et cette information semble encore plus le désabuser.
— Evidemment que c'est pas un clone, c'est moi ! s'exclame Denki, consciencieusement ignoré par tous les autres.
— Shinso, tu peux le laisser parler tout en le gardant immobilisé ?
Avec un bref hochement de tête, Hitoshi ordonne :
— Tu peux bouger librement la tête, mais tu restes assis sans bouger.
Le Denki parallèle cligne plusieurs fois des yeux, reprenant contact avec la réalité puis pose un regard émerveillé sur Hitoshi.
— Wow, c'est trop sexy l'alter de domination ! J'espère que tu sors avec moi, enfin le moi de cet univers !
Sans doute pour la première fois de sa vie, Hitoshi s'empourpre jusqu'aux oreilles et ne parvient qu'à marmonner qu'une vague réponse incroyablement gêné, évitant le regard de Denki (et vu qu'il y en a deux, c'est deux fois plus compliqué).
— Je ... C'est pas... Alter de domination...
— Ne te disperse pas Kaminari. Si tu es bien Kaminari.
— Bonjour Aizawa-sensei, bien sûr que je m'appelle Kaminari ! Quel autre nom pourrait mieux me correspondre ? A part peut-être le nom de ce beau gosse, lance-t-il avec un clin d'œil en direction de Hitoshi.
— Oh mon dieu, marmonne ce dernier en cachant sa tête entre ses bras sous les ricanements des autres élèves présents.
— Eh bien Denki, fait Mina, tu nous avais caché ton attirance pour les beaux mecs introvertis.
— Bah en fait je savais pas que j'étais gay, s'étonne le conserné.
Son alter-ego écarquille les yeux, visiblement choqué par l'annonce.
— Quoi, attends ça veut dire que dans cet univers tu as jamais eu de crush sur Tamaki ?
— Tu crush sur Tamaki ? s'étonne Eijiro en se tournant vers le Denki blond.
— Bien sûr que non, c'est pas du tout mon style !
— C'est vrai que ton style c'est plutôt Hitoshi, se moque Mina.
— Mais -
— Tu fais bien, approuve son autre lui en lui coupant la parole. De toute façon Tamaki est amoureux de Mirio depuis l'école primaire.
— Ça c'est pas une nouvelle très surprenante, constate la rose.
— Ça suffit, intervient Aizawa. Ne l'encouragez pas dans son délire, pour l'instant nous ne savons pas si c'est pas un espion de la ligue des vilains, et vous ne faites que lui donner des informations sur vous.
Ça à le mérite de clore toutes les discussions et de stopper les taquineries envers Denki et Hitoshi.
— Alright, fait Yamada. You say que tu es un Kaminari Denki venu d'une other dimension, c'est ça ?
Mais au lieu de répondre directement, le regard du Denki parallèle s'adoucit et il sourit légèrement.
— C'est bon de vous savoir en vie dans d'autres univers, Yamada-sensei. Vous savez que le Aizawa-sensei n'est plus du tout le même depuis votre assassinat et-
— Stop ! le coupe brusquement Aizawa. Arrête de déblatérer et répond juste aux questions que l'on te pose.
— J'ai été assassiné ? s'écrit Yamada.
— Oui. Quoi, je réponds aux questions ! se défents le Denki brun devant le regard noir de Aizawa.
L'adulte se pince l'arrête du nez et soupire longuement.
— Évite de donner des informations sur ton univers, si tant est que tu viens bien d'un autre univers. On ne sait pas comment ça peut impacter sur notre réalité, compris ?
— Oui, sensei !
— Who killed me ?
— Hizashi !
— Wait Shouta ! Je viens d'apprendre que je suis dead, je veux savoir why !
— On ne sait même pas si ce qu'il raconte est vrai, ça peut très bien n'être qu'un tissu de mensonge pour nous faire tomber dans un piège, s'agace Aizawa en le fusillant de son regard cerné.
— Okay okay, je te laisse faire Shouta ! abdique Yamada en levant les mains en signe d'abandon.
Il recule d'un pas pour laisser l'autre professeur interroger le suspect à sa guise.
— Bien, fait Aizawa en se retournant vers le Denki brun. Qui es-tu ?
— Ça se voit non ? Je suis Denki Kaminari ! annonce fièrement l'intru. Vingt-et-un ans et toutes ses dents. Oh, et je suis vacciné contre le Covid si c'est ça qui vous inquiète !
— Mais alors tu viens du futur ?! s'exclame Eijiro qui vient visiblement de le capter .
— C'est quoi le covid ? relève Izuku.
— Même plus vieux il est toujours aussi stupide, commente Katsuki.
— Mais c'est le futur ou un univers parallèle alors ? s'enquiert Mina.
— Est-ce que Endeavor est mort dans le futur ?
La question monocorde de Shoto déclenche une série d'interrogations plus ou moins pertinentes sur le monde d'où vient le Denki parallèle qui ne sait plus où donner de la tête jusqu'à ce que Aizawa menace ses élèves d'une évaluation surprise pour les faire reculer.
— C'est moi qui pose les questions, je ne veux plus entendre personne, annonce-t-il, avant d'ajouter en marmonnant : j'ai besoin de café.
Hitoshi lui tend immédiatement une tasse comme s'il avait prédit la demande de Aizawa. Ce qui est surement le cas, il doit y avoir un lien télépathique entre accro à la caféine. Denki se note dans un coin de la tête d'essayer un jour pour voir.
— Bien, fait Aizawa après avoir apprécié la première gorgée de sa boisson. Comment es- tu arrivé ici ?
— Grâce à la machine à voyager entre les dimensions de Mei, bien sûr ! répond joyeusement le Denki parallèle.
— Bien sûr, répète Aizawa entre ses dents. Et pourquoi être venu ici ?
— C'est très simple ! Pour empêcher mon moi alternatif de devenir un vilain !
— Mais je vais pas devenir un vilain, je suis un héros, s'écrit Denki -le vrai-.
— Super, ma mission est accomplie alors !
— Génial, grinça Aizawa. Tu vas pouvoir rentrer gentiment chez toi maintenant.
Le sourire du Denki brun se figea soudainement et il écarquilla lentement les yeux alors qu'il réalisait :
— Mais... je sais pas comment rentrer !
Et tandis que Aizawa se pinçait l'arrête du nez d'agacement et que Hitoshi lui apportait une nouvelle tasse, Denki s'écria :
— Oh, on peut le garder ? S'il vous plaît Aizawa-sensei, je m'en occuperai bien, promis !
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top