TW : horreur/Surnaturel

Un meurtre à eu lieu dans le manoir. La pièce à vite prit feu, brûlant les corps jusqu'à ce que seuls du charbon en reste.

Pour y accéder, je n'avais qu'à monter les escaliers, prendre le couloir de gauche et retourner à gauche. L'agencement est très bizarre pour un manoir de cette taille. Le dernier couloir était légèrement incliné vers la gauche, comme un arc de cercle.

Ils ont été 5 à avoir été présent dans le manoir au moment du meurtre. Un vieil homme, une jeune femme et enfin deux autres jeunes hommes. Nous étions tous dehors après que la pièce est prit feu. Étant inspecteur, résoudre ce genre de meurtre est mon travail, bien que la retraite approche à grand pas. Je m'apprêtais à demander ce qu'ils avaient pu voir ou entendre mais je me fis devance par l'un des deux jeunes hommes.

- Il y a eu un gros bruit et ensuite la salle à totalement brûlé, et les corps avec. Le bruit des flammes étaient atroces. Il eu un petit instant de blanc. Écoutez, ça a va être bizarre ce que je vais dire mais..

- Le feu ne s'est pas propagé. Continua le second. Après l'incendie, nous avons pu constater que le corps avait brûlé mais quelque chose n'allait pas. Le feu de la chambre n'a pas circule à la chambre adjacente malgré que les corps soit carbonisé.

- Vous avez fait l'autopsie ?

- Non. Nous ne nous sommes pas approché des corps. Ils sont entièrement carbonisé et semble pour autant toujours vivant. Ils sont entièrement en charbon et pourtant ils respirent. Leurs cages thoraciques continuent de se mouvoir.

C'est très bizarre cette histoire. Nous montons et arrivâmes très rapidement à la salle de question. Il y avait des sortes de portes en bâche pour marquer le début de la scène de crime.

- On ne vous force pas à entrer.

Nous passons outre l'avertissement oral d'un des deux collègues et entrons.

Il y a trois corps. Un à terre qui nous regarde avec une arme pointé sur nous devant les deux autres, un debout légèrement plus au fond qui pointe le plafond de quelques mètres devant lui et un derniere silhouette, un autre corps carbonisé adossé au mur qui point un pistolet dans le dos du second.

Comment les corps peuvent rester dans cette position quand ils sont brûlé ? Ne serait ce que le dernier, il aurait dû se recroviller de douleur pendant l'incendie.

Le vieil homme s'approcha derrière nous deux autres collègues qui avancait très prudemment. Qui a t-il a craindre de trois corps cramé ?

Un tir retentit. Rapidement suivi d'un deuxième et d'un troisième. L'un de nos accompagnateurs se retrouva à terre tué d'une balle dans la tête et le second qui se prit aussi une balle courra hors de la salle en criant pour avoir des soins.

Le vieil homme à eu la chance que la balle tiré en sa direction ne fit qu'érafler sa main, ne le blessant que légèrement. Il retint un cri de douleur de justesse.
La jeune femme qui avait aussi commencé à s'avancer plongea sur le mur d'en face et se recrovilla. Elle n'a jamais vu quelqu'un tirer à l'arme à feu, tout comme elle ne s'est jamais faite menacée par un cadavre.

- Comment est ce possible ?

- Qu'est ce qui s'est passé ?!

- Les corps.. Le vieil homme retint un autre gémissement de douleur. Ce sont eux qui ont tiré.

En les regardant de mieux, je ne comprend toujours pas comment. Leurs yeux sont brûlé et nous ne voyons que des cavités.

Pourtant, ces corps viennent bien de se pouvoir de leur propres chefs comme un réflexes post-mortem en tirant d'une précision quasi mortel sur des vivants. Ces corps carbonisés dont rien ne devrait rester viennent de tuer une homme.